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  • Consolation pour les hommes qui soupirent et qui gémissent
    La Tour de Garde 1952 | 15 mars
    • cette classe de personnes de bonne volonté, car elles ont reçu un signe spécial permettant de les reconnaître. “ Jéhovah lui dit : Passe par le milieu de la ville, par le milieu de Jérusalem (la ville appelée par le nom de Dieu et qui fut une image appropriée de la chrétienté actuelle), et marque d’un Thau (d’un signe, note marg.) le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. ” À Armaguédon, lorsque cette œuvre d’identification aura été accomplie, nous dit la prophétie, les exécuteurs envoyés par le Dieu tout-puissant passeront rapidement et extermineront tout homme, toute femme et tout enfant qui n’aura pas le signe, c’est-à-dire tous ceux qui ne gémissent pas et qui ne soupirent pas à cause de la méchanceté qui règne sur la terre. — Éz. 9:2-5, Cr 1905.

      CONSOLATION ET CONSEIL

      La consolation de ces affligés vient du “ Dieu de toute consolation ”, de celui “ qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes nous-​mêmes consolés de Dieu, nous puissions consoler tous ceux qui sont dans quelque affliction ”. — II Cor. 1:3, 4 ; 7:6 ; II Thess. 2:16, Ostervald.

      C’est “ par la consolation que donnent les Écritures ” que Jéhovah donne l’espoir à ceux qui ne sympathisent pas avec le présent système de choses (Rom. 15:4). C’est par le moyen des Écritures inspirées que Jéhovah dit : “ Cherchez Jéhovah, vous tous humbles du pays qui avez pratiqué sa loi ; recherchez la justice, recherchez l’humilité. Peut-être serez-​vous mis à couvert de la colère de Jéhovah. ” “ Cherchez Jéhovah et vous vivrez,... cherchez le bien et non le mal, afin que vous viviez, et qu’ainsi Jéhovah, le Dieu des armées, soit avec vous, comme vous le dites. Haïssez le mal et aimez le bien, et faites régner le droit à la porte. ” “ Vous qui aimez Jéhovah, haïssez le mal ! ” (Soph. 2:3 ; Amos 5:6, 14, 15 ; Ps. 97:10, Cr 1905). “ Que votre amour soit sans hypocrisie. Ayez horreur du mal ; soyez fermement attachés au bien. ” “ Qu’il s’éloigne de l’iniquité, celui qui prononce le nom du Seigneur (Jéhovah) ! ” — Rom. 12:9, Stapfer ; II Tim. 2:19, Cr.

      Si quelqu’un aime la justice et hait le mal, comme cette classe de personnes qui n’approuve pas l’organisation du monde actuel, alors il fuira la voie corrompue de l’injustice et suivra le chemin conduisant au glorieux monde nouveau. Avec ceux qui n’accordent plus aujourd’hui leur approbation et leur appui au monde babylonien du Diable et qui se soumettent entièrement au monde nouveau de Jéhovah, il aura la merveilleuse possibilité de vivre éternellement sous ce gouvernement théocratique, pour la louange, la gloire et la justification de Jéhovah Dieu.

  • La commémoration — Avez-vous le droit de participer aux emblèmes ?
    La Tour de Garde 1952 | 15 mars
    • La commémoration — Avez-​vous le droit de participer aux emblèmes ?

      “ Que chacun donc s’éprouve soi-​même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe. ” — I Cor. 11:28.

      Chaque année, au début du printemps de l’hémisphère nord, les nations sont témoins de la célébration de repas religieux par certains systèmes de croyance, repas entre lesquels semble exister un lien. Cette année les juifs mangent leur pâque le mercredi soir 9 avril, les catholiques et les protestants célèbrent le Vendredi saint le 11 avril, tandis que les systèmes catholiques grecs ont cette solennité le vendredi suivant, 18 avril.

      Les milliers de groupes de témoins de Jéhovah répartis dans 121 pays célèbrent le souper qui commémore la mort du Christ le jeudi soir 10 avril. La raison pour laquelle les dates de la fête des juifs et des célébrations de tous ceux qui se disent chrétiens sont si proches l’une de l’autre est l’institution, la nuit de pâque, immédiatement après que Jésus et ses fidèles apôtres, Juifs selon la chair, eurent mangé le festin pascal, du souper qui rappellerait le souvenir de la mort du Christ. Au cours de ce repas, Jésus donna à ses disciples des instructions dont l’objet était une commémoration annuelle à cette date anniversaire. Les témoins de Jéhovah obéissent scrupuleusement à celles-ci et célèbrent le repas commémoratif à la date anniversaire, à savoir le 14e jour du mois juif de Nisan alors que les sectes catholiques et protestantes font une célébration pendant un jour de semaine, le vendredi le plus proche du 14 Nisan : vendredi est le jour où, sur le Calvaire, Jésus fut cloué au poteau sur lequel il mourut en martyr.

      1, 2. Quelle question se pose ici et que nous conseille Paul ?

      PARTICIPER ou ne pas participer aux emblèmes — c’est là la question. Que vous soyez catholique ou protestant, chrétien ou non, il vous faut déterminer la réponse à cette question relative au souper commémoratif du Seigneur. Voici ce que nous conseille l’apôtre Paul :

      2 “ Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-​même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-​même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-​mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur (Jéhovah, NW), afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-​vous les uns les autres. Si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. ” — I Cor. 11:23-34.

      3, 4. Sur quelles personnes confuses spirituellement nous renseignons-​nous et pourquoi ?

      3 Êtes-​vous parmi ceux dont Paul disait en son temps qu’ils étaient morts spirituellement alors que beaucoup d’autres étaient infirmes et malades ? Nous posons cette question parce que de nos jours des centaines de millions d’humains pratiquent à la rigueur une forme de célébration du repas du Seigneur ou eucharistie pour employer leur désignation, et pourtant quelle est leur condition spirituelle ? Ces multitudes de catholiques et de protestants sont spirituellement très malades, ils sont faibles dans la foi et dans les œuvres chrétiennes. Un bon nombre de ces pratiquants sont spirituellement morts lorsqu’il s’agit de réagir et de s’éveiller au glorieux message du royaume de Dieu que les témoins de Jéhovah proclament actuellement dans le monde entier. Leur condition religieuse, morale et sociale répond à la description que l’apôtre Paul fit en ces termes :

      4 “ Les hommes seront épris d’eux-​mêmes, attachés à l’argent, vaniteux, arrogants, médisants, rebelles à leurs parents, ingrats, profanes, durs, implacables, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d’orgueil, amis du plaisir plutôt que de Dieu, gardant l’apparence de la piété, mais ayant renié ce qui en fait la force... Les méchants et les imposteurs s’enfonceront toujours plus dans le mal, égarant les autres en s’égarant eux-​mêmes. ” — II Tim. 3:2-5, 13, Sy.

      5, 6. a) Que signifie la condition grave dans laquelle se trouve la chrétienté et quelle est la racine du mal ? b) Quelle question devons-​nous trancher avec intelligence afin d’éviter de nous attirer un jugement ?

      5 Dans la chrétienté cette condition s’aggrave chaque année. Que signifie-​t-​elle ? Que les “ derniers jours ” de la chrétienté et de ce monde sont là, et que tous ceux qui ne sortent pas de cette basse condition spirituelle risquent d’être détruits lors de la guerre universelle d’Armaguédon par laquelle prendra fin ce système de choses. En effet, l’apôtre commence la description précitée par ces termes : “ Sache que, dans les derniers jours, il surviendra des temps difficiles. ” Le plus grand nombre de ces religionistes ayant une apparence de piété s’efforcent au moins une fois l’an, le Vendredi saint, de prendre ce qu’ils appellent la “ sainte communion ”. Alors, qu’est-​ce qui est responsable de leur état de santé spirituel dangereusement pauvre ? Le même apôtre révèle la racine de leur mal dans sa discussion sur le repas du Seigneur. Il dit : “ Que chacun donc s’éprouve soi-​même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et qui boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-​même. ” Voilà où est le mal ! “ C’est pour cela, poursuit Paul, qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. ” — I Cor. 11:28-30.

      6 Ils ne comprennent pas la signification des emblèmes dont Jésus se servit lors du souper commémoratif. Ils ne se rendent pas compte de leur responsabilité ou ils ne la prennent pas au sérieux lorsqu’ils participent à ces emblèmes, même en apparence. Ils nient donc le pouvoir qu’exercerait la vraie piété dans leur vie et sous ce rapport ils sont infirmes et malades, s’ils ne dorment déjà dans la mort. La date anniversaire du souper du Seigneur approche. On doit l’observer “ jusqu’à ce qu’il vienne ”. Voulez-​vous participer à ce repas commémoratif, et êtes-​vous digne de le partager avec les disciples du Christ ? Avez-​vous l’obligation selon l’ordre du Seigneur de prendre part aux emblèmes ou en êtes-​vous exclu ? C’est là la question que chacun doit trancher soi-​même après s’être éprouvé. Il faut que les participants discernent le corps du Seigneur et se rendent compte de ce que signifie pour eux le fait de prendre les emblèmes de la Commémoration. Sans cela, ils y participeront pour leur jugement.

      INTERPRÉTATIONS DIFFÉRENTES

      7, 8. Quelles conséquences résultant des différentes manières de comprendre révèlent une santé spirituelle pauvre, et à propos de quels termes y a-​t-​il une grande controverse ?

      7 Les différentes manières de comprendre ce que signifient les emblèmes de la Commémoration ont été la cause de grands schismes, de controverses, de guerres de religion et de persécutions, qui ont fait couler beaucoup de sang et pendant lesquels on a commis des actes peu chrétiens en raison de leur cruauté. Ceci indique une santé spirituelle très pauvre qui est la conséquence d’un manque de discernement du corps du Seigneur. La grande controverse sur la signification des termes a engendré toutes sortes d’impiétés. Pour que nous ayons sous nos yeux les paroles de Jésus et les privilèges qu’il conféra à ses disciples, nous citons ci-après le récit de l’introduction du souper commémoratif parmi eux :

      8 “ Et les disciples firent comme Jésus l’avait ordonné, et ils préparèrent la Pâque. Le soir venu, lui et les douze disciples étaient étendus autour de la table... Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain. Après avoir prononcé une bénédiction, il le rompit et, le donnant à ses disciples, il dit : Prenez, mangez. Ceci signifie mon corps. Il prit aussi une coupe et, ayant rendu grâces, il la leur donna, en disant : Buvez-​en tous, ceci signifie mon — sang de l’alliance — qui doit être répandu pour beaucoup, pour la rémission des péchés. Je vous le dis, désormais je ne boirai plus de ce produit de la vigne jusqu’au jour où j’en boirai du nouveau avec vous dans le royaume de mon Père. ” — Mat. 26:19-29, NW ; Marc 14:22-25, Mo.

      9. Pourquoi beaucoup objecteront-​ils contre cette traduction ? Qu’affirment-​ils avec insistance et que prétendent-​ils ?

      9 Certes, beaucoup trouveront à redire à la traduction ci-dessus. Pourquoi ? Parce qu’elle emploie les expressions “ Ceci signifie mon corps ”, “ Ceci signifie mon sang ”. Ils élèveront des objections, bien que la version Moffatt dise : “ Il signifie mon corps ”, “ Ceci signifie mon sang ” et la version Chas. B. William : “ Il représente mon corps ”, “ Ceci représente mon sang ”. (Voyez aussi dans la version Weymouth le renvoi au bas de la page au verset 26 de Matthieu 26.) Les objecteurs disent qu’il s’agit ici d’une interprétation ou d’une explication mais non d’une traduction. Ils affirment avec insistance que la version catholique Crampon et les versions protestantes Segond et Synodale traduisent invariablement “ Ceci est mon corps ”, “ Ceci est mon sang ”. Ils prétendent que lorsque Jésus prononça ces paroles un changement eut lieu dans la substance du pain et du vin.

      10. Quelles sont les affirmations du clergé à propos de la transsubstantiation et de cette façon que fait-​il semblant de créer et de sacrifier ?

      10 Le clergé catholique enseigne la doctrine de la transsubstantiation, en disant que la substance du pain et du vin fut réellement changée en celle du corps et du sang de Jésus lorsque celui-ci prononça les paroles susmentionnées. Les orthodoxes ou catholiques grecs appellent cette opération une transmutation. Mais eux affirment que c’est le saint esprit qui transforme le pain et le vin en chair et en sang véritables de Jésus et non le prêtre orthodoxe qui consacre le pain et le vin. Ce dernier prie sur ces substances pour que le saint esprit produise le changement miraculeux. Quant au clergé catholique romain, il déclare que c’est le prêtre officiant qui change miraculeusement l’hostie et le vin en chair et en sang en répétant les paroles que Jésus prononça lorsqu’il offrit ces emblèmes à ses apôtres fidèles. Or puisqu’il croit à la trinité, que Jésus est le Dieu tout-puissant, il s’ensuit que le prêtre fait descendre Dieu des cieux sur l’autel de la messe et le crée pour le sacrifice. Dieu est la création du clergé, et cette fois-​ci c’est ce dernier qui cause la mort par le sacrifice et non les soldats romains qui, placés sous les ordres de Ponce Pilate, causèrent à l’instigation des prêtres juifs, des scribes et du sanhédrin, une telle mort il y a dix-neuf siècles.

      11. Quelle est la doctrine relative à la “ messe ”, comment assujettit-​elle Dieu et rend-​elle le peuple dépendant ?

      11 Le National Catholic Almanac de 1948 définit la messe

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