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  • Vautour
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    • différence des autres vautours, sa tête est emplumée et il a une barbe qui ressemble à celle du bouc. Cet oiseau a une prédilection pour les os à moelle, qu’il lâche d’une très grande hauteur au-dessus d’un rocher. Une fois que l’os est brisé, l’animal peut manger la moelle qui se trouve à l’intérieur.

      L’origine du mot ozniyah est incertaine. D’après le lexicographe Ludwig Koehler (Lexicon in Veteris Testamenti Libros, p. 695), il s’agirait du vautour noir (Aegypius monachus). Celui-ci a à peu près la même taille que le griffon, mais les ornithologistes classent cet oiseau dans un ‘genre’ à part. Il niche généralement dans les grands arbres tandis que ses congénères préfèrent les rebords de falaise ou des crevasses rocheuses. De couleur plutôt brun foncé, cette espèce a la tête dénudée comme les autres vautours. Son cou est bleu, et sa queue cunéiforme.

  • Véadar
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    • VÉADAR

      Voir ADAR.

  • Veau
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    • VEAU

      {Article non traduit.}

  • Veau (Culte du)
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    • VEAU (CULTE DU)

      Première forme d’idolâtrie mentionnée dans la Bible, à laquelle les Israélites ont succombé après leur sortie d’Égypte. Alors que Moïse était sur la montagne pour recevoir la loi de Dieu, le peuple s’impatienta et demanda à Aaron de lui faire un dieu. Avec les boucles d’oreilles en or offertes par les Israélites, Aaron fondit une statue de veau, de jeune taureau sans aucun doute (Ps. 106:19, 20). Cette image était censée représenter Jéhovah, et la fête qui eut lieu le lendemain fut “une fête pour Jéhovah”. Les Israélites offrirent des sacrifices au veau d’or, se prosternèrent devant lui, mangèrent et burent, puis s’amusèrent en chantant et en dansant. — Ex. 32:1-8, 18, 19.

      Le veau n’était pas obligatoirement en or massif. Cela est indiqué par le fait qu’Ésaïe, parlant de la fabrication d’une image en métal fondu, dit que l’artisan en métaux la recouvre d’or. — És. 40:19.

      Le culte idolâtrique égyptien, qui déifiait des vaches, des taureaux et d’autres animaux, avait certainement beaucoup influencé les Israélites en les amenant à adorer un veau si peu de temps après avoir été libérés d’Égypte. Cette idée est confirmée par les paroles suivantes d’Étienne: “Dans leur cœur, ils sont retournés en Égypte, en disant à Aaron: ‘Fais-​nous des dieux qui aillent devant nous. (...)’ Ils ont donc fabriqué un veau, en ces jours-​là, et fait monter un sacrifice vers l’idole, et ils ont commencé à se divertir dans les œuvres de leurs mains.” — Actes 7:39-41.

      Le premier roi du royaume des dix tribus, Jéroboam, craignant que ses sujets ne se révoltent et ne retournent à la maison de David s’ils continuaient à aller adorer à Jérusalem, fit fabriquer deux veaux d’or. Il plaça l’un d’eux à l’extrême nord du royaume, dans la ville de Dan, et l’autre à Béthel, à environ dix-neuf kilomètres au nord de Jérusalem. — I Rois 12:26-29.

      Jéhovah condamna ce culte et, par l’intermédiaire de son prophète Ahijah, prédit que le malheur s’abattrait sur la maison de Jéroboam (I Rois 14:7-12). Néanmoins, le culte du veau resta enraciné dans le royaume des dix tribus. Même le roi Jéhu, qui fit disparaître le culte de Baal en Israël, le laissa persister, sans doute pour maintenir le royaume des dix tribus séparé du royaume de Juda (II Rois 10:29-31). Au IXe siècle avant notre ère, Jéhovah suscita les prophètes Amos et Osée afin de proclamer qu’il condamnait le culte du veau, lequel consistait entre autres à embrasser des idoles en forme de veau. Ces prophètes annoncèrent également la ruine du royaume des dix tribus. Le veau d’or de Béthel allait être apporté au roi d’Assyrie, ce qui serait un sujet de deuil pour le peuple ainsi que pour les prêtres des dieux étrangers. Les hauts lieux allaient être anéantis. Les épines et les chardons pousseraient sur les autels dédiés au faux culte (Osée 10:5-8; 13:2; Amos 3:14; 4:4; 5:5, 6). Le malheur arriva effectivement quand le royaume des dix tribus tomba aux mains de l’Assyrie, en 740 avant notre ère. Environ un siècle plus tard, Jérémie prophétisa que les Moabites auraient honte de leur dieu Kémosch, tout comme les Israélites avaient pris honte de Béthel, le centre de leur culte idolâtrique du veau.

  • Védan
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    • VÉDAN

      {Article non traduit.}

  • Végétation
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    • VÉGÉTATION

      Le troisième “jour” de création, Dieu fit que la terre produise “de la végétation portant semence selon son espèce”, donc capable de se reproduire (Gen. 1:11-13). Apparemment, Genèse 2:5, 6 décrit les conditions qui existaient ce “jour”-​là, juste après que Dieu eut fait apparaître la terre ferme, mais avant que celle-ci ne produise de l’herbe, de la végétation portant semence et des arbres donnant du fruit. Pour fournir aux futures plantes l’humidité dont elles auraient besoin, Jéhovah fit en sorte qu’une brume monte régulièrement de la terre pour arroser le sol. Ainsi, la végétation pouvait prospérer sur la terre, bien qu’il ne plût pas encore à cette époque.

      Ce n’est toutefois qu’à partir du quatrième “jour” de création que Dieu “fit” que le soleil, la lune et les étoiles soient visibles à travers l’atmosphère “pour éclairer la terre”. (Gen. 1:15.) Quant aux créatures volantes, y compris sans doute les insectes, elles vinrent à l’existence le cinquième “jour” de création (Gen. 1:20-23). Par conséquent, on peut se demander comment la végétation a pu survivre sans la lumière du soleil et sans l’aide de la pollinisation par les insectes. À cet égard, il faut évidemment tenir compte de l’action de l’esprit de Dieu (Gen. 1:2). En outre, il est impossible de savoir exactement quelles conditions existaient sur la terre pendant le troisième “jour” de création et l’effet qu’elles ont pu avoir sur la vie végétale.

      Dieu a le pouvoir de diriger la croissance de la végétation en fonction de son dessein. Il promit aux Israélites de récompenser leur obéissance en leur donnant de la pluie et de la végétation pour leurs animaux domestiques (Deut. 11:13-15). Toutefois, s’ils abandonnaient leur alliance avec lui, Dieu rendrait le pays aride (Deut. 29:22-25; voir Ésaïe 42:15; Jérémie 12:4; 14:6). Parmi les fléaux que Jéhovah fit venir sur l’Égypte antique, il y eut une averse de grêle qui frappa toutes sortes de végétations. Dieu envoya une autre plaie par laquelle des sauterelles dévorèrent toute la végétation que la grêle avait épargnée. — Ex. 9:22, 25; 10:12, 15; Ps. 105:34, 35; voir Amos 7:1-3.

      USAGE FIGURÉ

      En Palestine, pendant la saison sèche, sous l’effet de l’ardeur du soleil et du vent d’est, chaud et aride, la végétation se dessèche rapidement. Aussi le peuple qui était sur le point de subir l’invasion des armées ennemies est-​il comparé à “la végétation des champs et [à] la tendre herbe verte, l’herbe des toits, quand tout se dessèche devant le vent d’est”. (II Rois 19:25, 26; És. 37:26, 27.) De même, le psalmiste profondément affligé s’exclama: “Mon cœur a été frappé comme la végétation et il est desséché.” “Moi, je suis desséché comme la végétation.” — Ps. 102:4, 11.

      Dans les Écritures, les arbres symbolisent parfois des personnes en vue et haut placées (voir Ézéchiel 31:2-14), tandis que les simples végétaux comme l’arbrisseau épineux, l’herbe ou le jonc représentent les hommes en général (voir Juges 9:8-15; II Rois 14:8-10; Ésaïe 19:15; 40:6, 7). Sachant cela, il est plus facile de comprendre le sens de Révélation 8:7, qui parle de la destruction par le feu du “tiers des arbres” et de “toute la végétation verte”.

  • Veille
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    • VEILLE

      Voir NUIT.

  • Vengeance
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    • VENGEANCE

      (héb. naqam, emporte essentiellement l’idée de “respirer vigoureusement, venger, tirer vengeance”; gr. ékdikéô [ék, de, et dikê, justice], “venger, tirer vengeance”).

      Châtiment infligé pour réparer une offense ou une insulte; action de rétribuer. Dans son application, le mot suggère la justice accomplie. Dans la Bible, il désigne généralement la rétribution infligée par Dieu pour servir la justice, mais il peut aussi s’appliquer à une action considérée comme juste par celui qui l’exécute ou par laquelle il estime avoir arrangé les choses d’une manière équitable.

      ELLE APPARTIENT À JÉHOVAH

      À moins d’avoir été nommé par Jéhovah pour exécuter la vengeance ou d’avoir été désigné comme vengeur par sa Parole, quiconque tente de se venger ou de venger quelqu’un d’autre agit mal. “La vengeance est à moi, et la rétribution”, dit Jéhovah (Deut. 32:35). Le psalmiste s’adresse à Dieu en ces termes: “Ô Dieu aux actes de vengeance, Jéhovah.” (Ps. 94:1). Par conséquent, Dieu condamne celui qui garde rancune ou cherche à tirer vengeance d’une mauvaise action, réelle ou imaginaire, perpétrée contre lui ou contre quelqu’un d’autre. — Lév. 19:18; Rom. 12:19; Héb. 10:30.

      Les Écritures montrent que la colère de Jéhovah demeure sur tous les pécheurs et les transgresseurs, et que c’est seulement grâce à la faveur imméritée de Dieu, qui a pourvu au sacrifice rédempteur de Jésus, que l’application entière de la sanction prévue par la justice divine contre le pécheur est atténuée ou retenue (Rom. 5:19-21; II Cor. 5:19; Héb. 2:2, 3; voir RANÇON). Dieu est fidèle à sa justice en pardonnant ainsi le péché, et il se montre tout aussi juste en exécutant le jugement contre les pécheurs qui rejettent la disposition qu’il a prise; de tels hommes ne peuvent échapper à la vengeance divine. — Rom. 3:3-6, 25, 26; voir Psaume 99:8.

      La vengeance de Jéhovah accomplit un dessein

      La vengeance de Jéhovah apporte le soulagement et des bienfaits quand elle s’exerce en faveur de ceux qui se confient en lui. En outre, elle lui procure des louanges en tant que Juge juste. Le psalmiste déclare: “Le juste se réjouira d’avoir contemplé la vengeance. (...) Et l’homme dira: ‘Vraiment il y a un fruit pour le juste. Vraiment il y a un Dieu qui juge sur la terre.’” (Ps. 58:10, 11). Ainsi, la vengeance de Dieu a principalement pour dessein de sanctifier et de glorifier son nom et sa souveraineté (Ex. 14:18; Ps. 83:13-18; És. 25:1-5; Ézéch. 25:14, 17; 38:23). Son action justifie également ses serviteurs en les identifiant à ses véritables représentants, et elle les délivre de situations fâcheuses. — Ex. 14:31; 15:11-16; Ézéch. 37:16, 21-23; Ps. 135:14; 148:14; Prov. 21:18.

      Un temps fixé pour la vengeance divine

      Les Écritures révèlent que Dieu a fixé un temps où il exécutera sur une grande échelle sa vengeance sur ses ennemis. Le prophète Ésaïe a été chargé de proclamer “le jour de vengeance de la part de notre Dieu”. La vengeance divine s’est exprimée contre l’antique Babylone, l’oppresseur du peuple de Dieu, quand les armées médo-perses ont été utilisées pour briser cette puissance en 539 avant notre ère (És. 61:1, 2; 13:1, 6, 9, 17). Jésus Christ, quand il était sur la terre, cita partiellement la prophétie d’Ésaïe (És. 61:1, 2) et se l’appliqua (Luc 4:16-21). Bien que le récit ne précise pas s’il a cité la partie qui parle du “jour de vengeance”, Jésus a bel et bien proclamé ce “jour” qui vint pour Jérusalem en l’an 70. Il annonça l’encerclement de la ville par les armées (romaines), disant à ses disciples de fuir de Jérusalem lorsqu’ils seraient témoins de cet événement, “car ce sont là des jours de rétribution selon la justice [littéralement, “jours de vengeance”], pour que toutes les choses qui sont écrites soient accomplies”. — Luc 21:20-22, Kingdom Interlinear Translation; voir GL; Os; TOB.

      Avant sa mort et sa résurrection, Jésus dit encore: “Quant à ce jour-​là et à cette heure-​là [ceux de l’exécution du jugement sur le présent système de choses], personne ne les connaît, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais seulement le Père.” (Mat. 24:36). Il montrait ainsi que la vengeance serait à coup sûr exécutée au temps fixé par Dieu. Pour illustrer que Dieu intervient immanquablement au temps qu’il a fixé en faveur de son nom et de ses serviteurs, Jésus parla d’un juge qui, en raison de l’insistance avec laquelle une veuve demandait justice, finit par décider: “Je vais faire qu’elle obtienne justice [littéralement “je vais la venger”].” Jésus appliqua l’illustration à Dieu en disant: “Est-​ce que Dieu donc ne fera pas justice à ses élus [littéralement, “ne vengera pas” ses élus] qui crient vers lui jour et nuit, même s’il use de longanimité à leur égard?” — Luc 18:2-8, Kingdom Interlinear Translation.

      De surcroît, dans sa vision consignée en Révélation, l’apôtre Jean vit les âmes de ceux qui avaient été égorgés à cause de la parole de Dieu et à cause de leur œuvre de témoignage; ils criaient: “Jusqu’à quand, Souverain Seigneur saint et vrai, te retiens-​tu de juger et de venger notre sang sur ceux qui habitent sur la terre?” La réponse qui leur est faite révèle qu’il y a un temps fixé pour l’exécution de la vengeance, à savoir lorsque aura été “complété le nombre de leurs compagnons d’esclavage et de leurs frères qui étaient sur le point d’être tués, comme eux aussi avaient été tués”. — Rév. 6:9-11.

      Les Écritures révèlent que l’exécution de la vengeance commence sur Babylone la Grande et se poursuit sur “la bête sauvage et les rois de la terre et leurs armées”. (Rév. 19:1, 2, 19-21.) Le Seigneur Jésus Christ est le principal exécuteur de la vengeance de Dieu. — II Thess. 1:6-9.

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