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L’esprit hautain va devant la chuteLa Tour de Garde 1965 | 1er avril
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que j’amènerai sur elle ; et ils tomberont épuisés.’” — Jér. 51:59-64, AC.
22. Comment la déclaration faite dans I Corinthiens 10:12 (MN) est-elle confirmée par les événements que nous examinons ?
22 De ces événements survenus dans les derniers jours du royaume de Juda, dont les rois de la lignée davidique étaient assis sur le trône de Jéhovah à Jérusalem, nous dégageons la leçon suivante : “Que celui qui croit être debout prenne garde de tomber.” (I Cor. 10:12, MN). Jérusalem, la ville du grand Roi qui avait été si abondamment bénie par Jéhovah Dieu et protégée par lui, même pendant de nombreuses années encore après la chute de Samarie, sa sœur, avait comblé la mesure par son arrogance et son orgueil, allant jusqu’à brûler la Parole écrite de Jéhovah Dieu. Après cette abomination, la nation s’achemina très rapidement vers la décadence, et trébucha si dangereusement qu’elle perdit sa liberté et fut asservie à un roi païen, sa chute et sa complète désolation étant imminentes. Dans les éditions suivantes de ce périodique, nous verrons dans quelles circonstances ces derniers événements se sont produits.
23. Comment le récit, surtout en ce qui concerne Jojakim et le résultat de sa destruction du livre par le feu, réconforte-t-il le peuple de Jéhovah ?
23 Les gouvernements qui ordonnent de brûler la Bible, les hommes qui cherchent à détruire la Parole de Dieu, ou qui essaient de la cacher au peuple, qui arrêtent ceux qui la possèdent, persécutent ceux qui croient et proclament son message, trébucheront dangereusement, et à cause de leur orgueil et de leur arrogance à l’égard de Jéhovah, ils connaîtront bientôt, dans un effondrement final, une désolation dont ils ne pourront jamais se relever.
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La vérité ne s’achète pas à prix d’argentLa Tour de Garde 1965 | 1er avril
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La vérité ne s’achète pas à prix d’argent
EN ISRAËL, une personne juive s’intéressa à l’œuvre des témoins de Jéhovah ; elle nous relate ce qui suit : “Un jour, on frappa à ma porte. C’était un homme envoyé par le rabbinat. Il m’informa que ce dernier, ayant appris que j’avais changé de religion, s’était réuni en comité et me faisait savoir qu’il était prêt à m’aider financièrement si je consentais à revenir à la religion juive, car il pensait que ma conversion était due à des raisons pécuniaires. Je lui répondis qu’il y avait des choses qu’on ne pouvait ni acheter ni vendre à prix d’argent, et que la vérité de la Parole de Dieu, la Bible, était justement l’une de ces choses. Les témoins de Jéhovah m’avaient apporté cette vérité. Le représentant du rabbinat me dit alors : ‘Qui est Jéhovah ?’ Je répondis : ‘C’est une honte pour un Juif de ne pas connaître le nom de Jéhovah !’ Prenant ma Bible, je lui en montrai des passages et lui demandai s’il acceptait ces preuves. Visiblement embarrassé, il se mit à marmotter : ‘Il y a longtemps que je n’ai pas eu de Bible entre les mains. Il m’est donc difficile de m’en servir pour vous répondre.’ Je lui dis alors : ‘Si vous ignorez le nom de Dieu et que vous ne connaissez pas sa Parole écrite, la Bible, pour quelle raison priez-vous et à qui adressez-vous vos prières dans la synagogue ?’ Il ne savait que répondre. Il dit : ‘Vous dirai-je un secret ? Je ne crois en rien. Je me contente de suivre la tradition de mes ancêtres. Ce qui compte pour moi, c’est de travailler au rabbinat et de recevoir un salaire.’ Après lui avoir rendu témoignage, je lui remis quelques publications, le priant de remercier les rabbins de l’aide pécuniaire qu’ils me proposaient mais dont je n’avais nul besoin, car je mettais ma confiance dans le Dieu vivant, Jéhovah.”
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