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    • et du sud de la ville. Cette porte était près d’Ophel, non loin de l’enceinte du temple (Néh. 3:26). C’est à la Porte des Eaux que l’un des groupes de la procession d’inauguration quitta la muraille pour se diriger vers le temple où il rejoignit l’autre groupe, de sorte que ni l’un ni l’autre n’aurait parcouru la portion de mur située à l’est du temple (Néh. 12:37-40). Devant cette porte, il y avait une place publique où le peuple se rassembla pour écouter Esdras lire la Loi, puis pour construire des huttes afin de célébrer la fête des Huttes. — Néh. 8:1-3, 16.

      La Porte des Chevaux

      Le travail de réparation au-dessus de la Porte des Chevaux ayant été effectué par les prêtres, cela sous-entend qu’elle se trouvait près du temple (Néh. 3:28). On a dit que la Porte des Chevaux permettait de passer d’une partie à une autre du quartier du temple et du palais. Cette conclusion a été tirée du récit de l’exécution d’Athalie dans lequel on peut lire qu’ayant été entraînée hors du temple par les soldats “elle arriva à l’entrée de la porte des chevaux, celle de la maison du roi”. (II Chron. 23:15; II Rois 11:16.) Cependant, il s’agissait certainement d’une simple entrée ouvrant sur l’enceinte du palais royal et non de la Porte des Chevaux par laquelle ces animaux entraient et sortaient de la ville. Néhémie parle clairement de la Porte des Chevaux dans sa description des parties reconstruites en indiquant que c’était une porte percée dans la muraille de la ville. Elle se trouvait probablement près de l’angle sud-est de l’enceinte du temple et du palais (Néh. 3:28). Selon Jérémie, la muraille faisait un coude près de cette porte, sans doute parce qu’elle obliquait vers la gauche pour quelqu’un qui remonterait la vallée du Cédron, la muraille suivant ainsi les contours de la vallée. — Jér. 31:40.

      La Porte de l’Inspection

      Certaines versions appellent la Porte de l’Inspection (héb. hammiphqadh) Porte du recensement (ZK) ou Porte de la Surveillance (Jé) (Néh. 3:31). En Ézéchiel 43:21, le terme miphqad (même terme hébreu, mais sans l’article ha) est traduit par l’expression “lieu désigné”. D’aucuns pensent qu’il s’agit de la Porte de la Garde ou de celle de Benjamin. De ces deux hypothèses, la seconde est la plus vraisemblable.

      La Porte de la Garde

      C’est à partir de cette porte que la procession d’inauguration qui se dirigeait vers le sud-est en suivant la muraille quitta les remparts pour se rendre au temple. — Néh. 12:39, 40.

      La Porte du Milieu

      Quand les Babyloniens firent une brèche dans la muraille de Jérusalem, leurs officiers vinrent s’asseoir dans la Porte du Milieu (Jér. 39:3). On avance plusieurs possibilités quant à l’emplacement de cette porte. La plus probable est qu’il s’agit de la Porte de la Vieille Ville, puisque cette dernière se situait là où se rejoignaient la Muraille large, le mur nord de l’ancienne ville et la muraille ouest du second quartier. Tout cela en faisait un endroit central, une position stratégique.

      La Porte de Benjamin

      Certains assimilent la Porte de Benjamin à la Porte des Moutons. Cela s’accorderait avec le récit de la tentative de sortie effectuée par Jérémie en direction du territoire de Benjamin, sans nul doute vers Anathoth, au nord-est de Jérusalem (Jér. 37:11-13). Le roi Sédécias était assis à la Porte de Benjamin quand Ébed-Mélec l’aborda pour lui adresser une supplique en faveur de Jérémie (Jér. 38:7, 8). On a pensé que le roi devait se tenir à l’endroit qui causait le plus d’inquiétudes pendant le siège des Babyloniens. La Porte des Moutons située au nord de la ville devait, en effet, être la plus menacée par les assaillants.

      Autres portes mentionnées

      Quand le roi Sédécias s’enfuit devant les Babyloniens, il sortit “par le chemin de la porte entre le double mur qui est près du jardin du roi”. (Jér. 52:7, 8; 39:4.) On ne sait pas très bien ce qu’était ce “double mur”. Malgré tout, dans l’état actuel de nos connaissances, la Porte des Monceaux de Cendres aussi bien que la Porte de la Fontaine correspondent à la description donnée par les Écritures, puisque toutes deux se trouvent près du Jardin du roi.

      Le passage de II Rois 23:8 fait référence aux “hauts lieux des portes qui étaient à l’entrée de la porte de Josué, chef de la ville, laquelle se trouvait à gauche quand on entrait par la porte de la ville”. Cette “porte de Josué” n’est pas une des entrées de la ville, mais une porte située à l’intérieur des murs de la ville. Elle conduisait à la résidence du gouverneur, qui se trouvait à gauche quand on entrait par la porte de la cité.

      LES PORTES DU TEMPLE

      La Porte de l’Est. Le récit de Néhémie sur la reconstruction nous apprend que le gardien de cette porte participa aux travaux de réparation (Néh. 3:29). La Porte de l’Est n’était donc pas percée dans la muraille de Jérusalem comme certains l’ont pensé. Elle se situait peut-être approximativement dans l’alignement de la Porte de l’Inspection, une des portes de la ville. C’est sans doute cette Porte de l’Est qui est mentionnée en I Chroniques 9:18 comme étant “la porte du roi, à l’est”. C’est par là que le roi entrait dans le temple et en sortait.

      La Porte du Fondement. Une des portes du temple dont on ne connaît pas la localisation avec certitude. — II Rois 11:6; II Chron. 23:5.

      La “porte supérieure de la maison de Jéhovah”. Il s’agirait d’une porte ouvrant sur la cour intérieure, peut-être la “porte neuve de Jéhovah” où Jérémie fut jugé. C’est également là que Baruch, le secrétaire de Jérémie, lut le rouleau devant le peuple (Jér. 26:10; 36:10). Jérémie l’aurait appelée la “porte neuve” parce qu’elle était de construction plus récente que les autres; en effet, c’était sans doute la “porte supérieure de la maison de Jéhovah” bâtie par le roi Jotham. — II Rois 15:32, 35; II Chron. 27:3.

      La “porte supérieure de Benjamin qui était dans la maison de Jéhovah”. Probablement une porte menant à la cour intérieure et située sur le côté nord du temple. — Jér. 20:2; voir Ézéchiel 8:3; 9:2.

      La Belle Porte. Portail du temple reconstruit par Hérode le Grand. C’est là que Pierre guérit un homme qui était boiteux depuis la matrice de sa mère (Actes 3:1-10). Il existe une tradition qui identifie cette porte à l’actuelle Porte Dorée percée dans la muraille de la ville, mais il est possible que la Belle Porte ait été une porte intérieure de l’enceinte du temple correspondant peut-être à l’ancienne “Porte de l’Est”. Certains disent que ce pouvait être l’une des portes situées à l’est du bâtiment du temple lui-​même et donnant accès à la cour des femmes. Selon Josèphe, cette porte avait 50 coudées (22 m) de haut, et ses vantaux étaient recouverts de cuivre corinthien.

      Les autres portes mentionnées sont “la porte qui se trouve derrière les coureurs” et “la porte des coureurs”. Il s’agit de portes du temple dont l’emplacement est incertain. — II Rois 11:6, 19.

      La porte d’une pièce, d’une maison ou de toute autre construction est constituée des éléments suivants: 1) le linteau, pièce horizontale de bois ou de pierre qui ferme la partie supérieure de l’ouverture et supporte le poids de la maçonnerie se trouvant au-dessus de la baie de porte; 2) les deux montants verticaux situés de part et d’autre de l’entrée et sur lesquels repose le linteau; 3) le battant lui-​même; 4) le seuil ou partie inférieure de la baie de porte.

      La porte était généralement en bois et tournait le plus souvent sur des pivots axés dans des gonds qui étaient fixés sur le linteau et sur un montant (Prov. 26:14). Ces pivots étaient fréquemment en bois. Les portes des maisons ordinaires étaient petites et non ornées.

      On faisait couramment le seuil en bois ou en pierre. Certaines portes d’habitations ou de villes se verrouillaient au moyen de barres ou de traverses de bois ou de fer (És. 45:2; Deut. 3:5; II Chron. 8:5; 14:7). Ces dernières étaient habituellement placées de manière à ce qu’on puisse les coulisser dans les gonds fixés sur les montants. Des heurtoirs métalliques ont été utilisés dans une certaine mesure, mais la Bible ne dit pas précisément que les Hébreux les employaient. Pour appeler les occupants d’une maison, on frappait à la porte de l’habitation ou au portail. — Cant. 5:2; Actes 12:13.

      SENS FIGURÉ

      En Psaume 118:19, 20, on parle des “portes de la justice” et de “la porte de Jéhovah” dans lesquelles les justes entrent (voir Matthieu 7:13, 14). Lorsque quelqu’un mourait, on disait qu’il franchissait les “portes de la mort”. (Ps. 9:13; 107:18.) Il allait dans la tombe commune à tous les hommes; il entrait ainsi dans les portes du Schéol ou Hadès (És. 38:10; Mat. 16:18). Puisque Jésus Christ a les clés de la mort et de l’Hadès (Rév. 1:18), sa congrégation est assurée que ses ennemis ne la garderont pas éternellement prisonnière. L’apôtre Paul montra que tous les membres de cette congrégation meurent et entrent dans l’Hadès comme le Christ. Dieu ne laissa pas son Fils dans l’Hadès, mais dénoua les affres de la mort (Actes 2:24, 31). De plus, en raison de la résurrection certaine des chrétiens fidèles, la mort et l’Hadès n’obtiennent pas la victoire finale sur la congrégation du Christ. — I Cor. 15:29, 36-38, 54-57.

      La ville sainte, la “Nouvelle Jérusalem”, est dépeinte comme ayant douze portes faites chacune d’une seule perle devant laquelle un ange est posté, sans doute pour monter la garde. Ces portes sont toujours ouvertes, car la nuit, qui inciterait à les fermer, n’existe pas. Par les portes de cette ville, on fait passer la gloire et l’honneur des nations. Bien que ces portes restent ouvertes, ceux qui pratiquent des choses méchantes, impures ou immondes ne peuvent les franchir. Seuls ceux qui ont gardé leur pureté en tant que vainqueurs, ceux qui deviennent rois et prêtres avec Christ, sont autorisés à passer la garde angélique (Rév. 21:2, 12, 21-27; 22:14, 15; 2:7; 20:4, 6). Les peuples des nations de la terre qui marchent dans la lumière de la ville sont bénis.

  • Porte, II
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    • PORTE, II

      {Voir PORTE (entrées “Doorway” et “Gate, Gateway” regroupées).}

  • Porte-feu
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    • PORTE-FEU

      Les porte-feu avaient plusieurs usages dans le cadre du service au sanctuaire. Certains d’entre eux, en or, servaient, semble-​t-​il, de récipients pour les bouts de mèches brûlées provenant des lampes du porte-lampes d’or (Ex. 25:38; 37:23; Nomb. 4:9). Ceux de l’autel de l’holocauste, en cuivre, permettaient sans doute de recueillir les cendres et les braises que l’on retirait du feu (Ex. 27:3; 38:3). Des porte-feu étaient aussi utilisés pour faire brûler de l’encens (Lév. 10:1). Tous les matins et entre les deux soirs, le grand prêtre faisait fumer de l’encens parfumé sur l’autel d’or pour l’encens (Ex. 30:7, 8). Enfin, chaque année, le jour des Propitiations, il emportait un porte-feu dans le Très-Saint. Celui-ci correspond certainement à l’“encensoir d’or” dont parle l’apôtre Paul. — Lév. 16:12, 13; Héb. 9:3, 4.

  • Porte-lampe
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    • PORTE-LAMPE

      (héb. menôrah; gr. lukhnia).

      Support destiné à recevoir une ou plusieurs lampes à huile. Bien que la Bible mentionne des porte-lampes dans les foyers ou dans d’autres locaux (II Rois 4:10; Dan. 5:5; Luc 8:16; 11:33), elle parle surtout des porte-lampes associés au vrai culte.

      LE PORTE-LAMPES DU TABERNACLE

      Dans une vision, Jéhovah ordonna à Moïse de faire un porte-lampes ‘d’or pur, martelé’, pour le tabernacle. Avec ses lampes et ses ustensiles, celui-ci devait peser un talent (Ex. 25:31, 39, 40; 37:17, 24; Nomb. 8:4), soit environ 34 kilogrammes.

      Sa forme

      Ce luminaire, situé dans la première partie du tabernacle appelée “le Lieu Saint” (Héb. 9:2), se composait d’une tige centrale d’où partaient six branches recourbées vers le haut, trois de chaque côté. La tige du milieu était décorée de quatre coupes sculptées en forme de fleurs d’amandier, ainsi que de boutons et de fleurs en alternance. On ne peut identifier celles-ci avec certitude, car le mot hébreu utilisé ici peut désigner n’importe quelle fleur. Les branches avaient chacune trois coupes et des boutons et des fleurs en alternance. D’après la description, il semble que les boutons sur la tige centrale se situaient là où partaient les branches. Les lampes étaient placées au sommet de la tige et de ses six branches. Elles brûlaient de l’huile pure d’olives battues. Les accessoires comprenaient des mouchettes, des porte-feu et des vases à huile. — Ex. 25:31-38; 37:18-23; Lév. 24:2; Nomb. 4:9.

      L’exécution du porte-lampes s’effectua sous la direction de Bézalel, de la tribu de Juda, et d’Oholiab, de la tribu de Dan (Ex. 31:1-11; 35:30-35). Ces hommes étaient assurément d’excellents artisans qui avaient peut-être appris leur métier quand ils étaient esclaves

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