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  • “Ajoutez à (...) votre connaissance la maîtrise de soi”
    La Tour de Garde 1969 | 15 novembre
    • de soi, l’apôtre Paul déclara : “Car c’est ce que Dieu veut, votre sanctification, que vous vous absteniez de la fornication ; que chacun de vous sache comment posséder son propre vase dans la sanctification et l’honneur [ce qui requiert la maîtrise de soi], non dans l’appétit sexuel plein d’avidité tel que celui qu’ont aussi ces nations qui ne connaissent pas Dieu ; que personne n’aille en cela jusqu’à nuire à son frère ou à léser ses droits, parce que Jéhovah est celui qui exige un châtiment pour toutes ces choses.” En faisant preuve d’amour envers nos frères, nous nous garderons de pécher par manque de maîtrise, et cela nous aidera à obéir à l’exhortation suivante : “Ne cessez de rendre droits les sentiers pour vos pieds, afin que le boiteux ne s’y disloque pas, mais guérisse plutôt.” Paul donna un excellent exemple dans ce domaine, disant : “Si donc un aliment fait trébucher mon frère, je ne mangerai plus jamais de chair, pour ne pas faire trébucher mon frère.” — I Thess. 4:3-8 ; Héb. 12:13 ; I Cor. 8:13.

      LES BIENFAITS QUE PROCURE LA MAÎTRISE DE SOI

      19. Quels bienfaits la maîtrise de soi procure-​t-​elle à notre corps et à notre esprit ?

      19 L’exercice de la maîtrise de soi procure de très grands bienfaits. Il doit en être ainsi puisque Jéhovah, le Dieu juste, est le Souverain de l’univers. De même que l’absence de maîtrise provoque des difficultés beaucoup plus importantes que les avantages et les plaisirs immédiats qui en résultent, de même l’exercice de la maîtrise procure des bienfaits qui valent largement les efforts consentis. En premier lieu la manifestation de cette qualité favorise la santé du corps et de l’esprit. Un des plus éminents diététiciens américains déclara que “la santé est la récompense de la tempérance” ou de la maîtrise de soi, que celui “qui s’appuie sur un esprit calme jouira d’une longue vie”. Une enquête récente a montré qu’il y a beaucoup plus de clients pour les psychiatres parmi les étudiantes qui pratiquent la fornication que parmi celles qui préservent leur vertu.

      20. Quels bienfaits spirituels nous procure la maîtrise de soi ?

      20 Plus important encore, la maîtrise de soi nous aide à garder le respect de nous-​mêmes. Nous savons ce que Dieu exige de chacun de nous en particulier, et dans la mesure où nous nous efforçons honnêtement et sincèrement de nous conformer à ses principes, nous jouirons d’une conscience nette et du respect de nous-​mêmes (I Pierre 3:16). Cela nous évitera de ‘suivre la multitude pour faire le mal’. (Ex. 23:2.) De plus, l’exercice de la maîtrise de soi nous aidera à cultiver les autres fruits de l’esprit. Nous ne pourrons connaître la joie que si nous disciplinons notre esprit, notre cœur et notre corps, car la joie chrétienne n’est pas un sentiment superficiel, mais elle est basée sur des principes. Il en est de même pour la paix. Comment pourrons-​nous connaître la paix si nous nous plongeons dans des difficultés pour n’avoir pas exercé la maîtrise de soi ? Comme nous l’avons déjà dit, la longanimité va de pair avec la maîtrise de soi. De même, il faut exercer la maîtrise de soi pour être aimable et doux dans des conditions difficiles ; cette qualité est également nécessaire pour rester attaché à ce qui est bien lorsqu’on est tenté de succomber à la chair. — Gal. 5:22, 23.

      21. Quels bienfaits l’exercice de la maîtrise de soi peut-​elle procurer à nos semblables ?

      21 La maîtrise de soi procure des bénédictions non seulement à nous-​mêmes, mais aussi à nos semblables. En premier lieu, elle nous évitera de faire trébucher notre prochain (Phil. 1:9, 10). Cette qualité nous aidera à donner le bon exemple. Elle favorisera les bonnes relations au sein de notre famille, là où on sous-estime si souvent la nécessité de la maîtrise de soi, dans la congrégation, à notre lieu de travail et à l’école. Si nous avons une position de responsabilité ou que nous aspirions à une telle charge, nous devons faire des efforts très grands pour cultiver la maîtrise de soi, car elle est particulièrement nécessaire. Les musiciens d’un orchestre symphonique jugent leur chef d’après la réponse à cette question : “Demeure-​t-​il maître de lui-​même dans les difficultés ?” Un surveillant chrétien doit être “modéré dans ses habitudes, (...) ordonné, (...) raisonnable”. Cela signifie qu’il doit être “maître de lui”. — I Tim. 3:1-7 ; Tite 1:6-9.

      22. Par-dessus tout, quels bienfaits nous procure l’exercice de la maîtrise de soi ?

      22 Par-dessus tout, la maîtrise de soi nous permettra d’entretenir de bonnes relations avec Jéhovah Dieu et de participer à la justification de son nom. Ce n’est qu’en exerçant cette qualité que nous nous montrerons sages et réjouirons le cœur de Jéhovah, afin qu’il puisse répondre à celui qui l’outrage. En vérité, on n’insistera jamais assez sur la nécessité d’exercer la maîtrise de soi. — Prov. 27:11.

  • Pourquoi les chrétiens cherchent à éviter d’avoir une conduite dissolue
    La Tour de Garde 1969 | 15 novembre
    • Pourquoi les chrétiens cherchent à éviter d’avoir une conduite dissolue

      FAIRE ce qui est bien n’est pas la voie la plus facile et ne signifie pas suivre ses impulsions naturelles. Loin de là ! C’est exactement le contraire. Pour accomplir ce qui est bien, il est nécessaire de faire des efforts consciencieux, d’être vigilant, déterminé, stable dans le but qu’on s’est fixé, tenace et, par-dessus tout, attaché aux principes. Cela signifie reconnaître que Dieu a le droit de nous dicter notre conduite et de nous dire ce que nous ne devons pas faire. Il faut ensuite s’attacher énergiquement à conformer sa vie à la volonté divine. Cela demande de la volonté, de la retenue et une discipline personnelle. Cette voie est juste et sage, car la Parole de Dieu nous dit : “Retiens l’instruction, ne t’en dessaisis pas ; garde-​la, car elle est ta vie.” — Prov. 4:13.

      Pour faire ce qui est bien, même nos premiers parents devaient résister à leurs impulsions et se discipliner. Ainsi, à propos du fruit défendu, Dieu avait donné un ordre qu’Ève a même répété au serpent ; le voici : “Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.” Il fallait de la volonté pour obéir à ce commandement. Mais le fruit défendu devint réellement une tentation pour Ève. En effet, non seulement le serpent lui avait dit qu’elle serait aussi sage que Dieu lui-​même et qu’elle ne mourrait pas si elle en mangeait, mais elle-​même s’était aperçue que le fruit était “bon à manger” et “agréable à la vue”. C’est ainsi qu’une épreuve se présenta à elle : Allait-​elle se discipliner et résister à ses impulsions, en refusant de toucher à ce fruit agréable à la vue, sachant que Dieu lui avait défendu d’en manger ? Allait-​elle croire Dieu, qui avait dit que si elle mangeait de ce fruit elle mourrait, ou le Diable, qui prétendait que Dieu la privait de quelque chose de bon ? — Gen. 3:1-6.

      Si Adam et Ève, alors qu’ils étaient parfaits, devaient exercer leur volonté et se discipliner pour résister à la tentation, à combien plus forte raison les hommes de notre époque, si éloignés de la perfection originelle de nos premiers parents, ont-​ils

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