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  • Comment faire face à la hausse des prix
    Réveillez-vous ! 1975 | 8 octobre
    • d’alimentation. Il achète alors le quotidien, car cette dépense minime lui permet de réaliser des économies.

      Pourquoi pas un jardin ?

      Quand l’augmentation des prix de l’alimentation obligea un jeune couple à réduire ses dépenses, il se dit qu’un petit jardin lui rendrait bien service. Mais il vivait en appartement ; alors, que faire ?

      Après avoir regardé la propriété d’un voisin, le jeune homme pensa à un arrangement possible. Il fit cette proposition au voisin : “Si je tonds votre pelouse tout l’été, me permettrez-​vous de planter des légumes sur cette autre partie ?” La proposition fut acceptée et le jardin produisit en abondance pour le jeune couple, pour ses amis et même pour le propriétaire du terrain. Ne pouvez-​vous prendre des dispositions semblables ?

      Si vous songez à faire pousser des légumes, vous trouverez peut-être utile d’employer la technique de la “récolte multiple”. Autrement dit, au lieu de semer toutes vos semences en une fois, semez-​les à une ou deux semaines d’intervalle. Ainsi, lorsqu’une récolte est prête, une autre est en bonne voie. Quand vous avez arraché vos légumes, vous avez de la place pour en planter d’autres. Aux Philippines, les experts agricoles ont amélioré cette méthode de la récolte multiple au point qu’un hectare produit vingt-six tonnes. Ce procédé peut également augmenter le rendement de votre potager.

      En avez-​vous vraiment besoin ?

      Vous avez probablement remarqué que pour leurs repas beaucoup de ménagères achètent des produits tout préparés ou à moitié préparés. Cette dépense est-​elle vraiment nécessaire ? Le pain acheté au magasin, les sauces en boîtes, les desserts en paquets et les plats cuisinés allègent votre travail, mais alourdissent votre note d’alimentation. Non seulement “commencer à zéro” en ce qui concerne la préparation des aliments réduit les frais, mais cela apporte une satisfaction particulière. L’odeur du pain qui cuit et sa saveur inimitable sont des choses qu’aucun produit commercial ne peut offrir. Et ce pain est beaucoup moins cher.

      Dans de nombreux pays la publicité pousse sans cesse les gens à acheter. Mais avons-​nous vraiment besoin de toutes ces choses qu’on fait miroiter devant nos yeux ? Avons-​nous même besoin de tout ce que nous possédons ? Ce sont là des questions à considérer quand on cherche comment faire face à la montée des prix.

      Après avoir constaté combien son pouvoir d’achat était réduit, une famille de trois personnes décida de restreindre son train de vie. Elle vendit sa maison et en acheta une plus petite pour la moitié du prix. Elle disposait encore d’un espace suffisant, mais elle avait 100 dollars de moins par mois à rembourser.

      Vous pouvez également faire des économies sans pour cela déménager. Si vous portez des vêtements plus chauds et mettez des tentures à vos fenêtres, vous diminuerez votre note de combustible. Une autre économie consiste à écrire au lieu de téléphoner au loin. De même, plutôt que d’envoyer toute votre correspondance par avion, envoyez-​la par voie de terre si elle n’est pas urgente. Les économies s’accumulent vite, de même que les dépenses.

      Un autre principe important à respecter est le suivant : N’empruntez jamais à moins d’absolue nécessité. Évidemment, les cartes de crédit et les comptes courants sont très commodes. Et peut-être vous a-​t-​on dit que le taux du crédit n’est que de 1 1/2 pour cent après trente jours. Mais vous êtes-​vous rendu compte que cela fait 1 1/2 pour cent par mois, c’est-à-dire au moins 18 pour cent par an ? Ce n’est pas là un moyen de se défendre contre la hausse du coût de la vie.

      Je me rappelle une réclame à la télévision qui proposait “généreusement” un prêt de 5 000 dollars remboursable en trente mois à un intérêt de 16 pour cent seulement. Savez-​vous qu’à ce taux l’emprunteur devra rembourser 7 000 dollars ? N’est-​il pas plus sage d’éviter d’emprunter ?

      Assaut FAMILIAL contre la vie chère

      Une bonne chose est d’opposer un front familial au problème de la vie chère. Comment y arriver ?

      Dans votre famille les enfants font peut-être certaines tâches domestiques pour lesquelles ils sont rétribués. Cependant, devrait-​on payer leur aide ? Est-​ce vraiment agir dans leur intérêt ? Certains jeunes ont un emploi hors du foyer. Cet emploi est-​il, pour les enfants, uniquement un moyen d’avoir “leur propre argent” pour acheter ce dont ils ont envie ? Cette attitude égoïste ne sera d’aucune utilité à la famille. Certains parents estimeront même nécessaire d’exiger de leurs enfants qu’ils contribuent au bien général.

      Il serait bien préférable que les membres de la famille adoptent une attitude basée sur le principe biblique suivant : “Que chacun continue à chercher, non pas son avantage personnel, mais celui d’autrui !” (I Cor. 10:24). Les parents qui suivent ce principe ne s’attendront pas à ce que leurs enfants leur abandonnent tout leur salaire ; et les enfants ne désireront pas le garder entièrement pour eux. Quelle bénédiction quand les membres de la famille travaillent tous ensemble au bien commun ! Le foyer est alors vraiment uni.

      Faire face à la hausse des prix est un véritable défi. Vous pouvez cependant le relever si vous acceptez de procéder à quelques modifications dans votre vie. — D’une de nos lectrices.

  • Un professeur contre l’avortement
    Réveillez-vous ! 1975 | 8 octobre
    • Un professeur contre l’avortement

      Dans une conférence intitulée “La Genèse de l’être humain” qu’il a prononcée récemment au centre Saint-Louis-de-France, à Rome, le professeur Jérôme Lejeune, professeur de génétique fondamentale à la faculté de médecine de Paris, a condamné l’avortement. Il a affirmé que l’embryon commence à agir sur l’organisme de sa mère à l’âge de sept jours, et qu’entre quinze jours et un mois il développe une tête et un cœur. À partir du deuxième mois, il a des membres et, dès le cinquième mois, il pourrait naître viable, comme le cas s’est produit aux États-Unis. Le professeur Lejeune en conclut que la genèse commence dès la fécondation et il se prononce donc contre l’avortement. Il a profité de l’occasion également pour rejeter le “néo-darwinisme” qui, selon lui, devrait être définitivement abandonné par les scientifiques. Le célèbre généticien français a souligné le fait qu’il est impossible de passer d’une espèce à une autre.

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