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  • Apprenez à connaître Dieu et préservez la paix
    La Tour de Garde 1970 | 15 février
    • 24. Selon ses propres déclarations, pourquoi Ésaïe avait-​il lieu d’être effrayé au spectacle de cette vision ?

      24 Devant cette vision de Jéhovah assis sur un trône dans son temple, le prophète Ésaïe fut effrayé. Si les fondements des portes ont été ébranlés par la voix des séraphins qui se parlaient l’un à l’autre, pourquoi Ésaïe n’aurait-​il pas tremblé, lui qui était une créature vivante aux sentiments religieux très profonds ? Bien qu’il fût déjà prophète de Jéhovah, il se sentit impur à la vue de cette scène sainte. Il craignit même pour sa vie, s’écriant : “Malheur à moi ! je suis perdu ! Car je suis un homme aux lèvres souillées, et j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres souillées, et mes yeux ont vu le Roi, Jéhovah des armées !” — Is. 6:5, AC.

      25. Comment, grâce aux séraphins, Ésaïe a-​t-​il pu demeurer en vie pour nous faire ce récit ?

      25 Comment Ésaïe a-​t-​il pu demeurer en vie et faire ce récit ? Du temple rempli de fumée miraculeuse, un des séraphins ailés est venu au secours du prophète. Celui-ci nous dit : “Mais l’un des Séraphins vola vers moi, tenant à la main un charbon ardent, qu’il avait pris sur l’autel avec des pincettes. Il en toucha ma bouche et dit : ‘Ceci a touché tes lèvres ; ton iniquité est enlevée et ton péché expié.’”

      26. a) Pour quelle mission Ésaïe, alors purifié, se montra-​t-​il volontaire ? b) Sous quel rapport Ésaïe préfigure-​t-​il le Messie et nous donne-​t-​il une leçon ?

      26 Bien qu’étant en la présence de Dieu, Ésaïe se sentit alors suffisamment pur pour s’offrir spontanément et effectuer un service prophétique pour Jéhovah. “Et, dit-​il, j’entendis la voix du Seigneur disant : ‘Qui enverrai-​je, et qui ira pour nous ?’ Et je dis : ‘Me voici, envoyez-​moi.’ Il dit : ‘Va, et dis à ce peuple.’” Ésaïe se vit aussitôt confier une mission prophétique qui préfigurait l’œuvre que le Messie promis allait accomplir huit siècles plus tard. Ésaïe n’oublia jamais cette vision de la gloire de Jéhovah dans son temple. Étant une image prophétique exacte du Messie, Ésaïe s’acquitta de la mission que Jéhovah lui avait confiée (Is. 6:6-13, AC ; Mat. 13:10-15). Et nous ? Lorsque nous apprenons à mieux connaître Jéhovah Dieu, à l’exemple d’Ésaïe, nous offrons-​nous spontanément pour le servir ? Oui, une meilleure connaissance de Dieu nous incite à lui dire : “Me voici, envoie-​moi.”

      LES VISIONS DU PROPHÈTE ÉZÉCHIEL

      27. Quand le prophète Ézéchiel commença-​t-​il à avoir des visions de Dieu ?

      27 Avant la venue du Messie ou Oint, un autre homme eut, lui aussi, une vision du vrai Dieu vivant. Il s’agit du prophète Ézéchiel qui vécut un siècle après Ésaïe. La ruine que ce dernier avait annoncée à son peuple allait avoir lieu six ans plus tard, lorsque Ézéchiel eut une première vision, inspirant la crainte. Il était alors en exil, captif de la Babylone païenne. Il nous dit que lorsqu’il était “parmi les captifs du fleuve Kébar, les cieux s’ouvrirent, et j’eus des visions divines”. Il situe cet événement au 5 tammouz, selon le calendrier juif, c’est-à-dire le “cinquième jour du quatrième mois” et “la cinquième année de la captivité du roi Jojakin”, soit en 613 avant notre ère. — Ézéch. 1:1-4.

      28. Dans sa première vision, quelle chose en mouvement Ézéchiel vit-​il, et par quoi était-​elle propulsée ?

      28 À cette époque, le Créateur des cieux et de la terre était près d’exécuter sa décision judiciaire contre son peuple infidèle du royaume de Juda, dont la capitale était Jérusalem. En harmonie avec ce fait, ce que vit Ézéchiel ressemblait à quelque chose en mouvement. Il s’agissait d’un char si gigantesque que le prophète avait l’impression d’être aussi minuscule qu’une fourmi. Il n’était propulsé ni par un moteur à essence ou électrique ni par un réacteur atomique, mais il se déplaçait à grande vitesse, renversant tout sur son passage. Il n’avait ni système de direction visible ni freins, mais il pouvait néanmoins changer instantanément de direction, cesser d’avancer vers l’avant pour se déplacer de côté, et cela sans devoir ralentir pour maîtriser sa vitesse. Qu’est-​ce qui propulsait ce char énorme ? C’était évidemment la force active ou esprit de Celui qui était sur ce char.

      29. Qu’avaient de particulier les roues de ce char céleste ?

      29 Ce char n’avait pas deux roues, mais quatre qui étaient construites de façon étrange. Apparemment, elles pouvaient voir où elles se dirigeaient, puisque leurs jantes étaient remplies d’yeux tout autour. De plus, dans chaque roue, qui tournait sur elle-​même et se déplaçait en avant, il y avait une autre roue qui la coupait verticalement à angle droit, ce qui permettait au char de se déplacer latéralement sans que ses roues pivotent comme lorsqu’il s’agit de prendre un virage. Voyez en quels termes Ézéchiel décrit le char en mouvement :

      30. Comment Ézéchiel décrit-​il le mouvement des roues du char ?

      30 “L’aspect de ces roues et leur forme était celui de la pierre de Tharsis, et toutes quatre étaient semblables ; leur aspect et leur forme étaient comme ceux d’une roue traversée par une autre roue. En avançant, elles allaient sur leurs quatre côtés, et ne se retournaient pas dans leur marche. Leurs jantes étaient d’une hauteur effrayante, et les jantes des quatre roues étaient remplies d’yeux tout autour.” — Ézéch. 1:16-18, AC.

      31. Qui accompagnaient le char à la manière de coureurs ?

      31 Dans l’Antiquité, pour rehausser la gloire du personnage qui était sur le char royal, celui-ci était précédé et entouré de coureurs (I Rois 1:5 ; 18:44-46). Quatre chérubins accompagnaient le char céleste que le prophète Ézéchiel vit en vision. Ils jouaient donc le rôle des coureurs accompagnant un char royal. Au début, Ézéchiel les identifie à des “êtres vivants” [“créatures vivantes”, NW]. Il ne s’agissait certainement pas de créatures humaines, bien qu’elles présentaient certaines caractéristiques propres à l’homme (Ézéch. 1:5, 15, AC ; 10:9-13). Le prophète Ézéchiel nous aide à nous faire une image de ces quatre créatures vivantes et du char, tels qu’ils lui sont apparus brusquement dans une gloire pratiquement indescriptible.

      32. D’après la description faite par Ézéchiel, quel était l’aspect des chérubins ?

      32 “Je vis, et voici qu’un vent de tempête venait du septentrion, et une grande nuée, et une masse de feu qui resplendissait alentour, et au milieu d’elle on voyait comme un métal plongé dans le feu. Et au milieu, je vis quelque chose qui ressemblait à quatre êtres vivants, et voici quel était leur aspect : ils avaient une ressemblance humaine ; chacun avait quatre figures, et chacun avait quatre ailes. Leurs pieds étaient droits, et la plante avait la forme du pied d’un veau ; ils étincelaient comme de l’airain poli. Des mains d’hommes sortaient de dessous leurs ailes, sur leurs quatre côtés, et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes. Leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre ; ils ne tournaient point en marchant, chacun allait devant soi.”

      33. Quelles étaient les différentes formes de ces créatures vivantes ou chérubins ?

      33 Le prophète Moïse n’avait fait aucune description des chérubins qui étaient apparus à l’entrée du jardin d’Éden trente-quatre siècles auparavant, lorsque les pécheurs Adam et Ève en avaient été expulsés (Gen. 3:24). Par contre, le prophète Ézéchiel nous donne ci-dessus la description de ces créatures vivantes ou chérubins, et il ajoute : “Voici quelle était la ressemblance de leur forme : une forme d’homme par devant, une forme de lion à droite à tous les quatre, une forme de taureau à gauche à tous les quatre, et une forme d’aigle à tous les quatre. Telles étaient leurs formes. Leurs ailes se déployaient au-dessus d’eux ; chacun avait deux ailes qui rejoignaient celles de l’autre, et deux ailes qui couvraient son corps.” — Ézéch. 1:4-11, AC.

      34. De quelle façon les roues du char harmonisaient-​elles leur mouvement avec celui des chérubins ?

      34 De quelle façon les roues du char céleste harmonisaient-​elles leur mouvement avec celui des chérubins ressemblant à des coureurs ? Le prophète Ézéchiel nous dit : “Quand les êtres allaient, les roues allaient aussi à côté d’eux, et quand les êtres s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi. Là où l’esprit les poussait à aller, ils y allaient, l’esprit les y poussant, et les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit de l’être vivant était dans les roues. Quand ils allaient, elles allaient ; quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient, et quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi, car l’esprit de l’être vivant était dans les roues.” — Ézéch. 1:19-21, AC.

      35, 36. a) Que symbolisent les différents aspects des chérubins ? b) Que vit Ézéchiel juste au-dessus des chérubins et des roues, et qu’entendit-​il ?

      35 Dans les cieux, c’est-à-dire dans le domaine spirituel invisible, il n’existe évidemment pas de créatures correspondant à la description de ces quatre créatures vivantes ou chérubins. Aussi, les divers aspects de leur apparence qui semble grotesque ne sont que les symboles de qualités qu’on retrouve particulièrement chez l’homme, le lion, le taureau et l’aigle ou d’autres créatures ailées. Quel que soit l’intérêt que nous portions à ces qualités, pour l’instant nous nous intéresserons davantage à ce qui est au-dessus des quatre créatures vivantes ou chérubins et au-dessus des roues qui sont à côté d’elles. Que voyait le prophète Ézéchiel ? Il nous le dit en ces termes :

      36 “Au-dessus des têtes des êtres vivants était la ressemblance d’un firmament pareil à un cristal éblouissant ; il était étendu au-dessus de leurs têtes. Et sous le firmament se dressaient leurs ailes, l’une vers l’autre, et chacun en avait deux qui lui couvraient le corps de chaque côté. Et j’entendis le bruit de leurs ailes quand ils allaient, comme le bruit des grandes eaux, comme la voix du Tout-Puissant, un bruit tumultueux comme celui d’un camp ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes.” — Ézéch. 1:22-24, AC.

      37. Quelle partie du char ce “firmament” constituait-​il, et qu’est-​ce qui dominait tous les autres bruits ?

      37 Ce “firmament” constituait la plate-forme du char céleste, qui ressemblait à de la glace éblouissante et inspirait l’effroi. Celui qui se trouvait sur le char est donc décrit comme s’il avançait résolument pour exécuter sa décision judiciaire, étant monté sur une plate-forme solide semblable à de l’eau congelée. Au-dessous de cette plate-forme inspirant la crainte, le bruit du char du Tout-Puissant en mouvement était pareil à celui des eaux tumultueuses ou à celui d’un camp de soldats qui demandent à grands cris de se mettre en route pour détruire les ennemis du Tout-Puissant. Cependant, une voix dominait tous ces bruits montant de dessous le “firmament” ou plate-forme semblable à de la glace. Cette voix que le prophète Ézéchiel entendait, venait, elle, de dessus le “firmament”, c’est-à-dire du Tout-Puissant monté sur la plate-forme du char. À quoi ressemblait le Tout-Puissant ? Ézéchiel nous en fait la description suivante :

      LE CONDUCTEUR DU CHAR CÉLESTE

      38. Comment Ézéchiel décrit-​il le conducteur du char et les effets de lumière qui l’entourent ?

      38 “Et il se faisait un bruit [une voix, Da] partant du firmament étendu sur leurs têtes ; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes. Au-dessus du firmament qui était sur leurs têtes, on voyait comme une pierre de saphir, en forme de trône, et sur cette ressemblance de trône il semblait y avoir comme une figure d’homme [l’aspect d’un homme, Da] au-dessus. Au-dedans et alentour, je vis comme du métal semblable à du feu depuis ce qui paraissait ses reins et au-dessus, et depuis ce qui paraissait ses reins et au-dessous, je vis comme du feu resplendissant autour de lui. Comme l’aspect de l’arc qui est dans la nuée un jour de pluie, ainsi était l’aspect de la splendeur qui rayonnait à l’entour : c’était une image de la gloire de Jéhovah. À cette vue, je tombai sur ma face et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait.” — Ézéch. 1:25-28, AC.

      39. a) Quel mot résume tous ces effets de lumière ? b) La vision donne-​t-​elle beaucoup de détails sur le conducteur du char, et à quoi ressemble son trône ?

      39 L’incandescence semblable à celle de l’électrum (un alliage d’or et d’argent), le feu qui environnait complètement le conducteur du char et dessinait sa silhouette, l’entourant d’un grand éclat, ainsi que l’arc-en-ciel semi-circulaire offrant toute une variété de couleurs, — tout cela se résume en un seul mot : “la gloire”, la “gloire de Jéhovah” ! Une forme suggérant celle d’un homme apparut alors ; en effet, Ézéchiel parle de quelque chose qui “paraissait [être] ses reins”. Mais aucun détail n’est donné concernant les traits et la forme du visage. Le trône sur lequel est assis Jéhovah, le Tout-Puissant, ressemble à une pierre de saphir artistement taillée, dont la couleur bleue suggère le ciel où se trouve en réalité le trône de Jéhovah. C’est depuis ce trône de saphir que Jéhovah parla à Ézéchiel.

      40. L’année suivante, lorsque Ézéchiel eut une autre vision du char céleste, où se trouvait ce dernier ?

      40 L’année suivante, le prophète Ézéchiel eut une autre vision du char céleste de Jéhovah ; à côté des roues se tenaient les créatures vivantes ou chérubins, mais cette fois devant le temple de Jérusalem construit par le roi Salomon. Ézéchiel dit : “Je vis, et sur le firmament qui était au-dessus de la tête des Chérubins, il y avait comme une pierre de saphir ; quelque chose paraissant ressembler à un trône apparut au-dessus d’eux. (...) Or les Chérubins se tenaient à droite de la maison quand l’homme y alla, et la nuée remplit le parvis intérieur. Et la gloire de Jéhovah s’éleva de dessus les Chérubins et vint sur le seuil de la maison ; la maison fut remplie de la nuée, et le parvis était plein de l’éclat de la gloire de Jéhovah. Le bruit des ailes des Chérubins se fit entendre jusqu’au parvis extérieur, comme la voix du Dieu tout-puissant quand il parle.” — Ézéch. 10:1-5 ; 8:1 ; AC.

      41. a) D’où venait le char, et que laissait entendre l’endroit où il se trouvait maintenant ? b) Pourquoi peut-​on dire que c’était comme si Ézéchiel lui-​même détruisait Jérusalem ?

      41 Ainsi, le char céleste de Jéhovah avait quitté la rive du Kébar, à Babylone, où Ézéchiel avait reçu sa première vision, pour se déplacer à l’ouest vers Jérusalem et son temple. Cela laissait entendre que l’exécution ardente de la décision judiciaire de Jéhovah sur la Jérusalem infidèle et son temple souillé devenait imminente. La ville et son temple allaient être détruits (Ézéch. 10:6-22). D’une manière figurative, Ézéchiel détruisit lui-​même la ville infidèle de Jérusalem. Comment cela ? En recevant de Jéhovah la mission d’être un prophète et de proclamer un message annonçant une destruction prochaine. Vingt années après qu’Ézéchiel eut contemplé le char de Jéhovah sur la rive du Kébar, ou quatorze ans après la destruction de Jérusalem, il fut amené de nouveau à penser à sa mission destructrice. La vingt-cinquième année de son exil à Babylone, il reçut une vision complète d’un nouveau temple de Jéhovah. Un ange, ayant l’apparence d’un homme, lui fit faire le tour de ce temple.

      42. Quatorze ans après la destruction de Jérusalem, quelle vision de Dieu Ézéchiel eut-​il en rapport avec le nouveau temple ?

      42 Ézéchiel déclare : “Il me conduisit ensuite à la porte, la porte qui regardait vers l’orient. Et voici que la gloire du Dieu d’Israël venait du côté de l’orient. Sa voix était comme la voix des grandes eaux, et la terre resplendissait de sa gloire. L’aspect de l’image que je vis était comme l’image que j’avais vue lorsque je vins pour détruire la ville, et ce qu’on voyait était comme l’image que j’avais vue près du fleuve Chobar [Kébar] ; et je tombai sur ma face. Et la gloire de Jéhovah entra dans la maison par le chemin de la porte qui regardait l’orient.” — Ézéch. 43:1-4 ; 40:1-4 ; AC.

      43. Quant à la gloire de Dieu, qu’indique l’effet de la vision sur Ézéchiel ?

      43 Cette vision du Dieu tout-puissant Jéhovah était si glorieuse qu’elle suffit à faire tomber la face contre terre un homme fragile et à l’inciter à se prosterner. La gloire de Jéhovah Dieu ne peut pas être contemplée par quelqu’un d’impur, d’effronté ou d’arrogant. Les visions miraculeuses de la “gloire de Jéhovah”, que reçut Ézéchiel, inspiraient assez de crainte pour faire défaillir un homme et l’amener à adorer Dieu. Néanmoins, Ézéchiel survécut à ces expériences extraordinaires conformément au dessein de Dieu à son égard.

      44. Eu égard à la vision d’Ézéchiel, pourquoi importe-​t-​il maintenant aux hommes d’apprendre à connaître Dieu et de faire la paix avec lui ?

      44 Grande est la gloire de Jéhovah lorsqu’il se déplace victorieusement sur son char céleste, accompagné de ses créatures vivantes, les chérubins ! Aujourd’hui, il s’avance de la même manière pour exécuter ses jugements. Il importe donc aux hommes d’apprendre à connaître ce Dieu, d’être en paix avec lui et de préserver ces relations paisibles.

  • La connaissance de Dieu conduit à la paix éternelle
    La Tour de Garde 1970 | 15 février
    • La connaissance de Dieu conduit à la paix éternelle

      1. Quand Daniel a-​t-​il eu une vision de Jéhovah, et qu’a-​t-​il vu au commencement de cette vision ?

      ENVIRON soixante années après qu’Ézéchiel eut sa première vision de Jéhovah, le glorieux Conducteur du char céleste, un de ses compagnons d’exil eut, à Babylone, une vision de Dieu, le Souverain de l’univers. Ce fut une vision nocturne. Dans Daniel 7:1-3 (Da), on trouve le récit suivant : “La première année de Belshatsar, roi de Babylone, Daniel vit un songe, et des visions de sa tête, sur son lit. Alors il écrivit le songe, et raconta la somme des choses. Daniel prit la parole et dit : Je voyais dans ma vision de nuit, et voici, les quatre vents des cieux se déchaînèrent sur la grande mer. Et quatre grandes bêtes montèrent de la mer, différentes l’une de l’autre.” — Dan. 7:1-7, Da.

      2. Que symbolisent les quatre bêtes, et pour quelle raison ces bêtes symboliques doivent-​elles être jugées par le Juge suprême ?

      2 Cette vision était prophétique. Selon ce qu’un interprète déclara à Daniel pendant la vision, les quatre grandes bêtes représentaient quatre puissances mondiales qui se succéderaient sur la scène politique du monde. Leur domination politique sur toute la terre a commencé aux jours de Nébucadnetsar, le grand-père de Belschatsar, qui avait détruit Jérusalem en 607 avant notre ère. Elle allait se prolonger

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