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Reine des cieuxÉtude perspicace des Écritures (volume 2)
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Il semble que le culte d’Ishtar se soit répandu dans d’autres pays. Sur une des Tablettes d’el-Amarna, un courrier de Toushratta à Aménophis III, on trouve l’expression ‘ Ishtar, la maîtresse du ciel ’. On lit également “ Astarté [Ishtar] dame du ciel ” en Égypte, sur une inscription du roi Horemheb dont on fait remonter le règne au XIVe siècle av. n. è. Un fragment de stèle trouvé à Memphis et daté du règne de Mérneptah, roi d’Égypte ayant régné, pense-t-on, au XIIIe siècle av. n. è., représente Astarté avec cette inscription : “ Astarté, dame du ciel ”. À Syène (Assouan aujourd’hui), durant la période perse, on surnommait Astarté “ la reine des cieux ”.
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Reine des cieuxÉtude perspicace des Écritures (volume 2)
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Son homologue babylonienne, la déesse Ishtar, avait dans les textes akkadiens les épithètes “ reine des cieux ” et “ reine des cieux et des étoiles ”.
Il semble que le culte d’Ishtar se soit répandu dans d’autres pays. Sur une des Tablettes d’el-Amarna, un courrier de Toushratta à Aménophis III, on trouve l’expression ‘ Ishtar, la maîtresse du ciel ’. On lit également “ Astarté [Ishtar] dame du ciel ” en Égypte, sur une inscription du roi Horemheb dont on fait remonter le règne au XIVe siècle av. n. è. Un fragment de stèle trouvé à Memphis et daté du règne de Mérneptah, roi d’Égypte ayant régné, pense-t-on, au XIIIe siècle av. n. è., représente Astarté avec cette inscription : “ Astarté, dame du ciel ”. À Syène (Assouan aujourd’hui), durant la période perse, on surnommait Astarté “ la reine des cieux ”.
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