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  • La vérité est exaltée, le mensonge est rejeté
    La Tour de Garde 1968 | 1er juillet
    • les pratiques païennes de ses voisins. “Il mit sa confiance dans Jéhovah, Dieu d’Israël, et il n’eut pas son semblable parmi tous les rois de Juda qui vinrent après lui ou qui le précédèrent. Attaché à Jéhovah, il ne se détourna pas de lui, et il observa les commandements que Jéhovah avait prescrits à Moïse. Et Jéhovah fut avec Ézéchias qui réussit dans toutes ses entreprises.” — II Rois 18:5-7, AC.

      32 Puissions-​nous nous aussi, agir avec sagesse en suivant l’exemple du Grand Ézéchias, Jésus-Christ ! Soyons sans crainte face aux menaces de la fausse religion et des gouvernements nationalistes, annonçant avec assurance la vengeance divine sur le présent système de choses de Satan et encourageant ceux qui gémissent devant ses injustices (És. 61:1, 2). Puissions-​nous demeurer ‘attachés à Jéhovah’, confiants qu’il sera avec nous alors que nous l’adorerons avec zèle et que nous participerons à la justification éternelle de son nom ! Mais un prochain article nous en apprendra davantage encore sur le triomphe du vrai culte sur le nationalisme.

  • Une union politique condamnée dès sa formation
    La Tour de Garde 1968 | 1er juillet
    • Une union politique condamnée dès sa formation

      1. En quelles circonstances les éléments politiques rivaux s’unissent-​ils ?

      SELON un vieil adage anglais, “la politique fait d’étranges compagnons de lit”. C’est un fait qu’il y a beaucoup de rivalité et en général très peu d’unité parmi les éléments politiques. Mais que quelque chose menace leur façon d’agir, dénonce la corruption générale qui règne en leur sein ou semble de quelque façon entraver leurs projets, alors les éléments politiques joignent leurs forces à celles de leurs anciens rivaux ou de leurs ennemis même, et se concertent pour mettre fin à ce qu’ils considèrent comme une menace commune. Si leur coopération momentanée réussit, alors ils se séparent de nouveau et reprennent leurs querelles et leurs luttes.

      2. a) La Bible est-​elle un livre de politique ? b) L’union politique que nous allons considérer ici est-​elle importante, et à quoi peut-​on la comparer ?

      2 La Bible ne s’intéresse pas subjectivement à la politique, et les chrétiens ne se sont jamais mêlés à cette dernière, cependant la Parole de Dieu décrit certains de ses développements au moment où ceux-ci ont exercé une influence sur la vie du peuple de Dieu et contrecarré les desseins divins. L’un de ces développements est constitué par la plus vaste des coalitions de puissances politiques jamais entreprise, une coalition dont la portée est extraordinaire et qui réunit les plus grands ennemis mortels dans un dessein commun. Mais cette union est condamnée dès sa formation, car elle constitue une révolte concertée contre la souveraineté du Dieu suprême de l’univers. C’est une rébellion semblable à celle qui fut organisée lors de la construction de la tour de Babel et qui aboutit à la confusiona. — Gen. 11:1-9.

      3. Que préfigure la bête sauvage de couleur écarlate de la Révélation, et que représentent ses cornes ?

      3 Les deux précédents articles qui ont paru dans cette série ont parlé de la bête de couleur écarlate qui apparaît dans la vision du livre de la Révélation, et ils ont montré que cette bête constituait une figure prophétique de l’alliance internationale connue tout d’abord sous le nom de Société des Nations et présentement sous celui de Nations unies. La bête de couleur écarlate a sept têtes et dix cornes symboliques évidemment. La prophétie de

  • Le vrai christianisme inspire l’altruisme
    La Tour de Garde 1968 | 1er juillet
    • Le vrai christianisme inspire l’altruisme

      L’a-​t-​il fait dans le passé ? Quelle preuve avons-​nous qu’il le fait encore de nos jours ?

      C’ÉTAIT une jeune Portoricaine, mère de deux enfants en bas âge et mariée au coiffeur du village. C’était aussi une femme sincèrement pieuse, si bien que la pensée des tourments du purgatoire et de l’enfer la rendaient malade. Elle avait pour habitude de se promener les mains crispées sur un crucifix. Les médecins ne pouvaient rien faire pour elle ; ses prêtres lui faisaient prendre des médicaments, mais ne lui apportaient aucune aide. Comment cette jeune mère a-​t-​elle été soulagée de ses maux ? En apprenant que “Dieu est amour”, que “le salaire que paie le péché, c’est la mort” et que le vrai christianisme incite l’individu à s’intéresser non seulement à lui-​même, mais également à autrui. — I Jean 4:8 ; Rom. 6:23.

      Il n’est pas surprenant qu’une personne sincèrement pieuse adopte pareille attitude d’esprit. Manifestement, l’entière teneur de son enseignement religieux concernait l’intérêt que l’individu porte à lui-​même et qui peut aisément mener aux extrêmes, comme dans le cas des ascètes et des mystiques. Dans le passé, des gens pieux, tels que le moine et prêtre Martin Luther, se sont littéralement torturés dans leur souci d’assurer leur salut.

      Toutefois, cet égocentrisme dans la façon d’envisager la religion produit souvent une sorte de fruit inattendu. Les prêtres qui, pour avoir offensé les nazis, furent envoyés dans le camp de concentration de Dachau pendant la Seconde Guerre mondiale, l’ont démontré d’une façon typique. Nerin E. Gun parle d’eux dans son livre Le jour des Américains (angl, 1966). Lui-​même catholique sincère — il l’est d’ailleurs toujours —, Gun était correspondant d’un pays neutre. Malgré cela, il fut incarcéré à Dachau par les Nazis à cause des dépêches objectives qu’il envoyait de Berlin au cours de la dernière guerre mondiale.

      Dans son ouvrage, voici ce qu’il déclare à propos de ces prêtres dont les convictions avaient dû être inébranlables pour que les Nazis les aient enfermés dans ce camp : “On disait la messe dans la chapelle du baraquement no 26, qui était celui des prêtres. L’entrée de cette chapelle n’était permise qu’à quelques privilégiés (...). Au début, l’accès au baraquement no 26 avait été accordé à tous les prêtres catholiques, comme une sorte de concession faite au Vatican. Les conditions de vie y étaient meilleures que partout ailleurs dans le reste du camp, et l’on y recevait de nombreux colis de l’extérieur.” Toutefois, par la suite, l’entrée de la chapelle fut refusée à tous les prêtres qui n’étaient pas de nationalité allemande, comme elle l’était déjà aux autres détenus, tout catholiques romains qu’ils étaient. “Un prêtre bavarois montait la garde à l’extérieur, un nerf de bœuf à la main, et malheur à quiconque essayait de passer” pour profiter des services religieux qui se déroulaient à l’intérieur.

      M. Gun cite ensuite un homme pieux, membre influent du parti catholique français, lui aussi interné dans le camp de Dachau. “Nous étions expulsés de la chapelle, parfois à coups de botte (...). Évidemment le baraquement regorgeait de colis (...). Qu’en aurait-​il résulté si tous les affamés du camp, subitement gagnés par la piété, avaient eu accès aux réserves de nourriture gardées dans les coffres, fermés à clé, des prêtresa?” Si ces derniers avaient pris au sérieux leurs croyances touchant les tourments du purgatoire et de l’enfer, auraient-​ils refusé les bienfaits de leur religion à leurs frères “laïcs” dans la foi ? Il est évident qu’ils se souciaient davantage de leurs besoins matériels que des besoins spirituels de leurs compagnons catholiques.

      Aussi contradictoire que cela puisse paraître, il y avait quelque chose qui n’allait pas dans le cas de cette jeune mère portoricaine et dans celui de ces prêtres allemands de Dachau. Quoi ? Dans les deux cas, ils se trompaient au sujet du christianisme, le prenant pour une proposition égoïste, persuadés qu’on pouvait être bon chrétien tout en ne s’intéressant qu’à soi. Mais cela est faux. En fait, l’un des traits caractéristiques qui distinguent le vrai christianisme du faux, c’est qu’il incite ceux qui le pratiquent à faire preuve d’altruisme.

      L’EXEMPLE DES APÔTRES

      Est-​ce à dire que le chrétien ne doit pas se soucier de ses besoins spirituels, de son salut ? Au contraire, il est dans l’obligation de le faire, et la Bible l’y encourage (Mat. 5:3). Aussi lisons-​nous que, pour plaire à Dieu, il faut non seulement “croire que Dieu est”, qu’il existe, mais encore “qu’il devient le rémunérateur de ceux qui le cherchent sincèrement”. (Héb. 11:6.) Mais le christianisme ne s’arrête pas là. Il ne s’agit que du commencement. Nous en trouvons la preuve dans les débuts mêmes du christianisme. Pourquoi Jésus-Christ invita-​t-​il Pierre et André, puis Jacques et Jean à abandonner leur métier de pêcheurs et à le suivre ? Songeait-​il uniquement à leur propre salut ? Non, il voulait les voir devenir des pêcheurs d’hommes, apportant le salut à d’autres. — Mat. 4:19-22.

      Considérons en particulier le cas de l’apôtre Paul, à propos duquel les Écritures ont à dire plus qu’au sujet de n’importe lequel des autres disciples de Jésus. Pharisien érudit, il jouissait à ce titre d’une grande estime, et voyait s’ouvrir devant lui un avenir des plus prometteur. Mais en devenant chrétien, il renonça à tous les avantages et à la carrière qu’il pouvait espérer en tant que Pharisien, et il voua sa vie à la propagation du christianisme parmi ses semblables, dont il faisait généreusement passer les intérêts avant les siens, comme lui-​même nous le déclare : “Car, bien que je sois libre à l’égard de toutes personnes, je me suis fait moi-​même l’esclave de tous, afin que je puisse gagner le plus de personnes. Et ainsi pour les Juifs je suis devenu comme un Juif, afin de gagner des Juifs. (...) Pour ceux qui sont sans loi je suis devenu comme étant sans loi (...), afin de gagner ceux qui sont sans loi. Pour les faibles je suis devenu faible, afin de gagner les faibles. Je suis devenu toutes choses pour des gens de toutes sortes, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns. Mais je fais toutes choses pour la bonne nouvelle, afin que j’en devienne participant avec d’autres.” — I Cor. 9:19-23.

      Qu’impliquait le fait de faire primer les intérêts d’autrui sur les siens ? L’apôtre lui-​même nous l’apprend : “Des Juifs j’ai reçu cinq fois quarante coups moins un, trois fois j’ai été battu de verges, une fois j’ai été lapidé, trois fois j’ai fait naufrage, j’ai passé une nuit et un jour dans l’abîme ; (...) dangers des brigands (...), dangers du désert (...), faim et soif (...), froid et nudité.” Paul endura-​t-​il toutes ces souffrances uniquement pour assurer son propre salut ? Non, car celui-ci ne demandait pas des actions aussi héroïques. Il faisait surtout cela pour honorer son Créateur et pour aider ses semblables afin qu’ils soient sauvés. C’est également pour cette raison qu’il écrivit quatorze des vingt-sept livres de ce qui est appelé le Nouveau Testament. Il n’y a aucun doute à ce sujet : l’apôtre Paul s’était laissé entièrement imprégner de l’esprit de désintéressement, qui est l’une des caractéristiques du christianisme. — II Cor. 11:22-33.

      Que l’altruisme fût l’une des marques réellement distinctives du christianisme primitif, c’est ce qu’attestent certains historiens profanes. C’est ainsi que dans leur ouvrage L’histoire de la civilisation (angl.), C. Brinton, J. Christopher et R. Wolff déclarent ce qui suit : “Le chrétien ne se contentait nullement de ses perspectives de salut individuel. Il n’acceptait pas la volonté de Dieu d’une manière passive. Il fut dès le début un missionnaire ardent, désireux de convertir et de sauver autrui.” D’autre part, ces écrivains parlent du ‘désintéressement et du naturel’ qui caractérisent le christianisme, et ils ajoutent : “Dans la vie du véritable chrétien, tous les hommes sont un, et les divisions de classes sont une distraction, ou qui pis est, un prétexte pour flatter le moi égoïste. Pour l’individu, l’essentiel, c’est d’éviter toutes sortes de triomphes personnels sur autrui, tout succès de compétition, toute chose exaltant et enflant le moi (...). Voilà l’idéal du désintéressement ! Le christianisme cherche à dompter les élans particulièrement déraisonnables de l’esprit de rivalité propre à l’homme, à maîtriser l’esprit de domination, la brutalité, la vantardise, l’orgueil et d’autres manifestations de l’homme ‘naturel’.” Le chrétien ne devait “pas seulement asservir son moi égoïste ; il devait ouvrir son cœur et manifester la bonté envers tous ses semblablesb”. On pourrait fort bien se demander : Dans quelle mesure les agnostiques et les athées ont-​ils déployé un tel zèle missionnaire ? A-​t-​on jamais entendu dire que certains d’entre eux s’étaient rendus au cœur de l’Afrique, ou de tout autre pays étranger, pour ce motif, pour instruire les indigènes superstitieux, comme le font des milliers de missionnaires chrétiens ?

      JÉHOVAH DIEU ET JÉSUS-CHRIST SONT DÉSINTÉRESSÉS

      Il ne peut y avoir d’autre manière d’agir. Pourquoi ? Parce que la Bible nous montre que Jéhovah Dieu et Jésus-Christ sont la personnification même du désintéressement. Jéhovah Dieu, qui existe par lui-​même et qui n’a pas eu de commencement, a toujours été complet en lui-​même. Il n’avait pas besoin de créer. Il créa uniquement par amour, mû par un sentiment de désintéressement. En outre, il fit preuve d’une grande générosité en laissant vivre le couple humain originel qui avait mérité la mort pour sa rébellion. Jéhovah exprima surtout son amour envers nous lorsqu’il envoya son cher Fils unique ici-bas, afin qu’il meure pour nos péchés. Jean, l’apôtre plein d’amour, nous le fait remarquer, disant : “Dieu est amour. En ceci l’amour de Dieu a été manifesté dans notre cas, parce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous acquérions la vie par lui. L’amour, à cet égard, c’est, non pas que nous avons aimé Dieu, mais que lui nous a aimés et a envoyé son Fils comme sacrifice propitiatoire pour nos péchés.” — I Jean 4:8-10.

      ‘Tel père, tel fils’, pourrait-​on dire à propos de Jésus-Christ, qui, en se montrant désintéressé, a suivi l’exemple de son Père. C’est ce qui lui permettait de dire : “Celui qui m’a vu a vu le Père”, car Jésus agissait comme son Père l’aurait fait dans les mêmes circonstances. Il avait une glorieuse existence préhumaine avant de venir sur la terre ; il existait en forme de Dieu. Il renonça à tout pour venir ici-bas, non pour gagner son salut personnel ni pour être servi, mais pour servir “et donner son âme [sa vie] comme rançon en échange de beaucoup”. — Jean 14:9 ; Mat. 20:28 ; Phil. 2:5-8.

      C’est ce que, de son côté, l’apôtre Paul a fait remarquer en ces termes : “Vous connaissez la bonté imméritée de notre Seigneur Jésus-Christ, comment, étant riche, il est devenu pauvre pour vous, afin que vous deveniez riches par sa pauvreté.” Jésus dit qu’il n’avait pas où reposer sa tête, pas un lieu dont il pouvait dire qu’il était sien ; pourtant, comme il aurait pu être riche si, à l’instar de tant de prétendus guérisseurs de notre époque, il avait voulu retirer un gain pécuniaire des guérisons qu’il opérait ! — II Cor. 8:9 ; Luc 9:58.

      QU’EN EST-​IL AUJOURD’HUI ?

      Oui, qu’en est-​il aujourd’hui ? Le vrai christianisme inspire-​t-​il l’altruisme à notre époque, en cette fin du vingtième siècle, comme il le fit il y a dix-neuf siècles ? Oui, mais chez qui ? Chez les témoins de Jéhovah dont l’organisation est édifiée sur le modèle de celle qui existait au temps des premiers chrétiens ; en son sein, il n’y a pas de distinction entre membres du clergé et laïcs, mais tous les chrétiens sont des ministres de la bonne nouvelle. Dans leur formation, on insiste surtout sur le fait de donner, et non de recevoir, de donner de leur temps pour servir Jéhovah et leurs semblables, donner de leurs forces et de leurs ressources. Nombre d’entre eux se sont engagés dans le ministère à plein temps tout en sachant que cette activité n’est pas en soi une exigence à remplir pour obtenir le salut, la vie éternelle.

      Au sein des congrégations locales des témoins de Jéhovah, il y a des “serviteurs” qui prennent la direction. Ils ont des tâches précises à accomplir afin de pourvoir aux besoins spirituels de la congrégation ; ces fonctions leur prennent beaucoup de temps et de forces et représentent de lourdes responsabilités. Reçoivent-​ils une rémunération pécuniaire ou une récompense honorifique ? Non, pas plus que n’en recevaient les premiers chrétiens. Tous servent leur Dieu et leurs frères par amour, avec désintéressement, sachant qu’“il y a plus de bonheur à donner qu’il y en a à recevoir”. — Actes 20:35.

      Ce principe est illustré par le fait suivant emprunté à la vie réelle. Un jeune Juif de Brooklyn accepta un jour une invitation à une réunion qui allait se tenir dans la Salle du Royaume du quartier ; là des instructions relatives au ministère du champ furent communiquées aux témoins. Entre autres choses, on examina le rapport de l’activité ministérielle du mois précédent, ainsi que les objectifs que tous s’efforçaient d’atteindre.

      Après la réunion, le jeune homme demanda à son ami témoin : “As-​tu atteint les objectifs au cours du mois dernier ?” Il lui répondit affirmativement. “Que reçois-​tu quand tu les atteins ?”, poursuivit le jeune Juif. Le témoin lui apprit que la seule récompense du proclamateur était la satisfaction d’avoir bien travaillé dans le service de Jéhovah. Son ami lui demanda encore : “Qu’arrive-​t-​il si tu n’atteins pas ces objectifs ? Y a-​t-​il des sanctions ?” “Non, lui répondit le jeune témoin, personne ne se voit infliger une peine quelconque dans ce cas.” Tout cela paraissait incroyable à ce jeune Juif qui avait toujours mesuré les mobiles en fonction des considérations matérielles.

      L’Annuaire des témoins de Jéhovah (angl.) démontre d’une manière éloquente le pouvoir du christianisme pour ce qui est d’inspirer l’altruisme à ses adeptes. En effet, au compte rendu des activités déployées par les témoins de Jéhovah dans près de 200 pays, il ajoute des centaines de pages de faits de prédication intéressants. L’édition de 1968 indique qu’au cours de la dernière année de service, 1 094 280 proclamateurs chrétiens de la “bonne nouvelle” ont prêché chaque mois, consacrant au cours de l’année plus de 180 millions d’heures, effectuant plus de 65 millions de nouvelles visites et conduisant chaque mois plus de 850 000 études bibliques au domicile des gens.

      En agissant ainsi, les chrétiens ne font que leur devoir. Dieu étant amour, la personnification même du désintéressement, le véritable culte qui lui est rendu incite nécessairement à l’altruisme. Son Fils est venu sur la terre pour nous donner un exemple parfait, et nous trouvons de nombreux autres bons exemples dans la Parole de Dieu. C’est en produisant un tel fruit que les chrétiens glorifient leur Dieu Jéhovah et démontrent qu’ils sont de véritables disciples de Jésus-Christ. — Jean 15:8.

      [Notes]

      a L’écrivain Gun montre qu’il était toutefois possible de rester attaché aux principes élevés du christianisme en dépit des conditions qui régnaient dans les camps de concentration, en louant hautement les témoins de Jéhovah incarcérés dans ce camp.

      b Pour preuve, voyez les passages bibliques suivants : I Corinthiens 10:33 ; 13:4-8 ; Galates 5:26 ; Philippiens 2:3, 4.

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