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  • g72 22/2 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1972
  • Intertitres
  • “Hair” à la cathédrale Saint-Paul
  • Mise en garde d’un médium
  • “Le baiser de la mort”
  • Le tabou de la mort
  • Le célibat confirmé par le synode
  • La drogue en Allemagne
  • L’Église et le mariage civil
  • Le contrôle des passagers réserve des surprises
  • Le tabac tue
  • Payés pour détruire de la nourriture
  • La lumière guérit
  • La variole n’est plus un problème
  • Une nouvelle législation antivénérienne en Union soviétique
  • Du sang qui rapporte
Réveillez-vous ! 1972
g72 22/2 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

“Hair” à la cathédrale Saint-Paul

Quand le doyen et le chapitre de la cathédrale Saint-Paul de Londres acceptèrent la demande de la troupe de la revue musicale Hair “de participer à la sainte communion le 12 décembre”, ils déclenchèrent un tollé général. Dans une lettre adressée au Times, des membres du clergé accusaient le doyen d’associer la troupe d’un spectacle “pervers, blasphématoire, prêchant l’immoralité sexuelle et les vertus de la drogue” à l’un des offices les plus solennels de la liturgie. Le Telegraph, lui, parlait d’une “presque canonisation”. Pour le chapitre de Saint-Paul, cependant, le message de Hair “essentiellement contre la guerre, la violence et le racisme” était parfaitement acceptable. La cathédrale était archicomble, mais dehors des manifestants criaient “Mascarade !” “Scandale !” “Reviens Judas, tout est pardonné !” Pour terminer l’office, les assistants reprirent en chœur l’air connu Let the sun shine in. De jeunes chevelus pratiquement en transe frappaient dans leurs mains, tandis que quelques chanoines se laissèrent aller à battre la mesure du pied.

Mise en garde d’un médium

Un médium britannique a mis en garde ses compatriotes contre le oui-ja, que l’on vend aujourd’hui comme jouet. Il a affirmé que jouer avec cette planchette peut ouvrir la porte aux “esprits mauvais” et “endommager irrémédiablement le cerveau”. Il a donné cet avertissement à la suite des nombreux coups de téléphone reçus de parents et de jeunes gens troublés par ce qui leur arrive lorsqu’ils font usage du oui-ja.

“Le baiser de la mort”

Pour deux jeunes Philippines, âgées respectivement de 19 et 21 ans, la transfusion sanguine s’est révélée être, selon l’expression employée par le chef de la banque de sang de l’Hôpital général des Philippines, le “baiser de la mort”. Ces jeunes filles, qui avaient subi des opérations bénignes, ont fait une hémorragie. Immédiatement après les transfusions sanguines, elles ont manifesté les symptômes d’une incompatibilité du sang et ont succombé.

Le tabou de la mort

Un article publié récemment dans Le Monde sur le nouveau rituel des funérailles approuvé par les évêques français à Lourdes et soumis à l’approbation du Vatican, parle de l’attitude des Français contemporains à l’égard de la mort. L’abbé Pierre Coulin, vice-doyen de la faculté de philosophie de l’Institut catholique de Paris, a écrit à ce sujet : “L’interrogation la plus caractéristique de l’homme contemporain à l’égard de la mort n’est pas l’interrogation sur l’au-delà, qui demeure tout à fait impénétrable ; c’est plutôt une interrogation qui, partant de la certitude inéluctable de la mort, se retourne vers la vie pour se demander quel sens peut recevoir une vie promise à une mort que tout incline à considérer comme définitive.”

De son côté, le sociologue Philippe Ariès affirme que la mort a été évacuée de la vie quotidienne. Autrefois, déclare-​t-​il, le mourant ne devait pas être privé de sa mort. Il poursuit en disant : “Aujourd’hui, il n’en reste plus rien. Ce qui devait être connu est désormais caché. Ce qui devait être solennel est escamoté. Il est entendu que le premier devoir de la famille et du médecin est de dissimuler à un malade condamné la gravité de son état. Le malade ne doit plus savoir que sa fin approche. L’usage nouveau veut qu’il meure dans l’ignorance de sa mort.” Et le journal d’ajouter : “Le tabou du sexe a été remplacé par le tabou de la mort. Les enfants ne naissent plus dans les choux, mais se demandent pourquoi, subitement, ‘grand-mère est partie pour un long voyage’.”

Le célibat confirmé par le synode

Le troisième synode des évêques tenu au Vatican a réaffirmé la doctrine du célibat des prêtres, bien que la Bible n’impose nullement une telle exigence aux ministres chrétiens. Au contraire, elle annonçait que dans les “derniers jours” il y aurait des hommes ‘qui diraient des mensonges, marqués dans leur conscience comme au fer rouge ; interdisant de se marier, ordonnant de s’abstenir d’aliments que Dieu a créés pour être pris avec actions de grâces’. — I Tim. 4:2, 3.

La drogue en Allemagne

D’après un rapport paru dans The German Tribune du 26 août 1971, un adolescent de plus de 16 ans sur vingt a fumé du haschisch au moins une fois. Quand on a demandé à un certain nombre de jeunes Allemands s’ils seraient disposés à goûter du haschisch, 63 pour cent ont répondu par l’affirmative.

L’Église et le mariage civil

Les époux catholiques se donnent eux-​mêmes le sacrement du mariage, paraît-​il, en se promettant fidélité à vie en présence d’un prêtre. La quasi-totalité des théologiens estiment toutefois que pour qu’un mariage entre catholiques soit valide, il doit être célébré selon la “forme canonique”, c’est-à-dire à l’église. D’après le droit canon, un homme et une femme catholiques qui n’ont été mariés que civilement vivent en concubinage. Si donc un de ces conjoints désire un jour épouser religieusement une autre personne que celle avec qui il vivait jusqu’alors, il en a le “droit”. L’Église se rend de plus en plus compte qu’une telle position juridique est moralement intenable. C’est pourquoi le chanoine Jacques Leclerc, spécialiste en théologie morale, qui souligne que le mariage civil est né sous le signe de la lutte antireligieuse, dit dans les “Informations catholiques internationales” (No 205), que le meilleur système est celui qui se pratique dans les pays anglo-saxons où l’État reconnaît et entérine les mariages célébrés devant les ministres du culte.

Le contrôle des passagers réserve des surprises

Afin de lutter contre les éventuels pirates de l’air, on soumet les passagers des avions à un système de contrôle. Au cours de l’année écoulée, les résultats de ce contrôle ont été étonnants : 1 500 arrestations pour d’autres raisons. Certains voyageurs ont été arrêtés parce qu’ils transportaient illégalement de la drogue ou étaient porteurs d’un revolver ou d’un couteau ; d’autres étaient des interdits de séjour ou des criminels tentant d’échapper à des poursuites judiciaires.

Le tabac tue

Selon George Godber, médecin chef du ministère de la Santé et de la Sécurité sociale en Grande-Bretagne, le tabac est responsable de la mort de vingt-cinq pour cent des Britanniques du sexe masculin qui meurent entre 45 et 64 ans. Il observa : “En Grande-Bretagne la mortalité due à des maladies ayant un rapport avec le tabac est l’une des plus élevée du monde.”

Payés pour détruire de la nourriture

Selon un article publié le 2 octobre 1971 dans le Daily Star de Toronto, des cultivateurs canadiens sont “payés pour laisser geler et pourrir dans le sol des milliers de tonnes de pommes de terre”. La raison invoquée est la surproduction. Ne doit-​on pas déplorer la destruction de denrées alimentaires alors que des millions de gens meurent de faim dans d’autres régions du globe ? C’est là un des méfaits du système économique actuel.

La lumière guérit

De plus en plus de médecins reconnaissent l’utilité de la lumière pour combattre la jaunisse des nouveau-nés. Dans un article publié par la revue médicale CMD (numéro d’octobre 1971), le professeur Edmund Bradley écrivit : “Les études relatives à la lumière et à ses effets sur les enfants, ainsi que sur les personnes plus âgées, se sont limitées principalement aux organes visibles comme la peau et les yeux. Les expériences effectuées sur des animaux révèlent cependant que la lumière exerce une influence importante sur des tissus plus profonds.” Il est particulièrement intéressant de noter qu’elle a un effet curatif sur les nouveau-nés atteints de la jaunisse. L’article soulignait la grande efficacité de la lumière bleue pour réduire le taux de bilirubine chez ces bébés et faisait remarquer que la lumière du soleil est même plus efficace que la lumière bleue artificielle.

La variole n’est plus un problème

En 1970, seulement 23 pays ont signalé des cas de variole, ce qui indique que les risques de contracter cette maladie sont en nette régression. À l’heure actuelle, la vaccination est plus susceptible de provoquer la mort que la maladie elle-​même. En effet, aux États-Unis, depuis 1949, personne n’a contracté la variole, alors qu’en moyenne six personnes meurent chaque année des suites d’une vaccination antivariolique. C’est pourquoi le ministère américain de la Santé publique a décidé de ne plus exiger comme par le passé l’immunisation en masse des enfants contre la variole. La vaccination antivariolique ne sera donc plus obligatoire aux États-Unis. La même décision a été prise récemment par les autorités sanitaires de Grande-Bretagne.

Une nouvelle législation antivénérienne en Union soviétique

Un numéro récent de Tribune médicale signale que des mesures strictes visant à lutter contre les maladies vénériennes ont été adoptées en Union soviétique dans le cadre d’une nouvelle législation qui entrera en vigueur dans toutes les républiques. Le malade qui refuse de se faire soigner encourt une peine allant jusqu’à deux ans de prison. Quiconque infecte une autre personne en connaissance de cause est passible d’un emprisonnement pouvant atteindre trois ans. La récidive ou le fait d’avoir contaminé deux personnes ou plus ou des mineurs, peuvent être sanctionnés de cinq ans de prison. Cette législation est bien plus sévère que l’ancienne, car auparavant seules étaient condamnables les personnes qui en contaminaient une autre en connaissance de cause.

Du sang qui rapporte

Joseph Thomas, un ouvrier de Detroit (États-Unis), possède un sang d’une espèce extrêmement rare. En 1971, il en livra huit litres à des laboratoires pour un prix total de 66 000 francs français. Cette année il compte augmenter ses prix et se faire plus de 80 000 francs. Le journal qui publie cette nouvelle (Paris-Jour) ajoute ce commentaire : “Mais il y a une justice immanente et son ex-femme, apprenant l’histoire, a obtenu d’un tribunal qu’il augmente sa pension alimentaire et qu’il verse à sa fille 10 pour cent du revenu de son sang.”

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