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  • Tirzah
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    • transféra sa résidence à Tirzah (voir I Rois 12:25; 14:17). À l’évidence, Tirzah demeura la capitale du royaume du Nord pendant les règnes de Nadab, fils de Jéroboam (I Rois 15:25-28), et de ses successeurs Baascha, Élah et Zimri (I Rois 15:33; 16:5, 6, 8, 15). Ce dernier se suicida à Tirzah quand Omri s’empara de la ville (I Rois 16:17-20). Omri régna à Tirzah pendant six ans, puis il bâtit Samarie dont il fit sa capitale (I Rois 16:23, 24, 29). Plus de 150 ans après, Ménahem, un habitant de Tirzah, tua Schallum et devint roi à Samarie. — II Rois 15:14, 17.

  • Tischbite
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    • TISCHBITE

      {Article non traduit.}

  • Tischri
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    • TISCHRI

      Voir ÉTHANIM.

  • Tissage
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    • TISSAGE

      Suite d’opérations, connue de l’homme depuis longtemps, qui consiste à entrelacer des fils dans le sens de la longueur et dans celui de la largeur pour en faire du tissu. Le groupe de fils disposés dans le sens de la longueur du tissu est la chaîne, tandis que l’ensemble des fils disposés dans le sens de la largeur est la trame. Le fil de trame passe alternativement au-dessus et en dessous des fils de chaîne (Lév. 13:59). Le tissage était souvent l’affaire des femmes, mais il semble bien que c’était aussi un travail d’homme (II Rois 23:7; I Chron. 4:21). Les Hébreux, les Égyptiens et d’autres peuples employaient un métier à tisser constitué essentiellement d’un châssis. — Juges 16:13, 14; És. 19:1, 9, 10.

      Les anciens métiers à tisser étaient verticaux ou horizontaux. Un type de métier vertical était formé de deux montants réunis au sommet par une traverse d’où pendaient les fils de chaîne. Ceux-ci étaient maintenus droits par des poids attachés à leur extrémité. Dans certains métiers une traverse inférieure faisait office de poids, dans d’autres on pouvait tourner cette traverse qui servait alors d’enrouleuse pour le tissu. Un métier à tisser horizontal courant consistait en deux rouleaux parallèles placés à une certaine distance l’un de l’autre et fixés par quatre chevilles enfoncées dans le sol. Le fil de chaîne était tendu entre ces rouleaux. Le bois de la lance de Goliath est peut-être comparé à un de ces lourds rouleaux, quand on dit qu’il était comme “l’ensouple des tisserands”. — I Sam. 17:4, 7.

      Dans le métier à tisser, les fils de chaîne étaient généralement séparés en deux groupes, une nappe de fils pairs et une nappe de fils impairs. Ainsi, le fil de trame passait au-dessus d’un des deux groupes quand il allait dans un sens et en dessous du même groupe dans l’autre sens. Pour cela, il fallait deux “enverjures” ou passages. Dans un métier horizontal simple, une “baguette d’enverjure” plate était placée en travers de la chaîne sous une des nappes de fils. En la tournant sur son arête on ménageait un passage par où on lançait le fil de trame dans une direction. On soulevait ensuite les fils de l’autre groupe, qui passaient par les maillons des lices disposées au-dessus de la chaîne, en levant les lices verticalement depuis la chaîne, ce qui donnait un autre passage pour le fil de trame, qui allait dans la direction opposée. Après chaque mouvement en travers de la chaîne, le fil de trame était pressé contre le tissu en formation avec un peigne. Le tisserand lançait le fil de trame en travers de la chaîne avec une navette, essentiellement une baguette portant le fil. Puisqu’un tisserand habile manœuvrait la navette rapidement, Job a pu dire: “Mes jours sont devenus plus rapides que la navette du tisserand.” — Job 7:6.

      Quand le tissu avait atteint la longueur voulue et qu’il était enroulé, le tisserand le coupait, le séparant ainsi des fils de chaîne (És. 38:9, 12). Les tisserands employaient généralement des poils d’animaux (Ex. 36:14; Mat. 3:4), de la laine et du lin. — Voir Proverbes 31:13.

      On pouvait obtenir des dessins variés en se servant de fils de différentes couleurs dans la chaîne ou dans la trame ou dans les deux. Ou bien le fil de trame d’une certaine couleur ne parcourait qu’une partie de la largeur de la chaîne (Gen. 37:23; II Sam. 13:18; Prov. 7:16). Le tisserand pouvait aussi tisser de façon irrégulière. Par exemple, il faisait passer un groupe de fils de trame sur un fil de chaîne, puis sous deux autres, et ainsi de suite sur la largeur de la chaîne; après cela, il faisait passer le groupe suivant sur deux fils de chaîne, puis sous deux, puis sur un, également sur toute la largeur de la chaîne, ce qu’on fait actuellement pour la gabardine. Par des variations dans les méthodes de tissage, on obtient un dessin dans le tissu, même si les fils de chaîne et de trame sont de la même couleur. Aaron, par exemple, portait une robe blanche de fin lin tissée “à carreaux”. — Ex. 28:39.

  • Tite
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    • TITE

      Chrétien grec, collaborateur de l’apôtre Paul. Quand la question de la circoncision fut soulevée à Antioche (en 49), il semble que Tite accompagna Paul et Barnabas à Jérusalem (Actes 15:1, 2; Gal. 2:1-3). Vers 55, Tite servit avec désintéressement la congrégation de Corinthe. Paul l’y avait envoyé pour participer à la collecte en faveur des frères de Judée qui se trouvaient dans le besoin et peut-être aussi pour noter la réaction de la congrégation à la première lettre qu’il lui avait écrite (II Cor. 2:13; 8:1-6; 12:17, 18). Quand Tite retrouva l’apôtre en Macédoine, il put lui faire un bon rapport sur la congrégation de Corinthe, rapport qui procura à Paul du réconfort et de la joie. Tite lui-​même s’était profondément attaché aux chrétiens de Corinthe à cause de leur obéissance, aussi leur attitude louable avait-​elle été pour lui une source d’encouragement et de joie. — II Cor. 7:6, 7, 13-15.

      Puisque Tite avait commencé à collecter la contribution des Corinthiens, Paul désirait qu’il achève cette œuvre, aussi recommanda-​t-​il ce chrétien à la congrégation comme ‘son associé et son collaborateur dans leur intérêt’. Comme Tite se souciait sincèrement du bien-être des Corinthiens, il se rendit volontiers chez eux, sur l’invitation de Paul. — II Cor. 8:6, 16, 17, 23.

      Lorsque Paul fut libéré après son premier emprisonnement à Rome, Tite et Timothée collaborèrent apparemment avec lui dans le ministère. Quand Paul visita la Crète (entre 61 et 64), il y laissa Tite pour qu’il ‘mette bon ordre à ce qui laissait à désirer et qu’il établisse des anciens de ville en ville’. (Tite 1:4, 5.) Il s’agissait évidemment d’une mission temporaire, puisque Paul demanda ensuite à Tite de faire tout son possible pour venir le rejoindre à Nicopolis. — Tite 3:12.

      Au cours du second emprisonnement de Paul à Rome (64-65), Tite se rendit en Dalmatie, vraisemblablement sur les ordres de l’apôtre ou avec son accord. — II Tim. 4:10; voir DALMATIE.

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