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  • Comment éviter l’adultère et le divorce
    La Tour de Garde 1978 | 15 août
    • les pensées immorales qui conduisent à l’adultère, il rend plus rares encore les cas de rupture du lien conjugal. Le Sermon sur la montagne aide puissamment tous ceux qui tiennent compte de ses avertissements à éviter l’adultère et le divorce.

  • Les missionnaires diplômés de Galaad sont tendrement aimés — Pourquoi?
    La Tour de Garde 1978 | 15 août
    • Les missionnaires diplômés de Galaad sont tendrement aimés — Pourquoi?

      “POURQUOI nous êtes-​vous devenus chers?” demanda l’orateur à la soixante-quatrième classe de l’École de Galaad, le jour de la remise des diplômes. “Ce n’est pas à cause de votre agréable apparence extérieure (...) ou parce que vous êtes de brillants érudits en matière biblique, expliqua-​t-​il. Non. Bien plutôt, c’est en raison de l’esprit que vous manifestez envers l’œuvre du Seigneur.”

      Cet orateur, D. Parsons, était le premier, parmi huit personnes travaillant au siège des Témoins de Jéhovah, à donner les conseils finals et les derniers encouragements aux 24 missionnaires diplômés. En tout, 1 944 personnes étaient réunies pour la remise des diplômes, à la Salle d’assemblées des Témoins de Jéhovah située à Long Island City dans l’État de New York, ce dimanche 5 mars 1978.

      Le programme commença à 10 heures, sous la présidence de C. Barber, un membre du Collège central des Témoins de Jéhovah. Après le chant d’un cantique et une prière, Barber fit remarquer que l’École de Galaad a servi à répandre jusqu’aux extrémités de la terre la vérité contenue dans la Bible.

      Depuis 35 ans qu’elle existe, cette école a permis d’envoyer 5 633 missionnaires diplômés prêcher dans des territoires qui couvrent une grande partie de la terre. Oubliant tout égoïsme, ces missionnaires diplômés ont manifesté le désir de servir, en dépit de toutes les difficultés qui peuvent surgir. Certains, parmi ceux qui allaient recevoir leur diplôme, avaient déjà passé plus de 10 années à prêcher à plein temps dans leurs cinq pays d’origine. D’autre part, lorsqu’ils sont venus suivre les cinq mois de cours de Galaad, ils se sont portés volontaires pour aller là où les gens avaient vraiment besoin de leur aide, peu importe l’endroit de la terre où il leur faudrait vivre pour cela. Ces personnes qui font preuve d’un esprit chrétien si désintéressé ne sont-​elles pas chères aussi à votre cœur?

      Le deuxième orateur, T. Jaracz, fit remarquer que les missionnaires diplômés “sont disposés à quitter père, et mère, et frères, et sœurs, et maisons, et autres possessions, pour aller dans un pays qu’ils ne connaissent pas encore et, là, faire face à des problèmes et à des persécutions”. Mais il posa cette question: “Quelle est la raison qui vous pousse à faire volontairement tout cela?” Normalement, souligna-​t-​il, ce devrait être “à cause [du Christ] et à cause de la bonne nouvelle”. (Marc 10:29, 30.) “Puissiez-​vous ne jamais oublier cette raison”, conclut Jaracz.

      M. Friend, maintenant âgé de quatre-vingt-sept ans, a instruit les 34 premières classes de Galaad; ce fut l’orateur suivant, et, dans un émouvant appel, il s’adressa à la classe en ces termes: “Chers élèves de Galaad, continuez de montrer clairement votre coopération joyeuse et harmonieuse avec l’organisation de Dieu.” L. Greenlees lui succéda au micro et donna des conseils à ceux qui allaient partir, en s’appuyant sur Proverbes 8:33: “Écoutez la discipline et devenez sages.” Il évoqua diverses situations dans lesquelles les missionnaires diplômés pourraient se trouver au cours de leur vie missionnaire, situations où l’exercice d’une pieuse sagesse deviendrait vitale.

      Puis L. Weaver s’entretint avec les élèves du fait que c’est un grand “privilège” que de suivre les cours de Galaad. “Voici la question qui se pose, dit-​il: Continuerez-​vous d’apprécier ce privilège et de l’estimer à sa juste valeur?” Weaver attira l’attention sur Marie qui est, à cet égard, un exemple à imiter. Elle protégea précieusement le privilège qui lui avait été offert de donner naissance au Fils de Dieu, Jésus, et cela au risque de sa propre vie. En effet, en tant que jeune femme fiancée, expliqua-​t-​il, on aurait pu — par erreur — la prendre pour une adultère et la lapider.

      Les deux instructeurs de Galaad présentèrent ensuite les allocutions finales. K. Adams signala les leçons exceptionnelles que nous pouvons tirer du récit concernant le premier missionnaire dont parle la Bible, Jonas, et aussi de la vie du missionnaire qui a parcouru dans ses voyages le plus vaste territoire: l’apôtre Paul. U. Glass mit en lumière la loyauté et remarqua que c’était là une qualité qu’il admirait chez les élèves de cette classe. Puis il attira l’attention sur le prêtre Abiathar qui, après pratiquement toute une vie de loyaux services, devint déloyal en soutenant la cause d’Adonijah, le fils de David, lorsqu’il essaya de s’emparer du trône de son père. Cela montre que nous devons exercer notre loyauté, souligna Glass.

      Le dernier des orateurs, F. Franz, discuta en détail du chapitre 61 d’Ésaïe És 61 pour montrer de quelle manière les missionnaires diplômés de Galaad ont le privilège de contribuer à l’œuvre du Seigneur aux côtés du reste oint. Franz mit en relief le És 61 verset 5, expliquant que les “autres brebis” — dont déclarent faire partie tous ces missionnaires diplômés de Galaad — sont les “étrangers” et les “exotiques” qui aident la classe des prêtres oints. Il ajouta: “Vous aussi êtes pour Jéhovah Dieu des serviteurs mis à part d’une manière sacrée.”

      Plus avant dans la journée, après une pause pour le déjeuner et une discussion de La Tour de Garde, présidée par R. Walls, les élèves donnèrent un court intermède musical. Finalement le programme de la journée prit fin à 16 h 45, après une remarquable représentation dramatique jouée par les élèves et mettant en scène deux thèmes bibliques: “Ce dont l’orphelin de père a besoin — Pouvez-​vous l’aider?” et “Quel choix faites-​vous aujourd’hui?”, qui dépeignaient la jeunesse de Moïse.

  • Questions des lecteurs
    La Tour de Garde 1978 | 15 août
    • Questions des lecteurs

      ● Quel est le sens du proverbe qui dit: “Tu dois frapper le moqueur, pour que l’inexpérimenté devienne sagace; et on doit reprendre l’intelligent, pour qu’il discerne la connaissance.”

      Ce proverbe, consigné en Proverbes 19:25, attire notre attention sur deux méthodes d’éducation différentes. Les parents peuvent se rendre compte que les deux sont valables.

      Tout d’abord, comme le fait ressortir le proverbe, pour que l’inexpérimenté ou le simple apprenne qu’il est nécessaire de se détourner du mal, il lui faudra peut-être observer le châtiment que subit un moqueur endurci dans la pratique du mal. Cette action énergique sert à enseigner l’inexpérimenté qui sera, selon toute probabilité, fortement dissuadé. L’intelligent, lui, n’a pas besoin d’une leçon qui l’avertisse si fortement. Bien souvent, pour lui, quelques paroles de remontrance sont suffisantes; il accepte vite le conseil et il l’applique.

      Beaucoup de parents ont vu combien ces paroles sont vraies, et d’autres peuvent encore le constater et tirer des bienfaits de l’application de ce proverbe. Pour apprendre à se détourner d’une mauvaise ligne de conduite, un enfant a quelquefois besoin de recevoir une forte discipline — la fessée par exemple (qu’il observe ce châtiment venir sur quelqu’un d’autre ou qu’il soit lui-​même corrigé). Il se peut qu’au début une telle discipline semble désagréable, tant aux parents qu’à l’enfant; cependant les résultats peuvent s’avérer fructueux (Héb. 12:11). Cela peut conduire l’enfant à la condition décrite à la fin de Proverbes 19:25.

      Dans de nombreux cas, lorsqu’un enfant est corrigé et éduqué d’une manière conséquente et ferme par ses parents, il progresse au point de pouvoir être enseigné uniquement par les paroles de son père et de sa mère qui le reprennent ou le conseillent. Quelle excellente exhortation à apprendre dès notre plus jeune âge!

      ● Quand il provoqua la première des dix plaies, Moïse changea toutes les eaux de l’Égypte en sang. Mais il semble que les prêtres égyptiens imitèrent ce miracle. Où trouvèrent-​ils de l’eau?

      Voici ce que Jéhovah déclara à Moïse au sujet de la première plaie: “Dis à Aaron: ‘Prends ta baguette et tends ta main sur les eaux de l’Égypte, sur leurs fleuves, sur les canaux de leur Nil, et sur leurs étangs couverts de roseaux, et sur toutes leurs eaux emmagasinées, pour qu’elles deviennent du sang.’ Et il y aura assurément du sang dans tout le pays d’Égypte, et dans les vases de bois, et dans les vases de pierre.” Moïse et Aaron obéirent, “et il y eut du sang dans tout le pays d’Égypte”. — Ex. 7:19-21.

      Puis le récit nous apprend ceci: “Cependant les prêtres-magiciens d’Égypte firent la même chose par leurs arts occultes.” (Ex. 7:22). Quelle eau les prêtres ont-​ils donc utilisée?

      Certains commentateurs en ont déduit que la première plaie n’avait pas touché toutes les eaux de l’Égypte (voir Exode 9:25; 10:5). Ils disent que l’allusion aux “vases de bois” et aux “vases de pierre” ne signifie pas forcément que toute l’eau qu’on avait déjà recueillie dans des récipients s’était transformée

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