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  • Les fidèles femmes-ministres sont une source de bénédictions pour la sociét
    La Tour de Garde 1964 | 15 juillet
    • guider par sa modestie et sa vénération pour Dieu. Ainsi, en toute occasion, elle saura s’habiller correctement.

      11. a) Qu’est-​ce qui donne à une femme une grâce réelle et prouve qu’elle sert Dieu ? b) En quoi consiste un “esprit calme et doux” ?

      11 Ce sont justement les bonnes œuvres qu’elle accomplit dans le ministère qui prouvent qu’une femme sert Dieu. Le “vêtement incorruptible d’un esprit calme et doux” la pare d’une beauté et d’une grâce véritables. C’est ce vêtement-​là qui distingue la chrétienne des autres femmes. La femme qui possède “un esprit calme et doux” est toujours d’une humeur égale, même dans les moments difficiles. Elle connaît le contentement, et son cœur n’est pas en proie à l’envie, à l’orgueil ou à la malice. Elle est disposée à se conformer promptement à la volonté de Jéhovah et elle coopère joyeusement avec les autres membres de la société du monde nouveau. Une femme qui a un bon cœur et un esprit doux apporte toujours des bienfaits à ceux qui l’entourent. Chose plus importante encore, elle reçoit la faveur de Jéhovah, ce qui lui vaudra d’obtenir la vie éternelle dans l’ordre nouveau et juste qu’il a promis.

      FEMMES FIDÈLES D’AUTREFOIS

      12. Sous quel rapport Sara donna-​t-​elle un exemple remarquable, et quelles bénédictions reçut-​elle ?

      12 Se rapportant aux temps passés, l’apôtre Pierre poursuit en disant : “Car c’est ainsi que se paraient autrefois les femmes saintes qui espéraient en Dieu, se soumettant à leurs maris, comme Sara obéissait à Abraham, l’appelant son ‘seigneur’. Et vous êtes devenues leurs enfants, pourvu que vous ne cessiez de faire le bien et de ne craindre aucune cause de terreur.” (I Pierre 3:5, 6, MN). Que de bénédictions Sara reçut de Jéhovah ! Celle d’être la femme du fidèle patriarche Abraham, celle de devenir la mère d’Isaac, un fils “né selon l’esprit”, et celle enfin de figurer parmi les ancêtres de Jésus-Christ (Gal. 4:29). Les chrétiennes de nos jours qui manifestent les mêmes qualités que Sara, et plus particulièrement celles dont Pierre parle, c’est-à-dire la fidélité et la loyauté d’une femme soumise, sont appelées les “enfants” de Sara, tout comme ceux qui adhèrent à la foi d’Abraham sont appelés les “fils” de ce dernier. — Gal. 3:7.

      13. Quelles qualités chez Rébecca faisaient d’elle une bonne épouse pour Isaac ?

      13 Et que dire de cette autre ancêtre de Jésus, Rébecca, qui nous est présentée, au moment où elle rencontre le serviteur d’Abraham, comme “une jeune fille très belle de figure” ? Mais sa beauté n’était pas seulement extérieure, et son charme physique n’était pas la qualité essentielle qui lui valut de recevoir une bénédiction. Ce furent l’assiduité au travail et la modestie de Rébecca qui permirent au serviteur d’Abraham de reconnaître en elle la future épouse d’Isaac.

      14. Quelle épreuve Rébecca subit-​elle avec succès, démontrant ainsi qu’elle possédait les qualités requises ?

      14 L’épreuve à laquelle le serviteur décida de soumettre la jeune fille n’avait aucun rapport avec sa beauté physique. Il déclara : “Que la jeune fille à laquelle je dirai : Penche ta cruche, je te prie, pour que je boive, et qui répondra : Bois, et je donnerai aussi à boire à tes chameaux, soit celle que tu as destinée à ton serviteur Isaac !” Et c’est exactement ce qui se produisit. Dès que le serviteur eut demandé à Rébecca de lui donner à boire, elle lui répondit respectueusement : “Bois, mon seigneur”, et elle se proposa pour puiser de l’eau pour les chameaux “jusqu’à ce qu’ils aient assez bu”. Ce n’était pas une petite corvée, car il y avait dix chameaux. Plus tard, lorsque le serviteur d’Abraham lui fit connaître le but de sa mission, Rébecca accepta volontiers le privilège de devenir la femme d’Isaac. On ne s’étonne pas d’apprendre que lorsque Isaac rencontra enfin Rébecca, “il l’aima”. — Gen. 24:14-21, 58, 67.

      15. Pourquoi l’histoire d’Isaac et de Rébecca contient-​elle de bons conseils pour le jeune chrétien qui songe au mariage ?

      15 Cet incident relaté dans la Bible contient de bons conseils pour le jeune chrétien qui songe à se marier, en lui indiquant quelles qualités il doit rechercher chez sa future compagne. Certes, Rébecca était belle, mais le serviteur d’Abraham savait que cela ne suffisait pas. Il s’assura qu’elle possédait les qualités de cœur nécessaires pour devenir la femme du fils de son maître. S’il est sage, le jeune chrétien qui veut se marier, cherchera une jeune fille qui possède ces mêmes qualités. Encore faut-​il qu’il soit assez mûr pour prendre une telle décision, surtout si ses parents le laissent libre de choisir. En effet, dans beaucoup de pays un jeune homme peut choisir librement son conjoint, faculté dont Isaac ne fit pas usage dans le choix de Rébecca. Néanmoins, le jeune chrétien fera preuve de maturité s’il accepte d’être conseillé dans ce domaine par ses aînés, et surtout par ses parents, s’il s’agit de chrétiens mûrs, même s’il se réserve le droit de prendre la décision finale.

      16. a) Quel privilège Débora reçut-​elle ? b) Quels furent les privilèges de Marie, mais comment son cas constitue-​t-​il un avertissement ?

      16 Il y eut d’autres femmes fidèles des temps anciens qui reçurent des privilèges spéciaux dans le service de Jéhovah. Débora, par exemple, devint prophétesse. Elle eut le grand privilège de collaborer avec le juge Barak, chef des armées d’Israël qui, avec l’aide de Jéhovah, anéantit les armées du roi Jabin de Canaan et mit fin à une période d’oppression qui avait duré vingt ans (Juges 4:1 à 5:31). Marie également eut de nombreux privilèges de service bénis en collaborant avec son frère Moïse pendant qu’il conduisait la nation d’Israël hors d’Égypte et à travers le désert. Entre autres, elle remplit les fonctions de prophétesse et de directrice des chœurs de femmes (Ex. 15:20). Mais son cas constitue aussi un avertissement. Quand elle outrepassa ses attributions théocratiques et parla contre Moïse, le serviteur de Dieu, elle fut frappée de lèpre. Cette maladie affreuse correspondait bien à la laideur de sa conduite aux yeux de Jéhovah et de Moïse, conduite qui lui valut d’être exclue du camp d’Israël pendant quelque temps. — Nomb. 12:1-16.

      17. Quelles bonnes qualités furent manifestées par Dorcas et Lydie, et quelles bénédictions reçurent-​elles ?

      17 Songez aussi à certaines des femmes fidèles qui furent bénies au temps de Jésus et de la congrégation chrétienne primitive. Souvenez-​vous de Tabitha ou Dorcas, connue pour sa générosité. Cette chrétienne de la ville de Joppé était une couturière qui travaillait dur et qui “abondait en bonnes actions et dans les dons de miséricorde qu’elle faisait”. Un jour, elle tomba malade et mourut. Mais quelle bénédiction remarquable elle reçut ! Elle fut ressuscitée par l’apôtre Pierre (Actes 9:36-42, MN) ! Rappelez-​vous le cas de Lydie de Thyatire, une “débitante de pourpre” qui, elle aussi, travaillait dur. Son cœur fut réceptif à la bonne nouvelle prêchée par Paul et elle fit preuve d’une louable hospitalité en hébergeant chez elle l’apôtre et les missionnaires qui l’accompagnaient, si bien que Luc écrivit à son sujet : “Et elle nous obligea de venir.” Plus tard, semble-​t-​il, sa maison servit de lieu de réunion pour les croyants. La Bible a conservé son nom en rendant témoignage à ses bonnes œuvres. — Actes 16:14, 15, 40, MN.

      18. Pour qui Priscille constitue-​t-​elle un modèle à imiter, quel bon exemple donna-​t-​elle, et quels privilèges de service reçut-​elle ?

      18 Priscille est une autre femme qui est mentionnée plusieurs fois dans les Écritures grecques chrétiennes. Il n’est pas sans intérêt de remarquer qu’aux six endroits où il est question de Priscille, elle est toujours mentionnée en même temps que son mari. Ils firent un accueil hospitalier à Paul quand il visita Corinthe, et sans doute ils contribuèrent grandement à l’édification de la nouvelle congrégation établie dans cette ville. En une occasion, au moins, ces deux chrétiens fidèles “ont risqué leur tête” pour sauver Paul, ce qui leur valut de recevoir les remerciements de toutes les congrégations. En compagnie de son mari, Priscille voyagea avec Paul à Éphèse, où elle eut le privilège d’aider Apollos, homme influent, à parvenir à une connaissance exacte de la vérité, et la maison de ce couple devint le lieu de réunion de la congrégation d’Éphèse. Ainsi Priscille est un modèle excellent pour les chrétiennes de nos jours qui ont le privilège d’être mariées à des hommes voués remplissant les fonctions de surveillant de congrégation, de ministre itinérant ou de missionnaire dans un pays étranger. Le soutien loyal qu’elles donnent à leurs maris, leur apporte de joyeux privilèges de service. — Actes 18:2, 18, 26 ; Rom. 16:3-5 ; I Cor. 16:19 ; II Tim. 4:19.

      19. Comment, à deux reprises au cours du ministère de Jésus, Marie, sœur de Marthe, accomplit-​elle des actions qui lui apportèrent des bénédictions ?

      19 Quand on parle des femmes fidèles du temps de Jésus, on ne peut s’empêcher de penser à Marie de Béthanie, la sœur de Marthe et de Lazare. Qui n’a jamais entendu parler de l’incident qui se produisit quand Jésus entra chez Marthe ? Marie, “s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole”, sans se soucier outre mesure des choses matérielles. Jésus l’en félicita. Plus tard, chez Simon le lépreux, Marie oignit Jésus d’une huile parfumée très coûteuse. D’aucuns, dont Judas Iscariot, se mirent à critiquer son geste, mais Jésus les reprit en ces termes : “Elle a fait une excellente action à mon égard. (...) Elle a fait ce qu’elle a pu. (...) Je vous le dis en vérité, partout où la bonne nouvelle sera prêchée dans le monde entier, on dira aussi ce que cette femme a fait, en mémoire d’elle.” — Luc 10:38-42 ; Marc 14:3-9 ; Jean 12:1-8, MN.

      20. a) Existe-​t-​il de nos jours des femmes semblables au sein de la société du monde nouveau ? b) Quels privilèges de service leur sont offerts ?

      20 Qu’en est-​il des femmes de nos jours ? Y a-​t-​il actuellement, au sein de la congrégation chrétienne moderne, des femmes semblables à celles dont nous venons de parler ? Y trouvons-​nous des femmes comme Sara, qui donna un excellent exemple de soumission féminine, comme Rébecca, si belle et travailleuse, comme Lydie, connue pour son hospitalité, et Dorcas, renommée pour sa générosité, sans parler de la loyale et fidèle Priscille, ou de Marie, qui fit “ce qu’elle a pu” pour servir les intérêts du vrai culte ? Rendons grâces à Jéhovah de pouvoir répondre par l’affirmative ! Et quels privilèges merveilleux s’offrent actuellement aux femmes fidèles ! Tout comme les hommes croyants, elles ont le privilège de se vouer à Jéhovah pour faire sa volonté, de se faire baptiser et de devenir des ministres de la bonne nouvelle. Elles peuvent conduire des études bibliques au domicile des personnes de bonne volonté, et aider à former leurs propres enfants pour qu’ils deviennent à leur tour des ministres voués. Elles ont aussi la possibilité d’entreprendre le ministère à plein temps en tant que pionniers ordinaires, pionniers spéciaux, missionnaires à l’étranger, ou même de servir au Béthel.

      21. Comment donc les femmes vouées peuvent-​elles envisager leurs possibilités de servir Jéhovah ?

      21 De tout ce qui précède il ressort qu’aucune femme vouée ne devrait se sentir bridée pour ce qui est des occasions de servir Jéhovah. Au contraire, chaque femme-ministre a la possibilité d’élargir ses privilèges de service. Aussi la chrétienne voudra-​t-​elle ‘faire ce qu’elle peut’ pour progresser dans la maturité et jouer fidèlement son rôle parmi le peuple de Dieu. En agissant de la sorte, elle sera précieuse aux regards de Dieu et elle méritera des louanges de la part de ses frères chrétiens.

  • Les privilèges de la chrétienne
    La Tour de Garde 1964 | 15 juillet
    • Les privilèges de la chrétienne

      1. Quelle sorte de femme la chrétienne mariée voudra-​t-​elle être ?

      LA DESCRIPTION classique de la femme idéale se trouve dans la Bible au chapitre 31 du livre des Proverbes. Mais dans ce monde rempli d’hommes et de femmes imparfaits, une telle femme est difficile à trouver. Voilà qui explique cette remarque de la part du rédacteur de ce chapitre des Écritures inspirées : “Heureux celui qui a rencontré une femme vaillante, son prix surpasse de beaucoup celui des perles. Le cœur de son mari a confiance en elle, et les profits ne lui manquent pas. Elle lui fait du bien tous les jours de sa vie et jamais de mal.” (Pr 31 versets 10-12, Sy). La chrétienne mariée voudra être ce genre de femme, une épouse en qui son mari peut avoir une confiance absolue et qui lui procurera des bienfaits tous les jours de sa vie.

      2. Comment un foyer peut-​il rendre témoignage du courage d’une femme ?

      2 Une femme dispose de nombreuses façons pratiques pour apporter des bienfaits à son mari et à ses enfants, et si elle les exploite, elle en retirera beaucoup de joie et de satisfaction. Un intérieur propre et bien rangé atteste, en général, que la ménagère qui s’en occupe est une femme courageuse. L’ordre qui y règne prouve qu’“elle surveille ce qui se fait dans sa maison, et ne mange point le pain de la paresse”. Pour la fidèle femme-ministre, cela fait partie du témoignage à rendre dans son voisinage, indiquant qu’elle est vouée au service de Jéhovah. — Prov. 31:27, Sy.

      3. Là où son mari est aussi ministre de Jéhovah, quelles occasions se présentent à la chrétienne de montrer qu’elle est une bonne épouse ?

      3 Si son mari est également un témoin de Jéhovah voué, la chrétienne a de nombreuses occasions de montrer qu’elle est une bonne épouse. Elle peut lui donner un soutien loyal dans le ministère, en prêchant avec lui de maison en maison, en revisitant les personnes qui s’intéressent au message et en conduisant avec elles des études bibliques. Outre son travail profane et sa participation régulière à la prédication publique, il se peut que son mari soit aussi surveillant ou assistant ministériel dans la congrégation, et dans ce cas il doit consacrer du temps à son service. Certes, sa famille est sa première obligation, et il est vrai aussi qu’il ne serait pas qualifié pour un service s’il ne s’acquittait pas convenablement de ses devoirs familiaux. Néanmoins, le soutien et l’amour de sa femme l’aideront grandement à s’occuper avec succès de ses autres responsabilités. Elle tâchera de lui ménager des occasions pour qu’il puisse bien préparer ses discours. Elle gagnera un temps précieux pour lui et pour elle-​même en organisant bien son travail ménager, en respectant l’heure des repas et en étant prête à temps quand il faut partir aux réunions. Elle aidera son mari à organiser un programme d’études familiales édifiantes. Il arrive que même un mari voué a besoin d’encouragements pour s’acquitter de ses diverses responsabilités, et une femme qui est douée de sagesse et de tact saura lui en donner avec bonté, tout en respectant les principes théocratiques, comme Débora, femme de Lappidoth, encouragea Barak à accomplir l’œuvre que Jéhovah lui avait confiée. — Juges 4:8, 9.

      4. Sous la conduite de son mari, comment la chrétienne peut-​elle montrer à ses enfants la voie qu’ils doivent suivre pour plaire à Jéhovah ?

      4 Sous la conduite de son mari, la chrétienne est très bien placée pour instruire ses enfants selon la voie qu’ils doivent suivre pour plaire à Jéhovah. Elle cultivera en eux le respect de leur père, et elle se gardera bien de faire quoi que ce soit qui puisse porter atteinte à sa position de chef de famille. Elle montrera à ses enfants, non seulement par des paroles mais aussi par son exemple, comment suivre les voies de la bonne conduite. Sans doute passe-​t-​elle plus de temps que son mari auprès des enfants. Elle mettra donc ce temps à profit pour les affermir dans l’amour de la vérité, de l’organisation de Jéhovah, des réunions et de la prédication de la bonne nouvelle. Elle les aidera à participer aux réunions et au ministère dans la mesure de leurs possibilités. — I Tim. 5:10.

      5. a) Quelle ambiance la chrétienne s’efforce-​t-​elle de créer dans son foyer, et pourquoi ? b) Comment est-​elle récompensée relativement à ses enfants et à son mari ?

      5 La chrétienne peut faire beaucoup pour créer au sein du foyer une ambiance heureuse et pacifique. Elle se rend compte que ce climat permettra aux enfants de croître vers la maturité intellectuelle et spirituelle. Tout en soutenant l’autorité de son mari, elle contribue au bien-être du cercle de famille par sa gentillesse et sa compréhension. Son langage est empreint de sagesse et de tact, et “des instructions aimables sont sur ses lèvres”. Elle en sera grandement récompensée, car elle verra ses enfants, une fois arrivés à l’âge de la responsabilité individuelle, se vouer à Jéhovah de leur propre gré, pour faire sa volonté. Se rendant compte qu’ils sont arrivés à ce résultat grâce à l’aide de leur mère, ses enfants la déclareront “bienheureuse”, et son mari et possesseur lui fera aussi des éloges. Incontestablement, une bonne épouse fait honneur à son mari, car le public voit qu’il est à la fois ministre chrétien et bon chef de famille. “Son mari est respecté aux portes de la ville lorsqu’il est assis avec les anciens du pays.” — Prov. 31:26, 28, 23, Sy.

      PRIVILÈGES DANS LA CONGRÉGATION

      6. Comment les fidèles femmes-ministres procurent-​elles des bienfaits à la congrégation, et comment peuvent-​elles accroître l’aide qu’elles apportent à l’œuvre du Royaume ?

      6 Par leur seule présence dans la congrégation et leur coopération avec elle en tant que ministres de la bonne nouvelle, les fidèles chrétiennes produisent un effet salutaire sur les autres membres de la congrégation. Leur assiduité aux réunions et dans le ministère du champ, suffit souvent, à elle seule, à inciter leurs frères à l’activité, sans même qu’ils s’en rendent compte. Mais, à mesure que la femme vouée augmentera son efficacité dans le ministère, des privilèges supplémentaires s’offriront à elle. Par exemple, on pourra estimer qu’elle est capable de former d’autres chrétiennes dans la congrégation, pour leur montrer comment prêcher la bonne nouvelle. Elle s’efforcera aussi d’améliorer sa participation aux réunions, afin d’inciter ses frères à l’amour et aux œuvres excellentes (Héb. 10:23-25, MN). Et si elle parvient à étendre ses privilèges en devenant pionnier, des bénédictions plus grandes encore l’attendent.

      7. a) Dans ses rapports avec la congrégation, qu’est-​ce que la chrétienne gardera présent à l’esprit ? b) En organisant les congrégations, pourquoi Jéhovah tient-​il compte de la différence entre les sexes ?

      7 En tout temps, cependant, la chrétienne veillera à rester dans les limites du cadre théocratique fixé à son intention par Jéhovah. Elle se gardera d’imiter Marie, sœur de Moïse, en parlant contre ses frères ou en essayant de leur faire concurrence. Par son comportement et ses conversations, elle soutiendra l’organisation, y compris les serviteurs locaux. Jéhovah est le grand Organisateur. Il sait comment nous faire travailler ensemble dans l’union, pour la joie et l’édification de tous. Il connaît la femme mieux que n’importe quel homme, car il créa la première femme et il sait quelles conditions sont les plus favorables au bonheur féminin, et comment elle peut le mieux servir à sa gloire. C’est pourquoi il tient compte des différences sexuelles dans les dispositions de service qu’il prend au sein de son organisation.

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