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  • Couronne
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    • de feuilles d’olivier sauvage, et ceux des jeux Isthmiques (qui se déroulaient près de Corinthe), des couronnes de branches de pin.

  • Courrier
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    • COURRIER

      Préposé choisi particulièrement dans la garde du corps royale pour transmettre les décrets ainsi que toute autre correspondance urgente du roi dans les différentes parties du son royaume. La vitesse avec laquelle les courriers s’acquittaient de leur mission avait une importance capitale. Très tôt on désigna ces préposés sous le nom de “coureurs”, notamment en II Chroniques 30:6, 10 et et Jérémie 51:31.

      Dans l’Empire perse, il y avait des relais de poste dans lesquels des chevaux frais et des courriers reposés attendaient pour transmettre les messages importants (Esther 3:13-15; 8:10, 14). Vingt-quatre heures sur vingt-quatre et par tous les temps, on se hâtait de faire parvenir les messages à destination. Dans l’Empire romain, les relais s’échelonnaient tous les quelques kilomètres. On y gardait en permanence quarante chevaux, si bien que les courriers romains pouvaient parcourir environ 160 kilomètres par jour, distance considérable pour l’époque. Il fallait relativement peu de temps pour qu’un message officiel atteigne les confins de l’empire. Par contre, les lettres personnelles se transmettaient par voie privée.

  • Courroux
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    • COURROUX

      Voir COLÈRE.

  • Course
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    • COURSE

      Voir JEUX.

  • Cousin
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    • COUSIN

      Fils d’un oncle ou d’une tante. Le mot grec pour cousin, anepsios, n’apparaît qu’une fois, en Colossiens 4:10, où Paul mentionne Marc, “le cousin de Barnabas”. Ce vocable grec a pour sens premier “cousin germain”, mais il peut désigner un cousinage plus éloigné.

  • Couteau
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    • COUTEAU

      Instrument tranchant à lame simple ou double. Les couteaux utilisés jadis dans le pays bibliques étaient en pierre (surtout en silex), en cuivre, en bronze et en fer.

      Le mot hébreu maʼakhéléth désigne au sens premier l’instrument que l’on utilisait pour manger. Mais il s’applique également au grand couteau qui servait à découper les carcasses des animaux offerts en sacrifice. C’est un “couteau à égorger [héb. maʼakhéléth]” que saisit le fidèle Abraham au moment de sacrifier Isaac (Gen. 22:6, 10), et c’est encore de ce type de couteau que se servit un certain Lévite pour découper en douze morceaux le cadavre de sa concubine (Juges 19:29). Proverbes 30:14 parle également “d’une génération dont les dents sont des épées et dont les mâchoires sont des couteaux à égorger”; le même vocable hébreu sert ici à illustrer la cupidité.

      Josué fit faire des “couteaux de silex” pour circoncire les fils d’Israël à Gibéath–Haaraloth (Josué 5:2-4). Le terme hébreu qui désigne ces couteaux est ḫéréb, que l’on traduit généralement par “épée”, et qui signifie littéralement ici “dagues [épées] de pierre”. Le couteau de silex cananéen habituel avait 15 centimètres de long. Il était élargi en son centre et portait une lame double.

      Les scribes et les secrétaires de l’Antiquité utilisaient un certain type de couteau pour affûter leur calame et effectuer des grattages. Jérémie 36:23 dit que l’on se servit d’un “couteau de secrétaire” pour lacérer le rouleau d’un livre préparé par Jérémie sous la direction de Jéhovah.

      Proverbes 23:1, 2 utilise le couteau au sens figuré en recommandant de ‘le mettre à sa gorge’ quand on mange en présence d’un roi, soulignant probablement par là l’importance de maîtriser son appétit et en de telles circonstances.

  • Couture
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    • COUTURE

      Depuis les temps les plus reculés, la couture, y compris la broderie, compte parmi les principaux travaux des humains (Ex. 26:1; 35:35; Job 16:15; Eccl. 3:7; Ézéch. 13:18). Adam et Ève, le premier homme et la première femme, “cousirent (...) des feuilles de figuier et se firent des pagnes”. (Gen. 3:7.) Peut-être ont-​ils tout simplement assemblé de grande feuilles de figuier en se servant de jeunes tiges de cet arbres.

      Quand on lui demanda pourquoi ses disciples ne jeûnaient pas comme les Pharisiens et les disciples de Jean, Jésus Christ répondit que si l’on coud une pièce de drap non rétréci sur un vieux vêtement, la déchirure devient pire (Marc 2:18, 21). En effet, si ensuite on lave le vêtement, la pièce rétrécit, tire sur le vêtement et le déchire. Cette illustration aurait dû aider les auditeurs de Jésus à comprendre qu’il était temps pour eux de devenir ses disciples et qu’ils ne devaient pas chercher à imposer leurs traditions à ceux qui l’étaient déjà. Jean lui-​même avait expliqué que son activité, qui préparait la venue de Christ, était temporaire. — Jean 3:27-30.

  • Couvrir la tête (Se)
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    • COUVRIR LA TÊTE (SE)

      {Article non traduit.}

  • Cozbi
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    • COZBI

      {Article non traduit.}

  • Cozéba
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    • COZÉBA

      {Article non traduit.}

  • Crachat
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    • CRACHAT

      L’homme qui crachait sur quelqu’un ou lui projetait sa salive au visage témoignait ainsi son profond mépris, son inimitié ou son indignation, à moins que ce fût pour l’humilier (Nomb. 12:14). Job, dans ses tribulations, dut subir cette marque d’animosité (Job 17:6; 30:10). De même lorsqu’un Israélites refusait d’épouser une veuve comme le prévoyait la loi du lévirat prescrite par Moïse, la veuve ainsi repoussée devait, pour l’humilier publiquement, lui arracher sa sandale et lui cracher au visage en présence des anciens de la ville. — Deut. 25:7-10.

      Lorsque Jésus Christ comparut devant le Sanhédrin, on lui cracha dessus (Mat. 26:59-68; Marc 14:65), et les soldats romains en firent autant après son procès devant Pilate (Mat. 27:27-30; Marc 15:19). Jésus avait prédit qu’il subirait ces mauvais traitements (Marc 10:32-34; Luc 18:31, 32), ce qui accomplissait la prophétie suivante: “Je n’a pas caché ma face aux humiliations et aux crachats.” — És. 50:6.

      Par contraste, le récit biblique rapporte qu’en trois occasion Jésus Christ utilisa sa salive pour opérer des guérisons miraculeuses (Marc 7:31-37; 8:22-26; Jean 9:1-7). Du fait que les résultats obtenus par Jésus étaient miraculeux et que ces prodiges s’opéraient par la puissance de Dieu, le Christ n’a pas utilisé sa salive dans ces différents cas comme si elle avait eu quelque propriété curative naturelle.

  • Craie
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    • CRAIE

      Le mot hébreu sérédh n’apparaît dans la Bible qu’en Ésaïe 44:13 où il désigne la craie rouge que les sculpteurs sur bois utilisaient pour tracer leurs dessins.

  • Crainte
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    • CRAINTE

      Au sens le plus courant, la crainte est un sentiment par lequel on appréhende un mal ou une douleur; il s’agit généralement d’une émotion douloureuse caractérisée par l’angoisse, la peur et l’inquiétude. Mais la crainte peut également signifier reconnaître ou considérer avec calme ce qui est susceptible de blesser ou de causer du tort, au point d’être amené à se montrer raisonnablement prudent et perspicace.

      Selon la Bible, il y a la crainte qui convient et celle qui ne convient pas. Ainsi, la crainte peut être salutaire, en ce sens qu’elle incite l’individu à agir avec prudence face au danger et par là même à conjurer la menace, ou alors, elle peut être morbide, au point de tuer l’espoir et d’affaiblir la résistance nerveuse de la personne, voire d’entraîner la mort. La crainte de Dieu est saine; elle consiste à respecter et à vénérer profondément le Créateur, à ne rien faire qui lui déplaise, parce qu’on apprécie sa bonté et sa bienveillance, mais aussi parce qu’on est pleinement conscient qu’il est le Juge suprême et le Tout-Puissant, et qu’il a le pouvoir d’infliger un châtiment ou la mort à ceux qui lui désobéissent. C’est le même genre de crainte qui incite aussi le chrétien à respecter les autorités, sachant que lorsqu’elles punissent le coupable, elles ne font qu’exprimer indirectement la colère divine. — Rom. 13:3-7.

      Adam et Ève n’ont pas eu la crainte de Dieu, crainte qui est salutaire, aussi lui ont-​ils désobéi. Cet acte de désobéissance a suscité en eux une peur morbide, une terreur qui les a poussés à se cacher de devant Dieu. Adam dit: “J’ai entendu ta voix dans la jardin, mais j’ai eu peur.” (Gen. 3:10). Caïn, fils d’Adam, ressentit une peut semblable après qu’il eut tué son frère Abel, et il se peut que cette peur fut un facteur déterminant dans sa décision de bâtir une ville. — Gen. 4:13-17.

      En Genèse 9:2, le mot “crainte” est utilisé en rapport avec la création animale. Dieu dit à Noé et à ses fils: “Une crainte de vous et une terreur de vous demeureront sur toute créature vivante et sur la terre. Pendant l’année ou Noé et sa famille séjournèrent dans l’arche, cette crainte des animaux à l’égard de l’homme leur permit de tenir dans la soumission les bêtes qui étaient enfermées avec eux. Aussi, quand ils sortirent de l’arche après le déluge, Jéhovah donna à Noé l’assurance que cette crainte subsisterait. L’expérience humaine en témoigne éloquemment. Le docteur George Goodwin, conservateur adjoint du Muséum américain d’histoire naturelle (section mammifères), déclara: “Normalement, le léopard n’attaque pas l’homme; mais si on le provoque ou s’il est blessé, l’animal se retourne contre l’homme pour le combattre.” Selon ce que rapporte Raymond Ditmars (dans son livre Reptiles of the World), si l’occasion leur en est offerte, les serpents venimeux connus pour leur agressivité, tels que le mamba et le cobra royal, préfèrent s’éloigner prudemment de l’homme plutôt que de l’attaquer. Bien que les humains aient maltraité certains animaux et qu’ils en aient fait des créatures sournoises, on peut dire qu’en général cette crainte restrictive a subsisté. Cela est conforme à la déclaration divine renfermée en Genèse 1:26-28, selon laquelle, dès l’origine de l’homme, la création animale devait lui être soumise.

      La crainte de Jéhovah Dieu est capitale pour ceux qui le servent. Cette crainte révérentielle profonde que l’on éprouve à l’égard de Jéhovah est “le commencement de la sagesse” (Ps. 111:10), “le début de la sagesse”. (Prov. 9:10.) Elle n’a rien de commun avec la crainte morbide qui est destructrice; “la crainte de Jéhovah est pure.” (Ps. 19:9). Cette crainte est ainsi définie en Proverbes 8:13: “La crainte de Jéhovah signifie la haine du mal.” Elle empêche le chrétien de suivre une mauvaise voie, car “dans la crainte de Jéhovah on se détourne du mal”. — Prov. 16:6.

  • Cramoisi
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    • CRAMOISI

      {Article non traduit.}

  • Crâne (Lieu du)
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    • CRÂNE (LIEU DU)

      Voir GOLGOTHA.

  • Création
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    • CRÉATION

      Action de créer ou d’appeler quelqu’un ou quelque chose à l’existence, ou encore état de ce qui a été créé ou amené à l’existence.

      Tout au long de ses pages, la Bible identifie Jéhovah Dieu au Créateur. Sa première création fut son “Fils unique” (Jean 3:16), “le commencement de la création de Dieu”. (Rév. 3:14.) Jéhovah se servit de ce “premier-né de toute création” pour créer toutes les autres choses, aussi bien dans le ciel que sur la terre, tant les ‘choses visibles que les invisibles’. (Col. 1:15-17.) Sous l’inspiration divine, l’apôtre Jean rendit témoignage que “toutes choses vinrent à l’existence par son entremise [la Parole] et, [qu’]en dehors de lui, pas même une seule chose ne vint à l’existence”; puis il identifia la Parole à Jésus Christ, qui devint chair (Jean 1:1-4, 10, 14, 17). Ce personnage apparaît ailleurs comme la sagesse personnifiée et déclare: “Jéhovah lui-​même m’a produite comme le commencement de sa voie”, puis il se pose comme l’“habile ouvrière” qui a collaboré avec Jéhovah Dieu, le Créateur. — Prov. 8:12, 22-31.

      Après avoir créé son Fils unique, Jéhovah se servit de lui pour appeler les anges du ciel à l’existence. C’était avant que la terre ne fût fondée, comme le révèle cette question que Jéhovah adressa à Job: “Où te trouvais-​tu quand j’ai fondé la terre? (...) quand les étoiles du matin poussaient ensemble des cris de joie et que tous les fils de Dieu se mirent à pousser des acclamations?” (Job 38:4-7). Les cieux matériels, la terre et tous les éléments ne vinrent à l’existence qu’après la création de ces créatures spirituelles célestes. Comme, en dernier ressort, Jéhovah demeure à l’origine de toute cette œuvre créatrice, c’est à lui qu’on l’attribue. — Néh. 9:6; Ps. 136:1, 5-9.

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