BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Mouette
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • qui étaient interdits à la consommation. — Lév. 11:13, 16; Deut. 14:12, 15.

      La famille des mouettes (Laridés) inclut plusieurs oiseaux de mer palmipèdes qui sont étroitement apparentés. Au nombre de ceux-ci figurent la mouette proprement dite, la sterne et le coupeur d’eau. Tous ces oiseaux rapides et puissants happent leur proie en plein vol ou à la surface de l’eau (plutôt qu’en plongeant). Ce sont cependant de bons nageurs qui peuvent se reposer, voire dormir sur l’eau. Tour à tour la mouette bat des ailes, s’élève, tournoie et fond sur sa nourriture, laquelle peut être constituée de poissons, d’insectes et de presque toutes sortes de déchets. D’ailleurs, cette dernière particularité fait d’elle une ouvrière précieuse dans les ports. Il arrive souvent que la mouette s’envole en emportant une moule ou un autre mollusque qu’elle lâche ensuite au-dessus d’un rocher. Une fois que la coquille est ouverte, l’oiseau peut en manger le contenu. Malgré son appétit vorace pour la charogne, la mouette est remarquablement propre dans ses mœurs.

  • Mouflon
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUFLON

      Voir BREBIS.

  • Moulin
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOULIN

      Appareil simple, composé généralement de deux pierres circulaires (placées l’une sur l’autre) entre lesquelles on écrase diverses céréales égrenées pour en faire de la farine. On pouvait piler le grain avec un pilon dans un mortier, l’écraser en le frottant sur une pierre plate à l’aide d’un gros caillou ou le broyer avec un moulin à bras. Cette dernière méthode était employée dans la plupart des foyers palestiniens de l’Antiquité. Ces procédés étaient déjà en usage au début des temps patriarcaux, puisque Sara, femme d’Abraham, fit des gâteaux ronds avec de la “fleur de farine”. (Gen. 18:6.) Dans le désert, les Israélites broyaient la manne que Dieu leur envoyait “dans des moulins à bras ou la pilaient dans un mortier”. — Nomb. 11:7, 8.

      On faisait généralement le pain tous les jours, aussi presque chaque famille possédait-​elle son moulin à bras. Moudre le grain pour faire de la farine était une des activités quotidiennes des femmes de la maison (Mat. 24:41; Job 31:10; Ex. 11:5; És. 47:1, 2). Elles se levaient de bonne heure le matin pour préparer la farine nécessaire à la confection du pain du jour. Dans la Bible, le bruit familier des moulins symbolise des conditions normales et paisibles, tandis que l’absence du “bruit du moulin à bras” indique un état d’abandon et de dévastation. — Jér. 25:10, 11; Rév. 18:21, 22; voir Ecclésiaste 12:3, 4.

      Comme celui qui est encore utilisé aujourd’hui au Moyen-Orient, le moulin à bras courant des temps anciens se composait de deux pierres rondes faites de façon que la meule de dessus s’applique et tourne sur celle de dessous (Deut. 24:6; Job 41:24). De nos jours, la lourde pierre inférieure (ou meule gisante) est généralement en basalte. Elle mesure le plus souvent 45 centimètres de diamètre et 5 à 10 centimètres d’épaisseur. La meule supérieure comporte, en son centre, une cheville qui lui sert de pivot. La surface broyeuse de la meule gisante (immobile) est convexe pour permettre l’écoulement du grain pulvérisé vers le périmètre de la meule. La surface intérieure de la meule supérieure (ou meule courante) est concave, afin de s’appliquer exactement sur la meule gisante. En son centre, une ouverture circulaire permet d’y introduire le pivot et de verser le grain à moudre pour alimenter le moulin. Le bord extérieur de cette meule comporte un trou dans lequel s’adapte un bâton servant de manche.

      En général, deux femmes actionnaient ce genre de moulin à bras (Luc 17:35). Assises face à face, chacune saisissait d’une main le manche qui servait à faire tourner la meule supérieure. De l’autre main, l’une des femmes versait du grain en petites quantités dans l’ouverture prévue à cet effet au centre de la meule courante, tandis que sa compagne récoltait la farine au fur et à mesure qu’elle sortait de la meule et tombait soit dans un plateau, soit sur un linge étalé sous le moulin.

      Étant donné qu’on faisait généralement le pain tous les jours et qu’on moulait fréquemment le grain, la loi que Dieu donna à Israël interdisait miséricordieusement qu’on saisisse comme gage le moulin à bras d’une personne ou sa meule de dessus. Le pain quotidien de la famille dépendait du moulin à bras. Saisir le moulin, ou la meule supérieure, signifiait donc saisir “une âme”, ou les “moyens d’existence” de quelqu’un. — Deut. 24:6; voir NW, éd. 1984, note en bas de page.

      Les Écritures mentionnent aussi des moulins de plus grandes dimensions. Jésus Christ parla d’“une de ces meules de moulin que tournent les ânes”. (Mat. 18:6.) Ce genre de moulin était peut-être semblable à celui que Samson, alors aveugle, fut condamné à tourner pour les Philistins quand “il devint broyeur de grain dans la maison d’arrêt”. — Juges 16:21.

      Lorsque Abimélech mena l’attaque contre la ville de Thébez, “une certaine femme lança sur la tête d’Abimélech une meule de dessus et lui fracassa le crâne”. (Juges 9:50, 53; II Sam. 11:21.) Le livre de la Révélation décrit un ange projetant dans la mer “une pierre semblable à une grande meule” pour illustrer la destruction soudaine et définitive de Babylone la Grande. — Rév. 18:21.

      [Illustration, page 1050]

      Femmes actionnant un moulin à bras.

  • Moulin à bras
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOULIN À BRAS

      {Article non traduit.}

  • Moustache
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUSTACHE

      Voir BARBE.

  • Moustique
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUSTIQUE

      Nom générique de diverses espèces d’insectes diptères ayant une tête ronde et de longues pattes à cinq articulations. Les femelles sont équipées d’une trompe puissante qui leur permet de transpercer la peau des humains et des animaux et, bien souvent, de se nourrir de sang. Le mot hébreu qèrèts, traduit par “moustique” (MN), n’apparaît sous la forme d’un substantif qu’en Jérémie 46:20 où il désigne les Babyloniens conduits par Nébucadnezzar, l’ennemi qui viendra du nord pour s’attaquer à l’Égypte, la “génisse très jolie”.

      Jésus a tancé les scribes et les Pharisiens parce qu’ils arrêtaient au filtre le moustique, mais avalaient le chameau. Les chefs religieux juifs étaient rigoristes pour les petites choses, allant jusqu’à filtrer leur boisson afin de ne pas se souiller en avalant un moustique (Lév. 11:21-24). En revanche, ils faisaient peu de cas de prescriptions de la Loi beaucoup plus importantes, ce qui revenait à avaler le chameau, classé lui aussi parmi les animaux impurs. — Lév. 11:4; Mat. 23:23, 24.

  • Moustique, II
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUSTIQUE, II

      {Voir MOUSTIQUE (entrées “Gnat” et “Mosquito” regroupées).}

  • Moutarde
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUTARDE

      Plante herbacée à croissance rapide. Jésus mentionna sa semence ou graine dans une illustration relative au royaume des cieux (Mat. 13:31, 32; Marc 4:30-32; Luc 13:18, 19; voir Daniel 2:34, 35, 44, 45; 4:20-22) ainsi que lorsqu’il montra qu’un peu de foi permet déjà d’accomplir de grandes choses (Mat. 17:20; Luc 17:6). Il existe plusieurs variétés de moutarde sauvage en Palestine; la moutarde noire y est couramment cultivée. Sur un sol riche, la graine peut se muer en quelques mois en un véritable arbre haut de trois à cinq mètres et doté d’une tige centrale grosse comme le bras. La plante porte des fleurs jaunes et des feuilles vert foncé au contour plutôt irrégulier. Les cosses qui se développent contiennent des rangées de graines; celles de la moutarde noire sont marron foncé. En automne, la tige centrale et les branches sont suffisamment dures et rigides pour supporter le poids d’oiseaux comme les linottes et les fringillidés qui se nourrissent de ses graines.

      Il est vrai qu’une graine de moutarde n’est pas la plus “petite” de toutes les semences et que celle de l’orchidée est encore plus ténue; de plus, la plante ne devient pas à proprement parler un “arbre”. Mais il faut bien comprendre que Jésus se mettait à la portée de ses auditeurs. Pour eux, en effet, la graine de moutarde était réellement une des plus minuscules de celles qu’ils semaient. Notons au passage que les Arabes donnent le nom d’“arbres” à des plantes plus petites que la moutarde. — Mat. 13:31, 32.

  • Mouton
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUTON

      Voir BREBIS.

  • Moutons (Porte des)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOUTONS (PORTE DES)

      {Article non traduit.}

  • Moza
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOZA

      {Article non traduit.}

  • Mozah
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MOZAH

      {Article non traduit.}

  • Mu
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MU

      {Article non traduit.}

  • Mulet
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MULET

      Hybride de l’âne et de la jument. Il a un corps semblable à celui du cheval, mais sa tête trapue, ses longues oreilles, sa crinière courte, ses sabots étroits et sa queue terminée par une touffe de longs crins sont des traits caractéristiques de l’âne. Le mulet réunit certaines des meilleures qualités de l’âne et du cheval: de l’âne il a l’endurance, la robustesse et le pied sûr, et du cheval la force, la vigueur et le courage. Il résiste mieux aux maladies que le cheval, accepte plus volontiers une lourde charge et vit en moyenne bien plus longtemps. Le bardot, hybride d’un étalon et d’une ânesse, n’est pas aussi grand que le mulet dont il n’a ni la force ni la beauté. À de rares exceptions près, le mulet et la mule sont tous deux stériles.

      Les mulets figuraient parmi les dons offerts à Salomon par les rois qui venaient entendre sa sagesse (I Rois 10:24, 25; II Chron. 9:23, 24). Des marchands comme les Phéniciens devaient également en vendre aux Israélites (Ézéch. 27:8, 9, 14). Au temps de David, les personnages de haut rang en montaient. Ainsi, le jour de son onction comme roi à Guihon, Salomon chevauchait la propre mule de David. — II Sam. 13:29; 18:9; I Rois 1:33, 34, 38, 39.

      Les mulets étaient très prisés en tant que bêtes de somme (II Rois 5:17; I Chron. 12:40). Par son prophète Ésaïe, Jéhovah annonça que son peuple disposerait de mulets, entre autres animaux, pour revenir à Jérusalem (És. 66:20). Aussi convient-​il de noter que, conformément à cette prophétie, les Israélites sont rentrés de l’exil babylonien avec 245 mulets, en plus des autres bêtes de somme. — Esdras 2:66; Néh. 7:68.

  • Muppim
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MUPPIM

      {Article non traduit.}

  • Mûrier noir
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÛRIER NOIR

      (gr. sukaminos).

      Il n’est question qu’une fois de cet arbre, dans une déclaration que Jésus adressa à ses apôtres au sujet de leur foi (Luc 17:5, 6). Le mot grec utilisé désignait généralement le mûrier; le mûrier noir (Morus nigra) était communément cultivé en Palestine. C’est un arbre vigoureux qui peut atteindre 6 mètres de haut, avec de grandes feuilles en forme de cœur et des fruits rouge sombre ou noirs qui ressemblent à ceux de la ronce. Le mûrier blanc (Morus alba) sert à nourrir les vers à soie; sa culture, qui semble avoir été introduite en Syrie au temps des Romains, subsiste encore aujourd’hui.

  • Murs, murailles
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MURS, MURAILLES

      Depuis que l’homme bâtit des maisons et des villes, il a édifié des murs et des murailles de toutes les formes avec quantité de matériaux et pour toutes sortes de raisons. La taille et la solidité des constructions dépendent dans une bonne mesure de la façon dont les murs sont édifiés et du matériau utilisé.

      Dans les temps anciens, les hommes, mus par la crainte, ont érigé des murailles protectrices autour des grandes villes pour prévenir les invasions ennemies (I Rois 4:13; És. 25:12). En cas d’attaque, les habitants des petites localités situées aux alentours d’une ville dont elles dépendaient (Nomb. 21:25) se réfugiaient eux aussi dans les villes fortifiées. Aux termes de la loi mosaïque, les droits du propriétaire d’une maison n’étaient pas les mêmes selon que cette dernière se trouvait dans une ville qui était ou non entourée d’une muraille (Lév. 25:29-31). Non seulement les remparts constituaient une barrière physique entre les habitations de la ville et l’ennemi, mais ils mettaient les défenseurs dans une position surélevée d’où ils pouvaient empêcher les assaillants de miner la muraille, de creuser un tunnel ou de faire une brèche à coups de béliers (II Sam. 11:20-24; 20:15; Ps. 55:10; Cant. 5:7; És. 62:6; Ézéch. 4:1, 2; 26:9). Pour se protéger, les assiégeants dressaient parfois un mur de siège derrière lequel ils pouvaient se retrancher avant de monter à l’assaut de la muraille. — II Rois 25:1; Jér. 52:4; Ézéch. 4:2, 3; 21:22; voir FORTIFICATIONS.

      On construisait souvent des murs de pierre pour fermer des vignes ou des champs et pour faire des enclos pour les moutons (Nomb. 22:23-25; Prov. 24:30, 31; És. 5:5; Michée 2:12; Hab. 3:17). On dressait aussi des murs de soutènement le long de coteaux en terrasses (Job 24:11). Ces murs, assez solides, étaient faits de pierres ramassées et empilées telles quelles, et maintenues parfois avec de l’argile ou du mortier.

      MURS SYMBOLIQUES

      Dans les Écritures, le mot “mur” pris au sens figuré emporte quelquefois l’idée de protection et de sécurité (I Sam. 25:16; Prov. 18:11; 25:28) ou symbolise la séparation (Gen. 49:22; Ézéch. 13:10). Il revêt ce dernier sens lorsque Paul écrit ce qui suit aux Éphésiens: “Car il [Christ] est notre paix, lui qui des deux groupes en a fait un seul et a détruit le mur mitoyen qui les séparait.” (Éph. 2:14). Paul connaissait bien le mur de séparation qui se trouvait dans la cour du temple de Jérusalem et sur lequel était placardé un avis interdisant aux non-Juifs d’aller plus loin sous peine de mort. Toutefois, dans cette lettre écrite aux Éphésiens en 60 ou 61 de notre ère, Paul ne parle du mur que pour illustrer son propos; il ne voulait certainement pas dire que le mur littéral avait été supprimé puisqu’il existait toujours. Par contre, l’apôtre pensait à l’alliance de la Loi qui, pendant des siècles, avait dressé un mur de séparation entre Juifs et Gentils. La mort du Christ, survenue près de trente années plus tôt, avait permis l’abolition de ce “mur” symbolique.

      Jérémie fut prévenu qu’il devrait se montrer comme une muraille de cuivre fortifiée devant ceux qui s’opposaient à lui (Jér. 1:18, 19; 15:20). Dans une autre illustration, le peuple de Dieu, quoique habitant une ville dépourvue de murailles et paraissant donc sans défense, jouit de la paix et de la sécurité grâce à la protection invisible du Tout-Puissant (Ézéch. 38:11). D’un autre point de vue encore, une ville serait puissante si elle avait Jéhovah pour “muraille de feu” (Zach. 2:4, 5) ou si elle disposait de remparts de salut dressés par Dieu, au lieu de simples murailles de pierres ou de briques (És. 26:1). La “ville sainte, la Nouvelle Jérusalem”, qui descend du ciel, a une “grande et haute muraille” de jaspe de 144 coudées de hauteur, ou 64 mètres, et elle repose sur douze pierres de fondement, des pierres précieuses sur lesquelles sont gravés les noms des douze apôtres. — Rév. 21:2, 12, 14, 17-19.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager