cent dans le nombre de cas de maladies vénériennes. Certains des malades étaient âgés de treize à quinze ans. Un professeur de psychiatrie à l’université de Washington déclara : “Les jeunes qui vivent ensemble sans être mariés disent en fait : ‘Je ne veux pas être lié. J’ai peur que l’on exige trop de moi. Je n’ai pas assez d’amour pour me soucier et m’occuper constamment d’une autre personne.’” Les conséquences de cette attitude sont la frustration, la maladie, les avortements et le suicide. N’est-​il pas préférable de conformer sa vie aux principes bibliques, lesquels favorisent l’amour durable dans le cadre du mariage ?

Échos du synode

À l’une des séances du récent synode, l’évêque de Graz (Autriche) déclara lors de son intervention : “La situation des prêtres est beaucoup plus sérieuse qu’on veut bien le dire. Il faut abolir l’optimisme. Les jeunes abandonnent le ministère, mais comment les récupérer ? Comment retrouver la confiance perdue ?” Après avoir rappelé que chaque année trois mille prêtres font défection, il ajouta : “Nous avons construit des séminaires qui ont coûté très cher, mais ils sont vides.”

Parlant de la crise que traverse l’Église, l’évêque de Sion (Suisse) déclara : “Les causes de la crise ? Il n’y en a qu’une, dont personne ne parle, mais que je vais vous indiquer : c’est le Diable. C’est Satan. Il est au milieu de nous, en nous, faisant croire qu’il n’y est pas. C’est son habileté suprême.” Commentant ces propos, La voix du Nord dit : “L’évêque suisse a provoqué un joyeux éclat de rire. Les ‘Pères du synode’ n’ont pas eu l’air de le prendre au sérieux, mais, peut-être, ont-​ils eu tort.”

Le rapport présenté au synode sur la justice dans le monde parlait de la nécessité d’une Église réellement pauvre et qui commence par donner elle-​même l’exemple de la justice sociale. Ce rapport dit notamment : “Examinons sincèrement notre propre façon de vivre : correspond-​elle à des serviteurs d’une Église servante ? Et méditons sur ces paroles des conférences épiscopales de l’Asie : ‘Si nous faisons cause commune avec les multitudes, nous devrons aussi de quelque façon participer à leur pauvreté dans notre propre existence ; l’Église ne devrait pas être un îlot de richesse au milieu d’un océan de misère.’”

Les rites de la magie d’amour

D’après un article paru dans Le Parisien libéré, il existerait des rites de la magie d’amour dont la tradition remonte à la plus haute antiquité. Voici la recette donnée aux amoureux indiens : Exhumer un crâne au clair de lune, le huitième jour du mois d’Ashwini (qui correspond à nos mois de septembre et d’octobre), mettre le crâne dans le feu et en recueillir la suie en tenant une assiette au-dessus de la flamme. Cette suie constituait un “charme d’amour” si on s’en enduisait les paupières. De nos jours encore, dans le Népal et le Bengale, des préparateurs de magie d’amour pulvérisent des os de hibou, de vautour ou de paon et mêlent cette poudre à la suie provenant de la combustion du santal ou des feuilles de lotus vert. Les femmes et même les hommes s’enduisent les paupières de ce fard pour conférer à leurs yeux le pouvoir d’éveiller l’amour chez le sexe opposé.

Pornographie et drogue

Depuis la découverte d’une affaire de trafic et d’usage de drogue dans sa ville, le maire de Tours, qui menait déjà une lutte contre la pornographie, a entrepris une action contre la drogue. Il déclara à ce propos : “Je me suis attaqué à la pornographie, à la criminalité, à la drogue. Pour moi, ce sont là les aspects d’une seule et même crise née de l’oisiveté et des effets pernicieux de ce qui se veut une culture et qui n’est qu’une basse propagande. Chacun de ces dangers en appelle un autre. On a trouvé des images pornographiques en ces mêmes lieux où se réunissaient les drogués. La pornographie et la drogue sont la même volonté d’évasion.” Le maire de Tours s’est déclaré partisan de la peine de mort pour les grands trafiquants et transformateurs de drogue.

Un métier pour les chômeurs intellectuels

En Suède, où le nombre de chômeurs a augmenté dans des proportions alarmantes au cours des trois années écoulées, l’Église luthérienne qui, depuis quelques années, doit faire face à une crise des vocations, profite de cette situation. Elle a publié une annonce disant : “Vous êtes licencié ès lettres et vous ne trouvez pas de travail ? Faites-​vous pasteur ! Dieu a besoin de bras !” Soixante-dix personnes ont déjà répondu à cette annonce et vingt-cinq, dont quatre femmes, ont été admis au “cours de reconversion”. Ce cours de quarante et une semaines est un concentré de l’enseignement théologique dispensé dans les universités en trois ans.

Une ville qui s’affaisse

Tokyo, la plus grande ville du monde, s’enfonce peu à peu dans la mer. Cette année son niveau est de trois à vingt centimètres plus bas que l’année dernière (certains quartiers s’enfoncent plus rapidement que d’autres). Plusieurs endroits se sont affaissés de près de deux mètres depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce phénomène est causé surtout par les industries qui s’approvisionnent en eau au moyen de puits. L’expansion industrielle est si grande au Japon que les processus naturels n’arrivent pas à remplacer assez vite l’eau retirée des puits. À mesure que la pression souterraine de l’eau baisse, la ville s’affaisse.

L’importance du rôle de l’esprit dans la guérison

Les médecins ont constaté que quarante pour cent des malades guérissent si on leur administre un placebo (substance neutre que l’on substitue à une substance thérapeutique) au lieu d’un médicament. Les résultats sont meilleurs encore si le médecin croit lui aussi qu’il s’agit d’un médicament. Au dire du Dr Bernard Grads de l’Université McGill (Canada), le rôle de l’esprit est aussi important que celui des médicaments dans la guérison d’un malade. Le Dr Alfred Kantor, de l’Académie de médecine psychosomatique des États-Unis, est du même avis. Il déclara : “Le médicament le plus actif peut devenir relativement inactif dans les mains d’un médecin peu estimé par le malade, (...) tandis qu’une préparation anodine ou tout à fait inactive peut devenir très puissante si le malade a confiance dans son médecin.”

Une “sainte” sadique

“Sainte” Brigitte de Suède, morte à Rome en 1373 à l’âge de soixante et onze ans, fut l’abbesse d’un couvent et l’auteur de plusieurs ouvrages. Dans l’un d’eux elle a écrit : “Le pape qui permettrait aux prêtres le mariage charnel mériterait qu’on lui coupe la langue, les oreilles, le nez, les lèvres, les mains et les pieds, et que son corps soit jeté aux chiens et à d’autres bêtes sauvages pour être dévoré avant que son âme aille brûler en enfer pour l’éternité.”

Le hasard est-​il un constructeur ?

Un ordinateur a-​t-​il jamais été construit par le hasard ? Les diverses pièces qui le composent se sont-​elles assemblées fortuitement ? Ou bien a-​t-​il fallu une intelligence pour inventer et monter cette machine ?

Une seule cellule de notre organisme est plus complexe qu’un ordinateur. Comment donc le hasard pourrait-​il la produire, sans parler des parties plus complexes du corps ?

Que prouvent les faits incontestables ? L’homme est-​il le produit d’un Créateur intelligent ou du hasard aveugle ? Pour répondre à cette question, lisez l’ouvrage L’homme est-​il le produit de l’évolution ou de la création ?, livre cartonné de 192 pages.

Pour plus de détails, veuillez écrire à l’une des adresses indiquées en deuxième page.