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  • Une traduction de la Bible qui honore Dieu
    La Tour de Garde 1964 | 15 juillet
    • Bible doivent aussi être accusés d’avoir fait une traduction biblique qui n’honore pas Dieu. Selon eux, le nom “Jéhovah” est l’un de ces “non-sens”. Mais, si pour le plaisir de discuter, on admet que Jéhovah n’est pas la prononciation exacte du groupe de quatre lettres de l’alphabet hébreu, יהוה, représentant le nom de Dieu et connu sous le nom de Tétragramme, est-​ce là une raison pour priver le seul vrai Dieu du nom qui l’identifie ? Appelez-​le donc Yahweh, Javeh ou Yahvé, comme le font plusieurs traductions en différentes langues, mais ne cachez pas ce nom unique sous un titre moins important comme “Seigneur”, qui peut s’appliquer même à un chef de famille, comme lorsque Sara appelait son mari “seigneur”.

      Le terme “lèpre” est également absent de cette traduction, les auteurs le considérant comme un “non-sens” et lui substituant parfois le mot psoriasis. Mais, d’après un expert en maladies de la peau, le Dr Fred Levit, les rédacteurs de la Bible “cherchaient à déceler la lèpre à ses premiers stades. Il est parfaitement compréhensible que, par suite de leur connaissance insuffisante de la maladie, ils aient pu confondre les premiers cas de lèpre, mais si vous remplacez le mot “lèpre” par “psoriasis”, vous n’êtes guère plus avancés”.

      Il faut considérer également comme une traduction biblique qui n’honore pas Dieu les raccourcissements qui omettent les Dix Commandements ainsi que les versions qui mettent la Bible en argot, pour les moins de vingt ans de notre époque. Assurément, pour faire aimer la Parole de Dieu à cette jeunesse, ce qu’il faut, ce n’est pas la mettre en argot, mais apprendre à ces jeunes gens à comprendre et à aimer le beau langage. Les manuels qui traitent d’une science ou d’un art sont-​ils écrits en argot pour faire plaisir aux moins de vingt ans ?

      ELLE DOIT EMPLOYER LE NOM UNIQUE DE DIEU

      La traduction biblique qui honore Dieu doit, par-dessus tout, donner à son nom la place qui lui revient. Depuis une date aussi reculée que 1100 de notre ère, ce nom unique est traduit par “Jéhovah”. Nous lisons : “Je suis Jéhovah, c’est là mon nom, et je ne donnerai ma gloire à nul autre, ni mon honneur aux idoles.” Or, s’il était écrit : “Je suis le Seigneur, c’est là mon nom”, ce passage n’aurait évidemment pas de sens. Qu’a de distinctif, d’unique, le mot “Seigneur” ? Ce n’est même pas un nom ; c’est un simple titre. — Is. 42:8, AC.

      On peut voir toute l’importance que Jéhovah attachait à son nom dans le nombre de fois où celui-ci apparaît dans les Écritures hébraïques, soit une fois et demie le nombre des allusions à toutes les autres déités, vraies et fausses, réunies. C’est à propos que déjà en 1901 les traducteurs de l’American Standard Version ont affirmé : “Ce Nom commémoratif (...) représente Dieu comme le Dieu personnel, le Dieu d’alliance, le Dieu de Révélation, le Libérateur, l’Ami de son peuple, (...) le Secours éternellement vivant de ceux qui sont dans la détresse.”

      Bien que la plupart des traductions de la Bible, juives, catholiques et protestantes, n’honorent pas Dieu en l’appelant par son nom, on rencontre néanmoins de notables exceptions, en plus de celle que nous venons de citer. Il y a, entre autres, Young et Rotherham [Yahweh], en anglais ; Elberfelder, Parallel Bible, en allemand ; Moderna, Valera, Bover-Cantera, Nácar-Colunga, Straubinger, en espagnol ; Nouvelle Crampon, Liénart, Jérusalem, et Crampon 1905 [Jéhovah], en français. Mais la plus remarquable de toutes, sous ce rapport comme sous de nombreux autres, c’est la Traduction du monde nouveau, imprimée en sept langues.

      LA “TRADUCTION DU MONDE NOUVEAU”

      Outre le fait qu’elle emploie le nom de “Jéhovah” chaque fois que le Tétragramme apparaît dans le texte hébreu massorétique, la Traduction du monde nouveau le remet encore à sa place dans les passages où, pour une raison ou pour une autre, les scribes juifs prirent la liberté d’omettre le Tétragramme. Le nom de Jéhovah s’y rencontre même 237 fois dans les Écritures grecques chrétiennes (ou Nouveau Testament).

      Pourquoi le rencontre-​t-​on aussi dans le Nouveau Testament ? Parce que ce nom a le droit d’y être. En premier lieu, puisque Matthieu cita directement le texte hébreu, il s’ensuit que toutes les fois qu’il rencontra le nom Jéhovah, il l’introduisit dans son évangile. En outre, eu égard à la façon dont Jésus insista sur ce noma, nous ne pouvons imaginer que le Christ ou l’un quelconque de ses apôtres aient été influencés par la tradition juive sous ce rapport, étant donné surtout les paroles cinglantes qu’ils prononcèrent à maintes reprises contre elle. D’ailleurs, l’examen de fragments, très anciens et encore existants, de la Septante grecque, révèle qu’au début les scribes juifs n’étaient pas asservis à cette tradition car ils gardaient pour le nom de Dieu le Tétragramme sans lui substituer un autre mot. Par conséquent, aux jours de Jésus et de ses apôtres, le nom unique de Jéhovah reçut l’honneur qui lui était dû en ce sens qu’il a dû figurer dans les écrits autographes originaux de la Bible. Sous ce rapport encore, la Traduction du monde nouveau ne se singularise pas. Le nom de Jéhovah apparaît dans dix-neuf versions juives ainsi que dans près de quarante versions du “Nouveau Testament” traduites par des missionnaires.

      Parmi les multiples façons dont la Traduction du monde nouveau honore Dieu, il y a le fait qu’elle se tient éloignée des préjugés trinitaires. C’est pourquoi elle rend ainsi la phrase controversable de Jean 1:1 (MN) : “La Parole était dieub.” Et, bien entendu, elle ne renferme pas le passage apocryphe de I Jean 5:7, 8, pour les raisons indiquées plus haut.

      Hébreux 1:8, qui s’adresse au Fils de Dieu, peut se traduire ainsi : “Ton trône, ô Dieu, est éternel” ou “Dieu est ton trône à tout jamais”, puisque le verbe “est” ne se trouve ni dans le grec ni dans l’hébreu, dans Psaume 45:7, dont ce passage est une citation. En harmonie avec ses principes d’honorer Dieu et de ne pas contredire le reste des Écritures, la Traduction du monde nouveau rend ainsi ce passage : “Dieu est ton trône pour toujours.”

      On a formulé une objection parce que, dans Philippiens 2:9, la Traduction du monde nouveau déclare que “Dieu (...) a donné avec bonté [à Jésus] le nom qui est au-dessus de tout autre nom” et que cela laisse entendre que Jésus est inférieur et reçoit une faveur ! Pourtant, c’est là, une fois encore, un exemple où la Traduction du monde nouveau honore Dieu car le mot grec en question est ici kharizomaï, qui signifie “accorder une faveur, c’est-à-dire, donner gratuitement, avec bonté, avec le pardon ou la délivrance”. Et, alors que plus de vingt versions anglaises traduisent ce mot par “donné”, “octroyé” et d’autres mots de ce genre, quelques autres versions montrent que kharizomaï ne signifie pas simplement “donner”. Par exemple, ce mot est traduit par “gratuitement donné” dans les versions de Lausanne, de Fenton et dans la Diaglott ; par “favorisé, gratifié” dans Nouvelle Crampon et dans Rotherham ; par “conféré” dans les Moines de Maredsous ; par “grâce” dans Verkuyl, et par “gracieusement octroyé” dans Wuest.

      La Traduction du monde nouveau se révèle être une traduction remarquable sous un autre rapport encore : la logique et l’exactitude dont elle fait preuve. En premier lieu, elle distingue gnôsis (connaissance) de épignôsis (connaissance exacte [parfaite]), et makarios, qui signifie “suprêmement favorisé, (...) heureux, riche”, de eulogêtos, qui signifie “béni”.

      La Traduction du monde nouveau honore Dieu aussi par la précision dont elle fait preuve en faisant la différence entre les divers mots grecs employés pour “amour”, “terre” et “monde”, pour n’en citer que quelques-uns. De la même façon elle fait la différence entre les divers mots hébreux désignant l’“homme” et la “mort”.

      Il ne faut pas non plus négliger l’aide précieuse fournie par la Traduction du monde nouveau, en anglais, dans son appendice. Sa concordance de 104 pages est d’une grande valeur pour les amis de la Bible. Ses discussions de matières et de textes controversés et ses cartes sont aussi très utiles. Elle fait connaître également des faits intéressants concernant chacun des livres de la Bible : l’écrivain, la date et le lieu de rédaction et la période couverte par le récit.

      Oui, pour qu’une traduction biblique honore Dieu, elle doit être honnête, affranchie des préjugés religieux, harmonieuse et logique ; elle doit accepter la Bible pour ce qu’elle affirme être, la Parole de Dieu. Quoique nombre de traductions laissent beaucoup à désirer sous maints rapports, on peut affirmer sans se tromper que la Traduction du monde nouveau, dans toutes les langues dans lesquelles elle a été publiée, honore Jéhovah Dieu.

  • Communications
    La Tour de Garde 1964 | 15 juillet
    • Communications

      LE MINISTÈRE

      Il en est qui chantent l’amour mais ne le pratiquent pas parce qu’ils ne savent pas ce que c’est le véritable amour. Pour eux, l’amour n’est pas le sacrifice de soi mais la satisfaction des sens (I Jean 3:18). Le vrai amour nous porte à aider nos semblables et à leur faire du bien. Jésus souligna l’importance pour ses disciples de renoncer à soi-​même. Le vrai amour et le véritable service de Dieu nous poussent à aider autrui à reconnaître Dieu et son dessein. À cette fin les témoins de Jéhovah offriront en juillet le livre “Que Dieu soit reconnu pour vrai” ou C’est ici la vie éternelle ! et trois brochures quelconques. Désirez-​vous y participer ? Si oui, mettez-​vous en contact avec la Salle du Royaume de votre résidence ou écrivez à notre bureau.

      TEXTES QUOTIDIENS POUR AOÛT

      16 Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne peut être cachée quand elle est située sur une montagne. — Mat. 5:14, MN. wF 1/4/63 46, 47

      17 Et le cinquième versa sa coupe sur le trône de la bête sauvage. Et son royaume devint enténébré, et ils se mordaient la langue de douleur, mais ils blasphémèrent le Dieu du ciel à cause de leurs douleurs et de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas. — Rév. 16:10, 11, MN. wF 15/3/64 11

      18 Rendez les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu. — Marc 12:17, MN. wF 15/5/63 14a

      19 Le royaume de Dieu ne signifie pas le manger et le boire, mais signifie la justice et la paix et la joie avec l’esprit saint. — Rom. 14:17, MN. wF 15/8/63 11a

      20 Tandis que par toute forme de prière et de supplication vous continuez dans la prière en toute occasion, dans l’esprit. — Éph. 6:18, MN. wF 15/6/63 8-10a

      21 Souviens-​toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent. — Eccl. 12:3 12:1, NW. wF 1/10/63 15

      22 L’amour édifie. — I Cor. 8:1, MN. wF 1/11/63 19a

      23 Je chanterai à Jéhovah (...) Jéhovah est un vaillant guerrier. — Ex. 15:1, 3, AC. wF 15/1/64 51, 52

      24 Comme Nimrod, puissant chasseur en opposition avec Jéhovah. — Gen. 10:9, NW. wF 1/3/64 12, 14

      25 Tu as aimé la justice, et tu as haï l’iniquité. C’est pourquoi Dieu, ton Dieu, t’a oint de l’huile d’exultation plus que tes compagnons. — Héb. 1:9, MN. wF 1/8/63 5a

      26 Ils les rassemblèrent au lieu qui est appelé en hébreu Har-Magedon. — Rév. 16:16, MN. wF 15/3/64 12

      27 Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier. — Ps. 119:105. wF 15/6/63 10, 11

      28 Toi, cependant, demeure dans les choses que tu as apprises et dont tu as été convaincu. — II Tim. 3:14, MN. wF 15/2/64 10, 11

      29 Devenez bons les uns pour les autres, tendrement compatissants, vous pardonnant librement les uns aux autres, comme Dieu aussi vous a librement pardonné, par Christ. — Éph. 4:32, MN. wF 1/6/63 11-13a

      30 Soyez persévérants dans la prière, restez-​y éveillés avec actions de grâces. — Col. 4:2, MN. wF 15/6/63 10, 11a

      31 C’est pourquoi on l’appela du nom de Babel, car c’est là que (Jéhovah) confondit le langage de toute la terre, et c’est de là que (Jéhovah) les dispersa sur la face de toute la terre. — Gen. 11:9. wF 1/5/64 25

      Voici qui permettra de trouver le commentaire de chacun de ces textes : le ou les nombres qui suivent la date de La Tour de Garde désignent un ou plusieurs paragraphes du premier article d’étude. Lorsque l’indicatif du paragraphe est suivi d’un “a”, le commentaire se trouve dans le second article d’étude ; un “b” signifie qu’il faut se reporter au troisième article d’étude.

      ÉTUDES DE “LA TOUR DE GARDE” POUR LES SEMAINES DU

      16 août : Les fidèles femmes-ministres sont une source de bénédictions pour la société du monde nouveau. Page 428.

      23 août : Les privilèges de la chrétienne. Page 434.

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