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  • Les merveilles de la microchirurgie
    Réveillez-vous ! 1980 | 8 janvier
    • décidera peut-être de ne pas tenter l’opération. L’état général du patient peut également constituer une contre-indication, du fait que celui-ci doit être suffisamment robuste pour supporter une longue intervention.

      Une enquête menée récemment en Australie a révélé que les réimplantations de doigts avaient réussi à 70 pour cent et que ce chiffre atteignait 80 pour cent sur les sections du bras. Un autre rapport montrait que les mouvements des doigts étaient normaux à 80 pour cent, sauf une certaine raideur dans l’extension des articulations. Après l’intervention, il faut en général qu’un kinésithérapeute rééduque le membre sectionné. Toutefois, jusqu’à présent, les interventions sur des membres coupés au-dessus du milieu de l’avant-bras n’ont donné que des résultats décevants.

      Lorsque c’est le pouce qui a été touché, on fait des efforts considérables pour le réparer, car il entre dans une proportion de 40 pour cent dans les fonctions de la main. Si la portion lésée ne peut être réimplantée, le chirurgien lui substitue le gros orteil du patient. Une fois que les os sont coaptés, les tendons, les nerfs et les vaisseaux suturés, le patient a l’impression que son nouveau pouce fonctionne presque aussi bien que l’ancien.

      “C’est incroyable ce que le gros orteil peut ressembler au pouce après l’intervention, a déclaré un médecin. Le pouce est un peu plus gros qu’avant, mais on peut améliorer son esthétique par la chirurgie.” S’il n’y a rien de réjouissant à l’idée de perdre son gros orteil, il faut comprendre que celui-ci n’est pas nécessaire pour manger, écrire et effectuer les milliers de tâches qu’accomplit quotidiennement le pouce.

      Après quelque temps de rééducation et de réadaptation, le patient peut de nouveau marcher, courir et participer à des activités sportives. D’ailleurs, parmi les Australiens qui portent un gros orteil en guise de “pouce” figure un footballeur professionnel.

      Un dénouement heureux

      Toutes sortes de gens ont pu bénéficier des avantages de la microchirurgie. Revenons par exemple aux personnes mentionnées au début de cet article. Leur cas est tiré à des centaines d’exemplaires.

      La petite fille a aujourd’hui un an de plus. Elle a tous ses doigts, et l’on peut à peine dire laquelle de ses deux mains a été blessée. Quant au plombier, tous ses doigts ont pu être sauvés, bien qu’il rencontre quelques problèmes lorsqu’il fait froid. Le garçonnet de deux ans a aujourd’hui huit ans. Il court, saute et joue au football normalement. Enfin, le chaudronnier qui avait perdu son avant-bras va si bien qu’il s’est mis au karaté et qu’il arrive à casser des tuiles avec cet avant-bras.

      Oui, la microchirurgie est une remarquable technique qui a accompli des merveilles. Mais encore plus merveilleuse est l’étonnante capacité de guérison du corps. Les chirurgiens peuvent suturer des plaies, il n’empêche que la régénération dont l’organisme est capable atteste la sagesse extraordinaire de Celui qui l’a conçu. Aussi partageons-​nous ce sentiment exprimé par le psalmiste qui déclara avec respect au sujet de notre grand Créateur: “Je te louerai de ce que, de façon redoutable, je suis fait d’une manière merveilleuse.” — Ps. 139:14.

  • Le succès malgré l’opposition
    Réveillez-vous ! 1980 | 8 janvier
    • Le succès malgré l’opposition

      Au début du XVIe siècle, le célèbre bibliste William Tyndale traduisit en anglais une grande partie de la Bible directement de l’hébreu et du grec. Le clergé réagit à la parution de sa traduction par une opposition très vive. C’est ainsi que des exemplaires de la traduction des Écritures grecques chrétiennes par Tyndale (la première qui ait jamais été imprimée en anglais) passèrent de l’Europe continentale jusqu’à l’Angleterre dans des barils, des caisses, des balles de coton, des sacs de farine, etc. Le clergé les brûla par centaines devant la croix Saint-Paul de Londres, “comme un sacrifice de bonne odeur au Tout Puissant”.

      Quoi qu’il en soit, l’adversaire n’était pas de taille à lutter avec l’imprimerie, et la Bible sortit victorieuse de ce combat.

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