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  • L’origine du mariage
    La Tour de Garde 1957 | 1er janvier
    • l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. ” (Mat. 19:4-6). L’apôtre Paul confirma la vérité du récit nuptial originel par la citation que voici : “ Car, est-​il dit, les deux deviendront une seule chair. ” (I Cor. 6:16). La place de l’homme marié ne devait donc pas être auprès de ses parents, de ses amis ou à son cercle, mais auprès de sa femme. Il devait s’attacher à son épouse et ne pas la renvoyer chez elle, auprès du père qui la lui avait donnée. Il ne devait permettre à personne de s’interposer entre eux.

      20. a) Quelle n’était pas l’intention de Dieu ? Que voulait Dieu en créant Ève ? b) Pourquoi des enfants difformes n’allaient-​ils pas naître de l’union d’Adam et d’Ève ?

      20 Quand Dieu prit les caractéristiques ou qualités mâles et femelles se combinant harmonieusement en Adam pour les partager entre les sexes, il n’avait pas l’intention d’amorcer une lutte entre les sexes au paradis d’Éden. Il ne proposait pas d’inaugurer une coexistence compétitive entre l’homme et la femme. Même après que les qualités féminines de l’homme Adam lui furent enlevées pour être incorporées dans sa femme, il demeurait toujours parfait ; il était toujours à l’image et à la ressemblance de Dieu. Dotée de vertus féminines, Ève était également parfaite, mais elle était une seule chair avec Adam. Une seule chair ne se porte pas préjudice, ne lutte pas contre elle-​même. Les cellules vivantes de la chair se combinent, sont maintenues ensemble dans les divers organes et les tissus, conformément à la loi du grand Organisateur, Jéhovah Dieu. Il devait en être de même pour les deux sexes, car ils sont en réalité une seule chair. Ils sont le complément l’un de l’autre, l’un devant fournir ce dont l’autre éprouverait le besoin et réciproquement. Dieu organisa ainsi les deux sexes de manière qu’ils trouvent leur bonheur et leur joie à faire la volonté parfaite de leur Père céleste. L’union entre Adam et une femme tirée de ses os et de sa chair ne devait pas donner naissance à des enfants affligés de difformités. L’homme et la femme étaient tous deux parfaits. La perfection unie à la perfection produit la perfection. Un fils parfait d’Adam et d’Ève marié à une fille parfaite issue d’eux donnerait naissance à un enfant parfait.

      21. De quelle manière la femme serait-​elle une aide et un complément ? Pourquoi Adam était-​il désormais complet ?

      21 Telle était la volonté divine en divisant Adam et en produisant les sexes masculin et féminin, ainsi que Jéhovah le déclara quand il forma une femme pour Adam : “ Je vais lui faire une aide, comme complément. ” (NW). Dieu ne dit pas qu’il allait donner à Adam un maître, un chef. Adam avait déjà un maître : le Créateur. Un complément n’est pas un chef. En hébreu, la langue du récit original de la création, le mot traduit par “ complément ” signifie ce qui se trouve en face, en vue de quelqu’un. Ce n’est rien de contraire mais quelque chose qui fait pendant, qui est assorti, qui convient, qui fait équilibre. La femme, et non un animal femelle, était parfaitement assortie à Adam et le complétait, notamment du fait qu’elle était pourvue des organes de la maternité (Lév. 18:23). Elle produisait les ovules capables de former l’organisme de ses enfants, mais l’homme pouvait seul, en tant que chef du ménage, donner le germe fécondant. C’est lui qui, le premier, reçut la vie humaine et sa femme reçut l’existence en étant formée d’une de ses côtes ; il convenait donc que l’homme continuât de transmettre la vie à sa descendance. L’homme avait sa fonction à remplir et la femme la sienne, dépendante de l’homme. Ainsi conformément à la volonté divine, la femme devait être l’“ aide ” de son époux, et un aide n’est pas un maître autoritaire. Un aide prend les ordres et coopère avec celui qui accepte son concours. La femme pouvait maintenant fournir à Adam l’aide nécessaire pour exécuter l’ordre divin, celui de se multiplier et de remplir la terre d’une famille humaine parfaite. Auprès du lion et de la lionne et de tous les autres animaux de l’Éden, Adam n’était plus seul, comme s’il était incomplet, car maintenant sa compagne parfaite, son aide et complément féminins, se tenait à ses côtés. Tout était assorti. Le spectacle était charmant. C’était bon aux regards du Créateur.

      22. a) Quand Adam eut-​il pour la première fois des rapports avec sa femme ? Mais quand fut consommé le premier mariage ? b) Quelle fut, dans leur perfection, l’attitude de l’un envers l’autre ?

      22 Quand Jéhovah amena cette femme parfaite vers l’homme sorti de son sommeil, qu’il les bénit et plaça devant eux leurs devoirs mutuels, leur mariage fut consommé. La consommation n’exigeait pas de rapports sexuels. S’il fallait d’abord de telles relations pour valider leur union, Adam et son épouse ne furent jamais mariés en Éden. Ce n’est qu’après que le couple fut sorti de l’Éden que nous lisons ceci dans les Écritures : “ Adam connut Ève, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn. ” (Gen. 4:1). Adam et Ève savaient que les rapports charnels avaient pour but la procréation. Ainsi dans leur perfection, avec une parfaite maîtrise de soi et sans éprouver ni honte ni passion à la vue de leur nudité, ils s’abstinrent durant leur séjour en Éden de rapports sexuels pour engendrer une descendance. Néanmoins ils étaient pleinement mariés et étaient tenus à rester attachés l’un à l’autre par fidélité. Jéhovah, l’auteur divin du mariage, les avait joints. Aucune créature ne pouvait légitimement les séparer.

  • Hongrie : Instruction dans l’église
    La Tour de Garde 1957 | 1er janvier
    • Hongrie : Instruction dans l’église

      De Budapest, le propriétaire d’un journal américain, Eugène Pulliam, envoya à son journal, en 1955, un rapport sur la religion en Hongrie : “ En accord avec la nouvelle méthode soviétique de “ douceur et de lumière ”, le haut commandement communiste en Hongrie a révisé sa politique de persécution des prêtres et des pasteurs. Un programme de prétendue coopération entre l’État et l’église fut inauguré. Au lieu d’être morigénés et menacés pour avoir cru en Dieu et fréquenté l’église, le peuple est maintenant invité à aller à la Messe et à l’église (...) Jamais la Hongrie n’a assisté à un tel retour des fidèles à l’église (...) Naturellement, il y a toujours une attrape : il est demandé aux prêtres et aux pasteurs qu’ils lisent chaque dimanche un court “ sermon ” exaltant la philosophie communiste. ” — Time, 17 octobre, 1955.

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