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  • Comment je poursuis le but de ma vie
    La Tour de Garde 1961 | 15 décembre
    • S’il y en a qui sont encore dans l’incertitude pour ce qui est d’entrer dans le service à plein temps, qu’ils se rappellent : “ Votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. ” (Mat. 6:8). En considérant mes vingt-six années d’expériences personnelles dans le service à plein temps, je peux affirmer que cette vérité s’est avérée, que Dieu a pourvu à tout ce dont j’avais besoin, sur les plans matériel et spirituel. Les choses semblent parfois difficiles, mais en se confiant en Jéhovah et en travaillant dur pour accomplir l’œuvre, il y a toujours moyen d’en sortir. Permettez à Jéhovah de vous prouver qu’il est bon. Mettez-​le à l’épreuve en poursuivant dès maintenant le but de votre vie comme proclamateur à plein temps de la bonne nouvelle. Au fur et à mesure que le temps passera, il est indubitable que de nouveaux champs de service à plein temps s’ouvriront pour vous, l’œuvre de pionnier spécial peut-être ; il vous sera alors possible d’aller là où nul frère ne travaille ou dans une assemblée faible nécessitant l’aide de frères mûrs. On ne sait jamais réellement ce que Jéhovah a en réserve pour ceux qui le croient sur parole. Mais nous savons que, quoi qu’il arrive, ce sera bon.

  • Les tours à étages chez les païens des temps anciens
    La Tour de Garde 1961 | 15 décembre
    • Les tours à étages chez les païens des temps anciens

      DANS maintes localités, grandes ou petites, le lieu le plus élevé est occupé par un édifice religieux. Souvent celui-ci est le plus haut bâtiment érigé par cette communauté. Cette coutume de réserver une telle importance à la religion remonte au temps de Nimrod, le chasseur, qui vécut quelques générations après le déluge.

      Ce Nimrod semble avoir réussi, par la violence et l’intimidation, à unir et à enrégimenter un grand nombre de familles d’entre les descendants de Noé. S’étant dirigées vers l’est, à travers ce qu’on appelle aujourd’hui le Croissant fertile, ces familles s’établirent dans une région de la Mésopotamie appelée Schinear. Là, elles construisirent les anciennes villes de Babel, Érec, Accad et Calné. Tel fut le commencement du premier empire babylonien qui s’étendit rapidement pour englober des villes comme Ninive, au nord. Nimrod fut l’auteur des tours à étages ou temples-tours. Il devint un faux dieu et, jusqu’à ce jour, d’incalculables millions d’humains l’ont honoré et l’honorent encore sciemment ou sans le savoir.

      La vie et l’histoire de ce roi et de ces villes sont étroitement liées à des tours gigantesques ou temples à étages. Dans le récit biblique, la raison de la construction de la ville et de la tour de Babel est décrite de la façon suivante : “ Puis ils dirent : Allons, bâtissons-​nous une ville et une tour dont le sommet atteigne le ciel et faisons-​nous un nom, de peur que nous ne soyons dispersés sur toute la surface de la terre. ” L’examen attentif de ce récit nous apprend que la construction des villes et de leurs tours respectives devait répondre à trois buts principaux : 1o unir les hommes sous un maître ou roi visible au mépris du vrai Roi et Dieu, Jéhovah ; 2o pourvoir à un lieu de refuge, devenu nécessaire par suite du manque de foi en la promesse faite par Dieu de ne plus jamais exterminer les méchants par les eaux d’un déluge ; 3o pourvoir à une demeure pour leur dieu ou leurs dieux. — Gen. 11:4, Bible du Centenaire.

      CONFUSION

      Toutefois, leur projet de domination mondiale fut déjoué par la confusion des langues. Toute coopération devint impossible, dès l’instant qu’ils ne purent plus s’entendre les uns les autres. “ Jéhovah descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes. Et Jéhovah dit : “ Ils sont un seul peuple et ils ont pour eux tous une même langue ; et cet ouvrage est le commencement de leurs entreprises ; maintenant rien ne les empêchera d’accomplir leurs projets. Allons, descendons, et là même confondons leur langage, de sorte qu’ils n’entendent plus le langage les uns des autres. ” C’est ainsi que Jéhovah les dispersa de là sur la face de toute la terre, et ils cessèrent de bâtir la ville. C’est pourquoi on lui donna le nom de Babel, car c’est là que Jéhovah confondit le langage de toute la terre, et c’est de là que Jéhovah les a dispersés sur la face de toute la terre. ” Aussi les travaux de construction de la ville et de sa tour furent-​ils arrêtés. Quant aux prétendus bâtisseurs d’un empire, ils furent dispersés. Le récit biblique nous informe que “ la terre fut divisée ” aux jours de Péleg ; ce qui permet de penser que la confusion des langues se produisit peut-être de son vivant, c’est-à-dire environ 150 ans après le déluge. — Gen. 11:5-9, AC ; 10:25, Jé.

      Les ethnologues et les philologues modernes ont beau se moquer de ce récit simple et succinct, c’est là un fait biblique, d’ailleurs confirmé par l’Histoire, l’archéologie et le folklore. Ainsi, l’historien juif Josèphe, qui vécut au premier siècle de notre ère, emprunte une citation à La Sibylle qui relate la confusion des langues en ces termes : “ Alors que tous les hommes parlaient la même langue, quelques-uns édifièrent une tour extrêmement haute, pensant s’élever par là jusqu’au ciel. Mais les dieux envoyèrent des ouragans, renversèrent la tour et donnèrent un langage spécial à chacun ; de là vient le nom de Babylone attribué à la ville. ” Au nord du temple de Mardouk, à Babylone, se dressait autrefois une tour énorme. Dans cette région, l’archéologue George Smith découvrit une tablette d’argile portant un récit analogue. On y lit entre autres : “ La construction de cette illustre tour offensa les dieux. En une nuit, ils jetèrent bas ce qu’ils [les hommes] avaient construit. Ils les dispersèrent au loin, et rendirent étrange leur langage. Ils empêchèrent leurs progrès. ” Divers pays apportent, par leur folklore, des preuves supplémentaires attestant la confusion miraculeuse des langues : “ Des versions [concernant la tour de Babel] ont été enregistrées chez les habitants de la Zambézie et aussi chez les Achantis ; parmi certains peuples tibéto-birmans d’Assam, on trouve le récit d’une tour et de la confusion du langage. On rencontre des légendes analogues au Mexique. ” (L’Encyclopédie britannique, tome II, page 839). Ces récits concernant des tours peuvent certes varier entre eux, mais il convient de retenir que tous mentionnent une tour et disent que le langage des hommes a été changé. C’est là un fait qui vient appuyer le récit authentique de la Bible.

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