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    • trouvé des perles de verre qui, d’après les archéologues, auraient été fabriquées il y a quelque 4 000 ans, à peu près à l’époque de la naissance d’Abraham. Job, qui vécut au XVIIe siècle avant notre ère, cite le verre au même titre que l’or pour son caractère précieux et déclare: “L’or et le verre ne peuvent lui être comparés [à la sagesse].” — Job 28:17.

      L’apôtre Jean, dans la description de ses visions, fait mention du “verre pur” et du “verre transparent” (Rév. 21:18, 21), ainsi que d’“une mer de verre semblable à du cristal”. — Rév. 4:6.

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    • VERSIONS

      Traductions de la Bible en différentes langues à partir de l’hébreu, de l’araméen et du grec. Ce travail de traduction a rendu la Parole de Dieu accessible à des centaines de millions de personnes qui n’auraient pu la comprendre dans les langues bibliques originelles. Les premières versions des Écritures se présentaient sous la forme de manuscrits. Toutefois, depuis l’invention de l’imprimerie, de nombreuses autres versions ou traductions ont vu le jour et ont généralement été publiées en grande quantité. Certaines ont été faites directement à partir des textes bibliques hébreu et grec, et d’autres à partir de traductions antérieures.

      Les Écritures ont été publiées, en entier ou en partie, en plus de 1 600 langues. Ainsi, 97 pour cent de la population terrestre a la possibilité de lire la Bible au moins en partie. Un examen des versions et traductions des Écritures sera révélateur et fera naître en nos cœurs de la gratitude envers Jéhovah Dieu, qui a si bien préservé sa Parole pour des millions d’humains.

      VERSIONS ANCIENNES DES ÉCRITURES HÉBRAÏQUES

      Il existe encore aujourd’hui plus de 1 700 manuscrits anciens des Écritures hébraïques rédigés en hébreu (à l’exception de quelques passages en araméen). Il subsiste aussi de nombreux manuscrits de versions ou traductions des Écritures hébraïques anciennes en différentes langues. Certaines versions étaient elles-​mêmes des traductions de versions anciennes établies à partir de l’hébreu. Par exemple, la partie des Écritures hébraïques de la Vieille version latine a été faite d’après la version dite des Septante, qui est une traduction grecque des Écritures hébraïques. Toutefois, certaines versions anciennes des Écritures préchrétiennes (la Septante, les targums araméens, la Peschitto, version syriaque, et la Vulgate latine) ont été traduites directement de l’hébreu, et non à partir d’une version grecque ou autre.

      Le “Pentateuque” samaritain

      Après la déportation des habitants de Samarie et des dix tribus du royaume d’Israël par l’Assyrie en 740 avant notre ère, le roi assyrien installa dans le pays des populations païennes amenées d’autres régions de son empire (II Rois 17:22-33). Par la suite, on leur donna le nom de “Samaritains”. Ils acceptaient les cinq premiers livres des Écritures hébraïques et, vers le IVe siècle avant notre ère, ils produisirent le Pentateuque samaritain, qui n’est pas à proprement parler une traduction du Pentateuque hébreu original, mais plutôt une transcription de ce texte en caractères samaritains auxquels on a ajouté des idiotismes samaritains. Parmi les manuscrits du Pentateuque samaritain existants, peu sont antérieurs au XIIIe siècle de notre ère. On a relevé 6 000 divergences entre les textes samaritain et hébreu, la majorité d’entre elles étant sans importance. Une variante digne d’intérêt apparaît en Exode 12:40, où le Pentateuque samaritain s’accorde avec la Septante. — Voir CHRONOLOGIE, page 283.

      Les targums

      Les targums étaient des traductions libres ou paraphrases des Écritures hébraïques en araméen. Ils ont vraisemblablement pris leur forme actuelle et définitive au plus tôt vers le Ve siècle de notre ère. L’un des principaux, le “Targum d’Onkelos”, qui comprend le Pentateuque, est plutôt littéral. En revanche, le “Targum de Jonathan”, qui regroupe les Prophètes, l’est moins; il s’agit d’une paraphrase sur les livres de Josué, des Juges, de Samuel, des Rois, d’Ésaïe, de Jérémie, d’Ézéchiel et des douze “petits prophètes”, comme on les appelle. Ont subsisté jusqu’à nos jours les targums du Pentateuque, des Prophètes et des Hagiographes, ces derniers étant plus récents.

      La “version des Septante”

      La version des Septante (souvent désignée sous le symbole LXX) était en usage chez les Juifs et les chrétiens hellénisants d’Égypte ou d’ailleurs. Il semble que les travaux de traduction aient commencé sous Ptolémée Philadelphe (285-​246 av. n. è.), quand, selon la tradition, le Pentateuque fut traduit en grec par soixante-douze érudits juifs. Par la suite, le nombre soixante-dix en vint à être utilisé et la version du Pentateuque fut appelée Septante, qui veut dire “Soixante-dix”. Les autres livres des Écritures hébraïques (traduits par divers traducteurs dont le style varie de la traduction presque littérale à la traduction assez libre) furent ajoutés petit à petit jusqu’à ce que fût achevée la traduction de toutes les Écritures hébraïques au cours du IIe siècle avant notre ère et peut-être vers l’an 150 avant notre ère. Après quoi l’ouvrage tout entier en vint à être désigné sous le nom de Septante. Cette version est souvent citée par les rédacteurs des Écritures grecques chrétiennes. Des écrits apocryphes ont sans aucun doute été insérés dans la version des Septante quelque temps après qu’elle eut été achevée. — Voir APOCRYPHES.

      L’un des plus anciens manuscrits de la version des Septante est le Papyrus 957, le Papyrus Rylands iii. 458, conservé à la bibliothèque John Rylands à Manchester (Angleterre). Il date du IIe siècle avant notre ère et renferme des fragments du Deutéronome (23:24 à 24:3; 25:1-3; 26:12, 17-19; 28:31-33). Un autre manuscrit remonte au IIe siècle ou au Ier siècle avant notre ère; il s’agit du Papyrus Fouad 266 (il appartient à la Société royale de papyrologie du Caire) qui renferme des fragments de la seconde moitié du Deutéronome selon la Septante. En plusieurs endroits on y trouve le Tétragramme (YHWH en français) du nom divin sous la forme de caractères hébreux anciens insérés dans le texte grec.

      Ainsi, la Septante a été préservée dans de nombreux manuscrits, beaucoup étant fragmentaires, mais d’autres assez complets. Les textes de la Septante sont notamment conservés dans les trois célèbres manuscrits

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