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Une vie qui a un butRéveillez-vous ! 1975 | 22 août
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donne “sagesse et connaissance et allégresse”. (Eccl. 2:26.) Des centaines de milliers de personnes qui adorent Jéhovah “avec l’esprit et la vérité” ont pu reconnaître la véracité de cette déclaration. Elles sont heureuses, car leur vie a un but : faire la volonté de Dieu et prêcher la bonne nouvelle de son Royaume à leur prochain (Jean 4:24 ; Mat. 24:14). Les personnes qui acquièrent la sagesse et la connaissance données par Dieu dans les Écritures n’ont pas le sentiment de gâcher leur vie. Elles n’en sont pas fatiguées. Au contraire, elles ont une vie vraiment heureuse parce qu’elle a un but qui les satisfait.
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Les terribles ravages des maladies vénériennesRéveillez-vous ! 1975 | 22 août
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Les terribles ravages des maladies vénériennes
UN BÉBÉ de 19 jours fut admis dans un hôpital d’Atlanta, aux États-Unis. Il n’avait guère d’appétit, était léthargique, et un liquide jaunâtre s’écoulait de son œil gauche.
Les médecins administrèrent des antibiotiques à l’enfant, mais son état continua d’empirer. Que se passait-il ?
Après plus de deux semaines de recherches, on découvrit qu’il souffrait d’une infection virale, l’herpès simplex type 2, une forme de maladie vénérienne. Le bébé est à présent dans un établissement pour enfants handicapés mentaux.
Pour des millions de gens à travers le monde, l’expression “maladie vénérienne” est devenue courante. Selon le Dr Ralph Henderson, chef du service de vénérologie du Centre américain pour la recherche des maladies, “les maladies vénériennes sont les affections les plus contagieuses après le rhume banal”.
Qu’est-ce qu’une maladie vénérienne ? Quelle est sa gravité ? Y a-t-il un moyen à peu près sûr de l’éviter ?
L’expression peut s’appliquer à nombre de maladies contagieuses dont les plus courantes sont la syphilis et la blennorragie. Pourquoi sont-elles appelées “vénériennes” ?
L’Encyclopédie britannique (édition de 1974) répond : “Le trait commun aux maladies vénériennes n’est pas la similitude de l’agent pathogène, les réactions des tissus ou les symptômes, mais bien le principal moyen de contamination, c’est-à-dire les rapports sexuels. C’est ce qu’implique le qualificatif qu’on leur applique et qui dérive du terme Vénus, nom de la déesse de l’amour.”
“Une véritable guerre”
Ces dernières années, les maladies vénériennes se sont répandues comme une traînée de poudre. À propos de la blennorragie aux États-Unis, la revue Life and Health d’avril 1974 fait la remarque suivante : “On compte un nouveau cas toutes les 16 secondes, ce qui fait 7 000 par jour et 2 millions et demi en un an !” Quant à la syphilis, elle gagne du terrain au rythme
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