BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1963 | 15 août
    • Questions de lecteurs

      ● Genèse 2:10-14 mentionne quatre cours d’eau. Cependant, seuls deux de ces cours d’eau figurent sur les cartes de la Bible, le Hiddékel et l’Euphrate. Qu’en est-​il des deux autres : le Pischon et le Guihon ? — N. H., États-Unis.

      Avant de répondre à cette question, notons que l’“ Hiddékel ”, le troisième cours d’eau mentionné dans les versets en question, est reconnu par tous comme étant le Tigre. En fait, tel est le nom donné à ce fleuve par la version des Septante dans Genèse 2:14 et Daniel 10:4.

      Quant aux deux premiers, le Pischon et le Guihon, on a fait de nombreuses conjectures pour savoir quels étaient ces cours d’eau. Les dictionnaires bibliques et les encyclopédies ont émis bien des théories et certains les développent avec force détails. Mais en fin de compte il ne s’agit que de conjectures.

      Il n’y a pas lieu de s’inquiéter s’il est impossible d’identifier ces deux cours d’eau d’une façon certaine ; il se peut fort bien qu’ils n’existent plus. Des changements dans l’aspect de la terre sont intervenus depuis que ces mots furent consignés pour la première fois dans le livre que Moïse consulta pour compiler cette partie de la Genèse (Genèse 5:1). Il est naturel de conclure, entre autres, que le déluge universel apporta de grands bouleversements dans la topographie de la terre, faisant même disparaître le jardin d’Éden, de sorte qu’il n’y eut plus besoin d’anges pour en garder l’entrée. — Ps. 104:6-8 ; Gen. 3:24.

      Comme l’a si bien fait remarquer Delitzsch dans son ouvrage intitulé Commentary on Genesis : “ Il est donc inutile, afin de prouver la véracité des indications géographiques de l’écrivain sacré, que nous soyons encore en mesure de désigner quatre cours d’eau distincts (dont le Tigre et l’Euphrate) partant d’une même source, ce qui est tout simplement impossible. ”

      ● Pour quelle raison Lot fut-​il appelé le frère d’Abraham dans Genèse 14:14, alors qu’il était en réalité son neveu ? — A. M., États-Unis.

      Lot était évidemment le neveu d’Abraham, car Genèse 11:31 dit que Térach emmena avec lui “ Abram, son fils, et Lot, fils d’Haran, fils de son fils ” lorsqu’il quitta Ur en Chaldée. Cependant Abraham considéra Lot comme un frère, non parce que Lot était le fils d’Haran son frère décédé, mais parce qu’ils entretenaient des relations familiales au sens spirituel, telles qu’il en existe aujourd’hui entre les membres de la société du monde nouveau des témoins de Jéhovah. Aussi Abraham appela-​t-​il Lot son frère, comme le montre Genèse 13:8 par exemple : “ Qu’il n’y ait point, je te prie, de dispute entre moi et toi, ni entre mes bergers et tes bergers ; car nous sommes frères. ”

      C’est pour cette raison qu’il est logique de représenter Lot comme le frère d’Abraham dans Genèse 14:14. Il en est de même pour les membres des douze tribus des fils d’Israël qui s’appelaient entre eux frères, bien que selon la chair ils fussent cousins, étant tous les fils de douze frères. Ainsi donc dans les Écritures grecques chrétiennes nous remarquons à plusieurs reprises, que les apôtres parlent de leurs compagnons juifs, qui n’étaient pas encore des chrétiens, comme de “ frères ”. (voir Actes 2:29 ; 3:17 ; 23:1, 5, 6.) En revanche, ces Juifs appelaient quelquefois les apôtres “ frères ”. (Actes 2:37 ; 13:15.) Cependant, dans certains cas, il semble que le terme “ frères ” s’appliquait à des Juifs du même âge ou plus jeunes ; d’ailleurs nous trouvons Étienne et Paul employant cette expression “ frères et pères ” dans Actes 7:2 et 22:1.

      Dans l’hébreu biblique, il n’y a aucun mot précis pour neveu. C’est ainsi que le mot “ neveu ” n’apparaît pas dans la Revised Standard Version. Le mot hébreu pour neveu est soit ben ahh qui signifie “ fils de frère ”, ou, ben ahhóth signifiant “ fils de sœur ”. Les quatre fois où il est question de neveux dans la King James Version, ce mot est employé au sens archaïque de “ petit-fils ” et traduit ainsi des termes hébreu et grec qui signifient proprement descendants ou petits-fils et qui sont ainsi rendus dans la New World Translation (voir Juges 12:14 ; Job 18:19 ; Ésaïe 14:22 ; I Timothée 5:4). Le mot neveu apparaît en effet dans la New World Translation en I Chroniques 27:32. Cependant, comme on peut le constater dans la note au bas de la page de la première édition de cette traduction, ainsi que dans la note marginale de la King James Version, il s’agit ici selon toute évidence d’un “ neveu ” ou fils d’un oncle, bien que le mot hébreu dans ce cas signifie généralement “ oncle ”. Mais la version Rotherham’s Emphasised Bible le traduit par “ parent ”. Notons cependant que l’hébreu moderne possède un mot pour “ neveu ” à savoir, ahh-yan.

  • Communications
    La Tour de Garde 1963 | 15 août
    • Communications

      LE MINISTÈRE

      Il est des personnes qui, en considérant la vie de Job, soulignent surtout le côté sombre de ses expériences. Cependant il convient de faire ressortir l’issue que Jéhovah accorda au patriarche. Celui-ci ne maintint pas son intégrité en vain. Il ne se confia pas en Jéhovah pour être déçu par la suite. Dans son cas aussi bien que dans celui des témoins de Jéhovah les paroles de Jacques 5:11 (Li) se sont réalisées et se réalisent : “ Nous proclamons bienheureux ceux qui tiennent bon. ” Ayant cette pensée à l’esprit, les témoins de Jéhovah continueront à annoncer la bonne nouvelle à toutes les personnes avec qui elles peuvent se mettre en contact. Au cours du mois de septembre ils feront connaître les vérités bibliques précieuses sous forme du livre Du paradis perdu au paradis reconquis et un autre livre qu’ils offriront.

      TEXTES QUOTIDIENS POUR SEPTEMBRE

      16 N’épargne pas la correction à l’enfant ; si tu le frappes de la verge, il ne mourra point. — Prov. 23:13. wF 15/11/62 15

      17 Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient, dans le Seigneur. — Col. 3:18. wF 15/2/63 7, 16, 17

      18 Si j’ai commis quelque injustice, ou quelque crime digne de mort, je ne refuse pas de mourir. — Actes 25:11. wF 1/3/63 9, 10a

      19 Le code de la loi : (...) Tu ne dois pas convoiter, et quelque autre commandement qu’il y ait, se résume en cette parole, à savoir : Tu aimeras ton prochain comme toi-​même. — Rom. 13:9, NW. wF 15/3/63 32-34a

      20 Le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. — I Jean 2:17. wF 1/11/62 5, 7a

      21 Joseph est une branche qui porte du fruit, une branche qui porte du fruit près d’une fontaine, ses rameaux poussent par-dessus la muraille. — Gen. 49:22, Da. wF 15/10/62 52, 53

      22 Mais pour les lâches, (...) leur part sera (...) la seconde mort. — Apoc. 21:8. wF 1/1/63 52

      23 L’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur. — I Cor. 7:22. wF 15/12/63 19-21

      24 L’enfant laisse déjà voir par ses actions si sa conduite sera pure et droite. — Prov. 20:11. wF 1/8/62 16a

      25 Que chacun de nous complaise au prochain pour ce qui est bien en vue de l’édification. — Rom. 15:2. wF 1/12/62 4, 5a

      26 La foi est l’attente confiante des choses qu’on espère. — Héb. 11:1, NW. wF 1/5/63 5, 6a

      27 Afin que quiconque exerce la foi en lui ne soit pas détruit mais ait la vie éternelle. — Jean 3:16, NW. wF 1/11/62 18, 19

      28 Laissant la parole du commencement (la doctrine primaire, NW) du Christ, avançons vers l’état d’hommes faits, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes et de la foi en Dieu. — Héb. 6:1, Da. wF 15/3/62 1, 2b

      29 Mais de penser de manière à avoir de saines pensées, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun. — Rom. 12:3, Da. wF 1/6/62 16a

      30 Ils s’établiront, car il étendra désormais son pouvoir jusqu’aux extrémités du pays (de la terre, NC). — Michée 5:3, Jé 5:4, NW. wF 15/5/62 6, 7a

      (Voici qui permettra de trouver le commentaire de chacun de ces textes : le ou les nombres qui suivent la date de La Tour de Garde désignent un ou plusieurs paragraphes du premier article d’étude. Lorsque l’indicatif du paragraphe est suivi d’un “ a ”, le commentaire se trouve dans le second article d’étude ; un “ b ” signifie qu’il faut se reporter au troisième article d’étude.)

      ÉTUDES DE “ LA TOUR DE GARDE ” POUR LES SEMAINES DU

      15 septembre : Dire la vérité : un facteur d’union. Page 488

      22 septembre : Faisons un bon emploi de nos biens théocratiques. Page 494.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager