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  • Marchons de toute notre âme sur le chemin de la vie
    La Tour de Garde 1975 | 1er juillet
    • de fruit sont cependant approuvés par leur maître. — Éph. 6:6 ; Mat. 13:23 ; 25:19-23 ; Luc 19:15-19.

      22 Agissez selon votre foi et selon vos possibilités. Si dès maintenant vous marchez de toute votre âme sur le chemin qui conduit à la vie éternelle, vous serez satisfait et joyeux en participant au maximum à cette œuvre qui ne se refera jamais plus, et cela à la louange de Jéhovah. Tout en réfléchissant à ce que vous pouvez faire dans ce domaine, imitez la piété des apôtres, qui demandèrent à notre Seigneur : “Donne-​nous plus de foi.” — Luc 17:5, 6.

  • Un homme fidèle
    La Tour de Garde 1975 | 1er juillet
    • Un homme fidèle

      AUX PREMIÈRES heures du jeudi 23 janvier 1975, John Otto Groh acheva sa vie sur la terre, dont quarante et une années comme serviteur dévoué de Jéhovah Dieu. Pour les témoins de Jéhovah qui l’ont connu, il laissera le souvenir d’un homme fidèle. Il était né le 3 juillet 1906 à Kulm, dans le Dakota du Nord. Il reçut une formation universitaire dans la recherche en métallurgie. Il fut baptisé en avril 1934. Huit ans plus tard, sa femme Helen et lui commencèrent à servir comme prédicateurs à plein temps de la bonne nouvelle du Royaume de Dieu dans la région de Pittsburgh, en Pennsylvanie. Ils devinrent membres de la famille du Béthel en 1953. Par la suite, frère Groh fut nommé responsable des achats pour la Société Watchtower. Il était membre du collège central mondial des témoins de Jéhovah. Beaucoup se souviendront de la part active qu’eut frère Groh dans l’organisation de nombreuses grandes assemblées à New York et dans d’autres villes. À la cérémonie qui eut lieu dans la Salle du Royaume du Béthel de Brooklyn, beaucoup d’hommes d’affaires qui le connaissaient étaient présents pour entendre parler de l’espérance réjouissante qui fut toujours l’unique but de cet homme fidèle. Comme l’a déclaré l’orateur, frère Groh a remporté la victoire grâce à sa fidélité (I Cor. 15:57). Au sujet de frère Groh et des autres chrétiens oints qui ont achevé leur course terrestre, on peut dire : “Les choses qu’ils ont faites les accompagnent.” — Rév. 14:13.

  • Une preuve de la trinité dans I Jean 5:7, 8 ?
    La Tour de Garde 1975 | 1er juillet
    • Une preuve de la trinité dans I Jean 5:7, 8 ?

      IL Y A bien longtemps que les biblistes ont contesté l’authenticité de certains mots inclus dans I Jean 5:7, 8. Toutefois, comme ces mots se trouvent dans le Textus Receptus (“Texte reçu”), on les retrouve dans certaines traductions comme la version de Glaire. Alors que de nouvelles preuves étaient avancées pour démontrer que ces mots constituent une addition, il semble que ceux qui croient à la trinité ont tardé à éliminer ces mots des traductions de la Bible.

      Par exemple, monseigneur Knox, célèbre bibliste catholique anglais, écrivit dans une note en bas de page de sa traduction (1944) : “Ce verset n’apparaît dans aucun bon manuscrit grec. Mais les versions latines ont pu préserver le texte exact.” Dans la version catholique anglaise dite de la Confraternité (1941), le texte se lit comme suit : “Car ils sont trois qui rendent témoignage dans le ciel : le Père, la Parole et le Saint-Esprit ; et ces trois sont un. Et ils sont trois qui rendent témoignage sur la terre : l’Esprit, l’eau et le sang ; et ces trois sont un.” Dans une note en bas de page, cette traduction déclare : “Comme le prouvent de nombreux manuscrits et de l’avis de la majorité des commentateurs, ce verset doit se lire : ‘Et ils sont trois qui rendent témoignage : l’Esprit, l’eau et le sang ; et ces trois sont un.’” Cependant, la note ajoute : “Le Saint-Office se réserve le droit de passer outre à l’origine de la présente leçon.”

      Un Commentaire catholique des Saintes Écritures (angl.) prétend expliquer comment le Père, la Parole (Jésus) et l’esprit saint rendent tous trois témoignage à la divinité du Christ. Puis, pour expliquer les mots “ces trois sont un”, cet ouvrage dit qu’ils “ont une seule et même nature”. Toutefois, il renvoie à une autre page (que la plupart des lecteurs ne consulteront pas). Là, les auteurs admettent que ce passage est généralement considéré comme une glose qui a été introduite dans les vieux manuscrits latins, dans la Vulgate et dans les manuscrits grecs. Si ce passage est une addition, pourquoi alors essayer de l’expliquer ?

      Les mots ajoutés au texte inspiré ne figurent pas dans la Bible de Jérusalem (1961) qui comporte cette note en bas de page : “Le texte des vv. 1Jn 5:7-8 est surchargé dans la Vulg[ate] par une incise (ci-dessous entre parenthèses) absente des mss grecs anciens, des vieilles versions et des meilleurs mss de la Vulg[ate], et qui semble être une glose marginale introduite plus tard dans le texte : ‘Car il y en a trois qui témoignent (dans le ciel : le Père, le Verbe et l’Esprit Saint, et ces trois sont un ; et il y en a trois qui témoignent sur la terre) : l’Esprit, l’eau et le sang, et ces trois sont un.’”

      Fait significatif, les mots ajoutés ne figurent pas dans le texte des traductions catholiques récentes. Mais comment ont-​ils été introduits dans des manuscrits bibliques ? C’est sans doute un copiste trop zélé qui les a ajoutés volontairement pour appuyer la doctrine de la trinité. Toutefois, on ne trouve pas dans ce verset ni ailleurs dans les Écritures la moindre preuve en faveur de cette doctrine.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1975 | 1er juillet
    • Questions de lecteurs

      ● Un risque important de maladie ou de malformation justifie-​t-​il un avortement ?

      C’est un problème qui touche les sentiments les plus profonds de l’homme. Toutefois, les conseils parfaits que donne Dieu montrent qu’on ne peut justifier un avortement parce qu’une mère ou son enfant court un risque possible.

      Les pensées des hommes à ce sujet sont variables et souvent contradictoires. Mais la vie et le respect de celle-ci sont considérés comme fondamentaux dans la Bible. La vie humaine a une origine et un but divins (Gen. 1:27 ; Job 33:4 ; Ps. 100:3-5). Tout au long de ses pages, la Bible reflète le profond respect de Dieu pour la vie. Avec amour, il encourage les hommes à faire grand cas de leur vie et à respecter celle des autres comme une chose sacrée. Quiconque méprisait la loi de Dieu en ôtant la vie à un autre humain, même à un enfant à naître encore dans le ventre de sa mère, était coupable devant Dieu et devait lui rendre des comptes. — Gen. 9:5, 6 ; Ex. 21:14, 22-25.

      On ne peut nier que des femmes enceintes courent parfois un grand risque et qu’à cause de leur mauvaise santé, par exemple le diabète, l’hypertension ou une maladie cardio-vasculaire, des médecins sincèrement inquiets peuvent en conclure que leur vie est en danger. Ils diront peut-être à une femme enceinte : “Si vous n’avortez pas, vous mourrez.” Ils peuvent aussi recommander un avortement parce qu’ils pensent que l’enfant risque de naître aveugle ou malformé, peut-être parce que la mère a contracté la rubéole durant sa grossesse. Certains penseront que dans un tel cas une femme qui avorte montre qu’en réalité elle respecte la vie. Sans vouloir minimiser la gravité du problème ni mettre en doute la sincérité de ceux qui recommandent un avortement, il faut néanmoins penser aux deux vies : celle de la mère et celle de l’enfant.

      Aujourd’hui, il n’y a pas de grossesse parfaite puisque tous les humains sont imparfaits (Rom. 5:12). Toute femme enceinte court donc un certain risque. Malheureusement, même des femmes en bonne santé meurent durant leur grossesse ou au moment de l’accouchement (Gen. 35:16-19). Faut-​il pour autant interrompre toutes les grossesses parce que les futures mères risquent de perdre la santé ou la vie ? Non évidemment. Il est vrai que dans certains cas le danger est exceptionnellement grave à cause de l’âge ou de la santé de la mère. Cependant, n’est-​il pas vrai que la plupart des femmes enceintes, même celles qui courent un danger très grave, survivent à la naissance de leur enfant ? Il faut aussi reconnaître que même avec les meilleures intentions qui soient un médecin peut se tromper dans son diagnostic. Dans ce cas, comment celui qui accepte le point de vue de Dieu sur le caractère sacré de la vie peut-​il conclure qu’un danger possible justifie un avortement ? Doit-​on mettre fin au développement de l’enfant à naître uniquement à cause de ce qui pourrait arrivera?

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