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  • Sur quoi repose votre sécurité ? ... sur votre maison ? ... sur votre compte en banque ? ... sur votre emploi ?
    La Tour de Garde 1977 | 15 juillet
    • l’argent pour se procurer les nécessités de la vie. Cependant, beaucoup de gens désirent avoir un compte en banque important, car, pensent-​ils, c’est une sécurité. Pourtant, les événements récents montrent que ce n’est pas le cas. Ainsi, lors de la grande crise économique de 1929, des milliers de banques dans le monde ont dû fermer leurs portes et beaucoup de gens qui y avaient déposé de l’argent subirent des pertes importantes. Un économiste déclara récemment : “Le système bancaire (...) laisse apparaître une détérioration constante depuis la Seconde Guerre mondiale.” Comme un bloc de glace qui fond au soleil, l’argent n’a cessé de se déprécier à cause de l’inflation. Il suffit d’un mot pour résumer l’histoire de l’argent : insécurité.

      14. Pourquoi est-​il sage de s’affranchir de l’amour de l’argent (Mat. 19:21) ?

      14 Ainsi donc, si l’argent est utile et nécessaire à notre époque, il serait insensé de placer en lui notre confiance. Quoi que puissent faire les gouvernements pour redresser les systèmes économiques, il n’en demeure pas moins vrai qu’ils ne tarderont pas à disparaître complètement et définitivement. Le jour est proche où, comme cela s’est déjà produit dans le passé, les hommes “jetteront leur argent dans les rues, et leur or deviendra une chose qui fait horreur. Ni leur argent ni leur or ne pourront les délivrer au jour de la fureur de Jéhovah”. (Ézéch. 7:19.) C’est dans cette perspective que la Parole de Dieu nous donne ce sage conseil : “Que votre mode de vie soit exempt de l’amour de l’argent ; contentez-​vous de ce qu’il y a.” Pour n’avoir pas suivi ce conseil, certains, qui ont cultivé l’amour de l’argent, “se sont égarés loin de la foi et se sont eux-​mêmes transpercés partout de beaucoup de douleurs”. (Héb. 13:5 ; I Tim. 6:10.) Non seulement ceux qui aiment l’argent cessent de s’occuper des intérêts du Royaume de Dieu, mais ils s’attirent “beaucoup de douleurs” à cause de tout ce qu’ils doivent faire pour amasser de l’argent et le protéger.

      15. La richesse peut-​elle être de quelque avantage pour obtenir la vie éternelle (Ps. 49:16, 17) ?

      15 Les riches qui souhaitent peut-être ‘vivre à jamais et ne pas voir la fosse’ et qui croient “que leurs maisons durent jusqu’à des temps indéfinis”, vont même jusqu’à ‘appeler leurs propriétés foncières par leurs noms’. (Ps. 49:9, 11.) Mais c’est Dieu qui décidera de l’avenir des hommes, peu importe la richesse de certains. C’est lui qui décidera qui survivra à la période très difficile à venir et ce qui échappera à la destruction. Dans le nouvel ordre de choses, la terre ne sera pas partagée au gré des riches et des puissants du présent système. C’est Jéhovah qui, par l’entremise de son Royaume ou Gouvernement, dirigera l’économie de la terre de manière à ce que tous les humains profitent de la prospérité qui en résultera (Rom. 2:11). Il est donc sage et vital de suivre cet autre conseil de la Bible : “Amassez-​vous plutôt des trésors dans le ciel, où ni la mite ni la rouille ne rongent, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.” (Mat. 6:20). L’estime de Dieu dans le ciel a beaucoup plus de valeur qu’un important compte en banque.

      REJETEZ L’INQUIÉTUDE

      16. Quelle attitude pondérée le chrétien doit-​il garder même en période de difficultés économiques (Mat. 6:34) ?

      16 Cependant, la plupart des gens sont loin d’être en train de s’enrichir. Ils se soucient seulement de gagner assez d’argent pour couvrir leurs dépenses et ils sont très inquiets, car ces dernières années les difficultés économiques internationales ont privé de nombreuses personnes de leur emploi et de leur source de revenus. Les serviteurs de Dieu qui se trouvent dans une telle situation ont eux aussi des raisons de s’inquiéter, mais ils restent pondérés. Ils se souviennent que la Parole de Dieu les exhorte ‘à ne pas abandonner le rassemblement de nous-​mêmes, comme quelques-uns en ont coutume, mais à s’encourager mutuellement, et cela d’autant plus qu’ils voient s’approcher le jour’. (Héb. 10:24, 25.) Un chrétien pondéré comprend que “l’homme devra vivre, non pas de pain seulement, mais de toute déclaration qui sort de la bouche de Jéhovah”. (Mat. 4:4.) C’est pourquoi, tout en faisant consciencieusement tout ce qu’il peut pour trouver un emploi qui lui permettra de pourvoir à ses besoins, il veille à ce que cela ne l’empêche pas de se réunir avec d’autres chrétiens pour étudier la Parole de Dieu. Il ne permet pas non plus à ses soucis de perturber son service en faveur de ses semblables qui ne connaissent pas encore Jéhovah et ses desseins. Il maintient à la première place les choses les plus importantes, celles qui concernent Dieu et sa volonté. — Phil. 1:10.

      17. Quelle connaissance encourageante le chrétien possède-​t-​il, même quand il rencontre des difficultés économiques (Héb. 13:5, 6) ?

      17 Le serviteur de Dieu qui doit résoudre des problèmes dus aux difficultés économiques a un gros avantage sur ceux qui ne servent pas Jéhovah. Il puise du courage dans le fait que Dieu connaît mieux que lui sa situation et il est certain que celui-ci, tel un Père plein d’amour, l’aidera en période difficile. Ce Dieu, qui prévoit des réunions pour affermir spirituellement ses serviteurs et qui donne à ceux-ci la possibilité de prêcher la bonne nouvelle relative au nouveau système maintenant proche, ne viendrait-​il pas en aide à ceux qui accordent la première place dans leur vie aux intérêts divins ? Ce Dieu, qui a dit que “si quelqu’un ne prend pas soin des siens (...) il est pire qu’un homme sans foi”, ne respecterait-​il pas lui-​même ce principe (I Tim. 5:8) ? “Y a-​t-​il de l’injustice chez Dieu ? Que ce ne soit jamais le cas !”, s’exclama l’apôtre Paul. — Rom. 9:14.

      18, 19. a) Au lieu de nous attrister à l’idée de subir éventuellement une perte matérielle, pourquoi la destruction prochaine de l’actuel système doit-​elle nous réjouir ? b) Quelle sera donc notre attitude ?

      18 Quand Jéhovah créa l’homme, il a effectivement implanté en lui le désir de bonnes choses. Cependant, arrivés au point culminant de l’histoire humaine, nous devons maintenir les préoccupations matérielles à la place qui leur revient. Nous ne nous laisserons pas dominer par elles, si bien que dans la perspective de la “grande tribulation” nous n’imiterons pas la femme de Lot. Nous ne nous attristerons pas à la pensée de perdre nos biens. Pareille attitude négative serait déraisonnable et mettrait notre vie en danger.

      19 Nous nous réjouirons plutôt de la destruction prochaine de l’actuel système méchant, sachant que cela signifiera la justification du nom de Jéhovah ainsi que le salut pour tous ceux qui portent et défendent ce nom jour après jour. En récompense de leur fidélité à Jéhovah, ils entreront dans un nouvel ordre de choses et se verront confier une tâche merveilleuse : transformer la terre en un paradis dont les habitants ne souffriront plus de l’influence de Satan et de son système inique et seront affranchis du péché et de la mort (I Cor. 15:25, 26). Face à un avenir aussi merveilleux, tous ceux qui souhaitent vivre à jamais voudront ‘ne pas fonder leur espoir sur des richesses incertaines, mais sur Dieu qui nous fournit richement toutes choses, pour que nous en jouissions, et travailler au bien, être riches en belles œuvres, généreux, disposés à partager, s’amassant ainsi comme trésor sûr un beau fondement pour l’avenir, afin qu’ils se saisissent résolument de la vie véritable’. — I Tim. 6:17-19.

  • “Une caverne de brigands”
    La Tour de Garde 1977 | 15 juillet
    • “Une caverne de brigands”

      ◆ Quand il chassa de l’esplanade du temple les changeurs et les marchands d’animaux pour les sacrifices, Jésus déclara : “Il est écrit : ‘Ma maison sera appelée maison de prière’, mais vous en faites, vous, une caverne de brigands.” (Mat. 21:13). Il qualifia donc de “brigands” les changeurs et les marchands d’animaux, laissant ainsi entendre que ces hommes faisaient des bénéfices excessifs. La Mischna juive montre que Jésus n’exagérait pas. Elle nous dit en effet qu’à un certain moment deux colombes coûtaient un denier or, soit vingt-cinq deniers en argent. Ce prix exorbitant fut cause que Siméon, fils de Gamaliel, jura par le temple, en ces termes : “Je ne laisserai pas passer la nuit qu’elles ne coûtent un denier en argent.” Il faut sans doute entendre par là que les colombes étaient vendues vingt-cinq fois plus cher qu’elles ne valaient en réalité. Ces marchands étaient vraiment des “brigands”.

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