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    • en produits agricoles, etc. Pour ses quatorze années de travail, Jacob reçut en salaire ses deux femmes, Léa et Rachel. Il travailla six années de plus pour la partie du troupeau de Laban sur laquelle ils s’étaient mis d’accord (Gen. 29:15, 18, 27; 31:41). En donnant les mandragores de son fils à Rachel, Léa ‘prit à gages’ Jacob afin qu’il couche avec elle et, pour cette raison, elle parla du fils qui lui naquit comme du “salaire d’homme loué à gages”. (Gen. 30:14-18.) La dîme versée par les Israélites constituait le salaire des Lévites en échange de leur service au sanctuaire (Nomb. 18:26, 30, 31). À l’époque du ministère terrestre de Jésus, le salaire journalier des ouvriers agricoles était sans doute d’un denier (Mat. 20:2). En accomplissement de Zacharie 11:12, Judas Iscariote reçut de la part des prêtres trente pièces d’argent comme “salaire” pour qu’il leur livre Jésus Christ. — Mat. 26:14-16; 27:3-10; Actes 1:18.

      La loi de Dieu donnée à Israël exigeait que les ouvriers à gages soient payés à la fin de la journée de travail (Lév. 19:13; Deut. 24:14, 15). Les Écritures blâment sévèrement ceux qui utilisent malhonnêtement le salaire de tels ouvriers (Jér. 22:13; Mal. 3:5; Jacq. 5:4). Quand un Israélite louait un animal qui était ensuite estropié ou volé, il n’avait pas à payer de compensation au propriétaire en plus de la location. — Ex. 22:14, 15.

      Quand on engage quelqu’un, il faut s’assurer que cette personne est compétente. “Comme un archer qui transperce tout, tel est celui qui prend à gages quelqu’un de stupide ou celui qui prend à gages des passants.” — Prov. 26:10.

      L’hospitalité et l’assistance matérielle offertes à ceux qui se consacrent exclusivement aux intérêts du Royaume peuvent être assimilées à un salaire selon le principe suivant: “L’ouvrier mérite son salaire.” (Luc 10:7; I Tim. 5:17, 18). Par contre, la position de juste devant Dieu et la vie ne sont pas accordées comme un salaire à ceux qui servent Dieu. Ce sont des dons que les serviteurs de Dieu reçoivent grâce à la faveur imméritée de celui-ci par l’intermédiaire de Jésus Christ, parce qu’ils exercent la foi dans le sacrifice rédempteur du Christ. — Rom. 4:2-8; 6:23.

      Puisque le sanctuaire avait été négligé aux jours du prophète Aggée, Jéhovah retira sa bénédiction de sorte que ceux qui se louaient pour des gages se louaient “pour une bourse trouée”, c’est-à-dire que leur salaire était maigre et rapidement dépensé (Aggée 1:3-6). Plus tard, à propos des jours précédant la reconstruction du temple, Jéhovah déclara par l’intermédiaire de Zacharie: “Car avant ces jours-​là il n’y avait pas de salaire pour les humains; et pour ce qui est du salaire des animaux domestiques, il n’y avait rien de la sorte.” — Zach. 8:9, 10.

  • Salamandre
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    • SALAMANDRE

      (héb. letaʼah).

      La Vulgate latine traduit le mot hébreu par un terme qui peut désigner un triton ou une petite salamandre aquatique, un amphibien muni d’une queue. Cet animal ressemble à un lézard, mais sa peau dépourvue d’écailles est molle, fine et humide. Il est apparenté à la grenouille et figure sur la liste des animaux impurs dressée dans la loi mosaïque (Lév. 11:29, 30). Le triton d’Asie Mineure et de Syrie est caractérisé par une bande noire qui court de chaque côté du corps. Né dans l’eau, il mène une vie terrestre pendant deux ou trois ans après la perte de ses branchies, puis retourne dans l’eau pour le restant de ses jours.

  • Salamine
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    • SALAMINE

      Grande ville de Chypre où Paul, Barnabas et Jean Marc ‘annoncèrent la parole de Dieu’, au début du premier voyage missionnaire de Paul, en 47. On ignore combien de temps ils demeurèrent dans cette ville, qui comptait apparemment une nombreuse population juive puisqu’il s’y trouvait plusieurs synagogues. — Actes 13:2-5.

      On identifie généralement Salamine aux ruines situées à environ 5 kilomètres au nord de la ville moderne de Famagouste, ce qui la placerait à l’extrémité orientale d’une grande plaine fertile, juste au nord du fleuve Pidhias (Pediaeus). Salamine était donc à environ 200 kilomètres à l’ouest-sud-ouest de Séleucie, en Syrie, d’où Paul avait fait voile pour Chypre. Bien que la Bible ne précise pas si le bateau sur lequel Paul voyagea mit l’ancre à Salamine, cette ville possédait autrefois un bon port, qui est comblé aujourd’hui.

      Il semble qu’au moins une route reliait Salamine à Paphos, à l’autre bout de l’île, ce qui put faciliter les déplacements de Paul et de ses compagnons lorsqu’ils prêchèrent à travers “toute l’île jusqu’à Paphos”. — Actes 13:4-6.

      Barnabas et Jean Marc revisitèrent probablement Salamine vers l’an 49. — Actes 15:36-39.

  • Salarié
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    • SALARIÉ

      {Article non traduit.}

  • Salécah
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    • SALÉCAH

      {Article non traduit.}

  • Salem
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    • SALEM

      (“paix”).

      Ville de l’Antiquité où Melchisédek fut roi et prêtre (Gen. 14:18). Puisque l’orthographe du mot hébreu pour “Salem” suggère qu’il s’agit de la forme dite duel, on peut rendre ce mot par “double paix”. Les paroles divinement inspirées d’Hébreux 7:2 confirment que ce mot signifie bien “paix”.

      L’ancienne tradition juive identifie Salem à Jérusalem et le témoignage de l’Écriture corrobore cette assertion. En effet, Abraham rencontra le roi de Sodome et Melchisédek dans “la Basse Plaine du roi”. Or, puisque c’est dans cette basse plaine que des siècles plus tard Absalom, fils du roi David, érigea un monument, elle devait se trouver près de Jérusalem, la capitale du royaume (Gen. 14:17, 18; II Sam. 18:18). En fait, le mot “Salem” se retrouve dans le nom “Jérusalem”, et le psalmiste l’employa en parallèle avec “Sion”. (Ps. 76:2.) En outre, il semble très approprié que Melchisédek ait exercé la royauté et la prêtrise à l’endroit même où servirent, par la suite, les rois de la lignée davidique et les prêtres de la lignée aaronique, et où fut offert en sacrifice Jésus Christ, celui que Dieu choisit pour être roi et prêtre “à la manière de Melchisédek”. — Héb. 3:1; 7:1-3, 15-17.

  • Salim
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    • SALIM

      {Article non traduit.}

  • Sallaï
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    • SALLAÏ

      {Article non traduit.}

  • Sallu
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    • SALLU

      {Article non traduit.}

  • Salma
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    • SALMA

      {Article non traduit.}

  • Salmaï
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    • SALMAÏ

      {Article non traduit.}

  • Salmanasar
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    • SALMANASAR

      (Salmaneser) [“le dieu Salman est chef”].

      Cinq monarques assyriens différents portent ce nom; cependant, seulement deux d’entre eux semblent avoir eu des contacts directs avec Israël: Salmanasar III et Salmanasar V. En fait, seul ce dernier est mentionné dans le récit biblique.

      1. Salmanasar III succéda à son père Assurbanipal sur le trône d’Assyrie. Sur une inscription, il parle de lui-​même comme du “roi du monde, le roi sans rival, le ‘Grand Dragon’, la [seule] autorité aux [quatre] bords [de la terre]”. (Textes anciens du Proche-Orient [angl.], par J. Pritchard, page 276.) On considère qu’il régna pendant près de trente-cinq ans. Il semble qu’il ait mené des campagnes militaires pour conserver et étendre son empire, et ce pendant trente et une de ses années de règne. Salmanasar III déclencha plusieurs attaques à l’ouest contre les royaumes araméens de Syrie.

      UNE INSCRIPTION QUI PARLERAIT D’ACHAB

      L’inscription qui figure sur le monolithe de Salmanasar III décrit la bataille de Qaarqar (près de Hamat, dans la vallée de l’Oronte), bataille qui se déroula dans la sixième année du règne de Salmanasar. Là, les Assyriens combattirent les armées coalisées de douze rois, pour la plupart syriens. Cependant, l’énumération de ces rois inclut un certain Ahaabbu mat Sirilaaa. Les ouvrages de référence modernes transcrivent souvent ce nom en “Achab l’Israélite”, et la participation d’Achab dans la bataille en tant qu’allié aux Syriens est généralement considérée comme un fait reconnu. Pourtant, la Bible ne fait pas mention d’un tel événement et, malgré l’apparente similarité entre les noms, de sérieuses raisons nous amènent à douter de l’identification d’Ahaabbu mat Sirilaaa à Achab l’Israélite.

      Les annales de Salmanasar révèlent que dans sa dix-huitième année de règne, ou douze ans après la bataille de Qaarqar, il combattit Hazaël de Damas. Voici ce que dit l’une de ces inscriptions: “Alors je reçus le tribut des Tyriens, des Sidoniens, et de Jéhu, descendant d’Omri.” Par conséquent, identifier Ahaabbu au roi Achab amènerait la chronologie biblique à se contredire. Celle-ci montre en effet qu’entre la mort d’Achab et le règne de Jéhu une période de quatorze ans s’est écoulée, période qui inclut les règnes d’Achaziah et de Joram (I Rois 22:51; II Rois 3:1). Certes, la plupart des commentateurs pensent que la prétendue association d’Achab à la coalition syrienne se situe vers la fin de son règne, mais cela ne correspond pas encore à la chronologie biblique. Reconnaissant ce problème, les biblistes Kamphausen et Kittel estiment que dans les documents assyriens ‘le nom d’Achab fut confondu avec celui de Joram’. (Dictionnaire de la Bible [angl.] de Hastings, vol. I, p. 53.) Cependant, la Bible ne fait pas mention d’une quelconque participation de Joram à la bataille de Qaarqar. Il est également difficile d’expliquer pourquoi Achab se serait allié avec les ennemis jurés d’Israël dans cette coalition. Par conséquent, il est très probable que la transcription de Ahaabbu mat Sirilaaa en “Achab l’Israélite” soit erronée.

      SES INSCRIPTIONS RELATIVES À HAZAËL ET À JÉHU

      La prophétie que Jéhovah donna par l’intermédiaire d’Élisée s’est accomplie: Hazaël, le chambellan du roi Ben-Hadad de Damas, tua son maître et devint roi, et ce probablement vers la fin du règne du roi Joram (vers 917-​905 av. n. è.) (II Rois 8:7-15). Une inscription de Salmanasar confirme ces événements par ces mots: “Hadadézer [Adad-idri, sans doute Ben-Hadad de Damas] étant mort, Hazaʼilu [Hazaël], fils de personne, s’empara du trône.” Cette inscription parle des conflits entre Hazaël et les Assyriens qui ont eu lieu dans la dix-huitième et la vingt et unième année de Salmanasar. Les Assyriens remportèrent plusieurs victoires, mais ne purent jamais s’emparer de Damas. — Textes anciens du Proche-Orient (angl.), page 280.

      Le nom de Jéhu, roi d’Israël (vers 905-​876 av. n. è.), apparaît aussi sur l’“obélisque noir” de Salmanasar III (à présent au British Museum) dans le texte qui accompagne un bas-relief représentant peut-être un ambassadeur de Jéhu qui s’agenouille devant le roi assyrien et lui apporte des présents. L’inscription déclare: “Tribut de Jéhu (Iaua), fils d’Omri (Huumri) [ce qui signifie successeur d’Omri]; je reçus de lui de l’argent, de l’or, un bol d’or, un vase d’or avec une base en pointe, des gobelets d’or, des seaux d’or, de l’étain, le sceptre d’un roi.” (Textes de la Bible et de l’ancien Orient, de Franck Michaeli, page 57). Le récit de la Bible concernant Jéhu ne mentionne pas ce tribut. Certes, le roi d’Israël a pu prendre une telle mesure, étant donné la situation décrite en II Rois 10:31-33, mais il ne serait pas étonnant que, dans leur orgueil, les monarques assyriens aient introduit des déclarations totalement fausses tant dans leurs annales que dans leurs bas-reliefs.

      2. Salmanasar V était le successeur de Tiglath-Piléser III. Si l’on s’en tient aux récits profanes, son règne est obscur et, semble-​t-​il, de courte durée. On ne sait pas si c’était un fils de Tiglath-Piléser ou un usurpateur. Une inscription historique parle de la restauration par Salmanasar V d’un temple de Nabu à Borsippa, en Babylonie. Salmanasar V, inscrit sous le nom d’Ululaia, fut apparemment roi de Babylone pendant cinq ans (Textes anciens du Proche-Orient, page 272). Josèphe cite aussi Ménandre, le Tyrien, lorsqu’il décrit le siège de Tyr mené par Salmanasar V (Histoire ancienne des Juifs, liv. IX, chap. XIV, par. 3). Ces références mises à part, la Bible est la principale source d’informations en ce qui concerne ce roi.

      ISRAËL EST DOMINÉ

      Durant le règne d’Osée, roi d’Israël (vers 748-​740 av. n. è.), Salmanasar V s’avança en Palestine; Osée devint son vassal et dut lui verser un tribut annuel (II Rois 17:1-3). Mais, plus tard, Osée refusa de payer ce tribut et, finalement, trama une conspiration avec Sô, le roi d’Égypte. Voilà pourquoi Salmanasar emprisonna Osée et, par la suite, assiégea Samarie pendant trois ans. La ville pourtant bien fortifiée finit par tomber, et les Israélites furent emmenés en exil. — II Rois 17:4-6; 18:9-12; voir Osée 7:11; Ézéchiel 23:4-10.

      Le récit biblique n’attribue pas explicitement la prise finale de Samarie à Salmanasar. Sargon II, qui succéda à Salmanasar V sur le trône assyrien, prétendit que c’était lui qui s’était emparé de cette ville. Même si nombre d’assyriologues pensent que Salmanasar mourut ou fut assassiné pendant le siège et que Sargon II termina la conquête, il reste encore à savoir si ce dernier le fit vraiment. En tout cas, les récits concernant Sargon mentionnent la déportation de 27 290 Israélites et la transplantation à Samarie de gens venant d’autres pays conquis. — Voir Ninive et l’Ancien Testament, d’André Parrot, pages 30 à 32.

  • Salmon
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    • SALMON

      Fils d’un chef de Juda nommé Nahschon, Salmon est probablement né au cours des quarante années de pérégrinations des Israélites dans le désert. Il épousa Rahab de Jéricho et, par elle, devint père de Boaz. Il est donc l’un des chaînons de la lignée généalogique

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