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  • Joies puisées dans le service de pionnier
    La Tour de Garde 1965 | 1er avril
    • numéro 2, etc. Elle est arrivée au numéro 62. Elle fait suivre chaque vérité du passage biblique qui l’appuie. Elle parle à ses voisins, et dès qu’elle est au courant d’une nouvelle vérité, elle la communique à sa sœur.

      “Dès notre seconde visite, M. B..., après avoir lu la brochure Vivez dans l’espérance d’un monde nouveau et juste, nous a dit : ‘En somme, il nous faut devenir prédicateurs de cette bonne nouvelle. Combien d’heures par mois faut-​il consacrer au ministère ?’

      “Ce n’est là qu’une des nombreuses et merveilleuses joies que nous avons connues au cours de ces derniers temps. Je pense aussi au professeur venu au centre de service pour demander si quelqu’un pouvait étudier avec lui. Il s’était procuré deux périodiques mais personne n’était revenu le visiter pour lui donner des explications. Il avait de nombreuses questions à poser et désirait approfondir nos croyances. Nous étudions avec lui pendant le temps qui lui reste entre les cours qu’il donne à l’école et le cours qu’il suit à l’université.

      “Je pense aussi à cette femme qui enseigne à l’école du dimanche ; elle désirait tellement comprendre la Bible, qu’elle dit à son mari : ‘À mon avis, je devrais aller chercher un des témoins de Jéhovah pour qu’il m’enseigne. Ce sont les seuls, je crois, à connaître vraiment leur Bible.’ Quand ma fille est allée la voir, elle lui a dit : ‘Je suis persuadée que c’est Dieu qui vous a envoyée, en réponse à mes prières.’ Aujourd’hui, elle étudie avec ardeur.

      “Combien nous sommes reconnaissantes à Dieu de nous avoir procuré ces joies ! Quel plaisir de le servir actuellement et de communiquer à d’autres l’espérance de la vie éternelle sous la domination du Royaume !”

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1965 | 1er avril
    • Questions de lecteurs

      ● Le lancement d’un bouquet de fleurs aux demoiselles d’honneur est-​il une coutume convenable à observer dans un mariage chrétien, ou bien s’agit-​il d’une coutume d’origine païenne ?

      Le lancement par la mariée de son bouquet de fleurs aux demoiselles d’honneur n’est rien d’autre qu’une coutume païenne. Elle est empreinte de superstition, par exemple quand il est dit que la demoiselle d’honneur qui attrape le bouquet sera la première à se marier ensuite. Puisqu’une telle coutume est observée dans les mariages de ce monde et qu’elle n’est qu’une coutume traditionnelle du paganisme, on ne pourrait pas dire que celui qui l’observerait aurait une conduite sainte ; on devrait donc éliminer cette coutume des mariages chrétiens (I Pierre 1:14-16). Si le mariage est célébré dans la Salle du Royaume de la congrégation locale, cette coutume sera absolument proscrite.

      Si quelqu’un veut se conformer à cette coutume lors d’une cérémonie ou d’une réception à l’occasion d’un mariage, et qui se fait en dehors de la Salle du Royaume, il en prendra la responsabilité ; mais l’exemple qu’il donnera sera mauvais, non chrétien, et témoignera d’une grande immaturité. Les coutumes païennes traditionnelles de ce genre doivent être proscrites de la Salle du Royaume, étant donné que non seulement elles n’ont pas de fondement biblique, mais encore qu’elles créent des divergences d’opinion entre les membres d’une congrégation. Beaucoup seraient scandalisés à la vue d’un tel rite pratiqué à l’intérieur d’un bâtiment dédié à la pure adoration de Jéhovah Dieu. Cet acte constituerait une occasion de chute pour certains, et sous ce rapport l’apôtre Paul écrivit aux Philippiens les paroles inspirées suivantes : “Pour que vous vous assuriez des choses les plus importantes, de sorte que vous soyez sans défaut et que vous ne fassiez pas trébucher les autres jusqu’au jour de Christ, étant remplis du fruit de justice, qui est par Jésus-Christ, à la gloire et à la louange de Dieu.” — Phil. 1:10, 11, MN.

      ● Matthieu 28:9 parle des femmes qui rencontrèrent Jésus après sa résurrection. Selon la version du roi Jacques en anglais, et la Bible du cardinal Liénart en français, ce verset déclare : “Elles coururent porter la nouvelle à ses disciples. Et voici que Jésus vint à leur rencontre disant : Je vous salue. Elles s’approchèrent, se jetèrent à ses pieds et l’adorèrent.” N’y a-​t-​il pas une contradiction évidente entre ce passage biblique et l’enseignement des témoins de Jéhovah d’après lequel Jésus ne doit pas être adoré ?

      Les partisans de la trinité, qui croient que Jésus est Dieu, ou tout au moins la deuxième personne du Dieu unique en trois personnes, n’aiment pas entendre les témoins de Jéhovah dire qu’il est antibiblique pour des adorateurs du vrai Dieu vivant de rendre un culte au Fils de Dieu, Jésus-Christ. Pour les défenseurs de la trinité, cela signifie refuser de rendre l’adoration à Jéhovah Dieu. Toutefois, nous savons que lorsqu’il fut tenté par le Diable dans le désert et invité à accomplir un acte d’adoration envers ce dernier afin d’obtenir de sa main tous les royaumes de ce monde, Jésus se reporta au livre du Deutéronome et dit, selon la Bible du cardinal Liénart : “Arrière, Satan ! car il est écrit : Tu te prosterneras devant le Seigneur ton Dieu et tu n’adoreras que lui.” (Mat. 4:10). Par ces mots Jésus interdisait à ses disciples de l’adorer.

      La traduction de Matthieu 28:9 dans la version du roi Jacques et la Bible du cardinal Liénart semble, à première vue, être en parfaite contradiction avec ce que les témoins de Jéhovah enseignent, mais, bien entendu, les traducteurs de ces versions voulaient soutenir leur doctrine de la trinité en rendant le mot grec employé ici par “adorèrent”. Toutefois, il est intéressant de noter comment la Bible de Crampon (édition de 1905) rend Matthieu 28:9. Nous y lisons : “Jésus se présenta devant elles et leur dit : Salut ! Elles s’approchèrent, et embrassèrent ses pieds, se prosternant devant lui.” La Traduction du monde nouveau dit ceci : “Elles s’approchèrent et le saisirent par les pieds et lui rendirent hommage.” Le fait de se prosterner devant Jésus ressuscité, ou de lui rendre hommage, ne signifie pas l’adorer. S’il en était ainsi, alors les hommes de Dieu des temps anciens auraient pu être accusés d’adorer des créatures humaines pour s’être prosternés devant elles ; par contre, l’ange envoyé pour transmettre la Révélation à l’apôtre Jean, arrêta ce dernier qui voulait l’adorer, et lui dit d’adorer Dieu seul. — Rév. 19:10 ; 22:8, MN.

      Le verbe grec, dans Matthieu 28:9, que la version du roi Jacques et la Bible du cardinal Liénart rendent par “adorèrent”, est proskunéô. Ce verbe se rencontre dans la version des Septante, traduction des Écritures hébraïques en langue grecque ; on le trouve dans la Septante, dans Genèse 23:7, où la Bible du cardinal Liénart déclare : “Abraham se leva et se prosterna devant le peuple du pays, devant les fils de Heth.” Le livre “The Septuagint Version, the Old Testament with an English Translation”, publié par Samuel Bagster & Fils, de Londres, mentionne ce verbe grec proskunéô dans le texte de la Septante. Au lieu de dire qu’Abraham adorait le peuple du pays, les fils de Heth, cette traduction en anglais de la Septante grecque déclare, dans Genèse 23:7 : “Et Abram se leva et rendit hommage au peuple du pays, aux fils de Heth.”

      Par suite, prétendre, comme le font les défenseurs de la trinité, que Matthieu 28:9, tel que ce verset est rendu dans la version du roi Jacques, la Bible du cardinal Liénart ou quelque autre version des trinitaires, prouve que nous devons adorer Jésus en tant que membre de la trinité, est vraiment un raisonnement basé sur un fondement très fragile. Partout, dans la version du roi Jacques, le verbe grec proskunéô est rendu par “adorer”, même dans Apocalypse 3:9, où Jésus dit à ses disciples : “Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir et adorer devant tes pieds, et connaître que je t’ai aimé.” Ici, la version du roi Jacques révèle la faiblesse de sa traduction, puisque pas même les partisans de la trinité ne disent qu’on adorera les disciples de Jésus.

      Alors que partout la version du roi Jacques rend proskunéô par “adorer”, certaines traductions modernes emploient parfois d’autres mots. Ces variations dans la traduction s’accordent avec le texte hébreu car le verbe hishtaḥawah est traduit dans la Septante grecque par le verbe proskunéô et c’est le verbe hébreu hishtaḥawah qu’on rencontre dans Genèse 23:7. Dans la version du roi Jacques, ce mot hébreu hishtaḥawah est traduit en différents endroits par “se prosterner, s’incliner, supplier humblement, s’accroupir, tomber à terre, se jeter à plat ventre, rendre hommage, faire un salut, faire une révérence et adorer”. Puisque le verbe grec proskunéô est l’équivalent du mot hébreu hishtaḥawah, les traducteurs devraient eux aussi traduire proskunéô de différentes façons afin d’indiquer qu’il ne s’agit pas toujours d’une adoration semblable à celle que l’on doit rendre au Dieu Très-Haut, à Jéhovah lui-​même, et à lui seul.

      D’autres traductions, telles que la Bible de Crampon, reconnaissent la nécessité d’employer des mots différents. La Bible de Darby rend Matthieu 28:9 de la façon suivante : “Voici aussi Jésus vint au-devant d’elles, disant : Je vous salue. Et elles, s’approchant de lui, saisirent ses pieds et lui rendirent hommage.” La Bible de Jérusalem, publiée en 1955, rend ce passage ainsi : “Et voici que Jésus vint à leur rencontre : Je vous salue, dit-​il. Et elles de s’approcher et d’étreindre ses pieds en se prosternant devant lui.” Ainsi, ces traductions, et d’autres encore, montrent que ce n’est pas parce que la version du roi Jacques et la Bible du cardinal Liénart rendent le mot proskunéô par “adorèrent” que telle est la traduction exacte de ce mot. Par conséquent, Matthieu 28:9, dans sa traduction correcte, ne contredit en aucune façon l’enseignement des témoins de Jéhovah d’après lequel Jésus ne doit pas être adoré, puisque nous adorons Jéhovah Dieu et lui seul.

  • Communications
    La Tour de Garde 1965 | 1er avril
    • Communications

      LE MÉMORIAL DE 1965

      Le moment s’approche où le peuple de Jéhovah (le reste et les autres brebis) se réunira en tant qu’assemblées pour l’observance de la Commémoration la plus significative de toutes, celle qui rappelle chaque année la mort victorieuse du Seigneur Jésus-Christ. Cette année ce sera le 16 avril. La réunion qui commencera après 18 heures sera ouverte par un cantique et une prière, après quoi un frère capable, membre du reste si possible, prononcera le discours. Après avoir demandé la bénédiction de Jéhovah pour le pain d’abord et après pour le vin rouge, les symboles seront distribués séparément. Chacun sera invité à participer au service dans le champ selon les arrangements spéciaux prévus et la réunion se terminera par la prière et un chant. Que chaque assemblée prenne dès maintenant ses dispositions pour la Commémoration.

      Rectification : La question 21, page 77, dans l’article “La Bible et la création devant la science moderne”, édition du 1er février 1965, doit se lire ainsi : Comment le témoignage des fossiles étaie-​t-​il le récit de la création ?

      TEXTES QUOTIDIENS POUR MAI

      Gardons l’organisation pure en vue du service public. — II Cor. 6:17, MN.

      1 Allez donc et faites des disciples de gens de toutes les nations, les baptisant. — Mat. 28:19, MN. wF 1/1/65 50-52

      2 Nous tous, (...) le visage sans voile, nous reflétons comme des miroirs la gloire de Jéhovah. — II Cor. 3:18, MN. wF 15/10/64 10, 12, 13a

      3 À tous les saints en union avec Christ Jésus (...) ainsi qu’aux surveillants et aux serviteurs ministériels. — Phil. 1:1, MN. wF 15/11/64 14

      4 Mais vous avez été bien lavés, mais vous avez été sanctifiés, (...) avec l’esprit de notre Dieu. — I Cor. 6:11, MN. wF 15/12/64 3, 4a

      5 Ne cesse de retenir le modèle des saines paroles que tu as entendues de moi, avec la foi et l’amour qui sont relatifs à Christ Jésus. — II Tim. 1:13, MN. wF 1/2/65 11, 12a

      6 L’Éternel [Jéhovah] sauvera premièrement les tentes de Juda, afin que la gloire de la maison de David et la gloire des habitants de Jérusalem ne s’élèvent pas trop au-dessus de Juda. — Zach. 12:7, Sy. wF 15/2/65 45, 46

      7 J’ai peur que de façon ou d’autre, comme le serpent a séduit Ève par son astuce, votre esprit se corrompe et se détourne de la sincérité et de la chasteté qui sont dues au Christ. — II Cor. 11:3, MN. wF 1/3/65 20

      8 Celui qui entend ma parole et croit à celui qui m’a envoyé a la vie éternelle, et il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. — Jean 5:24, MN. wF 15/3/65 11-13b

      9 Sortez du milieu d’elle ; purifiez-​vous, vous qui portez les vases de Jéhovah. Car vous ne sortirez pas avec précipitation, et vous ne vous en irez pas en fuyant ; car Jéhovah marche devant vous, et le Dieu d’Israël est votre arrière-garde ! — Is. 52:11, 12, AC. wF 1/6/64 24, 25a

      10 Il s’est donné lui-​même pour nos péchés, afin de nous délivrer du présent système de choses mauvais, selon la volonté de notre Dieu et Père. — Gal. 1:4, MN. wF 15/5/64 20, 21

      11 Un anneau d’or au nez d’un pourceau, c’est une femme belle et dépourvue de sens. — Prov. 11:22. wF 15/7/64 8, 9

      12 De même aussi la langue est un petit membre et cependant elle se vante de grandes choses. Voyez quel petit feu il faut pour embraser une grande forêt ! — Jacq. 3:5, MN. wF 1/9/64 4a

      13 Ne faites pas de projets pour les désirs de la chair. — Rom. 13:14, MN. wF 1/3/65 16, 17a

      14 Ne redoutez pas ceux qui tuent le corps mais ne peuvent tuer l’âme. — Mat. 10:28, MN. wF 1/4/65 24, 27, 29

      15 Pour toutes choses j’ai la force en vertu de celui qui me communique la puissance. — Phil. 4:13, MN. wF 1/11/64 22

      Voici qui permettra de trouver le commentaire de chacun de ces textes : le ou les nombres qui suivent la date de La Tour de Garde désignent un ou plusieurs paragraphes du premier article d’étude. Lorsque l’indicatif du paragraphe est suivi d’un “a”, le commentaire se trouve dans le second article d’étude ; un “b” signifie qu’il faut se reporter au troisième article d’étude.

      ÉTUDES DE “LA TOUR DE GARDE” POUR LES SEMAINES DU

      25 avril : “Ne redoutez pas ceux qui tuent le corps”. Page 197.

      2 mai : Pourquoi il ne faut pas redouter ceux qui tuent le corps. Page 203.

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