qui semble être de gigantesques volcans, des cañons, des régions parsemées de cratères provoqués par des météorites et une “calotte glaciaire” de neige carbonique qui, dit-​on, s’étendrait au pôle du sud sur un diamètre de 300 kilomètres.

Les réserves d’oxygène sont menacées

Un savant a estimé qu’environ 50 pour cent de l’oxygène libre de la terre est produit par l’immense forêt de l’Amazone, en Amérique du Sud. Étant donné que les Brésiliens et les étrangers qui investissent de l’argent dans cette région reçoivent des primes importantes, d’énormes quantités d’arbres sont coupés dans la forêt, afin de défricher la région et de permettre l’implantation de ranchs ou d’autres entreprises. Au cours des quatre dernières années, plus de 300 ranchs ont été ouverts, couvrant au total une superficie de plus de 400 000 hectares. Selon Warwick Esteves Kerr, président de la Société brésilienne pour le progrès de la science, la forêt de l’Amazone pourrait être entièrement détruite par les bûcherons d’ici trente-cinq ans. Les savants craignent que lorsque la forêt aura disparu et que la couche superficielle du sol aura été emportée par les pluies tropicales, la région ne soit plus qu’un désert. De plus, les réserves d’oxygène indispensables à la vie sur la terre auront été terriblement entamées.

Un excès d’azote provoque la mort des poissons

En 1971, près de 90 pour cent des saumons et des truites de la rivière Columbia furent détruits parce que l’eau contenait trop d’azote. La construction de nombreux barrages sur cette rivière avait provoqué la formation excessive d’azote dans l’eau. En se précipitant par-dessus un barrage, l’eau entraîne de l’air dans les profondeurs de la rivière en contrebas. Sous l’effet d’une très forte pression, des solutions azotées se forment, et dans certains cas elles renferment une proportion d’azote supérieure de 42 pour cent à la normale. Or, une solution renfermant un excès d’azote de 10 pour cent nuit aux poissons, et quand cet excès atteint 25 pour cent ils meurent généralement. Les chutes d’eau naturelles provoquent également une saturation excessive d’azote, mais le lit rocailleux des rivières permet l’élimination de l’excès d’azote. Les barrages ont changé tout cela sur la rivière Columbia en créant une succession de lacs aux eaux calmes. De ce fait, d’un barrage à l’autre la quantité d’azote dont les eaux sont saturées ne fait qu’augmenter. Des efforts sont faits pour trouver une solution à ce problème.

Pourquoi le tabac n’est pas interdit

Les preuves de la nocivité du tabac continuent à s’amonceler. Pour les membres du corps médical, il ne fait pratiquement aucun doute que le tabac nuit à la santé. De nombreuses personnes se demandent donc pourquoi l’usage du tabac n’est pas officiellement interdit. Une réponse a été fournie par John Munro, ministre de la Santé du Canada. Il déclara : “Quand nous considérons cette question, nous devons nous rappeler que tous les Canadiens ne fument pas et que l’industrie du tabac contribue dans une large mesure à la santé de l’économie du Canada.” En d’autres termes, des hommes gagnent de l’argent dans les affaires et ne se soucient pas outre mesure des conséquences que cela peut avoir pour les autres. Le ministre ajouta qu’il ne pensait pas qu’une interdiction s’avérerait efficace.

Une société malade

Parlant de l’usage très répandu de la marijuana, le journal canadien The Spectator du 20 mai 1972 fit le commentaire suivant concernant l’état de la société humaine : “Fumer de la marijuana ou s’adonner aux ‘stupéfiants’ ne peut être considéré comme un pas conduisant à une nouvelle liberté ou à l’acquisition du droit individuel d’agir à sa guise. Une société ordonnée et en bonne santé est celle où la maîtrise de soi est l’idéal et où la loi est plutôt discrète. Quand une société est rendue malade par la décadence et le désespoir, la loi importe peu. Les hommes ont toujours recherché ce qui excite les sens. Contre cela la loi est impuissante. La seule arme efficace est la religion, et la situation généralement déplorable de celle-ci au sein de notre société se passe de commentaires.”

Les problèmes de la vasectomie

La vasectomie, opération permettant de rendre un homme stérile par résection des canaux déférents, est devenue courante dans certains pays. Commentant ce fait, le Dr William A. Nolen fit cette remarque : “Je me demande si nous n’avons pas dépassé les bornes et si dans cinq, dix ou vingt ans, certains hommes ne regretteront pas d’avoir été opérés. Je crains que les patients et les médecins sous-estiment ou ignorent bien souvent certaines des conséquences éventuelles de la vasectomie, conséquences qui peuvent être très graves.” Selon le Dr Nolen, une de ces complications réside dans le fait que la “vasectomie est rarement réversible”. Pourquoi ? Selon lui, il est extrêmement difficile de rétablir la fonction des canaux déférents qui ne sont pas plus gros que le trou d’une aiguille ; les chances de succès sont donc très faibles. Il faut aussi considérer que la vie d’un homme peut être bouleversée. Si sa femme meurt et qu’il se remarie, on si son enfant meurt, il désirera peut-être avoir un autre enfant. La virilité de l’homme est également un facteur à considérer. Étant donné qu’elle est à 95 pour cent d’ordre psychologique, ce médecin pense qu’une vasectomie peut affecter la virilité d’un homme en raison des effets psychologiques néfastes qu’elle risque d’avoir sur lui. Il existe une autre raison encore beaucoup plus importante de réfléchir à deux fois avant de subir une telle opération ; elle est donnée par la Bible qui montre clairement que Dieu n’approuve pas la mutilation des organes de reproduction.

Opération sans transfusion de sang

De plus en plus de chirurgiens s’efforcent de mettre au point des méthodes permettant d’éliminer les transfusions de sang. Ce mouvement est provoqué par le désir d’éviter les dangers que représentent les transfusions de sang. Le manque de donneurs de sang est une autre raison. Parlant des dangers des transfusions de sang, le Dr James R. Eckenhoff, doyen de la faculté de médecine de l’Université Northwestern, déclara, selon le Kansas City Star du 24 mai 1972: “La transfusion elle-​même peut provoquer la mort. (...) Une bouteille de sang sur 4 000 à 5 000 provoque l’issue fatale parce que le sang est contaminé ou n’est pas celui qui convient, ou à cause d’une allergie du patient. Même si la transfusion ne provoque pas la mort, l’état des malades est parfois aggravé par des complications provoquées par le sang du donneur.” Le même journal citait le Dr Denton Cooley de Houston, au Texas, qui déclara : “Il est maintenant évident que la plupart des grandes opérations peuvent être faites sans transfusion.”

Une solution au problème de la drogue

Les toxicomanes doivent avoir une raison profonde de s’abstenir de drogue pour renoncer à ce vice. Pour ne plus chercher à échapper à la réalité, il leur faut un but dans la vie.

Le livre La vérité qui conduit à la vie éternelle montre pourquoi la vie mérite d’être vécue et donne un but à celle-ci.

Pour savoir comment vous le procurer, écrivez à l’une des adresses mentionnées à la deuxième page de ce périodique.