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Avez-vous répondu : “Me voici, envoie-moi.”La Tour de Garde 1967 | 1er avril
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La “grande foule” des “brebis” a montré qu’elle n’a fermé ni ses yeux ni ses oreilles et qu’elle n’a pas endurci son cœur, ce qu’a fait la chrétienté. Avant que la destruction prédite ne s’abatte sur la chrétienté, ces personnes ont pris position aux côtés des “enfants” oints du Grand Ésaïe et elles se réjouissent de la vision de Jéhovah dans son temple.
31. a) À quelle invitation cette “grande foule” d’“autres brebis” a-t-elle en réalité répondu : “Me voici, envoie-moi” ? b) Que doit-elle continuer à faire, et pourquoi est-elle heureuse ?
31 À l’invitation de Jéhovah de coopérer avec le reste oint, cette “grande foule” des “autres brebis” a, en réalité, répondu : “Me voici, envoie-moi.” (Rév. 7:9-15 ; Jean 10:16). Êtes-vous l’une de ces “autres brebis” ? Avez-vous répondu par ces mots ? Si oui, continuez d’accorder votre soutien aux “enfants” oints du Grand Ésaïe dans l’accomplissement de la mission reçue au temple. Joignez-vous à eux pour parler aux peuples de la chrétienté, pour les avertir que les “maisons” de cette dernière seront laissées sans habitants et qu’elle sera réduite à un état de désolation parce qu’elle s’obstine dans son refus de voir, d’entendre et de comprendre. Heureux êtes-vous, vous qui voyez, entendez, comprenez avec votre cœur et agissez en conséquence ! Vous échapperez ainsi à la ruine totale et éternelle de la chrétienté. — Mat. 13:13-16.
(Davantage de renseignements relatifs à la manière dont les témoins de Jéhovah accomplissent, sur la terre entière, la mission reçue au temple, seront donnés par le rapport mondial qui paraîtra dans une des prochaines éditions de La Tour de Garde.)
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Toi, celui qui prêche : “Ne vole pas”, voles-tu ?La Tour de Garde 1967 | 1er avril
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Toi, celui qui prêche : “Ne vole pas”, voles-tu ?
À votre avis, de quelle efficacité pourrait bien être un sermon dénonçant le vol comme un péché si, le lendemain même, l’église approuvait le vol de biens et d’objets destinés à être revendus à leurs propriétaires afin d’obtenir des “contributions forcées” ? C’est là une méthode imaginée par une église catholique d’un faubourg de Managua, au Nicaragua, pour obliger tous les gens du quartier, peu importe la religion qu’ils professent, à donner de l’argent à l’église au cours de la “semaine sainte”. Tout ce qui se trouve sous leur main, les “saints voleurs” s’en emparent, l’emportent à l’église où les propriétaires ont la possibilité de le reprendre, mais seulement après avoir versé une certaine somme. Bien entendu, cela a donné l’occasion à de nombreux “voleurs moins saints” d’emporter aussi des objets personnels.
Il n’est donc pas étonnant que l’Église catholique ne se soit pas révélée une force contre le vol car, selon la déclaration de l’apôtre Paul, “le nom de Dieu est blasphémé à cause de vous parmi les nations”. — Rom. 2:21-24.
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