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  • Le dévastateur de la chrétienté préfiguré dans l’Histoire
    La Tour de Garde 1971 | 15 mars
    • nouvelle du Royaume messianique de Dieu non seulement aux nations gentiles, mais également aux Juifs circoncis dispersés sur toute la terre, avant que Jérusalem, leur capitale religieuse, soit détruite par les Romains en l’an 70 de notre ère. De cette façon, il leur était possible d’éviter de périr lors de la destruction de Jérusalem en ne se rendant pas chaque année dans cette ville pour célébrer les fêtes religieuses. Ils ne seraient donc pas surpris lorsque “la fin” viendrait pour la Jérusalem juive.

      Jésus identifie la “chose répugnante” typique

      11, 12. a) Après que la prédication eut été accomplie, qu’est-​ce qui pouvait survenir pour Jérusalem ? b) Quelles paroles de Jésus, rapportées dans Marc 13:14-20, indiquent si “le commencement des douleurs d’angoisse” était le dernier avertissement annonçant la proximité de la destruction de Jérusalem ?

      11 Dès que la proclamation du Royaume de Dieu serait effectuée dans le monde entier, on pouvait s’attendre à ce que la “fin” arrive pour Jérusalem et son temple. Après l’accomplissement de cette œuvre de prédication et l’apparition des choses qui devaient être “le commencement des douleurs d’angoisse”, y aurait-​il un signe particulier annonçant “la fin” imminente de Jérusalem et de son temple ? Certainement ; Jésus déclara qu’il y en aurait un et montra ce que les chrétiens, qui se trouveraient alors dans un territoire dangereux, devraient faire sans retard. Selon Marc 13:14-20, Jésus ajouta :

      12 “Mais quand vous apercevrez la chose répugnante qui cause la désolation se tenant là où elle ne doit pas être (que le lecteur use de discernement), alors que ceux qui seront en Judée fuient vers les montagnes. Que l’homme qui sera sur le toit ne descende pas et ne pénètre pas non plus à l’intérieur pour sortir quelque chose de sa maison, et que l’homme qui sera aux champs ne revienne pas aux choses qui sont en arrière pour prendre son vêtement de dessus. Malheur aux femmes enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-​là ! Priez sans cesse pour que cela n’ait pas lieu l’hiver ; car ces jours seront des jours de tribulation, tels qu’il n’y en a pas eu depuis le commencement de la création que Dieu a créée jusqu’à cette époque, et qu’il n’y en aura jamais plus. En fait, si Jéhovah n’avait abrégé les jours, aucune chair ne serait sauvée. Mais à cause des élus qu’il a élus, il a abrégé les jours.”

      13. a) D’après les récits de Marc et de Matthieu, qu’est-​ce qui devait encore survenir en Judée et à Jérusalem ? b) Selon le récit de Luc, qui allait exécuter sa vengeance et son courroux ?

      13 D’après cette prophétie, la province de Judée, y compris sa capitale religieuse Jérusalem, devait connaître une tribulation telle qu’elle n’en avait jamais connu et qu’elle n’en connaîtrait jamais plus. Selon le texte de la prophétie de Jésus rapportée dans Matthieu 24:21, 22, il en est question comme d’une “grande tribulation”. Suivant le récit consigné dans Luc 21:22, 23, Jésus déclara : “Ce sont là des jours pour exécuter la justice, pour que toutes les choses écrites soient accomplies. (...) Car il y aura une grande misère sur le pays et du courroux contre ce peuple.” Ces “jours” seraient des jours de “grande tribulation” tout à fait justifiés. Ce serait des “jours pour exécuter la justice” ou, littéralement, des “jours de vengeance”, c’est-à-dire la “vengeance” de la part de Dieu. Ce serait l’exécution du “courroux” de Dieu sur les habitants de Judée et de Jérusalem. En proclamant le “jour de vengeance de la part de notre Dieu”, Jésus-Christ accomplissait ainsi la prophétie d’Ésaïe 61:1, 2 (NW). — Voir Luc 21:22 selon la Kingdom Interlinear Translation.

      14. Que devaient faire les chrétiens juifs de Judée et Jérusalem pour ne pas être détruits, et quand ?

      14 Les chrétiens juifs de Judée et de Jérusalem devaient fuir en toute hâte, car ils risquaient d’être détruits lors de cette “grande tribulation”. Mais quand ? Dès qu’ils se rendraient compte d’après les conditions régnant autour de Jérusalem “que sa désolation s’est approchée”. (Luc 21:20.) Mais qui provoquerait cette “désolation” de Jérusalem ? Ce serait évidemment les “armées qui campent” et qui ‘entourent’ Jérusalem. Cet instrument qui provoquerait la désolation fut appelé par Jésus une “chose répugnante” ; selon Marc 13:14, Jésus déclara : “Mais quand vous apercevrez la chose répugnante qui cause la désolation se tenant là où elle ne doit pas être (que le lecteur use de discernement), alors que ceux qui seront en Judée fuient vers les montagnes.”

      15, 16. a) Où la “chose répugnante” n’aurait-​elle pas dû se tenir ? b) Comment était considérée la ville de Jérusalem, et cela a-​t-​il empêché sa destruction ?

      15 Où cette “chose répugnante” n’aurait-​elle pas dû se tenir ? Une chose répugnante n’a pas le droit de se trouver en un lieu considéré comme saint. Or, c’est ainsi que Matthieu 24:15, 16 désigne ce lieu, disant : “Quand donc vous apercevrez la chose répugnante qui cause la désolation, dont a parlé Daniel le prophète, se tenant en un lieu saint (que le lecteur use de discernement), alors que ceux qui seront en Judée fuient vers les montagnes.” Ce lieu saint était Jérusalem et ses environs immédiats.

      16 Par exemple, les textes de Matthieu 4:5 et Mt 27:53 parlent de Jérusalem comme de la “ville sainte”. Après que les Juifs se furent soulevés en l’an 66 de notre ère et que les légions romaines conduites par le général Cestius Gallus eurent battu en retraite, les Juifs de Jérusalem frappèrent de nouveaux sicles d’argent dont une face portait l’inscription : “Jérusalem la Sainte.” Cependant, la condition de sainteté dans laquelle se trouvait Jérusalem jusqu’au martyre de Jésus-Christ hors de ses murs, n’empêcha pas sa destruction en l’an 70 ni celle de son temple qui était particulièrement considéré comme saint (Actes 21:28). L’instrument dont Dieu allait se servir pour exécuter sa “vengeance” était la “chose répugnante”.

      17, 18. a) Quel prophète avait annoncé la “chose répugnante”, et dans quel texte hébreu ? b) Dans quel texte la version grecque des Septante utilise-​t-​elle la même expression ?

      17 Il est important de remarquer que “la chose répugnante qui cause la désolation” est celle dont avait parlé “Daniel le prophète”. (Mat. 24:15.) Il ne fait aucun doute que les apôtres de Jésus-Christ savaient ce qui avait été prophétisé à propos de la “chose répugnante qui cause la désolation” selon le texte biblique hébreu consigné dans Daniel 11:31 et Da 12:11. Puisque le récit de la vie de Jésus-Christ rapporté par Matthieu et Marc était écrit en grec, son allusion à la “chose répugnante qui cause la désolation” devait inclure la leçon en cette langue de Daniel 9:27 selon la Version des Septante, où apparaît la même expression grecque et qui se lit ainsi :

      18 “Maintenant une semaine confirmera une alliance pour beaucoup et dans la moitié de cette semaine mon sacrifice et ma libation seront enlevés. Et sur le temple il y aura une abomination des désolations et à la fin d’un temps, un terme sera mis à cette désolation.” — Version des Septante, traduction anglaise de Charles Thomson ; voir aussi celle de Bagster.

      19. a) Avec quoi la “chose répugnante” avait-​elle un rapport, et pourquoi était-​il approprié que Jésus en fasse mention ? b) Cependant, comment le texte hébreu de Daniel 9:27 se lit-​il ?

      19 Cette prophétie de Daniel, qui fut donnée vers la fin des soixante-dix années de désolation de Jérusalem, concernait précisément la ville de Jérusalem et la venue du Messie. Il était donc tout à fait approprié que Jésus-Christ y fasse allusion dans Matthieu 24:15. De ce fait, cette prophétie particulière de Daniel, telle qu’elle est mentionnée dans le texte grec de la Septante, se rapportait au temple rebâti de Jérusalem. Elle indique que l’“abomination des désolations” ou “la chose répugnante qui cause la désolation” concerne le temple de Jérusalem dans lequel le Messie devait se présenter. Le texte hébreu de cette prophétie de Daniel selon la leçon du texte massorétique est un peu différent. La dernière partie de Daniel 9:27 (AC) se lit ainsi : “Et sur l’aile des abominations viendra un dévastateur, et cela jusqu’à ce que la destruction qui a été décrétée se répande sur le dévasté.”

      20. A qui cette prophétie de Daniel 9:26 identifie-​t-​elle la “chose répugnante qui cause la désolation” ?

      20 Le “dévastateur” devait donc venir “sur l’aile des abominations”. Ce dévastateur serait par conséquent une “chose répugnante qui cause la désolation” ou une “abomination des désolations”. (LXX.) Cette “chose” provoqua la désolation de Jérusalem et de son temple. C’est ce qui avait été annoncé dans la dernière partie du verset précédent (26) de la prophétie de Daniel, où on peut lire : “Et le peuple du prince qui viendra, détruira la ville et le lieu saint, et la fin en sera avec débordement ; et jusqu’à la fin il y aura guerre, un décret de désolations.” (Dan. 9:26, Da). Cette prophétie identifie l’“abomination des désolations” ou “la chose répugnante qui cause la désolation” au “prince qui viendra” avec le “peuple” qu’il conduit.

      21. Selon l’Histoire, et en harmonie avec Luc 21:20, 21, qui sont le “peuple” et le “prince” qui provoquèrent la dévastation ?

      21 Selon l’Histoire, qui est ce “peuple du prince” qui est venu après l’onction de Jésus comme le “Messie le Chef” en l’an 29 de notre ère, et a ruiné et dévasté la ville de Jérusalem ainsi que son temple ou lieu saint ? Il s’agit du “peuple” militaire conduit par le “prince”, c’est-à-dire le général Titus, fils de l’Empereur romain Vespasien. Cela est en harmonie avec la déclaration suivante de Jésus à ses apôtres qui le questionnaient : “Quand vous verrez Jérusalem entourée d’armées qui campent, sachez alors que sa désolation s’est approchée. Alors que ceux qui sont en Judée fuient vers les montagnes.” — Luc 21:20, 21.

      22. a) Qu’étaient les “armées qui campent” ayant encerclé Jérusalem ? b) Quelles choses mentionnées dans la prophétie de Daniel et dans celle de Jésus sont identiques ?

      22 Les “armées qui campent” ayant encerclé Jérusalem en l’an 66 de notre ère et celles qui l’ont assiégée en l’an 70 étaient dans les deux cas des armées de Rome, la Sixième Puissance mondiale. Celles qui ont encerclé Jérusalem en l’an 66 étaient venues de Syrie sous la conduite du général Cestius Gallus. Après la retraite inattendue de ce “peuple” militaire commandé par le général Gallus, les chrétiens juifs de Jérusalem et de Judée suivirent le conseil de Jésus et commencèrent à ‘fuir vers les montagnes’ ; ces Juifs convertis étaient du nombre des “élus” de Dieu. Les ‘armées qui campèrent’ et assiégèrent Jérusalem en l’an 70 étaient constituées de quatre légions romaines commandées par le général Titus : la douzième légion à l’ouest, la cinquième et la quinzième au nord, et la dixième à l’est. En plus, les Romains construisirent un mur fortifié tout autour de la ville, afin d’affamer les Juifs qui résistaient. Ainsi, les “armées [romaines] qui campent” mentionnées dans Luc 21:20, l’“abomination des désolations” annoncée dans Daniel 9:27 (LXX) et la “chose répugnante qui cause la désolation” désignée dans Matthieu 24:15 et Marc 13:14, sont une seule et même chose.

      23. Comment peut-​on savoir si l’Empire romain était ou non la “chose répugnante” ?

      23 On peut donc voir que l’Empire romain, la Sixième Puissance mondiale, n’était pas la “chose répugnante qui cause la désolation”. Les Romains occupaient la Judée depuis l’an 63 avant notre ère, à l’époque du général Pompée (sauf entre les années 40 et 37 avant notre ère), et des armées romaines étaient encore en garnison à Jérusalem quand l’apôtre chrétien Paul fut molesté par la foule dans cette ville, vers l’an 56 de notre ère, et jusqu’à la révolte des Juifs en l’an 66 (Actes 21:31 à 23:31). Durant les quelques années pendant lesquelles les Juifs de Jérusalem goûtèrent à l’indépendance après s’être révoltés, il n’y avait pas de soldats romains à l’intérieur et autour de Jérusalem.

      24. a) Qu’est-​ce qui constituait précisément la “chose répugnante” ? b) Le dévastateur a-​t-​il ainsi gagné la faveur divine ?

      24 Certes, en l’an 70 de notre ère, les “armées qui campent”, commandées par le général Titus, étaient des instruments de l’Empire romain, la Sixième Puissance mondiale, qu’elles représentaient. Cependant, c’étaient ces “armées qui campent” qui constituaient la “chose répugnante qui cause la désolation”, parce qu’elles ont participé directement à la ruine de la ville qui était considérée comme “sainte” et à laquelle étaient liés le nom et le culte de Dieu. Bien que ces armées aient ainsi accompli les prophéties annoncées par les prophètes de Jéhovah, cela ne leur attira nullement la faveur divine. Elles étaient toujours des armées païennes portant les étendards militaires de Rome que les soldats adoraient comme des dieux.

      25. Les armées romaines sont-​elles dans la réalisation moderne la “chose répugnante qui cause la désolation”, et pourquoi ?

      25 De nos jours, au vingtième siècle, la ville de Rome existe encore, mais les armées romaines, en partie ou en totalité, ne constituent pas l’“abomination des désolations” ou “la chose répugnante qui cause la désolation”. La raison n’en est pas que Rome a prétendu être “chrétienne” depuis l’empereur Constantin au quatrième siècle. L’Empire romain a cessé d’exister depuis longtemps ; il a été supplanté par la Septième Puissance mondiale, la double puissance anglo-américaine.

      26. Eu égard aux prophéties de Daniel 11:31 et 12:1, quelle question se pose à propos de la Septième Puissance mondiale ?

      26 Les armées de cette Septième Puissance mondiale constituent-​elles à notre époque la “chose répugnante qui cause la désolation”, bien que cette puissance prétende être chrétienne ? Selon la prophétie divine (Dan. 11:31 et 12:11), une “chose répugnante qui cause la désolation” devait jouer un rôle abominable au vingtième siècle. De quoi s’agit-​il, et cette chose s’identifiera-​t-​elle au dévastateur annoncé de la chrétienté religieuse ? Pour le savoir, allons plus avant dans notre examen.

  • La désolation de la chrétienté par la “chose répugnante”
    La Tour de Garde 1971 | 15 mars
    • La désolation de la chrétienté par la “chose répugnante”

      1. Pourquoi peut-​on douter que la chrétienté soit dévastée un jour ?

      LA CHRÉTIENTÉ est représentée par ses centaines d’Églises. Elle affirme grouper au total plus de neuf cents millions de membres. Comment serait-​il possible qu’une telle organisation religieuse si puissante et groupant tant de membres soit dévastée et détruite ? Pourtant elle le sera !

      2. Qui a laissé entendre une chose si peu croyable, et comment ?

      2 Qui donc a laissé entendre une chose si peu croyable ? C’est celui dont toutes les prophéties se sont réalisées sans exception jusqu’à notre époque ; c’est le Dieu Tout-Puissant, Jéhovah, l’Auteur de la sainte Bible. Il a annoncé cet événement par le moyen d’un grand nombre de ses prophètes et même par son Fils Jésus-Christ. La destruction de la chrétienté a été illustrée par une image prophétique il y a maintenant dix-neuf siècles. Il sera bientôt démontré que cette image était une véritable prophétie. Le lecteur peut néanmoins se demander pourquoi et comment.

      3. Qu’est-​ce qui était au premier siècle le type de la chrétienté moderne, et comment la dévastation de celle-ci a-​t-​elle été représentée de façon typique ?

      3 On ne trouve le mot chrétienté dans aucune prophétie de la sainte Bible. Cependant, aux temps bibliques elle a eu un type prophétique. Ce type ou image prophétique était la Jérusalem infidèle du premier siècle de notre ère. Cette ville a été considérée comme sainte par les Juifs jusqu’à sa destruction en l’an 70 de notre ère, et elle était un type et un exemple d’avertissement (I Cor. 10:6, 11). La chrétienté est l’antitype ou la réalité préfigurée depuis si longtemps. Ainsi, bien que n’étant pas directement nommée dans la prophétie biblique, elle est néanmoins préfigurée ou décrite prophétiquement. La désolation de la Jérusalem juive et incroyante en l’an 70 de notre ère était un type ou une image prophétique de la désolation de la chrétienté moderne, qui se montre tout aussi incroyante envers la sainte Bible et Jéhovah Dieu, son Auteur.

      4. À quoi la désolation complète de Jérusalem en l’an 70 de notre ère a-​t-​elle mis un terme, et comment cela peut-​il être démontré ?

      4 Au printemps de l’an 33 de notre ère, Jésus-Christ énonça une prophétie concernant la désolation de la Jérusalem juive qui ne l’avait pas accepté comme le Messie ou Christ. Il prononça cette prophétie remarquable en l’associant au “signe (...) de la clôture du système de choses”. (Mat. 24:3.) La désolation de Jérusalem en l’an 70 de notre ère mit un terme au système de choses juif qui n’a jamais été restauré depuis. Le temple, qui avait été construit pour servir au culte de Jéhovah Dieu, n’a pas été reconstruit et ne le sera jamais. De même la prêtrise de la famille d’Aaron, frère de Moïse, qui s’occupait des services religieux au temple, n’existe plus. Aucun Juif ne peut prouver qu’il est réellement un membre de cette famille sacerdotale. L’alliance nationale conclue avec Dieu et établie sur la base de l’obéissance à la Loi divine donnée par l’intermédiaire du prophète Moïse, n’existe plus et n’a plus aucune valeur. Le système de choses juif avec tout ce qui le caractérisait est réellement arrivé à son terme lors de la désolation de l’ancienne Jérusalem, en l’an 70 de notre ère.

      5, 6. a) Pour être conforme au type dans quelle période la désolation de la chrétienté doit-​elle avoir lieu, et à l’établissement de quoi Daniel associe-​t-​il cette période ? b) À la fin de quel système la chrétienté doit-​elle être dévastée, et pourquoi ?

      5 Pour être conforme au type, la désolation de la chrétienté doit survenir à une époque où un “système de choses” arrive à son terme. Puisque les “temps fixés des nations” se sont achevés en 1914, le présent “système de choses” mondial est actuellement

  • Réponse pleine de tact d’un enfant
    La Tour de Garde 1971 | 15 mars
    • Réponse pleine de tact d’un enfant

      À Atlanta (États-Unis), une fillette de neuf ans, témoin de Jéhovah, parla à ses camarades de classe de ses croyances fondées sur la Bible. En outre, elle leur fit connaître son point de vue chrétien sur le nationalisme. Voici ce qui arriva :

      “Une fille m’a raconté que sa mère lui avait interdit de jouer avec moi. Comme je lui demandais pourquoi, elle m’a répondu que sa mère ne voulait pas qu’elle joue avec un témoin de Jéhovah. ‘Tu sais, si j’étais à ta place, lui ai-​je dit, j’obéirais à ma mère. La Bible nous enseigne d’obéir. Je pense que désormais nous ne jouerons plus ensemble.’

      “Le lendemain, cette camarade est venue me dire : ‘Rita, j’ai raconté à ma mère que tu m’avais conseillé de lui obéir et de ne plus jouer avec toi, et maman m’a répondu : “Si Rita croit cela, alors tu peux jouer avec elle. Il se peut que cela te fasse du bien !”’”

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