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  • Vouons à Dieu l’attachement exclusif qu’il mérite
    La Tour de Garde 1975 | 15 septembre
    • 3:21). Malgré les œuvres merveilleuses de Jésus, ‘ses frères n’exerçaient pas la foi en lui’. (Jean 7:5.) Mais Jésus ne renonça pas malgré leur manque de foi. Il continua à faire l’œuvre de Dieu. Quel en fut le résultat ? Après la mort et la résurrection de Jésus, ses frères étaient sans doute parmi les quelque 120 disciples qui reçurent l’esprit saint le jour de la Pentecôte de l’an 33 (Actes 1:14 ; 2:1-4). Jésus ayant accordé plus d’importance aux liens spirituels qu’aux liens charnels, ses frères ont finalement pu nouer d’excellentes relations spirituelles avec Jéhovah Dieu.

      Il n’y a pas que nos amis ou nos parents qui peuvent nous faire renoncer à notre attachement exclusif à Dieu. En réalité, toute personne ou toute chose qui occupe une place beaucoup trop importante dans notre vie peut nous inciter à ne plus accorder cet attachement à Dieu, Par exemple, la Bible parle de l’avidité comme d’une forme d’“idolâtrie”, (Col. 3:5.) En effet, l’objet des désirs d’une personne peut détourner son affection de Dieu et devenir une véritable idole. Prenons le cas d’un homme qui désire occuper une place importante dans le monde. Il consacrera tout son temps et toute son énergie à la réalisation de son dessein. Il ne se souciera pas de la volonté de Dieu dans ce domaine. De toute évidence, il ne voue pas un attachement exclusif à Jéhovah. Quelque chose d’autre est devenu son principal souci, l’objet de son amour.

      Étant donné que Jéhovah Dieu exige fort justement un attachement exclusif, nous devrions veiller à ce que rien dans notre vie ne prenne une importance excessive et ne détourne notre affection de Dieu. Aucune des choses que peut noue offrir le présent monde ne devrait nous faire perdre de vue qu’il est tout à fait juste de rester exclusivement attachés à Jéhovah. Nous suivrons donc ce conseil inspiré par Dieu : “N’aimez pas le monde ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui ; car tout ce qui est dans le monde, — le désir de la chair, le désir des yeux et l’exhibition de ses ressources, — ne provient pas du Père, mais provient du monde. Et le monde passe et son désir aussi, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure pour toujours.” (I Jean 2:15-17). Effectivement, si notre premier souci est d’accorder à Jéhovah Dieu l’attachement exclusif qu’il mérite, nous pouvons être certains qu’il nous accordera sa faveur et la vie éternelle.

  • Questions des lecteurs
    La Tour de Garde 1975 | 15 septembre
    • Questions des lecteurs

      ● Si un chrétien (ou une chrétienne) qui était considéré comme un exemple dans la congrégation en raison de sa fonction ou de ses privilèges, rompt unilatéralement ses fiançailles, pourra-​t-​il encore être considéré comme un exemple et garder ses privilèges ?

      Se fiancer ou rompre ses fiançailles sont deux décisions très graves qui ne doivent pas être prises à la légère. Toutefois, l’une et l’autre sont personnelles. Les aînés de la congrégation ne s’en mêleront donc pas, à moins que l’une ou l’autre des parties en cause se plaigne ou que cela trouble manifestement un certain nombre de membres de la congrégation et que ceux-ci manquent de respect envers celui ou celle qui a rompu ses fiançailles. Parfois, ce sont les chrétiens troublés qui ont besoin d’une meilleure intelligence des principes impliqués.

      Notons que dans le système juif, les femmes fiancées étaient liées par cet engagement. Si elles se rendaient coupables d’infidélité, la Loi ordonnait qu’elles soient traitées de la même manière que les femmes mariées (Deut. 22:23, 24). L’homme israélite bénéficiait d’une plus grande liberté et pouvait rompre ses fiançailles. C’est ce que Joseph de Nazareth projetait de faire. Selon Matthieu 1:19 (Crampon 1905), ayant appris que Marie était enceinte, “Joseph, son mari, qui était un homme juste, ne voulant pas la diffamer, résolut de la renvoyer secrètement”. (Voir Deutéronome 24:1.) Mais les chrétiens ne sont pas sous la Loi et aujourd’hui, dans de nombreux pays, une femme fiancée n’est pas aussi liée que l’était Marie.

      Selon Matthieu 5:37, Jésus déclara : “Que votre mot Oui signifie bien Oui, votre Non, Non ; car ce qui est en plus vient du méchant.” Le contexte montre que Jésus déconseillait ici la pratique qu’avaient de nombreux Juifs d’accompagner leurs déclarations d’un serment en jurant souvent par le ciel, par Jérusalem ou par d’autres choses encore. Mais en mettant ainsi en garde ses auditeurs contre de tels excès, Jésus ne disait pas que lorsqu’une personne se rend compte qu’elle a commis une erreur grave elle agit mal si elle s’efforce de la corriger. Le texte de Proverbes 6:1-5 parle de celui qui ‘s’est porté garant de son semblable’ et qui ‘a été pris au piège par les paroles de sa bouche’, “capturé” par elles. Il lui conseille de faire quelque chose pour se libérer de son engagement, disant : “Va t’humilier et importune ton semblable de tes instances.” Une personne qui s’est fiancée peut ensuite se rendre compte qu’elle a pris une décision peu sage. Il est de fait que pendant la période des fréquentations qui précède les fiançailles, l’homme ou la femme se montre généralement sous son beau côté. Après l’annonce officielle des fiançailles, il est possible que l’un ou l’autre commence à se montrer sous son vrai jour. L’un des deux peut alors discerner certains problèmes sérieux qui n’étaient pas évidents jusque-​là.

      Dans le cas particulier où les aînés d’une congrégation jugeraient nécessaire d’examiner une rupture de fiançailles, ils devraient déterminer avec certitude si les raisons de cette rupture sont valables ou non. Que faut-​il entendre par raison “valable” ? Sous la rubrique “Questions des lecteurs”, La Tour de Garde du 1er septembre 1969, p. 543 (Bulletin 20/69, p. 45) donnait deux exemples. En voici d’autres. Durant la période des fiançailles, la fiancée peut se montrer très autoritaire et ne pas manifester un respect réel pour ceux qui détiennent l’autorité. Il y a donc de bonnes raisons de penser qu’elle est le genre de femme décrite dans Proverbes 19:13 ; 21:9 ; 27:15, 16. Ou bien c’est le fiancé qui peut commettre un péché grave, par exemple s’enivrer, pratiquer l’immoralité ou agir malhonnêtement. L’un des deux fiancés peut remarquer chez l’autre une faiblesse spirituelle, telle qu’un esprit matérialiste. En conscience, il pensera alors qu’un mariage avec un tel conjoint serait un fardeau trop lourd pour lui. Vu sa force spirituelle, il pense qu’il serait incapable de supporter ce fardeau sans ennui. Cela ne veut pas dire que dans tous les cas l’autre personne est jugée faible ou inférieure. Non, il pense qu’elle est très agréable, mais il se rend compte qu’il y a entre eux des différences de personnalité importantes ou qu’une telle union leur attirerait beaucoup de difficultés à tous deux. Voilà quelques-unes des raisons importantes, et il y en a d’autres, pour lesquelles un fiancé peut décider de rompre ses fiançailles après avoir réfléchi sérieusement et prié Jéhovah. Bien sûr, une rupture par consentement mutuel est préférable à une rupture unilatérale. Mais il peut arriver que l’un des deux fiancés ne voie pas le problème, ou ne veuille pas le voir.

      Tout cela souligne bien l’importance de ne pas se fiancer hâtivement. Il est préférable de bien connaître au préalable la personne avec qui on envisage de se marier. L’amour du prochain empêchera un chrétien de prendre les fiançailles à la légère, car il sera conscient qu’une rupture de fiançailles peut causer de grandes souffrances d’ordre affectif.

      Si quelqu’un a perdu son conjoint à cause de la mort ou de l’infidélité de celui-ci (et d’un divorce biblique), son état affectif peut être tel qu’il désire vivement avoir un compagnon ou une compagne pour vaincre sa solitude. Il sera alors enclin à se fiancer plus rapidement qu’il ne l’aurait fait en d’autres circonstances. Par la suite, ayant retrouvé son équilibre affectif, il se rendra peut-être compte qu’il n’a pas agi sagement. S’il est aîné, son équilibre risque d’en être affecté. Il faudra alors considérer son cas.

      Quand il s’agit de quelqu’un qui doit avoir une conduite exemplaire, par exemple un aîné, un serviteur ministériel, un membre de la famille du Béthel ou un serviteur à plein temps, le collège des aînés devra considérer la conduite de cette personne dans son ensemble et pas seulement la rupture unilatérale de ses fiançailles. Si la conduite antérieure de ce chrétien laisse voir qu’il avait tendance à traiter à la légère ce genre de question, les aînés jugeront peut-être préférable de demander à ce qu’il n’ait plus de fonction ou de service qui exige une conduite exemplaire. Les aînés constateront peut-être qu’il a rompu ses fiançailles uniquement parce qu’il s’intéresse à quelqu’un d’autre, ce qui est une preuve d’instabilité. S’il est évident qu’un grand nombre de membres de la congrégation n’ont plus de respect pour ce chrétien, il faut en tenir compte. Il faut aussi considérer les habitudes et les circonstances locales. Dans certaines parties du monde, les gens sont plus stricts sur cette question que dans d’autres régions.

      En revanche, si l’on ne remarque pas ce genre de facteurs négatifs et que la personne se révèle sérieuse, consciencieuse et pleine de considération pour les autres, le fait qu’elle ait rompu unilatéralement ses fiançailles ne la disqualifiera pas nécessairement pour occuper une fonction ou recevoir un privilège qui exige une conduite exemplaire. Dans ce genre d’affaire, le facteur déterminant sera toujours celui-ci : le chrétien a-​t-​il une raison valable de rompre ses fiançailles ?

  • Croyez-vous à la Bible ?
    La Tour de Garde 1975 | 15 septembre
    • Croyez-​vous à la Bible ?

      Peut-​on accepter avec confiance ce qu’elle dit ? Est-​elle vraiment la Parole de Dieu ?

      Il est vital que vous le sachiez, car la Bible annonce la destruction prochaine du présent monde et montre comment survivre à celle-ci.

      Le livre La Bible est-​elle vraiment la Parole de Dieu ? vous permettra de savoir si la Bible a vraiment Dieu pour Auteur. Il compte 192 pages, format de poche. Demandez aussi un exemplaire des Saintes Écritures — Traduction du monde nouveau. C’est un ouvrage de plus de 1 400 pages qui renferme également une concordance et des cartes.

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