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Des richesses acquises pour le nouveau Roi de la terreLa Tour de Garde 1974 | 1er mars
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promis. Ainsi, Jésus avait préparé pour ses disciples un champ où ils pouvaient travailler pour cultiver et amener à la maturité chez les Juifs la disposition de croire ou de se laisser convaincre que Jésus était l’Oint de Jéhovah, en raison de ce qu’il avait enseigné et fait en accomplissement des prophéties de la Bible. C’était un champ que les disciples de Jésus pouvaient rendre très productif s’ils s’occupaient de l’activité que Jésus leur avait confiée. Dans la parabole, l’un des dix esclaves fit allusion à un champ ou terre cultivée, lorsqu’il dit au roi après son retour : “Tu moissonnes ce que tu n’as pas semé.” (Luc 19:21). Jésus lui-même avait déjà employé la même image, lorsqu’il déclara à ses disciples en Samarie : “La parole est vraie : L’un est le semeur et l’autre le moissonneur. Je vous ai envoyés moissonner ce à quoi vous n’avez pas consacré de travail. D’autres ont travaillé, et vous êtes entrés dans le bénéfice de leur travail.” — Jean 4:37, 38.
21. a) Que désirait Jésus ? b) Si le champ juif n’était pas assez productif, que devaient faire les disciples ?
21 Ainsi, les disciples de Jésus possédaient quelque chose d’utile, de précieux, d’adaptable et d’efficace, leur permettant de se mettre au travail ou de ‘faire des affaires’ et qu’ils pouvaient faire fructifier. Jésus ne demandait pas à ses esclaves ou disciples de lui procurer davantage d’argent ou d’or. Ce qu’il désirait, c’était davantage de disciples qui marcheraient sur ses traces et l’accepteraient comme Roi messianique. Si le champ juif déjà cultivé ne les produisait pas tous, surtout les 144 000 chrétiens qui devaient hériter le Royaume avec Jésus, alors les disciples pourraient étendre le champ de leurs activités pour inclure des Gentils ou non-Juifs. Ils augmenteraient cinq ou dix fois le champ cultivé qui devait produire des adhérents du Royaume du Christ.
22. Étant “dix”, qui les “dix esclaves figurent-ils dans l’accomplissement complet de la parabole ?
22 Les ‘dix esclaves’ de la parabole de Jésus ne figuraient pas uniquement les apôtres et les disciples du premier siècle de notre ère. Il convenait cependant que les “esclaves” soient au nombre de “dix”, car dans le symbolisme biblique dix représente la plénitude, particulièrement eu égard aux choses terrestres. Ainsi, les “dix esclaves” de la parabole figuraient bien l’ensemble des esclaves de Jésus Christ engendrés de l’esprit et oints, choisis pour devenir héritiers avec lui du Royaume céleste et qui ont été produits tout au long des dix-neuf siècles écoulés, jusqu’à ce que le Christ fût investi du pouvoir royal à la fin des temps des Gentils en 1914, et jusqu’à maintenant. Il doit en être ainsi, car les apôtres et disciples du premier siècle ne survécurent pas dans la chair jusqu’au retour invisible du Christ, investi du pouvoir du Royaume, en notre vingtième siècle.
23. a) Avec les disciples du Christ de quelle époque, les dernières parties de la parabole doivent-elles s’accomplir ? b) Étant donné que les ennemis du Roi seront bientôt massacrés, qu’avons-nous intérêt à faire à propos de la parabole ?
23 Par conséquent, les dernières parties de la parabole de Jésus relatives aux “dix esclaves” et aux dix mines doivent s’accomplir sur les disciples de Jésus Christ baptisés, engendrés de l’esprit, oints et vivant sur la terre au vingtième siècle. Les rapports indiquent qu’il y a encore sur la terre un reste d’environ dix mille de ces chrétiens qui ‘font des affaires’ avec les dix mines symboliques, afin d’accroître les richesses du nouveau Roi de la terre. Ces dix mille chrétiens sont en effet peu nombreux à côté du nombre total de 144 000 disciples qui doivent être unis à Jésus Christ et régner avec lui pendant mille ans, pour la gloire de Dieu et la bénédiction éternelle de tous les hommes. La façon dont ces dix esclaves symboliques ont ‘fait des affaires’ ou fait valoir les “dix mines” du futur Roi constitue un récit intéressant. Étant donné que tous les ennemis du Messie ou Roi légitime de la terre seront bientôt massacrés, il est de notre intérêt de suivre ce récit jusqu’au bout, pour voir comment il convient de participer à l’accomplissement moderne de la parabole de Jésus.
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Comment éviter d’être massacré avec les ennemis du RoiLa Tour de Garde 1974 | 1er mars
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Comment éviter d’être massacré avec les ennemis du Roi
1. Si nous rejetions le nouveau Roi de la terre, quelles conséquences en subirions-nous ? Quel exemple d’avertissement avons-nous ?
PUISQUE nous vivons au “temps de la fin” du présent “système de choses”, rejeter le nouveau Roi de la terre aurait pour nous les conséquences les plus fâcheuses (Dan. 12:4 ; Mat. 24:3). Il y a dix-neuf siècles, les conséquences d’une telle décision furent funestes pour les Israélites qui vivaient à la fin du système de choses juif axé sur Jérusalem et son temple (Héb. 9:26). C’est là un exemple qui devrait nous servir de leçon. La parabole de Jésus au sujet de l’homme de naissance noble qui confia dix mines d’argent à dix de ses esclaves, souligne cet avertissement.
2. En tant que futur Roi messianique, quand Jésus est-il parti, et qui étaient les “citoyens” qui devaient lui envoyer une ambassade pour l’empêcher d’exercer le pouvoir royal ?
2 Poursuivant sa parabole, Jésus déclara : “Mais ses citoyens le haïssaient et envoyèrent après lui une ambassade, pour
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