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Matthieu (La bonne nouvelle selon)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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résurrection; le plus grand commandement de la Loi (22:15-46).
G. Jésus condamne les scribes et les Pharisiens (23:1-39).
H. Prophétie sur le signe de sa présence, y compris les illustrations sur les cinq vierges avisées et les cinq vierges sottes, les talents, les brebis et les chèvres (24:1 à 25:46).
I. Événements qui ont mené directement à la trahison de Jésus par Judas (26:1-16).
J. Préparatifs et célébration de la Pâque par Jésus et les apôtres; institution du Repas du soir du Seigneur (26:17-30).
K. Jésus annonce que tous trébucheront; Pierre le reniera trois fois (26:31-35).
L. Événements survenus au jardin de Gethsémané (26:36-56).
M. Jésus amené en jugement; déclaré coupable de blasphème; conduit devant Pilate (26:57 à 27:2).
N. Pris de remords, Judas Iscariote va se pendre (27:3-10).
O. Pilate interroge Jésus et cède finalement à la foule qui exige qu’on attache celui-ci sur un poteau (27:11-31).
VI. Jésus est mis au poteau; sa mort, sa mise au tombeau, sa résurrection et ses apparitions après sa résurrection (27:32 à 28:20).
Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 165-171.
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MattithiahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MATTITHIAH
{Article non traduit.}
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MaturitéAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MATURITÉ
Voir PERFECTION.
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MauveAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MAUVE
Traduit les mots hébreux ʼorôth (II Rois 4:39) et ʼôroth (És. 26:19), qui semblent être le pluriel de ʼôrah, “lumière”. (Esther 8:16; Ps. 139:12.) Selon le Lexicon in Veteris Testamenti Libros (angl.) de Koehler et Baumgartner, ʼorôth et ʼôroth désignent la petite mauve (Malva rotundifolia). Cette identification s’appuie sur le fait que la mauve est très sensible à la lumière, d’où peut-être le nom hébreu ʼorôth, “[herbe]-lumière”. En outre, son fruit est comestible, ce qui s’harmonise avec II Rois 4:39. La petite mauve est une plante rampante, aux feuilles dentelées assez rondes et un peu lobées, au bout d’un long pétiole. Ses fleurs ont un diamètre d’environ 15 millimètres seulement; leur couleur va du bleu pâle au blanc; et ses fruits mucilagineux sont plats et circulaires.
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Mazzaroth (Constellation de)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MAZZAROTH (CONSTELLATION DE)
En Job 38:32, Jéhovah interroge Job en disant: “Peux-tu faire sortir la constellation de Mazzaroth en son temps fixé? Et quant à la constellation d’Asch à côté de ses fils, peux-tu les guider?” En d’autres termes, et même si l’on ne sait pas précisément à quoi correspondent ces constellations, Dieu demande à Job s’il domine sur les corps célestes qui s’offrent à sa vue, s’il peut, par exemple, faire sortir un certain groupe d’étoiles en son temps ou guider une constellation dans la course céleste qui lui est prescrite.
Les targums araméens assimilent Mazzaroth au mazzalôth de II Rois 23:5, les “constellations du zodiaque” ou “douze signes, ou constellations”. (MN, AV.) Certains pensent que ce mot dérive d’une racine qui signifie “ceindre” et qu’il s’applique au cercle du zodiaque. Toutefois, l’hébreu comporte un pronom au singulier dans l’expression “en son temps fixé” (Job 38:32), alors qu’en II Rois 23:5 mazzalôth est au pluriel. Mazzaroth paraît donc désigner une constellation bien précise plutôt que l’ensemble du zodiaque, mais il est impossible aujourd’hui de dire laquelle.
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MéahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉAH
Voir TOUR.
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MéarahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉARAH
{Article non traduit.}
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MébunnaïAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉBUNNAÏ
{Article non traduit.}
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MéchancetéAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉCHANCETÉ
Quiconque ne respecte pas les normes de Dieu qui définissent l’excellence morale est méchant, mauvais ou indigne. Comme le terme grec ponêria (Mat. 22:18; Marc 7:22; Luc 11:39; Actes 3:26; Rom. 1:29; I Cor. 5:8; Éph. 6:12), l’adjectif, le nom et le verbe dérivés de la racine hébraïque râshâʽ désignent ce qui est méchant (Gen. 18:23; II Sam. 22:22; II Chron. 20:35; Job 34:8; Ps. 37:10; És. 26:10). Ponêros (apparenté à ponêria) s’applique souvent à ce qui est mauvais ou méchant dans un sens moral (Luc 6:45), mais peut aussi qualifier une chose mauvaise ou sans valeur au sens physique, comme lorsque Jésus parlait de “fruits sans valeur”. (Mat. 7:17, 18.) Ce terme peut également désigner ce qui est pernicieux. En Révélation 16:2, il est rendu par “douloureux” (Sg, BN) ou “malin”. — MN.
POURQUOI DIEU PERMET LA MÉCHANCETÉ
Satan le Diable, qui a poussé le premier homme et la première femme, Adam et Ève, à se rebeller contre Dieu, s’oppose aux normes de justice établies par celui-ci. C’est donc fort justement qu’il est appelé “le méchant”. (Mat. 6:13; 13:19, 38; I Jean 2:13, 14; 5:19.) La rébellion fomentée par Satan a mis en doute la légitimité et la justice de la domination de Dieu. Autrement dit, Dieu exerce-t-il sa domination sur ses créatures avec justice et pour leur bien? La rébellion d’Adam et Ève a également soulevé cette question: Toutes les autres créatures intelligentes de Dieu se montreront-elles infidèles lorsque l’obéissance à leur Créateur ne semblera procurer aucun avantage matériel? Par les propos qu’il a tenus au sujet du fidèle Job, Satan a affirmé qu’il en serait ainsi. Il a dit: “Peau pour peau, et tout ce qu’un homme a, il le donnera pour son âme. Pour changer, avance ta main, s’il te plaît, et touche jusqu’à son os et à sa chair, et vois s’il ne te maudit pas à ta face.” — Job 2:4, 5.
Il fallait du temps pour trancher ces questions. En laissant vivre les méchants, Jéhovah Dieu donnait donc la possibilité aux autres humains d’apporter leur témoignage pour prouver que Satan est menteur en servant fidèlement leur Créateur dans des circonstances défavorables et même pénibles. En tolérant la méchanceté, Dieu a également permis à des hommes de renoncer à leur mauvaise voie et de se soumettre volontairement à ses lois justes (És. 55:7; Ézéch. 33:11). Parce qu’il s’est retenu pendant un temps de détruire les méchants, Jéhovah a donné aux humains aimant la justice la possibilité de se sauver en leur laissant le temps de prouver leur amour et leur attachement à sa personne. — Rom. 9:17-26.
En outre, Dieu s’est servi des circonstances pour amener les méchants à servir inconsciemment ses desseins. Bien que ces hommes s’opposent à lui, il est capable de les retenir suffisamment pour que ses serviteurs lui restent fidèles et il peut faire en sorte que leurs actions mettent bien en relief sa justice (Rom. 3:3-5, 23-26; 8:35-39; Ps. 76:10). Cette pensée est ainsi exprimée en Proverbes 16:4: “Jéhovah a tout fait pour son dessein, oui, même le méchant pour le jour mauvais.”
Il y a le cas typique du pharaon à qui Jéhovah, par l’entremise de Moïse et d’Aaron, ordonna de libérer les Israélites qu’il retenait en esclavage. Ce n’est pas Dieu qui a rendu méchant le monarque égyptien. Non, il l’a laissé vivre et a dirigé les événements de telle sorte que le pharaon révèle lui-même sa méchanceté et montre qu’il méritait la mort. Le but visé par Jéhovah est révélé en Exode 9:16 où nous lisons: “Voici vraiment pourquoi je t’ai laissé vivre: c’est pour te faire voir ma force et afin que mon nom soit proclamé par toute la terre.”
Les dix plaies qui se sont abattues sur l’Égypte et qui ont abouti à la destruction du pharaon et de ses armées dans la mer Rouge ont démontré de façon impressionnante la puissance de Jéhovah (Ex. 7:14 à 12:30; Ps. 78:43-51; 136:15). Des années plus tard, les nations voisines en parlaient encore, et le nom de Dieu a ainsi été proclamé par toute la terre (Josué 2:10, 11; I Sam. 4:8). Si Jéhovah avait détruit le pharaon sur-le-champ, cette démonstration extraordinaire de sa puissance par laquelle il s’est glorifié et a délivré son peuple n’aurait pas été possible.
Les Écritures nous donnent l’assurance que le temps viendra, une fois que sa permission de la méchanceté aura servi la réalisation de son dessein, où Jéhovah détruira à jamais la méchanceté et tous ceux qui s’opposent à lui. — II Pierre 3:9-13; Rév. 18:20-24; 19:11 à 20:3, 7-10.
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MéconahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉCONAH
{Article non traduit.}
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MédadAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉDAD
Voir MELDAD.
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MédanAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉDAN
{Article non traduit.}
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MédebaAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉDEBA
(peut-être “eau tranquille”).
Cette ville est identifiée à la moderne Madeba, qui est située sur une éminence à 19 kilomètres à l’est de l’extrémité septentrionale de la mer Morte. L’antique “route du roi” la reliait à d’autres villes à l’est du Jourdain (voir Nombres 20:17). Se trouvant dans une plaine ou plateau fertile, mais dépourvu d’arbres, dont l’altitude moyenne est de 700 mètres, la ville de Médeba elle-même est à 774 mètres au-dessus du niveau de la mer. Aujourd’hui, la plaine ou “plateau de Médeba” sert de pâturages à des troupeaux de brebis et de chèvres. — Josué 13:9, 16.
Après que les Israélites eurent défait le roi amorite Sihon, Médeba en vint à faire partie du territoire assigné à la tribu de Ruben (Josué 13:8, 9, 15, 16). Il semble que quelque temps auparavant les Amorites avaient pris Médeba aux Moabites (Nomb. 21:25-30). Des siècles plus tard, dans une guerre menée contre les Ammonites, l’armée du roi David placée sous les ordres de Joab vainquit les troupes mercenaires araméennes (syriennes) qui campaient devant Médeba. — I Chron. 19:6-16.
Selon la stèle de Mésa (ligne 8), le roi Omri d’Israël (vers 951-940 av. n. è.) s’empara du “pays de Médeba” qui resta en la possession d’Israël pendant quarante ans. La trentième ligne de la stèle, en partie effacée, semble néanmoins indiquer que le roi Mésa de Moab réussit à s’emparer de Médeba et qu’il la reconstruisit ainsi que d’autres villes de la région. Peut-être les Israélites reprirent-ils Médeba quand Jéroboam II (v. 844-803 av. n. è.) “rétablit la limite d’Israël depuis l’entrée de Hamath jusqu’à la mer de l’Arabah”. (II Rois 14:25.) Mais la situation a dû changer rapidement, car la déclaration d’Ésaïe contre Moab (vers 778-732) révèle que Médeba était alors sous la coupe de Moab, lequel devait ‘hurler’ à cause de la perte de la ville. — És. 15:1, 2.
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MédecinAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÉDECIN
{Article non traduit.}
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Mèdes, MédieAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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MÈDES, MÉDIE
Les Mèdes étaient de race aryenne, donc descendants de Japhet, sans doute par son fils Madaï (Gen. 10:2). Ils étaient très proches des Perses quant à la race, à la langue et à la religion.
Il n’est question des Mèdes en tant que peuple dans l’histoire biblique qu’à partir du huitième siècle avant notre ère, mais ils sont mentionnés pour la première fois dans les textes profanes actuellement disponibles sous le règne du roi assyrien Salmanasar III, contemporain du roi Jéhu (905-876 av. n. è.). À une certaine époque, entre le moment de la dispersion des peuples à la suite de la confusion des langues (Gen. 11:8, 9) et le règne de Salmanasar III, les Mèdes arrivèrent sur le plateau iranien. Selon certaines découvertes archéologiques et d’autres faits, leur présence dans cette région remonterait au milieu du deuxième millénaire avant notre ère.
GÉOGRAPHIE DE LA MÉDIE
Bien que ses frontières aient certainement fluctué, l’ancienne Médie s’étendait en gros à l’ouest et au sud de la mer Caspienne dont elle était séparée par la chaîne de montagnes connue sous le nom d’Elburz. Au nord-ouest, elle s’étendait sans doute au delà du lac Ourmia jusqu’à la vallée de l’Araxès. À l’ouest, les monts Zagros lui servaient de frontière avec l’Assyrie et les basses terres du Tigre. Enfin, elle était limitée à l’est par un vaste désert et au sud par l’Élam.
La Médie était essentiellement un plateau montagneux dont l’altitude variait entre 900 et 1 500 mètres. Une grande partie de cette région n’est qu’une steppe aride fort peu arrosée, mais il y a quelques plaines fertiles très productives.
SON HISTOIRE
Les Mèdes n’ont laissé que de rares écrits. Tout ce qu’on sait d’eux vient de la Bible, des textes assyriens et des historiens classiques grecs. Les Mèdes étaient divisés en une foule de petits royaumes soumis à des chefs de tribus. Les récits fanfarons des empereurs assyriens Shamshi-Adad V, Tiglath-Piléser III et Sargon II font état de leurs victoires sur certains ‘chefs de cités’ dans le pays lointain des Mèdes. Le début du règne de Sargon correspond à peu près à la chute de Samarie (en 740). Après cette victoire des Assyriens sur le royaume d’Israël, les Israélites furent déportés en divers endroits de l’Assyrie et dans “les villes des Mèdes” dont certaines étaient soumises à la domination de l’Assyrie. — II Rois 17:6; 18:11.
Les Assyriens poursuivirent leurs efforts visant à soumettre les “Mèdes indociles” sous le règne d’Ésar-Haddon, fils de Sennachérib et sans doute contemporain de Manassé, roi de Juda (716-661). Dans une de ses inscriptions, Ésar-Haddon parle d’“un district à la
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