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  • Achevons l’œuvre qui consiste à faire des disciples
    La Tour de Garde 1966 | 1er août
    • assisterons à l’achèvement de cette tâche ! En vérité, nombreuses sont les raisons d’être joyeux !

      28. Quelles pensées le chrétien gardera-​t-​il présentes à l’esprit tandis qu’il assiste à l’achèvement de cette grande œuvre ?

      28 L’une des joies réelles est ressentie lorsqu’on prend part à cette œuvre. Non seulement nous devons être des disciples, mais il nous faut encore faire des disciples, et cela à notre époque. Une fois que cette occasion sera passée, elle ne se représentera plus. Il est vrai que Dieu n’a pas besoin de nous pour faire ce travail, mais le fait qu’il nous ait permis d’y prendre part constitue une bénédiction. En reconnaissance, nous devrions consacrer toutes nos forces et toutes nos aptitudes à cette œuvre.

  • Puisons notre joie à faire des disciples
    La Tour de Garde 1966 | 1er août
    • Puisons notre joie à faire des disciples

      1. a) Pourquoi est-​il important de puiser sa joie dans le travail ? b) Selon Salomon, qu’est-​ce qui est un don de Dieu ?

      ÊTES-​VOUS heureux dans votre travail ? Vous le devriez. Étant donné qu’une si grande partie de votre temps, votre vie même, est consacrée à votre carrière ou vocation, la vie n’est digne d’être vécue qu’à la condition d’être heureux. Salomon déclara à ce sujet : “J’ai reconnu qu’il n’y a de bonheur pour eux qu’à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie ; mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c’est là un don de Dieu.” (Eccl. 3:12, 13). Oui, il avait été prévu que l’homme travaille dur. Il ne devait pas œuvrer comme un esclave, mais il puiserait sa joie dans une occupation qui lui procurerait d’abondantes bénédictions. Quelle récompense ce serait pour l’homme de vivre l’accomplissement de cette promesse, en trouvant une activité à laquelle il se consacrerait de tout cœur, persuadé que c’est le seul “bonheur” dont il puisse jouir ! Salomon décrivit cela comme un “don de Dieu”.

      2. Quel est le but du présent article par rapport au précédent ?

      2 Dans l’article précédent, nous avons analysé l’œuvre consistant à faire des disciples, et à laquelle se dévouent les témoins de Jéhovah du monde entier. Le modèle établi par Jésus suivant lequel il faut faire des disciples a été considéré, et les efforts conjugués que les témoins déploient aujourd’hui pour achever cette œuvre ont été mis en relief. Maintenant, nous nous intéresserons à l’œuvre du point de vue de chaque ministre pris individuellement. Nous parlerons de la joie et du bonheur que les chrétiens ressentent personnellement en prenant part à ce travail.

      3. Comparativement aux distractions, quelle est la place du travail dans le bonheur ?

      3 Qu’est-​ce qui rend une personne réellement heureuse ? Est-​ce le travail ou les distractions ? Un certain temps consacré aux distractions détend sans aucun doute, crée un changement et procure l’exercice nécessaire. Mais c’est le travail qui, en premier lieu, procure le bonheur. Calvin Coolidge, trentième président des États-Unis, déclara le 27 juillet 1920 dans son discours d’investiture : “Le travail n’est pas une malédiction, c’est le privilège de l’intelligence, c’est l’unique moyen de parvenir à l’état adulte et le critère de la civilisation. Les sauvages ne travaillent pas.”

      4. a) Quelle était l’attitude de Jésus à l’égard du travail ? b) Comment Jéhovah considère-​t-​il le travail, comme le démontre la tâche qu’il confia à Adam et Ève ?

      4 La Bible a déclaré la même chose bien avant le président Coolidge. Voici ce que Jésus a dit à propos du dur labeur qu’il avait entrepris : “Ma nourriture est que je fasse la volonté de celui qui m’a envoyé et que je finisse son œuvre.” (Jean 4:34). Ce n’était pas dans le jeu, mais dans le travail que Jésus prenait plaisir. Il puisait sa joie dans cette activité qui représentait pour lui une nourriture supérieure aux aliments matériels. Quand Adam et Ève furent créés et placés dans le jardin d’Éden, Jéhovah avait prévu pour eux une activité qui les satisferait et les rendrait heureux. “Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.” (Gen. 1:28). Grâce à ce programme, l’homme travaillerait dur, mais cette disposition était entièrement approuvée de Dieu ; c’est ce que nous lisons en effet dans Genèse 1:31 : “Dieu vit tout ce qu’il avait fait ; et voici, cela était très bon.” Dieu savait qu’un dur labeur serait bon pour l’homme.

      5. Quel genre de travail procure le vrai bonheur ?

      5 Mais quel genre de travail rendrait l’homme heureux ? Albert Schweitzer, célèbre médecin et prix Nobel, cita l’une des conditions requises pour accomplir le travail dans la joie quand il déclara : “Le respect de la vie (...) n’autorise pas le savant à ne vivre que pour sa science, même s’il est très utile pour la communauté en agissant de la sorte. Ce respect ne permet pas non plus à l’artiste de n’exister que pour son art, même s’il communique l’inspiration à de nombreuses personnes par son intermédiaire. Le respect de la vie interdit à l’homme d’affaires de croire qu’il satisfait à toutes les exigences légitimes dans l’exercice de ses activités commerciales. Le respect de la vie exige que chacun de nous sacrifie une partie de sa vie pour autrui.” (New York Times Magazine, 9 janvier 1955, à l’occasion du quatre-vingtième anniversaire de Schweitzer). Le comte Tolstoï fit cette remarque : “La vocation de chaque homme, et de chaque femme est de servir ses semblables.” L’expérience a démontré à ces hommes que la poursuite de buts égoïstes au détriment des autres n’apporte aucune satisfaction, mais que le travail accompli avec amour dans l’intérêt d’autrui engendre le bonheur. C’est l’une des conditions requises pour que le travail rende l’homme heureux.

      6. Que dit la Bible quant au fait de travailler pour son prochain ?

      6 Cette conception du travail est également conforme aux principes bibliques. L’apôtre Paul déclara : “Je vous ai montré qu’en toutes choses c’est en travaillant ainsi que vous devez assister ceux qui sont faibles, et que vous devez vous souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui lui-​même a dit : ‘Il y a plus de bonheur à donner qu’il y en a à recevoir.’” (Actes 20:35). C’est le travail fait en faveur d’autrui qui procure le vrai bonheur.

      7. Pourquoi l’œuvre consistant à faire des disciples devrait-​elle nous rendre heureux ?

      7 Comment l’œuvre consistant à faire des disciples remplit-​elle cette condition ? Existe-​t-​il un travail qui serait plus profitable pour autrui que l’enseignement de la vérité qui peut guider sur le chemin de la vie éternelle ? Certainement pas ! Affranchir l’esprit des hommes de l’ignorance et de l’esclavage des fausses conceptions leur serait des plus profitable.

      LA JOIE QUI DÉCOULE DU TRAVAIL

      8. Par où commence l’œuvre consistant à faire des disciples, et pourquoi cette activité procure-​t-​elle du bonheur ?

      8 L’œuvre consistant à faire des disciples commence d’abord par une visite complète du territoire, à la recherche de ceux qui ont un cœur épris de justice, une oreille attentive et qui sont prêts à raisonner. Cela signifie aller de porte en porte, parler à chaque personne que nous rencontrons, quelle qu’elle soit et quel que soit son rang social ou sa confession religieuse. Au

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