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Les merveilles de Dieu dans les profondeursRéveillez-vous ! 1977 | 22 avril
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bouche. Les bernacles se fixent sur les rochers, les coquillages, les baleines, les navires et aussi sur des blocs de mazout durci. Il y a même des bernacles qui se fixent sur d’autres bernacles.
De nombreuses bernacles possèdent à la fois les organes mâles et femelles, mais la plupart des variétés les plus courantes ne se fécondent pas elles-mêmes. Puisqu’elles sont fixées de façon permanente, comment les bernacles trouvent-elles un conjoint ? Du fait qu’elles vivent en communauté très dense, elles n’ont qu’à choisir un voisin qui leur convient pour l’accouplement. Elles surmontent le problème de la distance grâce à un long tube rétractile.
Il existe une variété de bernacles qui ne se fixe pas sur les navires, mais choisit les roches submergées. Ces bernacles sont beaucoup plus appréciées, non seulement parce qu’elles ne font pas de tort aux bateaux, mais aussi parce qu’elles pèsent jusqu’à un kilo et demi et sont un mets de choix. Elles ont un goût assez semblable à celui du homard et du crabe.
Étant donné ce qui précède, on ne peut qu’être d’accord avec le psalmiste qui a dit :
“Ceux qui descendent en mer sur les navires,
Faisant le commerce sur les vastes eaux,
Ceux-là ont vu les œuvres de Jéhovah
Et ses œuvres prodigieuses dans les profondeurs.” — Ps. 107:23, 24.
Les hommes qui font des recherches sous la surface de l’océan, et même dans ses profondeurs, ont l’occasion d’admirer des merveilles plus étonnantes encore. Ils ont découvert bien des choses utiles à l’homme qui vit sur la terre ferme, mais ils reconnaissent qu’ils ont à peine ‘gratté la surface’. Il y a encore bien d’autres merveilles à découvrir dans les profondeurs de la mer, réserve inépuisable d’informations, de nourriture, de richesses et d’enchantements pour ceux qui ont le plaisir de ‘descendre en mer’ à la recherche de ses trésors.
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Utile du haut en basRéveillez-vous ! 1977 | 22 avril
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Utile du haut en bas
● Appelé “l’arbre de vie” par les indigènes du nord-est du Brésil, le palmier carnauba a un nombre extraordinaire d’usages. Dans les “plantations”, on récolte les feuilles dont on extrait la cire. Celle-ci entre dans la fabrication des meilleures cires pour planchers, des produits pour entretenir le cuir, du papier carbone, des disques pour électrophones, des films de cinéma, de quantité d’articles en caoutchouc et de matières isolantes.
Cependant, si le reste du monde n’emploie que cette cire, les indigènes, eux, se servent de toutes les autres parties de la plante. Avec les feuilles, ils tissent des nattes et font des toits de chaume. Le tronc est utilisé pour toutes sortes de construction, surtout celle des solides jangadas ou radeaux à voiles. Les troncs, une fois creusés, sont même employés comme conduites d’eau.
Il y a également les parties comestibles. Les pousses se mangent comme choux palmistes et les jeunes tiges fournissent de l’amidon. Avec le petit fruit rond de ce palmier on engraisse les cochons, et on fait même une boisson fermentée avec la sève. En vérité, le palmier carnauba est une “usine” économique, productive du haut en bas.
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