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Bienfaits qui découlent d’une espérance vivanteRéveillez-vous ! 1979 | 22 novembre
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Une presse favorable
Ces dernières années, des commentaires de presse élogieux ont remplacé les articles sarcastiques et mal informés à propos des Témoins de Jéhovah. Cette année, de nombreux journaux ont parlé à leurs lecteurs de ce qui s’était passé à ces congrès. Désormais, les préjugés semblent avoir fait place à une plus grande objectivité. Quelle impression ces grands rassemblements de chrétiens ont-ils produite sur les journalistes’?
Avec humour, Le Méridional, de Marseille, nous résume ses impressions en ces termes: “Pour leur réunion annuelle, les Témoins de Jéhovah ne laissent rien au hasard. Tout est organisé, dirigé, badgé, étiqueté. Les chemins du Paradis ne doivent pas être aussi bien fléchés, sinon personne ne s’égarerait.” De son côté, Paris-Normandie, journal de l’ouest de la France, constate la bonne organisation du congrès de Caen et exprime son étonnement par ces mots: “C’est une véritable ville dans la ville qui s’est installée dans les locaux du Parc des Expositions caennais. Tout est prévu pour une vie autonome, les services sont bien cloisonnés et les tâches bien réparties. Mais cette grande manifestation des Témoins de Jéhovah est avant tout un prétexte à la prière et à la réflexion. Il n’y a qu’à, pour s’en convaincre, s’en référer au programme.”
Une espérance bien fondée
Incontestablement, sans espérance le bonheur est impossible. Il n’est donc pas étonnant que l’espérance occupe une grande place dans la vie du chrétien. L’apôtre Paul souligne bien ce fait en I Corinthiens 13:13. Là, dans une discussion sur l’amour, il associe à cette qualité l’espérance et la foi, disant: “Or maintenant demeurent la foi, l’espérance, l’amour, ces trois-là.” Oui, l’espérance en Jéhovah et en sa Parole n’est pas décevante. Tout comme l’ancre peut maintenir stable un navire qui subit les assauts d’une tempête, de même l’espérance fondée sur la Bible aidera tous ceux qui étaient présents à ces congrès à garder leur équilibre dans les orages de la vie présente. — Héb. 6:19.
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Les critiques malveillantes ne font pas obstacle à la véritéRéveillez-vous ! 1979 | 22 novembre
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Les critiques malveillantes ne font pas obstacle à la vérité
Les serviteurs de Dieu ne devraient pas être surpris lorsqu’on les critique et que l’on propage de fausses idées sur le message qu’ils prêchent. D’ailleurs, l’apôtre chrétien Pierre écrivit à ses compagnons: “Comme vous ne continuez pas à courir avec eux dans cette course vers le même bourbier de débauche, ils sont déconcertés et parlent de vous en mal.” (I Pierre 4:4). Il arrive parfois que ces critiques éveillent l’intérêt pour le message de la Bible.
Ainsi, au Sénégal, voici ce qui se passa le jour où un homme entra dans ses nouvelles fonctions. “‘Mes collègues, dit-il, se livrèrent à de violentes critiques à l’égard d’un ouvrier qui était absent ce jour-là. ‘Il est fou, disaient-ils; il ne fait que parler de Dieu et essaye sans arrêt de détourner les gens de leur religion. Faites attention! Il va essayer de vous détourner de votre Église, vous aussi.’
“À franchement parler, j’étais perplexe. Ces gens ne me connaissaient pas. Alors, pourquoi me témoignaient-ils tant d’‘intérêt’ et de ‘bienveillance’? Cela piquait plutôt ma curiosité, et j’attendais avec impatience le moment de faire la connaissance de ce ‘fou’ si conspué.
“Le troisième jour, j’ai rencontré dans la matinée un employé que je ne connaissais pas. Il considérait la vie avec enthousiasme, se montrait plein de bonne humeur et ne se départissait pas de son sourire désarmant. Il me souhaita chaleureusement la bienvenue. ‘Ainsi, nous allons être collègues’, dit-il. Il me paraissait tout à fait normal à tous points de vue, mais j’étais sûr que c’était lui, le ‘fou’ contre lequel on m’avait mis en garde. Sans autre introduction je dis: ‘Vous devez être Monsieur Untel...’ Surpris, il répondit: ‘Mais oui, comment se fait-il que vous me connaissiez?’
“Je lui ai expliqué que je le connaissais, tout au moins dans un certain sens, du fait que depuis deux jours ses collègues m’avaient beaucoup parlé de lui. Puisque nous étions compagnons de travail, il profita des pauses pour me parler de la bonne nouvelle du Royaume. Je lui avait déclaré d’emblée que je n’étais pas contre ce genre de conversations, mais que je me refusais catégoriquement à changer de religion. Pourtant, l’après-midi même, le message qu’il prêchait me parut de plus en plus attrayant. Dès le lendemain, j’avais déjà choisi la vérité.”
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