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  • Adoptons la coutume de ne pas négliger la maison de notre Dieu
    La Tour de Garde 1968 | 1er juin
    • service et à l’École du ministère théocratique, nous apprenons à nous exprimer d’une meilleure façon ; nous recevons une formation qui fait de nous des serviteurs capables, pleins de tact, efficaces et productifs dans le ministère du champ.

      En outre, nous apprenons à coopérer les uns avec les autres ; nous recevons une aide pratique et trouvons des occasions de produire les fruits de l’esprit. Nous sommes aidés à cultiver en particulier le fruit de l’esprit qu’est l’amour agapê, que l’on a défini ainsi : “amour spontané, généreux. Il s’exprime librement, sans tenir compte du coût ou du gain pour celui qui donne.”

      N’est-​ce pas précisément cet amour que Dieu a manifesté par le don de son Fils bien-aimé, le trésor le plus cher à son cœur, en faveur de l’humanité pécheresse, qui ne mérite pas un tel don ? C’est pourquoi nous voulons, nous aussi, être désintéressés dans notre ministère, que les gens l’apprécient ou non, qu’ils en soient dignes ou non. Adopter la coutume de ne pas négliger la maison de notre Dieu nous aidera à cultiver ce fruit de l’esprit qu’est l’amour agapê. — Jean 3:16 ; I Cor. 13:4-8.

      Toutefois, n’oublions pas que pour ne pas négliger la maison de notre Dieu, il ne suffit pas de soutenir les réunions de la congrégation en y assistant et en y participant. Il faut aussi inviter nos semblables à venir dans notre Salle du Royaume pour adorer en notre compagnie, leur offrant notre aide quand l’occasion se présente à nous. Cela signifie également pourvoir à l’entretien de notre Salle du Royaume au moyen de contributions volontaires, ainsi qu’à son nettoyage pour qu’elle reste propre ; c’est aussi adopter la coutume de prier pour que la bénédiction de Dieu repose sur sa maison. — Ps. 122:6-9.

      Heureux sont tous ceux qui adoptent la coutume, l’habitude, d’imiter Jésus-Christ et l’apôtre Paul en ne négligeant pas la maison de notre Dieu !

  • Bienfaits reconnus
    La Tour de Garde 1968 | 1er juin
    • Bienfaits reconnus

      ● À une assemblée de circonscription en Californie, il a été relaté ce qui suit : “Sur les lieux de mon travail, un groupe d’ouvriers avaient sans aucun doute parlé des témoins de Jéhovah ; l’un d’eux avait exprimé la conviction que les témoins avaient raison et dit qu’ils possédaient un livre très instructif dont le titre renfermait le mot ‘Babylone’. L’une de mes compagnes de travail lui avait déclaré qu’elle me croyait en mesure de lui procurer cet ouvrage. Le lendemain, elle m’a rapporté la discussion. J’ai donc vu l’homme et lui ai confirmé que je pouvais lui procurer la publication en question, ajoutant que j’avais sur moi un exemplaire du livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”. ‘Je le prends’, m’a-​t-​il répondu. Je lui ai promis de lui apporter le lendemain le livre “Babylone la Grande est tombée !” Le Royaume de Dieu a commencé son règne ! ‘D’accord, m’a-​t-​il dit, apportez m’en dix !’

      “Je me suis arrangé pour les lui remettre à l’heure du déjeuner, et je lui ai dit : ‘Qu’allez-​vous faire de tous ces livres ?’ Il m’a fait cette réponse : ‘Je vais en envoyer quelques-uns par la poste et j’en passerai d’autres à des amis. Si cette vérité touche, si peu que ce soit, la susceptibilité du lecteur, cela fera un bien énorme.’ Plus tard, il m’a appelé au téléphone pour me demander deux autres livres “Babylone”, deux “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile” et deux exemplaires des Saintes Écritures — Traduction du monde nouveau. Il s’est abonné à La Tour de Garde et à Réveillez-vous !, et m’a passé une commande pour d’autres livres d’étude biblique. Bien qu’il ait été muté, j’ai appris qu’un témoin travaillant non loin de lui a pris des dispositions pour aider davantage cet homme intéressé par la vérité.”

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1968 | 1er juin
    • Questions de lecteurs

      ● Dans Matthieu 19:24 et Luc 18:25, Jésus-Christ montre qu’il est aussi difficile à un homme riche d’entrer dans le Royaume de Dieu qu’à un chameau de passer par le trou d’une aiguille. D’après certains dictionnaires bibliques, le “trou d’une aiguille” désignerait une petite porte aménagée dans la muraille des villes orientales, et ces ouvrages nous présentent parfois des images de petites portes. Jésus faisait-​il allusion à l’une de ces ouvertures ?

      On a essayé de démontrer que Matthieu 19:24, Marc 10:25 et Luc 18:25 faisaient allusion à une petite porte aménagée dans les grandes portes de Jérusalem. Cette explication laissait entendre que si la porte principale était fermée pendant la nuit, la petite restait ouverte, et qu’il était alors difficile à un chameau d’y passer. Toutefois, le mot grec employé dans Luc 18:25 désigne d’une façon précise une aiguille à coudre ; c’est pourquoi les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau rendent ce passage biblique de la façon suivante : “Il est plus facile, en fait, à un chameau de passer par le trou d’une aiguille à coudre que pour un homme riche d’entrer dans le royaume de Dieu.”

      Divers ouvrages faisant autorité en matière de grec biblique, entre autres An Expository Dictionary of New Testament de W. E. Vine, partagent l’avis des traducteurs des Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau. Dans le troisième tome de ce dictionnaire, aux pages 106 et 107, il est indiqué que le mot grec apparaissant dans Luc 18:25 est bélonê, qui est “apparenté à bélos, un dard, et désigne une pointe aiguë, et par suite, une aiguille”. En outre, cet ouvrage fait la remarque suivante : “L’idée d’appliquer ‘le trou de l’aiguille’ à de petites portes est, semble-​t-​il, assez nouvelle. Il n’y en a aucune trace ancienne. Mackie (Dictionnaire biblique de Hastings) signale le fait qu’on essaie parfois de prouver que ces mots s’appliquent à une petite porte, d’un peu plus de 0,36 m2, aménagée dans la grande et lourde porte de la muraille de la ville. Cela gâte le symbole sans en altérer le sens fondamental et ne trouve aucune justification ni dans la langue ni dans les traditions de la Palestine.”

      Il est raisonnable de penser que Jésus-Christ voulait parler d’une aiguille à coudre véritable et d’un chameau proprement dit, et qu’en se servant de ces symboles, il indiquait que la chose mentionnée était naturellement impossible. Les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau préfèrent se fonder sur la manière réelle de s’exprimer de Jésus et de son disciple Luc, plutôt que de s’appuyer sur la tradition. Pour ce qui concerne les aiguilles à coudre, on a découvert en Terre sainte des aiguilles en os et en métal d’origine ancienne, ce qui prouve que ces objets étaient d’un usage domestique courant dans ce pays.

      ● À propos de la parabole de Jésus, l’homme riche et Lazare, on désigne souvent l’homme riche par le nom de “Dives”. Quelle est l’origine de ce nom ? Jésus ne s’est-​il pas abstenu de donner un nom à l’homme riche ?

      Il est vrai que Jésus n’a pas honoré d’un nom “l’homme riche” de la parabole, mais le portrait qu’il en a fait permet par contre d’identifier la classe de personnes que ce personnage représente (Luc 16:19-22). Bien que la Bible ne lui ait pas donné un nom, l’homme riche est devenu célèbre au cours des années sous le nom de “Dives”. Cela tient au fait que

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