BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • g84 22/8 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1984
  • Intertitres
  • Document similaire
  • Les catastrophes naturelles en 1983
  • La conquête de l’espace — vue des États-Unis
  • Les aérosols — innocents?
  • Violence et cinéma
  • À la recherche des secrets de Joseph
  • Le suicide en France
  • Une monnaie inutile
  • Molécules pour nettoyage industriel
  • Les Torahs mises en fichier
  • L’ancien est plus solide
  • Un petit bijou brésilien
  • Les exploits du cerveau
  • Des amaigrissements cauchemardesques
    Réveillez-vous ! 1983
  • Que penser des aérosols?
    Réveillez-vous ! 1978
  • Où en sont les vols spatiaux habités ?
    Réveillez-vous ! 1972
  • Coup d’œil sur le monde
    Réveillez-vous ! 1978
Plus…
Réveillez-vous ! 1984
g84 22/8 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

Les catastrophes naturelles en 1983

● Dans un récent article, le quotidien Le Matin, citant le Centre de documentation et d’information de l’assurance [français], rappelait que “l’année 1983 ‘a battu tous les records’ en matière de catastrophes naturelles dans le monde: celles-ci ont fait plus de 6 000 morts, environ 500 000 sans-abri et coûté quelque 20 milliards de francs aux compagnies d’assurances (...). Les dommages les plus élevés ont été enregistrés aux États-Unis, avec un total de 2 milliards de dollars (environ 16 milliards de francs [français]). L’ouragan ‘Alicia’, qui a ravagé en août dernier la côte sud des États-Unis, est l’une des trois plus importantes tornades jamais survenues dans cette région du monde, indique le Centre”.

● Pour la même année, le Bureau géologique des États-Unis signale qu’il y a eu dans le monde 70 tremblements de terre “importants”. Selon M. Waverly Person, un spécialiste en géophysique, “ce chiffre est en hausse de 14 par rapport à 1982, de 20 par rapport à 1981, mais en diminution de une unité par rapport à 1980”. Sont considérés comme “importants” les tremblements de terre ayant atteint une magnitude de 6,5 sur l’échelle de Richter, et ceux qui ont causé des dégâts considérables ou entraîné de nombreuses pertes en vies humaines.

La conquête de l’espace — vue des États-Unis

● Le président des États-Unis, M. Ronald Reagan, vient de donner son accord à un projet de station spatiale habitée en permanence, station qui devrait être mise en orbite vers 1992. Le périodique Maclean’s relate que le président américain a entouré cette annonce “d’un discours riche en propos rhétoriques nationalistes et en projets grandioses de colonisation de l’espace”. Le premier équipage devrait être composé de cinq hommes et de deux femmes, tous spécialistes dans leurs domaines respectifs. Le nombre de personnes à bord pourrait augmenter par la suite, au fur et à mesure que cette station prendra de l’extension. C’est la navette spatiale qui devrait servir au transport de l’équipement et des éléments nécessaires à la construction. À combien évalue-​t-​on un tel projet? Le budget initial devrait tourner autour de 8 milliards de dollars [64 milliards de francs français] et pourrait atteindre les 30 milliards de dollars [240 milliards de francs] d’ici la fin du siècle. Ce projet est loin de faire l’unanimité des savants. Pour l’Académie nationale [américaine] des Sciences, “il ne répond pas à un besoin dans le domaine scientifique”. La plupart des expériences pourraient être confiées, pour un prix de revient bien inférieur, à des satellites automatiques, non habités. D’autres personnes se plaignent de voir tant d’argent englouti dans ce programme, à l’heure où les dépenses sociales sont largement amputées à cause de l’énorme déficit du budget américain. Cette colonisation de l’espace semble être surtout une question de prestige national. Le président Reagan a d’ailleurs déclaré: “Nous pouvons être fiers de dire que nous sommes les meilleurs, que nous sommes les plus forts.”

Les aérosols — innocents?

● Selon le Daily Telegraph, quotidien londonien, des savants britanniques travaillant sur la base Faraday, dans l’Antarctique, auraient démoli la théorie selon laquelle les aérosols sont dangereux pour l’atmosphère terrestre. Depuis plusieurs années, on affirme communément que les fluorocarbones dégagés par ces aérosols entraînent la disparition de l’ozone contenu dans la couche atmosphérique. Or, ce gaz protège la vie sur la terre en absorbant une grande partie des rayons ultraviolets qui viennent de l’espace. Sur la base Faraday, les savants mesurent depuis des années les radiations qui atteignent le sol dans cette région du globe et ils n’ont pas constaté d’augmentation notable dans ce domaine. Ils en ont conclu que la couche d’ozone n’avait pas diminué et que les aérosols devaient être mis hors de cause. D’après le Daily Telegraph, “ces découvertes risquent de mettre dans l’embarras le Congrès américain et le Parlement européen. En effet, dans les années 70, ces deux institutions avaient pris des mesures visant à limiter l’usage de ces aérosols”.

Violence et cinéma

● L’Institut Louis Harris vient de réaliser, pour l’hebdomadaire catholique La Vie, un sondage sur le thème du cinéma et de la violence. Principal résultat: “Un Français sur deux estime que le cinéma entretient ou développe la violence...” Après avoir énuméré une liste de différents films à succès récemment projetés en France, films qui comportaient tous des scènes de violence, l’article du périodique poursuit: “Ce qui semble pourtant se généraliser aujourd’hui, c’est la présence, quasi systématique, de scènes de grande brutalité. (...) Le phénomène déborde les films à classer dans un genre délibérément violent (films ‘d’action’ annoncent pudiquement les programmes). De plus en plus de films dits ‘grand public’ contiennent en effet aujourd’hui leur séquence de bagarre, de passage à tabac, de tortures sadiques, ou de sévices sexuels, comme si elles faisaient naturellement partie d’un scénario normal. Et plus les productions se multiplient, plus ces habitudes s’installent, et banalisent la violence la plus dure.”

À la recherche des secrets de Joseph

● Selon le Sunday Herald, périodique du New Jersey (États-Unis), “plus de 4 000 ans après que le Joseph de l’Ancien Testament ait sauvé les Égyptiens de la famine en stockant des céréales dans le désert, (...) les savants israéliens se penchent sur ses méthodes en vue de lutter contre la famine dans les pays touchés aujourd’hui par la sécheresse”. Ce projet est mené en collaboration avec le ministère de l’Agriculture des États-Unis. Selon le professeur Moshe Kalderon, le directeur de ces recherches, ce dernier pays “a pas mal de céréales à vendre”. On a donc construit une tente hémisphérique blanche où l’on peut emmagasiner plus de 500 tonnes de grain. Mais les savants cherchent surtout à savoir comment Joseph a pu, malgré l’humidité et les insectes, garder toutes ces réserves pendant les sept ans d’abondance et pendant les sept années de pénurie. La Bible est muette sur ce sujet.

Le suicide en France

● Après avoir parlé de l’augmentation inquiétante du nombre de suicides chez les jeunes en France — le taux de ces suicides a doublé en trente ans, de 1950 à 1980 — le journal Le Monde donne les résultats de deux sondages organisés récemment autour de ce problème. “Pour 47 % les personnes interrogées estiment que ‘le suicide est une affaire personnelle’ qu’il est ‘difficile de juger de l’extérieur’. Pour 30 %, en revanche, elles pensent qu’il s’agit d’un ‘acte de folie’ ou ‘d’une lâcheté’.” Une autre enquête révèle que “51 % des mille personnes de plus de dix-huit ans interrogées pensent que se donner la mort est ‘un droit fondamental de l’individu’”.

Une monnaie inutile

● Après 704 années d’existence, la pièce d’un demi-penny ne sera plus frappée en Grande-Bretagne et elle sera démonétisée vers la fin de cette année. C’est le roi Edouard Ier qui l’avait mise en circulation, en 1280. À l’origine elle était en argent, mais, aujourd’hui, c’est tout juste si on se baisserait pour en ramasser une. Elle coûte maintenant plus cher à fabriquer que sa valeur nominale. Comme de plus les prix ne varient plus que par un penny ou par multiples de cette quantité, personne ne se plaint vraiment de cette disparition. On estime à 2,5 milliards le nombre de pièces de cette valeur en circulation.

Molécules pour nettoyage industriel

● Selon une dépêche rapportée par le journal La Presse, quotidien de Montréal, “deux biologistes canadiens ont découvert des molécules capables de reconnaître et d’attirer des métaux dangereux et pouvant ainsi servir d’‘aspirateurs microscopiques’ dans les centrales nucléaires et l’industrie métallurgique”. Ces molécules “‘avaient’ 99,999 p. cent de la radioactivité du cobalt 60, une des scories les plus chaudes des réacteurs nucléaires, permettant la décontamination de l’eau de refroidissement et la fusion au verre des déchets concentrés. Fixées au verre ou au téflon, elles sont réutilisables indéfiniment: une augmentation du taux d’acidité ou une décharge électrique leur font relâcher leur ‘moisson’ métallique”.

Les Torahs mises en fichier

● Les Torahs, copies manuscrites des cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse, disparaissent régulièrement des synagogues des États-Unis. Chaque année, environ 200 de ces rouleaux sacrés sont ainsi volés. Or, chacun d’entre eux est évalué en moyenne à 25 000 dollars [200 000 francs français]. On ne les retrouve que très rarement, car ils se ressemblent tous une fois qu’on en a enlevé la couverture et les rouleaux. Les lois juives interdisent qu’on mette une marque visible sur ces manuscrits et l’on n’avait trouvé jusque-​là aucun moyen de les identifier. Après trois ans de recherches, on est arrivé à une solution acceptable par les autorités religieuses. Chaque Torah sera codée, et ce d’une manière unique, par des séries de huit “microperforations”, petits trous invisibles à l’œil nu, mais détectables par des équipements spécialisés. Un fichier informatisé, accessible aux services de police, regroupera tous ces renseignements.

L’ancien est plus solide

● Selon le Sun Telegraph, journal londonien, les ingénieurs israéliens ont dû faire appel aux techniques utilisées dans l’Antiquité pour le génie civil. Leur problème venait de la digue construite en 1971 à Ashdod, digue qui se disloquait. N’ayant pas trouvé de solution, les ingénieurs se sont tournés vers le Centre d’études maritimes de Haïfa. Les chercheurs de cet établissement ont examiné la digue construite par Hérode, à Césarée, à 80 kilomètres au nord d’Ashdod. M. Avner Rahand, spécialiste de cette université, a déclaré, à propos de cet ouvrage construit il y a environ 2 000 ans: “Nous avons constaté que les ingénieurs d’Hérode avaient pris plus de précautions et opéraient selon des techniques plus poussées que celles mises en œuvre à Ashdod.” Pour la reconstruction, on a donc suivi l’ancienne méthode: faire d’abord un fondement solide de roches et de galets. Aux dernières nouvelles, la digue tient bon.

Un petit bijou brésilien

● “Un bijou pour vous défendre”, telle était l’offre faite par un joaillier brésilien, au mois de décembre dernier, pour vanter les mérites d’un pistolet pour dame serti de diamants. D’autres réclames analogues proposaient des pistolets pour des sommes allant de l’équivalent de 500 à 1 000 francs français avec pour slogan “Sentez-​vous plus en sécurité”. Selon le New York Times, on a vendu officiellement à São Paulo 40 000 pistolets au cours des trois derniers trimestres de 1983, de plus, 7 000 armes illégales ont été confisquées. L’expansion du marché des armes, des chiens de garde, des systèmes d’alarme et des gardes du corps est la conséquence d’un accroissement de la violence et de la criminalité qui fait régner la peur dans le cœur de nombreux Brésiliens. Un sondage de l’Institut Gallup révèle qu’à São Paulo quatre personnes sur dix ont été au moins une fois victimes de la criminalité. Les autorités expliquent cette évolution par “une situation tragique sur le plan financier, le manque de travail, ou d’une manière plus générale, par les difficultés de la vie”.

Les exploits du cerveau

● Le professeur Marco Trabucchi, de l’Institut de pharmacologie de l’université de Brescia, a expliqué, lors d’une conférence tenue à Milan, que le cerveau, avec sa centaine de milliards de cellules nerveuses ou neurones, est capable de traiter en dix secondes dix millions d’informations élémentaires. (À titre de comparaison, les cinq ordinateurs embarqués à bord de la navette Columbia ne peuvent faire, tous ensemble, que 325 000 opérations par seconde.) Tout aussi surprenant est le fait que, dans cet intervalle, ces dix millions d’informations sont fournies au cerveau par les différents organes et leur sont ensuite envoyées après traitement. Quatre millions d’informations viendraient des yeux, cinq millions de la peau, 300 000 des oreilles et le reste de l’odorat et du goût.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager