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Un trésor biblique à LeningradLa Tour de Garde 1981 | 15 août
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plusieurs fois sur cette feuille, tout d’abord dans ce qui est aujourd’hui Genèse 2:4. Le nom divin figure 6960 fois dans les Écritures hébraïques. De quoi faire honte aux traducteurs de la Bible qui lui substituent le terme “Seigneur”.
À la fin de la visite, l’employé montra au couple quelques manuscrits rares dans des vitrines. Parmi ceux-là, le célèbre Évangile d’Ostromir écrit en slavon, le plus vieux manuscrit de Russie daté (1056).
C’est certainement une agréable surprise de découvrir qu’un document aussi précieux que le codex de Leningrad est soigneusement conservé dans un pays qui interdit la libre importation de Bibles. Ce texte n’est pas n’importe lequel, mais c’est bien celui qui a servi de base pour un grand nombre de traductions modernes des Écritures hébraïques, dont la Traduction du monde nouveau publiée par la Société Watch Tower.
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À la sortie de la messeLa Tour de Garde 1981 | 15 août
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À la sortie de la messe
Clarence Walker publia dans une revue catholique américaine [“National Catholic Reporter”] les résultats d’un petit sondage qu’il avait fait à la porte de différentes églises auprès de 300 catholiques qui sortaient de la messe. Ayant remarqué l’indolence des gens pendant l’office, il leur posa les questions suivantes:
“Trouvez-vous que le prêtre a fait un bon sermon aujourd’hui?” La réponse fut oui à 100 pour cent. “Pourriez-vous nous dire de quoi parlait ce sermon?” La plupart (82 pour cent) en étaient incapables.
“De quoi était-il question dans les première et seconde lectures?” Personne ne le savait.
“Vous rappelez-vous ce qu’on a lu dans l’Évangile?” Ils étaient 80 pour cent à ne pas s’en souvenir.
“Avez-vous rencontré dans l’église quelqu’un que vous connaissiez suffisamment bien pour l’aborder?” Pour 98 pour cent des gens, ce n’était pas le cas.
“Lisez-vous la Bible régulièrement?” Toutes les réponses furent négatives. “Aimeriez-vous mieux la connaître?” Ce fut un oui presque unanime (98 pour cent). “Si l’on donnait un cours biblique avant la messe ou en soirée, y assisteriez-vous?” Là, il y eut 94 pour cent de non.
En conclusion, le rédacteur dit à l’adresse de ses coreligionnaires: “Nous nous retrouverons dimanche prochain à l’église, pour 45 minutes. À moins que, d’ici là, vous soyez devenu membre d’un groupement qui aura su vous intégrer.”
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