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  • Thessaloniciens (Lettres aux)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • vous exhortons, frères, (...) à vous appliquer à vivre calmes, à vous occuper de vos propres affaires et à travailler de vos mains, comme nous vous l’avons ordonné, de façon à marcher avec décence vis-à-vis des gens du dehors et à n’avoir besoin de rien.” (I Thess. 4:10-12). Certains, dans la congrégation, n’avaient pas pris à cœur cet avertissement. Aussi Paul ordonne-​t-​il à ces personnes de travailler dans le calme et de manger le pain qu’elles gagnent elles-​mêmes. Puis il ajoute: “Mais si quelqu’un n’obéit pas à notre parole qui vous est adressée par cette lettre, notez-​le et cessez de le fréquenter, pour qu’il soit pris de honte. Ne le considérez pourtant pas comme un ennemi, mais continuez à l’avertir comme un frère.” — II Thess. 3:10-15.

      CONTENU

      I. Salutation et bénédiction (1:1, 2).

      II. Paul rend grâce à Dieu pour la fidélité dont les chrétiens de Thessalonique font preuve, et il les assure que Dieu fera venir la vengeance sur ceux qui leur causent de la tribulation (1:3-10).

      III. Il prie pour que les Thessaloniciens soient jugés dignes de l’appel de Dieu (1:11, 12).

      IV. L’apostasie et la révélation de l’homme qui méprise la loi doivent précéder la venue du jour de Jéhovah (2:1-12).

      A. Les Thessaloniciens ne doivent pas se laisser émouvoir par des messages qui prétendraient que le jour de Jéhovah est là (2:1, 2).

      B. Description de l’homme qui méprise la loi (2:3-12).

      V. Conseils relatifs à une bonne conduite (2:13 à 3:15).

      A. Il faut tenir ferme dans les choses apprises (2:13-17).

      B. Paul demande aux Thessaloniciens de prier pour lui et pour ses collaborateurs, et il exprime sa confiance qu’ils feront ce qu’on leur ordonne (3:1-5).

      C. Il est nécessaire de travailler, plutôt que de se mêler des affaires d’autrui (3:6-12).

      D. Conseils sur la façon de traiter ceux qui n’obéissent pas aux avertissements de Paul (3:13-15).

      VI. Conclusion: bénédiction et salutation de Paul (3:16-18).

      Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 215-219.

  • Thessalonique
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    • THESSALONIQUE

      Principale ville portuaire de la Macédoine, appelée aussi aujourd’hui Salonique. Paul y fonda une congrégation chrétienne vers l’an 50. Non loin de là, il y avait à l’origine une ville appelée Therma, nom qui signifie “source chaude”. Therma fut détruite avec quelque vingt-cinq autres villes par Cassandre, qui construisit alors Thessalonique, en 316 ou 315 avant notre ère, ville à laquelle il donna le nom de sa femme, sœur d’Alexandre le Grand. Cette nouvelle ville était située sur la côte occidentale de la presqu’île de la Chalcidique, en bordure du golfe Thermaïque (appelé maintenant golfe de Thessalonique), à l’intersection d’une route qui rejoignait le Danube, au nord, et de la grande voie (la via Egnatia, route pavée construite par les Romains), longue de plusieurs centaines de kilomètres, qui traversait la Macédoine jusqu’à la mer Adriatique.

      Jusque vers le milieu du IIe siècle avant notre ère, la Macédoine était divisée en quatre districts, dont le deuxième avait pour capitale Thessalonique. Quelques années plus tard, quand la Macédoine devint une province romaine, le siège administratif du gouvernement provincial s’établit dans cette ville. C’est pourquoi, venant de Philippes, à quelque 120 kilomètres à l’est, et arrivant à Thessalonique, l’apôtre Paul et Silas trouvèrent une métropole prospère d’une assez grande importance.

      Après que Paul eut prêché pendant trois sabbats dans la synagogue de Thessalonique, quelques Juifs et une grande multitude de prosélytes grecs, dont “un assez grand nombre de femmes de premier rang”, devinrent croyants et se joignirent à Paul et à Silas (Actes 17:1-4). On ignore combien de temps Paul et son compagnon passèrent dans cette ville, mais leur séjour fut suffisamment long pour qu’ils se mettent à travailler afin de pourvoir à leurs besoins. Ainsi, bien qu’en sa qualité d’apôtre Paul ait eu le droit de recevoir une aide matérielle de la part de ceux qu’il servait spirituellement, il montra par l’exemple qu’on devrait ‘manger le pain qu’on gagne soi-​même’. (I Cor. 9:4-18; I Thess. 2:9; II Thess. 3:7-12.) Il agit probablement ainsi en partie parce que certains membres de la congrégation avaient des tendances à la paresse. Pendant le séjour de l’apôtre à Thessalonique, les frères de Philippes lui envoyèrent par deux fois des dons pour subvenir à ses besoins. — Phil. 4:16.

      Au bout d’un certain temps, les Juifs de Thessalonique qui avaient rejeté le message de Paul rassemblèrent une bande d’émeutiers d’entre les flâneurs de la place du marché et vinrent assaillir la maison de Jason où demeurait Paul. Quand ils s’aperçurent que l’homme qu’ils cherchaient était absent, ils traînèrent Jason et quelques autres croyants devant les chefs de la ville, ou “politarques”, selon la transcription littérale du mot grec (Actes 17:5-9; Kingdom Interlinear Translation). À ce sujet, il est particulièrement intéressant de remarquer qu’on a trouvé à Thessalonique et dans ses environs des inscriptions datant de cette période qui désignent certaines de leurs autorités locales par le titre de politarques.

      Pour la sécurité de Paul et de Silas, les frères de Thessalonique les envoyèrent de nuit à Bérée. Là, Paul constata que les Juifs de cette ville ‘avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique, car ils reçurent la parole avec le plus grand empressement, scrutant les Écritures chaque jour pour voir s’il en était bien comme l’apôtre le leur disait’. Toutefois, des difficultés ne tardèrent pas à surgir lorsque des opposants juifs venus de Thessalonique soulevèrent la foule, obligeant de nouveau Paul à se sauver secrètement. — Actes 17:10-15.

      Moins d’un an après avoir quitté Thessalonique, Paul, qui se trouvait alors à Corinthe, écrivit sa première lettre aux Thessaloniciens. Pour les consoler et les encourager, il leur avait envoyé Timothée et celui-ci lui avait fait un rapport favorable à leur sujet. Dans sa lettre, il les félicite pour le bon exemple qu’ils donnent à “tous les croyants en Macédoine et en Achaïe” et il les exhorte à ne pas se laisser décourager par les persécutions (I Thess. 1:1-8; 3:1-13; 4:1). Cette lettre a ceci de particulier qu’elle est non seulement le premier des écrits canoniques de Paul, mais aussi, à l’exception probable de l’Évangile selon Matthieu, le premier livre des Écritures grecques chrétiennes à être mis par écrit. Peu après, Paul rédigea une seconde lettre aux Thessaloniciens pour qu’ils ne se laissent pas détourner par de faux enseignants. — II Thess. 1:1; 2:1-3.

      Dans les années qui suivirent, Paul revisita sans aucun doute Thessalonique lorsque, dans le cadre de ses voyages, il passait en Macédoine (Actes 20:1-3; I Tim. 1:3). Les Écritures citent le nom de deux Thessaloniciens, Aristarque et Secundus, qui furent des compagnons de voyage de Paul (Actes 20:4; 27:2). Démas, qui abandonna Paul à Rome, s’en alla à Thessalonique d’où il était peut-être originaire. — II Tim. 4:10.

  • Thêta
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    • THÊTA

      {Article non traduit.}

  • Theudas
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    • THEUDAS

      {Article non traduit.}

  • Thomas
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    • THOMAS

      (“jumeau”).

      Cet apôtre de Jésus Christ était appelé “Le Jumeau”. (Mat. 10:3; Marc 3:18; Luc 6:15; Jean 11:16.) Il semble qu’il était assez impulsif dans sa manière d’exprimer ses sentiments ou son scepticisme. Cependant, une fois ses doutes dissipés, Thomas n’hésitait pas à reconnaître sa foi.

      Quand Jésus décida de retourner en Judée pour tirer Lazare du sommeil de la mort, Thomas déclara: “Allons-​y, nous aussi, pour mourir avec lui.” (Jean 11:16). Comme peu de temps auparavant les Judéens avaient cherché à lapider Jésus (Jean 11:7, 8), Thomas essayait peut-être d’encourager les autres disciples à accompagner leur Maître, même si cela signifiait qu’ils devraient rejoindre Lazare et (ou) Jésus dans la mort.

      Quand Jésus dit à ses apôtres qu’il s’en allait leur préparer une place, Thomas exprima son scepticisme en ces termes: “Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment donc en savons-​nous le chemin?” (Jean 14:2-6). De même, lorsqu’on lui apprit la résurrection de Jésus, il déclara: “Non, je ne croirai pas, à moins de voir à ses mains la marque des clous, de mettre mon doigt dans la marque des clous, et de mettre ma main dans son côté.” C’est ce qu’il eut l’occasion de faire huit jours plus tard, quand Jésus réapparut à ses disciples. Le récit ne dit pas si en cette circonstance Thomas toucha réellement les plaies de Jésus, toutefois, il fut pleinement convaincu et s’exclama: “Mon Seigneur et mon Dieu!” Christ le reprit alors doucement par ces mots: “Heureux ceux qui ne voient pas et qui pourtant croient!” — Jean 20:24-29.

  • Thummim
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    • THUMMIM

      Voir URIM.

  • Thyatire
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    • THYATIRE

      Ville reconstruite au début du IIIe siècle avant notre ère par Séleucus Nicator, ancien général d’Alexandre le Grand. Elle se trouvait à l’intérieur des terres, à environ 65 kilomètres de la mer Égée, sur un affluent de l’Hermus, dans la partie occidentale de l’Asie Mineure. La congrégation chrétienne de Thyatire reçut un message écrit de la main de l’apôtre Jean, sous la dictée du Seigneur Jésus Christ. — Rév. 1:11.

      Thyatire, appelée aujourd’hui Akhisar, est située à environ 250 kilomètres à vol d’oiseau au sud-sud-ouest de Constantinople et à 370 kilomètres à l’est d’Athènes. Sous l’Empire romain, c’était une ville importante de la région de Lydie, sur la route qui reliait Pergame à Sardes, dans la province romaine d’Asie, à mi-chemin entre ces deux villes.

      Cette ville ne fut jamais une grande métropole ni ne joua un rôle politique particulièrement important. C’était toutefois un riche centre industriel réputé pour ses nombreux métiers, tels que le tissage, la teinture, le travail du cuivre, la tannerie et la fabrication des poteries. Des inscriptions mentionnent souvent son commerce de teintures. Les teinturiers utilisaient des racines de garance pour produire leur célèbre pourpre, couleur qui fut connue par la suite sous le nom de “rouge de Turquie”.

      Lydie, “marchande de pourpre de la ville de Thyatire”, se convertit au christianisme lors de la première visite de Paul à Philippes, en Macédoine. Elle y représentait peut-être des fabricants de Thyatire. Cette femme d’affaires assez aisée possédait une maison suffisamment grande pour y recevoir Paul et son compagnon pendant leur séjour à Philippes. — Actes 16:12-15.

      On ignore quand et par qui le christianisme fut introduit à Thyatire. Il n’est mentionné nulle part que Paul ou d’autres évangélisateurs visitèrent jamais cette ville, ni que Lydie y retourna. Le message y parvint peut-être pendant les deux ans (vers 53-​55) que Paul passa à prêcher dans la ville d’Éphèse, à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Thyatire, car, durant cette période, “tous ceux qui habitaient dans le district d’Asie, Juifs et Grecs, entendirent la parole du Seigneur”. (Actes 19:10.) Une chose est sûre, c’est qu’environ quarante ans plus tard il y avait une congrégation chrétienne assez dynamique à Thyatire. — Rév. 1:10, 11.

      LE MESSAGE DE JÉSUS CHRIST À LA CONGRÉGATION DE THYATIRE

      Cette congrégation est la quatrième des sept qui reçurent un message de Jésus Christ. Elle est félicitée pour l’amour, la foi et l’endurance dont elle fait preuve, ainsi que pour son ministère, car ses “actions sont plus nombreuses que celles d’autrefois”. Toutefois, malgré ces qualités louables, la congrégation avait laissé une très mauvaise situation se développer et se perpétuer en son sein. Le Seigneur condamna cet état de choses par ces mots: “Tu tolères la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, et elle enseigne et égare mes esclaves pour qu’ils commettent la fornication et mangent des choses sacrifiées aux idoles.” Cette “femme” était probablement appelée Jézabel parce que sa conduite rappelait celle de la femme d’Achab et qu’elle refusait froidement de se repentir. Cependant, il semble que seule une minorité des membres de la congrégation de Thyatire se laissait influencer par cette Jézabel, puisque le message s’adresse ensuite “aux autres qui sont à Thyatire, tous ceux qui n’ont pas cet enseignement, ceux-là précisément qui n’ont pas appris à connaître les ‘choses profondes de Satan’”. — Rév. 2:18-29.

  • Tibère
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    • TIBÈRE

      Deuxième empereur de Rome, né en 42 avant notre ère. Fils de Tiberius Claudius Nero et de Livie Drusille, il fut adopté par l’empereur Auguste quand sa mère épousa ce dernier en 38 avant notre ère. À l’âge de 31 ans, Tibère fut contraint par son père

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