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  • Recherchez les bonnes compagnies
    La Tour de Garde 1960 | 1er juillet
    • et contribuer à leur édification. Conformément au principe de rechercher ce qui contribue à l’édification, personne ne devrait montrer une préférence exclusive pour la compagnie de ceux qui sont haut placés en ce monde ou dans une bonne situation financière, créant ainsi des “ distinctions de classe ”. Fréquentez tout le monde, sans acception de personnes, contribuant à édifier le pauvre comme le riche, le faible comme le fort. Les frères occupant une haute position en ce monde ou dans une bonne situation financière doivent veiller à la façon dont ils exercent leur hospitalité. Ils ne doivent pas rechercher exclusivement la compagnie des surveillants en vue au sein de l’organisation, comme s’ils pouvaient acquérir une sorte de haut rang spirituel par cette fréquentation. Bien entendu, il est conforme à la Bible de témoigner un double honneur aux “ anciens qui dirigent bien ” et à ceux qui travaillent dur à la prédication et à l’enseignement. Celui qui donne l’hospitalité à de telles personnes a une excellente occasion de s’édifier spirituellement par des conversations sur la Parole de Dieu. Mais il faut que le motif soit l’édification spirituelle et non de se mettre en avant par de telles fréquentations. — Rom. 14:1 ; 15:1, 2 ; I Cor. 14:12 ; I Thess. 5:14 ; Jacq. 2:2-5, 9 ; I Tim. 5:17, 18.

      19. De quelles autres façons faut-​il avoir soin de fuir les mauvaises compagnies et de rechercher les bonnes ? Pourquoi ?

      19 Abordons finalement une autre forme de fréquentation très importante. Nous voulons parler de ce qu’une personne lit, regarde, écoute et pense. Là aussi on partage les pensées des autres. Quand on est seul et qu’on se concentre sur une lecture, l’esprit est très impressionnable. Si une personne ne veut pas fréquenter des athées qui se moquent de la Parole de Dieu ou des hommes immoraux, dépravés, il ne faut pas partager leurs pensées et leurs actes en privé en lisant leurs livres. Si la fornication et l’impureté ne doivent même pas être mentionnées parmi nous, ainsi qu’il convient à des saints, alors il ne faut pas écouter de telles choses (Éph. 5:3, 12). S’il est honteux de dire de telles choses, il est également honteux d’écrire sur ces sujets ou de les lire. Lire de tels récits dans les journaux, les revues, les livres, ou voir de telles immoralités suggérées dans des films, c’est fréquenter les personnes immorales dont les actions sont décrites ou l’auteur de l’histoire. Celui qui agit de la sorte ne peut pas garder son esprit et ses désirs en harmonie avec le Saint. Donc, quand une personne lit un imprimé, écoute la radio ou regarde la télévision ou un film, elle doit veiller à ce qu’elle soit en bonne compagnie, rechercher une société pure. Qu’il s’agisse de choses instructives ou humoristiques, il faut qu’elles soient édifiantes. L’esprit ne peut contenir les pensées de Dieu révélées dans sa Parole et en même temps les pensées des personnes immorales, affectionnant la chair. — I Pierre 1:13-16 ; Jacq. 3:11 ; 4:8.

      20. Quelle est l’espérance de ceux qui fréquentent les hommes droits ?

      20 La voie de la sagesse consiste à fuir les mauvaises compagnies et à rechercher une société pure. “ La sagesse viendra dans ton cœur (...) la réflexion veillera sur toi (...) pour te délivrer de la voie du mal, de l’homme qui tient des discours pervers, de ceux qui abandonnent les sentiers de la droiture afin de marcher dans des chemins ténébreux, qui trouvent de la jouissance à faire le mal, qui mettent leur plaisir dans la perversité (...) Tu marcheras ainsi dans la voie des gens de bien, tu garderas les sentiers des justes. Car les hommes droits habiteront le pays, les hommes intègres y resteront. ” (Prov. 2:10-22). Les pensées de ce monde conduisent à la mort. Les pensées de Dieu mènent à la vie. “ Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. ” (I Jean 2:17). Les mauvaises compagnies ne dureront qu’un temps. Les bonnes compagnies dureront éternellement. Recherchez les bonnes compagnies et jouissez-​en éternellement.

  • Soyez un homme, endossez la responsabilité
    La Tour de Garde 1960 | 1er juillet
    • Soyez un homme, endossez la responsabilité

      “ UN PIÈTRE écrivain s’en prend à sa plume. ” Cet adage fait ressortir le fait que, d’ordinaire, l’homme veut se soustraire aux responsabilités quand il s’agit d’être blâmé. Sous ce rapport, chacun de nous, qu’il soit homme, femme ou enfant, devrait s’efforcer d’être viril, tous nous devrions “ nous comporter comme des hommes ”. Bien que nos amis puissent nous aider à porter nos fardeaux dans une période d’affliction, quand il y a responsabilité ou faute, “ chacun portera son propre fardeau (de responsabilité, NW) ”. — I Cor. 16:13, NW ; Gal. 6:2, 5.

      Souvent, nos efforts pour échapper au blâme n’ont pas plus de sens que ceux d’Aaron dans une certaine circonstance, et trahissent la confusion de notre façon de penser. Tandis que Moïse se trouvait sur la montagne où il passa quarante jours, le peuple s’impatienta et retourna à ses coutumes idolâtres de l’Égypte. Apportant leurs bijoux à Aaron, les Israélites lui demandèrent de leur faire une idole. Le récit dit expressément qu’alors Aaron “ les prit de leurs mains, et il forma l’or avec un ciseau, et il en fit un veau de fonte (et en coula une statue de veau, Jé). ” — Ex. 32:4, Da.

      Quand Moïse descendit de la montagne, qu’il vit ce qu’ils avaient fait et que, dans sa juste indignation, il s’enquit auprès d’Aaron à ce sujet, Aaron admit-​il sa responsabilité en la matière ? Non. Il essaya d’échapper au blâme en disant à Moïse : “ Je l’ai jeté (l’or que le peuple m’avait donné) au feu, et il en est sorti ce veau ”, de lui-​même, apparemment, comme il aurait voulu le faire croire à Moïse. Pouvait-​il y avoir quelque chose de plus absurde ? Oui, souvent nos efforts pour nous excuser ou nous justifier n’ont guère plus de sens ! — Ex. 32:22, 24.

      Les efforts que nous faisons en vue d’éviter une réprimande et le fait de rejeter une faute sur autrui peuvent résulter d’une confusion dans notre manière de penser. Il est plus que probable que quelque chose ne va pas dans notre cœur, révélant l’orgueil, la déloyauté et l’égoïsme. En agissant ainsi, nous ne faisons que suivre les tendances héritées de nos premiers parents. Adam, au lieu d’avouer franchement qu’il avait désobéi en mangeant du fruit défendu et d’accepter d’être désapprouvé, se justifia en rejetant la faute sur d’autres : “ La femme que tu m’as donnée pour être avec moi, elle, m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. ” Oui, pourquoi me blâmer ? Si tu ne m’avais pas donné cette femme et si elle ne m’avait pas tendu le fruit, eh bien ! je n’en aurais jamais mangé ! Et Ève suivit l’exemple d’Adam. Au lieu d’accepter sa responsabilité, elle la rejeta sur un autre : “ Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé. ” En rejetant le blâme, Adam et Ève montrèrent leur manque de repentir ; ils révélèrent ainsi qu’ils ne méritaient pas qu’on leur fît miséricorde. — Gen. 3:12, 13, Da.

      Le roi Saül manifesta la même mauvaise condition de cœur au moins en deux occasions. Quand Samuel le réprimanda pour avoir présomptueusement offert un certain sacrifice, Saül donna des excuses : “ Lorsque j’ai vu que le peuple se dispersait loin de moi, que tu n’arrivais pas au terme fixé, et que les Philistins étaient assemblés à Micmasch (...) C’est alors que je me suis fait violence et que j’ai offert l’holocauste. ” Il avait trois excuses, mais aucune d’elles n’était plausible aux yeux de Jéhovah. — I Sam. 13:11-13.

      Le roi Saül manifesta la même condition de cœur lorsqu’il lui fut ordonné d’exterminer les Amalécites, de n’épargner ni homme ni bête. Lorsque Samuel montra à Saül qu’il n’avait pas exécuté l’ordre de Jéhovah, Saül répliqua : “ Le peuple a épargné les meilleures brebis ”, “ le peuple a pris sur le butin ”, affirmant même : “ J’ai écouté la voix de Jéhovah. ” Quand il lui fut rappelé que “ l’obéissance vaut mieux que le sacrifice ”, il reconnut enfin : “ J’ai transgressé l’ordre de Jéhovah ”, mais il rejeta encore la faute sur le peuple, ajoutant : “ Je craignais le peuple et j’ai écouté sa voix. ” Cependant, Saül n’avait pas non plus voué à l’extermination le roi Agag et pour cette action il ne pouvait certes pas s’en prendre au peuple ! La triste fin de Saül est un avertissement pour tous ceux qui se font une habitude de ne pas accepter d’être blâmé, rejetant la faute sur autrui. — I Sam. 15:13-33, AC.

      Combien différente s’est révélée la conduite du roi David, et aussi celle de l’apôtre Pierre ! Parfois, ils commirent, eux aussi, de graves fautes, mais ils en acceptèrent la responsabilité. David ne formula pas d’excuses ni ne blâma autrui quand la colère de Jéhovah s’abattit sur lui pour avoir dénombré les hommes capables de porter les armes : “ N’est-​ce pas moi qui ai ordonné le dénombrement du peuple ? C’est moi qui ai péché et qui ai fait le mal ; mais ces brebis, qu’ont-​elles fait ? (Jéhovah) mon Dieu, que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père, et qu’elle ne fasse point une plaie parmi ton peuple ! ” — I Chron. 21:17.

      L’apôtre Pierre manifesta la même bonne condition de cœur. Quand il fut surpris en train de renier son Maître, essaya-​t-​il de se justifier ou de s’en prendre à autrui ? Non, humble et repentant, “ étant sorti, il pleura amèrement ”. — Luc 22:62.

      Si, à l’instar d’Aaron, nous sommes affligés de semblables faiblesses, soyons sur nos gardes, essayons de les surmonter de peur de subir le sort d’Adam, d’Ève et du roi Saül. Rappelez-​vous ceci : Essayer de rejeter la faute sur les circonstances ou sur les autres est l’indice d’une certaine forme d’égoïsme, de faiblesse morale, d’orgueil ou de déloyauté. Si nous veillons sur notre cœur nous pouvons plaire à Dieu en dépit de nos faiblesses : “ Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde. ” C’est pourquoi soyez un homme ! Agissez à l’instar de David et de Pierre : Endossez la responsabilité ! — Prov. 28:13.

  • Cherchons à faire la volonté divine sur la terre
    La Tour de Garde 1960 | 1er juillet
    • Cherchons à faire la volonté divine sur la terre

      JÉHOVAH DIEU est parfait en sagesse et en justice, tout-puissant quant au pouvoir et entièrement désintéressé. Puisqu’il en est ainsi, c’est de la pure folie que d’avoir la hardiesse de s’opposer à Sa volonté divine. Toutes les personnes sages auront donc le même état d’esprit que l’apôtre Paul quand il écrivit : “ Maintenant, que le Dieu de la paix (...) vous équipe en toute bonne chose pour faire sa volonté, produisant en nous par Jésus-Christ ce qui plaît à ses yeux. ” — Héb. 13:20, 21, NW.a

      Il ressort clairement des pages d’histoire rapportées dans la Parole de Dieu, la Bible, qu’il n’est pas possible de s’opposer avec succès à la volonté divine. À maintes reprises, elle parle de puissants souverains amenés à reconnaître que Jéhovah Dieu est suprême. Elle nous relate particulièrement comment Dieu a manifesté sa suprématie dans le cas de Nebucadnetsar, roi de Babylone. Jéhovah réalisa son dessein, tout d’abord, en poussant Nebucadnetsar à avoir un songe d’une grande statue, à l’oublier, puis, en envoyant Daniel expliquer à Nebucadnetsar le songe et son interprétation. Nebucadnetsar fut obligé de se plier aussi à la volonté divine, au moment où il fit jeter les trois jeunes Hébreux dans une fournaise. Et d’une manière tout à fait décisive, Jéhovah obligea Nebucadnetsar à se plier à la volonté divine en rendant fou cet orgueilleux monarque païen, lui faisant manger de l’herbe comme un bœuf — pendant “ sept temps ” — après quoi Nebucadnetsar recouvra la raison et reconnut la suprématie de la volonté divine dans les affaires humaines.

      Au sujet de ceux qui apprécient ces vérités, Daniel écrivit : “ Il [la puissance dictatoriale dominante] séduira par des flatteries ceux qui violent l’alliance ; mais les gens qui connaissent leur Dieu tiendront ferme et agiront. Et ceux parmi le peuple qui sont sages en instruiront beaucoup, cependant ils tomberont par l’épée et la flamme, par la captivité et le pillage, pendant quelques jours. Lorsqu’ils tomberont, ils recevront un peu d’aide. Et beaucoup se joindront à eux par des flatteries, et quelques-uns de ceux qui sont sages tomberont, pour affiner et pour les purifier et pour les blanchir, jusqu’au temps de la fin. ” — Dan. 11:32-35, RS.

      En qualité de témoins de Jéhovah chrétiens, nous connaissons vraiment notre Dieu. Il est le Très-Haut — le Créateur de toutes les choses visibles et invisibles — Lui seul, dont le nom est Jéhovah. Plus nous étudions sa Parole en privé et avec d’autres personnes, dans l’assemblée chrétienne, plus nous nous engageons dans le ministère consistant à faire connaître son nom et son royaume — et plus nous communions avec lui dans la prière, mieux nous apprendrons à le connaître et mieux

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