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    • à quelqu’un qui pleurait la perte de ses parents décédés. — Jér. 16:5-7; voir Proverbes 31:6.

      La “coupe” symbolique que Jéhovah a versée pour Jésus Christ représentait sa volonté au sujet de Jésus. Celui-ci a prié pour que, si possible, cette “coupe” passe loin de lui. C’était sans aucun doute parce qu’il se préoccupait grandement du discrédit que sa mort en tant qu’homme accusé de blasphème et de sédition allait jeter sur Dieu. Néanmoins, Jésus désirait se soumettre à la volonté de Jéhovah en buvant cette coupe (Mat. 26:39, 42; Jean 18:10, 11). La portion ou “coupe” que Jéhovah attribuait à Jésus ne signifiait pas seulement qu’il allait souffrir, mais aussi que son baptême dans la mort allait atteindre son point culminant avec sa résurrection pour la vie immortelle dans les cieux (Luc 12:50; Rom. 6:4, 5; Héb. 5:7). C’était donc également pour le Christ “la coupe du salut magnifique”. (Ps. 116:13.) En harmonie avec la volonté divine, Jésus doit aussi partager cette “coupe” qu’on lui a donné à boire avec le “petit troupeau” de ses cohéritiers dans le Royaume. — Luc 12:32; Marc 10:35-40.

  • Récolte
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    • RÉCOLTE

      Dans les temps antiques, on récoltait les céréales en les coupant avec une faucille (Marc 4:29), ou parfois en les arrachant de terre. Dans le second cas, on recueillait la tige entière en la déracinant, ce qui était préférable dans les régions arides où la paille était peu abondante et où les céréales ne poussaient pas très haut.

      Le plus souvent, on faisait les récoltes à la faucille (Deut. 16:9). Les faucilles les plus anciennes étaient des pièces de bois ou d’os taillées sur lesquelles on fixait des morceaux de silex qui formaient leur tranchant. Avec le temps s’est répandu l’usage de la lame de métal courbée, qui nous est plus familière. Le moissonneur saisissait les tiges d’une main et les coupait de l’autre. Il arrivait peut-être, comme on le faisait encore récemment, que le moissonneur attache à ses doigts des bouts de jonc pour éviter de se couper avec sa faucille ou avec les tiges sèches.

      Les Israélites avaient reçu le commandement de ne pas récolter le grain qui se trouvait à la lisière de leurs champs. Ils devaient au contraire laisser un peu de céréales sur pied “pour l’affligé et pour le résident étranger”. (Lév. 19:9, 10.) Les tiges étaient d’abord fauchées, puis elles étaient ramassées, gerbées et mises en tas, sans doute sur l’aire de battage. — Gen. 37:6, 7; Ruth 3:6, 7.

      AU SENS FIGURÉ

      Les Écritures parlent souvent des récoltes au sens figuré pour illustrer le résultat final des œuvres de quelqu’un, qu’il soit bon ou mauvais. Le principe divin est le suivant: “Quoi que l’homme sème, c’est aussi ce qu’il moissonnera.” Alors que celui qui sème en vue de sa chair récoltera la corruption, a dit Paul, “celui qui sème en vue de l’esprit moissonnera de l’esprit la vie éternelle”. Puis l’apôtre a donné aux chrétiens de Galatie l’assurance qu’ils moissonneraient s’ils ne se lassaient pas (Gal. 6:7-9; Prov. 22:8; Osée 8:1, 7). Pour les encourager à être généreux envers leurs frères chrétiens de Judée qui étaient dans le besoin, Paul a écrit aux Corinthiens: “Celui qui sème chichement, moissonnera aussi chichement; et celui qui sème largement, moissonnera aussi largement.” — II Cor. 9:5-7.

      Jésus Christ a envoyé ses disciples “moissonner”, laissant entendre qu’ils devaient rassembler les Juifs bien disposés et en faire des disciples (Jean 4:35-38). Selon les termes de son illustration du “blé” et de la “mauvaise herbe”, à “la conclusion du système de choses” le Fils de l’homme envoie ses moissonneurs angéliques pour ‘ramasser de son royaume toutes les choses qui font trébucher et ceux qui se conduisent en individus qui méprisent la loi’. Cette “mauvaise herbe” (“les fils du méchant”) est jetée dans une fournaise de feu symbolique, tandis que le “blé” (“les fils du royaume”) est préservé, et ces “justes brilleront du même éclat que le soleil, dans le royaume de leur Père”. — Mat. 13:24-30, 36-43.

      La vision de Jean montre que c’est Jésus Christ glorifié et intronisé qui dirige cette récolte et cette œuvre de séparation, car la Révélation décrit Christ comme quelqu’un de “semblable à un fils d’homme, avec sur sa tête une couronne d’or et dans sa main une faucille affilée”. Jean a entendu un ange crier: “Place ta faucille et moissonne, car l’heure est venue de moissonner, parce que la moisson de la terre est bien mûre.” Il a vu ensuite que l’ange “a mis sa faucille sur la terre, et la terre a été moissonnée”. Après ces choses, l’apôtre a vu “la vigne de la terre” vendangée et lancée dans le “grand pressoir de la colère de Dieu”. — Rév. 14:14-20; voir Révélation 19:11-16. Voir FÊTE DES HUTTES.

  • Récolte (Fête de la)
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    • RÉCOLTE (FÊTE DE LA)

      {Article non traduit.}

  • Réconciliation
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    • RÉCONCILIATION

      Réconcilier, c’est remettre en accord, en harmonie, réunir par des liens d’amitié. En grec, les mots qui se rapportent à la réconciliation viennent du verbe allassô, qui a pour sens premier “changer”, “rendre différent” (voir son emploi en Actes 6:14; I Corinthiens 15:51; Galates 4:20), ou encore “échanger”. — Rom. 1:23.

      Le composé katallassô, qui signifie d’abord “changer” ou “échanger”, a pris le sens de “passer [ou “faire passer”] de l’hostilité à l’amitié”, autrement dit de “réconcilier” ou de “se réconcilier”. Paul a utilisé ce verbe à propos de la femme qui “se réconcilie” avec son mari dont elle s’était séparée (I Cor. 7:11). Un autre dérivé, diallassô, apparaît en Matthieu 5:24, où Jésus encourage ses auditeurs à ‘faire la paix’ avec leur frère avant d’aller offrir un sacrifice sur l’autel.

      LA RÉCONCILIATION AVEC DIEU

      Si une réconciliation avec Dieu est devenue nécessaire, c’est parce qu’il y a eu éloignement, séparation, discorde, rupture, et même inimitié entre lui et nous. Cet état de choses est dû à la faute du premier homme, Adam, qui a transmis le péché et l’imperfection à tous ses descendants (Rom. 5:12; voir Ésaïe 43:27). L’apôtre pouvait donc écrire que “le désir de la chair signifie inimitié contre Dieu, car il n’est pas soumis à la loi de Dieu et même il ne peut pas l’être [à cause de la nature pécheresse et imparfaite de notre chair]. Ceux donc qui sont en accord avec la chair ne peuvent plaire à Dieu.” (Rom. 8:7, 8). L’inimitié existe parce que les normes absolues de Dieu ne lui permettent pas d’approuver ou de tolérer la transgression (Ps. 5:4; 89:14). Au sujet du Fils, qui reflète les qualités parfaites du Père, nous lisons: “Tu as aimé la justice, et tu as haï le mépris de la loi.” (Héb. 1:9). Certes, “Dieu est amour”, et il “a tant aimé le monde [le genre humain] qu’il a donné son

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