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OrnementsÉtude perspicace des Écritures (volume 2)
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Conseils chrétiens sur la parure personnelle. Concernant les ornements, la modération est encouragée, particulièrement dans les Écritures grecques chrétiennes. Jésus et ses apôtres déconseillèrent constamment aux chrétiens de mettre leur confiance dans les choses matérielles et de se montrer sous un faux jour par le moyen d’ornements. L’apôtre Paul dit que les chrétiennes devraient ‘ se parer dans une tenue bien arrangée, avec modestie et bon sens, non pas avec des façons de se tresser les cheveux, et de l’or ou des perles ou des vêtements coûteux, mais comme il convient à des femmes qui déclarent révérer Dieu, c’est-à-dire grâce à des œuvres bonnes ’. (1Tm 2:9, 10.) À l’époque des apôtres, le monde était imprégné de culture grecque, et les femmes avaient coutume de porter des coiffures très recherchées, ainsi que toutes sortes d’ornements. C’est donc fort à propos que Pierre conseilla aux femmes de la congrégation chrétienne de ne pas attacher de l’importance à ce qui est “ extérieur et qui consiste à se tresser les cheveux et à mettre des ornements en or ou bien à porter des vêtements de dessus ”, mais de veiller plutôt à ce que leur parure soit, à l’instar des femmes fidèles d’autrefois, “ la personne cachée du cœur dans la parure incorruptible de l’esprit doux et paisible, qui est d’une grande valeur aux yeux de Dieu ”. Il cita en exemple des femmes comme Sara qui se paraient ainsi, en “ se soumettant à leurs propres maris ”. Donc, si elles sont suivies, les Écritures guident efficacement la façon de considérer les ornements et les bijoux et d’en faire un usage raisonnable. — 1P 3:1-6.
L’apôtre Paul explique que le chrétien peut parer les enseignements de Dieu et les rendre plus attrayants pour les autres par de belles œuvres : intégrité dans l’enseignement, dignité, parole saine et conduite droite dans tous les domaines de sa vie. — Tt 2:10.
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OrnementsÉtude perspicace des Écritures (volume 2)
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Il s’agit là de la congrégation chrétienne, l’épouse de Christ, qui se présente finalement dans toute sa beauté devant son mari Jésus Christ. Là encore, il est évident que les ornements ont un rapport avec les qualités spirituelles et avec les bénédictions qui découlent de l’approbation et de la faveur divines.
La beauté de la Nouvelle Jérusalem est radicalement différente de celle de Babylone la Grande. En effet, cette femme symbolique qui commet la fornication avec les rois de la terre se pare de vêtements et d’ornements royaux et vit dans un luxe insolent, salaire de sa prostitution,
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