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L’origine du christianisme et les manuscrits de la mer MorteLa Tour de Garde 1959 | 1er octobre
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L’origine du christianisme et les manuscrits de la mer Morte
AU PRINTEMPS de 1947, trois bédouins circulaient dans les rues de la ville de Jérusalem cherchant à vendre sept anciens manuscrits. Ceux-ci se présentaient sous la forme de rouleaux de cuir, dont certains contenaient des écritures bibliques, d’autres des écrits émanant d’une secte et que les bédouins avaient trouvés dans des pots de pierre, à l’intérieur d’une caverne. Celle-ci, étant située dans le désert de Juda, non loin de la mer Morte, les rouleaux en vinrent à être connus sous le nom de “ Manuscrits de la mer Morte ”. Il fallut finalement trois mois aux bédouins pour s’en débarrasser ; quatre d’entre eux furent acquis par le Monastère de St-Marc, les trois autres par l’Université hébraïque de Jérusalem. Sept ans plus tard, l’Université acheta pour 250 000 dollars les quatre autres rouleaux que, dans l’intervalle, on avait vainement cherché à vendre aux États-Unis. Ces quatre manuscrits comprenaient le plus estimé de tous, un manuscrit du livre d’Ésaïe rédigé en hébreu archaïque et comprenant les soixante-six chapitres en entier.
Ce n’est pas pour rien qu’ils ont été décrits comme “ la plus grande découverte de manuscrits des temps modernes ”. D’une manière bien précise, les experts dans les domaines de l’archéologie, de la paléographie (science consistant à déchiffrer l’écriture ancienne) et le procédé au carbone-14 en font remonter l’origine au deuxième siècle av. J.-C. Antérieurement, le plus ancien des témoins hébreux de la Parole de Dieu était le papyrus Nash qui ne remonte pas tout à fait aussi loin, ne comprend qu’une seule petite page, en quatre fragments, et qui ne faisait pas partie d’un rouleau. Disons en passant qu’il contient les dix commandements et deux versets de la Shemá ou déclaration de foi juive telle qu’on la trouve dans Deutéronome 6:5, 6.
Depuis 1951, de nombreuses autres découvertes identiques ont été faites, y compris celle de dizaines de milliers de fragments des anciens manuscrits bibliques. Comme ils ont tous été trouvés dans la même région, on les désigne également sous le nom de manuscrits de la mer Morte.
Se rattachant à l’histoire des manuscrits de la mer Morte fut la mise à nu des “ ruines ” dites Khirbet (ruines) Qumran, situées à un peu moins de deux kilomètres de la caverne où les premiers manuscrits furent découverts. Ces ruines ont été identifiées comme celles d’un monastère, siège de la secte qui avait écrit les manuscrits de la mer Morte, les premiers tout au moins. Quant à l’identité de cette secte, la “ plus haute autorité actuelle pour ce qui est des manuscrits de la mer Morte ” nous dit qu’“ il y a maintenant des preuves suffisantes... pour identifier nettement les auteurs des manuscrits ”, c’est-à-dire pour les identifier définitivement “ avec les esséniens ”, secte monastique juive qui subsista depuis le deuxième siècle environ av. J.-C. jusqu’à la destruction de Jérusalem en 70 de notre ère.
Les manuscrits de la mer Morte ont soulevé et soulèvent encore le plus vif intérêt dans le monde entier. Pourquoi ? Avant tout, parce que, selon certains, ils révèlent l’origine humaine du christianisme.
Quels sont les faits ? “ Trouve-t-on les rites et les préceptes mentionnés dans les évangiles et les épîtres dans toutes les pages de la secte ” qui produisit les manuscrits de la mer Morte ? Le monastère de Qumran est-il “ plus que Bethléhem ou Nazareth, le berceau du christianisme ” ? Enfin, devions-nous attendre que ces manuscrits fussent découverts pour “ trouver quelque sens au drame qui aboutit au christianisme ” ?
FAUX PARALLÈLES
Tout d’abord, notons que lorsque les savants ne font pas la différence entre la chrétienté actuelle et le christianisme biblique tel qu’il fut enseigné et pratiqué au temps de Jésus, ils ne peuvent manquer de se tromper. Deuxièmement, les similitudes qui apparaissent entre ce que la Bible dit du christianisme et ce que Josèphe, Pline, Philon et les écrivains des manuscrits de la mer Morte ont à dire au sujet de l’essénisme sont tout à fait superficielles. À la base, il y a une grande différence entre les deux comme entre le jour et la nuit.
L’une des prétendues similitudes est la mise en commun de tous les biens. Quand un homme devenait membre de la secte de la mer Morte, il devait abandonner à l’ordre tous ses biens, jusqu’au dernier sou. On a comparé cela à ce qui avait eu lieu dans l’assemblée chrétienne primitive après la Pentecôte, en insistant sur ce qui était arrivé à Ananias et Saphira pour avoir retenu une partie du prix d’acquisition. Que dire à ce sujet ? — Actes 4:32 à 5:11, Da.
La similitude n’est que superficielle. Eu égard au fait qu’il n’est pas fait mention une autre fois de cette question où “ toutes choses ” étaient “ communes ”, soit dans le livre des Actes soit dans le reste des Écritures grecques chrétiennes, ce n’était évidemment qu’un arrangement temporaire nécessité par des conditions exceptionnelles. De plus, il n’était pas exigé des chrétiens de céder leurs biens et aucune sanction n’était prévue pour quiconque manquait de le faire comme c’était le cas pour les esséniens. Ananias et sa femme ne furent pas punis pour avoir retenu quoi que ce soit mais parce qu’ils se conduisirent en hypocrites, prétendant avoir remis le produit entier de la vente de leur propriété, alors qu’en réalité ils en avaient retenu une partie. Ils pensaient pouvoir mentir au porte-parole de Dieu et faire accepter la chose. C’était là leur péché. Le fait d’avoir “ toutes choses... communes ” dans l’assemblée chrétienne primitive était une chose momentanée et acceptée volontairement ; le partage des biens parmi les membres de la secte de la mer Morte avait un caractère permanent, obligatoire et le manquement à s’y soumettre était sévèrement sanctionné. Voilà la différence, et elle est loin d’être négligeable !
On prétend aussi qu’il y avait une analogie entre les chrétiens et les esséniens en ce sens que tous deux faisaient usage d’ablutions ou baptêmes symboliques. Ici encore, l’analogie n’est que superficielle. Tel qu’il fut institué par le Christ pour lui-même et ses disciples, le baptême ne symbolise pas ou ne procure pas la rémission des péchés, car il n’en avait pas. C’est un symbole montrant que la personne s’est vouée à faire la volonté de Dieu ; il n’est administré qu’une seule fois dans la vie d’un chrétien et cela par un autre chrétien. Parmi les esséniens, il était accompli tous les jours, par la personne elle-même, et se rapportait à la pureté rituelle. Pourrait-il exister de plus grand contraste ? — Mat. 3:13-15.
On recourt à de semblables arguments pour affirmer que le souper du Seigneur eut pour modèle le souper en commun des esséniens. Le souper du Seigneur n’est célébré convenablement qu’une fois par an, le 14 Nisan, pour commémorer la mort du Christ et il a une signification purement symbolique ; l’apôtre Paul réprimandait ceux qui l’envisageaient comme une occasion d’apaiser leur faim. D’autre part, le repas en commun des esséniens était un acte quotidien et avait pour but de satisfaire leur faim. — I Cor. 11:20-22.
On affirme encore qu’une similitude existe entre le christianisme et la secte de la mer Morte au sujet des enseignements eschatologiques, de ceux qui se rapportent à la fin d’un ordre de choses et du jour du jugement. Nul doute à ce sujet : les esséniens attendaient le jour du jugement et la fin du monde de leur temps ; en réalité, c’est en raison de cette croyance qu’ils se séparèrent du reste des humains, afin de pouvoir mieux se perfectionner, de même que diverses sectes des États-Unis se sont retirées dans certaines régions montagneuses dans l’attente de la fin du monde. Quant aux premiers chrétiens, bien que certains d’entre eux cherchassent, semble-t-il, à hâter sans raison le jour de Jéhovah, il est clair que Jésus et Paul en particulier leur firent comprendre que la fin de cet ordre de choses était encore bien éloignée. Jésus n’a-t-il pas déclaré que la bonne nouvelle du royaume devait tout d’abord être prêchée dans le monde entier avant que vienne la fin ? Et dans sa seconde lettre aux Thessaloniciens, l’apôtre Paul ne leur conseilla-t-il pas de ne pas croire à l’imminence du jour de Jéhovah, car ce jour ne viendrait pas avant que l’apostasie ne se fût tout d’abord manifestée et que l’homme du péché, le fils de la perdition, n’eût été révélé ? — Mat. 24:14 ; II Thess. 2:1-12.
D’autre part, certains savants ont classifié cinq cents prétendus parallèles entre les Écritures grecques chrétiennes (Nouveau Testament) et les premiers manuscrits de la mer Morte qui traitent des esséniens. Cependant, on pourrait demander : Combien de ces parallèles resterait-il si tous ceux qu’on a trouvés dans les Écritures hébraïques étaient écartés ? Puisque le christianisme fut préfiguré dans l’ancienne alliance de la loi et que les esséniens prétendaient vivre conformément aux exigences de la loi, il s’ensuit que de nombreuses expressions seraient communes à tous les deux. C’est pourquoi une autorité dans la question des manuscrits de la mer Morte a dit avec raison : “ On peut se demander, vraiment, si les enseignements de Jésus et les croyances de la communauté de Qumran ont quoi que ce soit de commun qu’on ne puisse trouver également dans les autres sources juives. ”
FRAPPANTS CONTRASTES DANS LES ENSEIGNEMENTS
Fait plus marqué que tout autre dans les Écritures hébraïques, c’est l’importance du nom de Jéhovah. Pharaon, Goliath, Sanchérib et d’autres hommes orgueilleux furent amenés à reconnaître que le seul vrai Dieu est Jéhovah. Et, à maintes reprises, Jéhovah délivra son peuple pour la même raison (II Sam. 7:23, AC ; És. 43:10-12, AC ; Ézéch. 36:21-23, AC). L’importance de ce nom est également soulignée dans les Écritures grecques chrétiennes (Mat. 6:9, NW ; Jean 12:28 ; 17:6, NW ; Actes 15:14, NW). Mais nous ne découvrons aucune mise en valeur de ce nom dans les croyances de la communauté de Qumran. La chose de première importance pour eux, c’était, non le nom de Dieu, mais leur propre salut.
La nécessité d’un sacrifice expiatoire ressort de toutes les Écritures, de la Genèse à l’Apocalypse ; et celui qui le fournit est identifié sous le nom de Jésus-Christ (Jean 1:29 ; Mat. 20:28 ; I Tim. 2:5, 6). Mais nous cherchons en vain dans les écrits de la communauté de Qumran une quelconque référence au salut en vertu d’un tel sacrifice, soit par Jésus soit par un autre. Les membres de cette communauté s’efforçaient d’obtenir le salut par des purifications rituelles et une conduite de toute moralité.
En outre, les écrivains des manuscrits de la mer Morte qui exposent les croyances des esséniens montrent leur foi en l’immortalité de l’âme et dans les tourments éternels comme châtiments des méchants. Ces deux enseignements sont en violent contraste avec les principaux enseignements scripturaux d’après lesquels l’âme de l’homme est mortelle et que l’anéantissement, la mort, est le châtiment du péché (Ézéch. 18:4 ; Rom. 6:23). Ensuite, cette secte croyait en la prédestination des individus, tandis que les Écritures parlent de Dieu comme préordonnant seulement certaines exigences et certaines classes d’individus. Si la destinée des individus était fixée d’avance, il n’y aurait aucune raison de leur prêcher ni de les encourager à persévérer. — Col. 1:23 ; Mat. 24:13.
On ne peut pas dédaigner non plus le fait que la secte de la mer Morte emprunta au zoroastrisme perse. On peut le voir dans son culte des anges, du soleil et par l’importance qu’elle donne aux mystères. Le véritable christianisme n’a absolument rien de commun avec aucune religion païenne. — II Cor. 6:15-17.
FRAPPANTS CONTRASTES DANS LES PRATIQUES
Soulignant à quel point est insoutenable la théorie selon laquelle la secte de la mer Morte donna naissance au christianisme, est le violent contraste existant entre les pratiques des deux conceptions. Les esséniens, orgueilleusement, se séparèrent des Juifs, leurs semblables. En ce qui les concernait, tout le reste du monde appartenait au Diable. Tout ce qui leur importait, c’était de sauver leurs âmes.
Quelle différence avec le christianisme scriptural ! Loin de vivre dans l’isolement, Jésus allait de ville en ville, de village en village, prêchant la bonne nouvelle du royaume de Dieu. Plus encore, il envoya douze, et puis soixante-dix disciples pour faire comme lui. Et, juste avant de les quitter, il leur ordonna de faire des disciples des personnes de toutes les nations et de rendre témoignage jusqu’aux parties les plus reculées de la terre. — Luc 8:1 ; Mat. 28:19, NW ; Actes 1:8.
En contraste frappant avec le christianisme scriptural, il y avait encore l’ascétisme de la secte. L’apôtre Paul condamne l’ascétisme comme “ une apparence de sagesse avec leurs pratiques de dévotion et d’humilité et leurs mortifications corporelles, mais elles sont sans valeur (pour combattre, NW) la satisfaction de la chair. ” Le clergé du temps de Jésus se plaignait de ce que ses disciples ne jeûnaient pas ; ils l’accusèrent d’être “ un glouton et un ivrogne ”. Certainement, Jésus était loin d’être un ascète ! — Col. 2:23, Li ; Mat. 11:19, Jé ; 9:14.
Notez aussi le caractère exclusif et non chrétien de cette secte monastique. Il n’était pas permis à ses membres de manger la nourriture préparée par des gens qui n’étaient pas des leurs, et elle rejetait toutes les personnes désavantagées physiquement. Il y avait parmi eux des distinctions de classes imposées continuellement et avec sévérité ; à tel point que, si un membre d’un rang supérieur, un senior, était touché par un junior, il devait se baigner pour redevenir pur. Ils enveloppaient d’un grand mystère leurs enseignements.
En violent contraste avec ce qui précède, nous voyons Jésus manger et boire avec les pécheurs et les collecteurs d’impôts méprisés. Il exerçait continuellement son ministère en faveur de ceux qui souffraient d’handicaps physiques. Il enseigna à ses disciples qu’ils n’avaient qu’un seul Maître et qu’ils devaient tous être frères. Et loin de voiler de mystère ses enseignements, il les publia partout et ordonna à ses disciples de les proclamer du haut des toits ! — Mat. 10:27 ; 15:31 ; 23:8.
De plus, les manuscrits de la secte de la mer Morte exhalent une haine acharnée contre tous ceux qui ne lui appartiennent pas. Quel contraste avec la conduite que Jésus ordonna de suivre à ses disciples : “ Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent, afin que vous soyez les fils de votre Père céleste qui fait lever son soleil sur les méchants comme sur les bons, et pleuvoir sur les justes et les injustes. ” — Mat. 5:44, 45, Li.
VIN NOUVEAU DANS DES OUTRES NEUVES
Les sceptiques, tels que les unitairiens et les agnostiques, accusent les chrétiens de ne pas être objectifs en considérant les preuves fournies par les manuscrits de la mer Morte et d’en avoir peur. Ce qui précède réfute cette accusation. C’est justement tout le contraire. Ceux qui utilisent les manuscrits de la mer Morte afin de prouver l’origine humaine du christianisme recourent à des affirmations sensationnelles, à des assertions dogmatiques et ont été critiqués à juste titre pour avoir formulé des “ conclusions douteuses en partant de textes obscurs ”. Plus encore, ils ont fait à maintes reprises des déclarations contradictoires, lesquelles trahissent toutes leur propre manque d’objectivité et laissent voir qu’ils font davantage appel aux sentiments quand ils veulent prouver que la Bible se trompe que les amis de la Bible quand ils prouvent qu’elle a raison. La déclaration caractéristique d’un érudit juif est intéressante sous ce rapport : “ Je nie qu’il existe une relation particulière entre les manuscrits de la mer Morte et le christianisme, non parce qu’elle choque n’importe quelle théologie, mais parce que ces affirmations sont un affront pour la science simple, prudente. ”
Bien que des savants des plus sérieux rejettent la position extrême selon laquelle la communauté de la mer Morte expliquerait l’origine du christianisme, ils se croient obligés de découvrir toutes sortes de traces de l’essénisme dans le ministère et les enseignements de Jean-Baptiste et de Jésus-Christ. Mais s’il en existait, comment pouvons-nous expliquer le silence total des Écritures en ce qui concerne la secte de la mer Morte ? Il est parlé des pharisiens, des sadducéens, des hérodiens et des zélotes mais jamais des esséniens ni de leur monastère de Qumran ? Pourquoi ?
Si Jésus était entré en contact avec eux, nul doute qu’il les eût critiqués en termes plus violents qu’il ne le fit pour les pharisiens, car ils surpassaient ces derniers pour ce qui était de rejeter le moucheron et d’avaler le chameau. Si un animal tombait dans une fosse au cours du sabbat, un pharisien pouvait le retirer mais un essénien ne le pouvait pas. Une nourrice essénienne ne pouvait même pas porter un bébé pendant le sabbat. Plus encore, un essénien osait manger seulement du poisson qui avait été éventré vivant pour en faire écouler le sang. — Mat. 23:23, 24 ; Luc 14:3-6.
Jean-Baptiste ne copia pas le baptême sur les esséniens. Il nous dit lui-même que ce fut Dieu qui l’autorisa à baptiser (Jean 1:33). Jésus apporta un nouveau message, comparé dans la Bible à du vin nouveau, absolument différent du “ vin vieux ” du sectarisme juif, qu’il soit essénien ou pharisaïque. Il se gardait bien d’essayer de mettre ce “ vin nouveau ” dans les vieilles outres desséchées des organisations et méthodes relatives aux sectes. Ce “ vin ”, il le reçut de son Père, comme il le confessa : “ En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père. ” Nous acceptons son témoignage comme vrai. Nous pouvons donc être sûrs que, sans égard à toutes les théories des hommes, le christianisme tire son origine de Dieu et qu’il n’est redevable de quoi que ce soit aux manuscrits de la mer Morte et à leur secte. — Luc 5:37-39 ; Jean 5:19.
En contraste frappant avec les manuscrits contenant la philosophie des esséniens, les manuscrits de la Bible qui ont été trouvés en tel nombre près de la mer Morte contiennent la Parole de Dieu et se présentent comme une confirmation stupéfiante du fait qu’elle n’a pas changé, car “ la parole de (Jéhovah) demeure éternellement ”. — I Pierre 1:25.
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Les Écritures : Sommet sublimeLa Tour de Garde 1959 | 1er octobre
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Les Écritures : Sommet sublime
“ Que la culture mentale ne cesse d’avancer ”, disait jadis Johann Wolfgang Gœthe, “ que les sciences naturelles progressent toujours dans une plus large mesure et pénètrent dans les profondeurs, et que l’esprit humain s’élargisse autant qu’il le désire, jamais il ne pourra s’élever au-dessus de la grandeur et de la culture morale du christianisme, tels qu’ils luisent et brillent dans les Évangiles. ”
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