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  • Le cocotier et ses multiples usages
    Réveillez-vous ! 1971 | 8 novembre
    • pas en quoi cet arbre m’est utile.” Et pourtant, il vous rend sans aucun doute de nombreux services, et pas seulement sous forme de la noix râpée, qui entre dans la composition de certains gâteaux et friandises.

      La production mondiale de coprah (l’amande séchée) atteint plusieurs millions de tonnes par an. On en retire une huile merveilleuse, riche en glycérine et d’autres substances complexes. Cette huile est à la base de fluides pour freins hydrauliques, de shampooings, de lotions, de lubrifiants, de détergents, de savons, de crèmes à raser, de pâtes dentifrices, de matières plastiques, de peintures, de crèmes glacées, de margarine et d’autres graisses végétales. Elle se trouve donc dans quantité de substances que vous mangez ou que vous utilisez.

      En vérité, le cocotier est un arbre remarquable qui, sans aucun doute, vous rend de nombreux services, et cela où que vous habitiez.

  • Le Suriname, pays des Kottomissies
    Réveillez-vous ! 1971 | 8 novembre
    • Le Suriname, pays des Kottomissies

      De notre correspondant au Suriname

      LA POPULATION du Suriname est fort cosmopolite, car elle se compose entre autres de Créoles, d’Indiens, d’Amérindiens, d’Indonésiens, de Chinois, de Noirs et de Néerlandais. Dans les rues de Paramaribo, la capitale, on peut voir des femmes en toilettes modernes, des Indiennes drapées dans un sari, des Indonésiennes en sarong, des Noires vêtues de longues robes aux couleurs vives et d’autres femmes encore portant le kottojakki. J’aimerais vous parler surtout de ce costume.

      Sans doute ce nom vous semble-​t-​il étrange. Il dérive de deux vocables de la langue de ce pays : kotto qui signifie “manteau” et jakki signifiant “jaquette” ou “veste”. Le mot missie vient évidemment de l’anglais miss ou mistress (mademoiselle ou madame). C’est pourquoi la femme qui porte ce vêtement particulier est désignée par le terme kottomissie.

      L’histoire de ce costume remonte à l’époque de l’esclavage, c’est-à-dire à plus de cent ans. La plupart des esclaves amenés d’Afrique au Suriname se promenaient presque nus, et comme beaucoup de jeunes filles étaient très belles il arrivait souvent que leurs propriétaires, séduits par leurs charmes physiques, leur fassent des propositions déshonnêtes. Aussi décida-​t-​on d’essayer de mettre fin à cet état de choses.

      On raconte que les épouses des propriétaires d’esclaves se réunirent pour tenir conseil. Elles arrivèrent à la conclusion qu’il fallait inventer un costume qui recouvrirait complètement le corps des jeunes esclaves de façon à en cacher les contours. C’est ainsi que le kottojakki vit le jour.

      On commença par créer un sous-vêtement très ample serré autour de la taille par un kooi ou ceinture d’étoffe rembourrée avec de la paille. On faisait alors

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