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  • Les réunions des assemblées locales par visioconférence
    Comment vos dons sont utilisés
    • Montage photo : 1. Une famille assiste à une réunion par visioconférence. 2. Un frère se sert d’une application de visioconférence pour héberger une réunion de son assemblée. 3. Un frère donne un discours par visioconférence.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Les réunions des assemblées locales par visioconférence

      26 JUIN 2020

      Dans le monde entier, de nombreux gouvernements ont imposé des mesures de distanciation physique et ont annulé les rassemblements publics. Les Témoins de Jéhovah obéissent à ces exigences tout en continuant de se réunir sans prendre de risques. Dans ce but, les assemblées locales se sont mises à utiliser des applications de visioconférences telles que Zoom pour tenir leurs réunions.

      Afin que nos réunions continuent d’avoir lieu régulièrement et en toute sécurité, le Collège central a donné son accord pour que des comptes Zoom soient achetés aux assemblées locales avec l’argent des dons. Cette disposition a été très utile à certaines assemblées qui ne pouvaient pas payer le prix moyen d’un compte de visioconférence : 15 à 20 euros ou plus. Ces assemblées recouraient souvent à des applications gratuites qui limitent le nombre de connexions ou dont le niveau de sécurité est insuffisant. Toutes les assemblées qui utilisent les comptes Zoom offerts par l’organisation bénéficient de leurs paramètres de sécurité faciles à configurer et du grand nombre de connexions qu’ils permettent pour chaque réunion. À ce jour, plus de 65 000 assemblées dans plus de 170 pays se servent de tels comptes.

      En Indonésie, l’assemblée de Kairagi, à Manado (Sulawesi du Nord), est passée d’une application de visioconférence gratuite à un compte Zoom offert par l’organisation. Frère Hadi Santoso explique : « Maintenant, même les frères et sœurs qui ne savent pas bien se servir d’un appareil électronique peuvent profiter des réunions, en grande partie parce qu’ils n’ont plus besoin de se reconnecter plusieurs fois durant la même réunion. »

      En Équateur, à Guayaquil, Lester Jijón, ancien dans l’assemblée de Guayacanes-Est, raconte : « Comme beaucoup de frères et sœurs sont pauvres, certaines assemblées n’auraient tout bonnement pas pu acheter une licence Zoom permettant à toute l’assemblée d’assister aux réunions. À présent, grâce au nombre de connexions qu’autorisent les comptes Zoom qu’on nous a payés, nous pouvons inviter aux réunions autant de personnes que nous voulons, sans avoir peur de dépasser la limite. »

      En Zambie, à Lusaka, Johnson Mwanza, ancien dans l’assemblée de Ngwerere-Nord, écrit : « De nombreux frères et sœurs disent que le fait que l’organisation leur a fourni un compte Zoom non seulement les rapproche de leurs frères et sœurs, mais encore leur fait sentir que Jéhovah les aime et prend soin d’eux. »

      Les comptes offerts par l’organisation sont financés grâce au fonds de secours. Cet argent provient des offrandes volontaires effectuées en faveur de l’œuvre mondiale. Nombre d’entre elles se font en ligne sur donate.jw.org. Merci pour vos dons généreux, qui servent aussi à d’autres opérations de secours aux quatre coins du monde (2 Corinthiens 8:14).

  • Traduction du programme de l’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! »
    Comment vos dons sont utilisés
    • Collage : 1. Un frère utilise un micro et un casque pour faire un enregistrement. 2. Une famille heureuse. 3. Une sœur âgée lit la Bible.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Traduction du programme de l’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! »

      10 JUILLET 2020

      Pour la première fois, notre famille internationale de frères et sœurs regardera le même programme de l’assemblée régionale pendant la même période, en juillet et en août 2020. Pour rendre cela possible, il a fallu enregistrer le programme sous forme de vidéos, puis les traduire en plus de 500 langues. En général, on met un an ou plus pour organiser et finaliser ce genre de projet. Mais en raison de la pandémie de coronavirus, les traducteurs de l’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! » ont eu moins de quatre mois pour terminer leur travail.

      Le service d’assistance aux traducteurs et le service mondial des achats au siège mondial des Témoins de Jéhovah ont apporté leur aide pour ce projet monumental. Le service d’assistance aux traducteurs a noté que beaucoup d’équipes de traduction avaient besoin de plus de matériel pour accomplir leur tâche, notamment de micros de bonne qualité. Le service mondial des achats a pu acheter 1 000 micros et les faire livrer dans presque 200 endroits différents.

      Dans un souci d’économie, les micros ont été achetés en gros, expédiés dans un lieu central pour être reconditionnés, puis livrés aux quatre coins du monde. Grâce à cet achat en gros, chaque micro a coûté environ 170 dollars américains (150 euros), frais de transport inclus. On a ainsi réalisé une économie de plus de 20 % sur le prix au détail.

      Le service mondial des achats a dû faire ces achats et ces expéditions en avril et en mai 2020, période durant laquelle de nombreuses entreprises étaient au ralenti à cause de la pandémie. Malgré cela, fin mai, la majorité des antennes de traduction, des Béthels et des autres bureaux de traduction avait reçu le matériel nécessaire.

      Jay Swinney, responsable du service mondial des achats, a dit : « Il y a eu une bonne coopération entre les services du Béthel et les fournisseurs extérieurs tout au long du projet. Même si nous avons uni nos efforts autour de ce projet, ce n’est que grâce à l’esprit saint de Jéhovah que nous avons pu accomplir notre mission aussi rapidement et à moindre coût. »

      Nicholas Ahladis, du service d’assistance aux traducteurs, explique : « Les traducteurs qui étaient confinés à ce moment-là ont été vraiment encouragés de recevoir ce matériel. Même s’ils étaient isolés des autres membres de leur équipe, ils ont eu suffisamment de moyens pour bien travailler ensemble et ont pu traduire et enregistrer des discours, des films et des chansons en plus de 500 langues. »

      Ce projet — mais aussi beaucoup d’autres — a permis de diffuser le programme de l’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! » à l’ensemble de notre famille internationale de frères et sœurs. Et si le matériel nécessaire a pu être acheté, c’est grâce aux dons que vous faites généreusement sur le site donate.jw.org et par d’autres moyens.

  • Production des vidéos de l’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! »
    Comment vos dons sont utilisés
    • Photos : Construction d’un décor pour le tournage d’un film. 1) Des frères déchargent du gravier fin pour reproduire le sol de l’époque. 2) Des structures en bois sont recouvertes d’une finition qui imite la pierre.

      Pour le film de cette année, plus de 27,5 tonnes de gravier ont été amenés au studio de Mount Ebo.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Production des vidéos de l’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! »

      10 AOÛT 2020

      Les vidéos de nos assemblées régionales nous touchent beaucoup, et elles nous aident à mieux comprendre les enseignements bibliques. L’assemblée régionale 2020 « Réjouissez-vous toujours ! » comprend 114 vidéos, dont les 43 discours prononcés par les membres du Collège central et leurs assistants. Vous êtes-vous déjà demandé ce que la production de ces vidéos implique comme travail, et ce qu’elle coûte ?

      Presque 900 frères et sœurs du monde entier ont offert leur temps et leurs compétences pour participer à la production de ce programme. Au total, ce projet a demandé presque 100 000 heures de travail sur une période de deux ans. Et sur toutes ces heures, 70 000 ont été consacrées au film de 76 minutes Néhémie : « La joie qui vient de Jéhovah est votre forteresse ».

      Mais comme vous pouvez l’imaginer, tout cela a un coût : il a fallu fournir aux volontaires nourriture et logement ainsi que du matériel, des locaux et un support technique.

      Frère Jared Gossman, volontaire au service audio-vidéo, explique : « Le Comité pour l’enseignement, un des comités du Collège central, souhaite vraiment que nos vidéos présentent toutes sortes de cultures et de pays. C’est une façon de montrer clairement que notre famille de frères et sœurs est internationale. C’est pour cette raison que 24 équipes réparties dans 11 pays ont travaillé ensemble sur ce projet. Pour que cette collaboration soit possible, il a fallu d’énormes moyens, beaucoup d’organisation, et une bonne coordination.

      Pour beaucoup de nos vidéos, il a fallu des décors et des accessoires bien particuliers. Par exemple, pour le film sur Néhémie, on a construit des décors dans le studio de Mount Ebo, près de Patterson (État de New York). Les frères voulaient que le film soit réaliste et fidèle à l’époque de Néhémie, mais ils voulaient en même temps faire le meilleur usage possible des offrandes. Ils ont donc fabriqué des éléments de décor légers pour reproduire la muraille de la Jérusalem antique. Chaque élément était fait d’une structure en bois de six mètres de haut, recouverte de mousse que l’on a peinte pour lui donner l’apparence de la pierre. On pouvait donc facilement bouger ces « murs » et les utiliser pour plusieurs scènes, ce qui a permis de réduire le nombre d’éléments de décor. Malgré tout, rien que pour le film, les décors ont coûté presque 100 000 dollarsa.

      Toutes ces informations nous rendent encore plus reconnaissants pour le programme de l’assemblée régionale de cette année. Nous sommes convaincus qu’après tout le travail fourni pour produire ce programme, des humains du monde entier remercieront Jéhovah en le louant à l’unisson. Nous tenons à vous remercier pour les offrandes généreuses que vous faites en faveur de l’œuvre mondiale sur le site donate.jw.org et par d’autres moyens.

      a Les décors pour le film Néhémie : « La joie qui vient de Jéhovah est votre forteresse » ont été fabriqués avant la pandémie de Covid-19. À ce moment-là, il n’y avait pas de mesures de distanciation physique.

  • Une aide humanitaire en temps de « guerres et de nouvelles de guerres »
    Comment vos dons sont utilisés
    • Ensemble d’illustrations : Quelques activités de secours. 1. Une petite fille fait un dessin. 2. Des sœurs portent des colis de secours pour les distribuer. 3. Des colis de secours sont livrés dans une salle du Royaume en Ukraine.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Une aide humanitaire en temps de « guerres et de nouvelles de guerres »

      27 MAI 2022

      Dans les derniers jours, nous nous attendons à « entendre parler de guerres et de nouvelles de guerres » (Matthieu 24:6). Mais quand nos frères font face à des épreuves dues à ces évènements, ils reçoivent le soutien dont ils ont besoin. Le Point actualité no 3 du Collège central (2022) a fourni des informations réconfortantes sur les opérations de secours organisées en Europe de l’Est pour aider les personnes touchées par la guerre en Ukraine. Comment cette aide est-elle organisée alors que la guerre fait rage ? Qu’est-ce que cela apporte à nos frères et sœurs ?

      Quels sont les besoins ? Comment l’aide est-elle organisée ?

      Le 24 février 2022, le jour où la guerre a éclaté en Ukraine, le Comité des coordinateurs a approuvé un budget pour organiser des opérations de secours. La filiale d’Ukraine a nommé 27 comités de secours (CDS) qui ont rapidement commencé à acheter des articles localement et à les distribuer.

      En plus de cela, des frères du siège mondial des Témoins de Jéhovah ont immédiatement commencé à réfléchir à d’autres mesures pratiques. Le Collège central (Comité des coordinateurs et Comité d’édition) a demandé au service mondial des achats de collaborer avec les représentants des filiales d’Ukraine et de Pologne pour mettre en place ces mesures et élaborer un plan d’action. Des frères du service des achats, du service des expéditions et du service juridique de chaque filiale, un membre du comité de la filiale d’Ukraine et des membres du service mondial des achats se réunissaient tous les jours pour coordonner les opérations.

      Les kits de secours contiennent de la nourriture, des produits d’hygiène et des encouragements écrits sur des cartes faites à la main.

      « Tout d’abord, il fallait identifier quels étaient les besoins, explique Jay Swinney du service mondial des achats. Nous voulions fournir de la nourriture et des produits d’hygiène auxquels les frères et sœurs étaient habitués. Cependant, déterminer ce dont ils avaient besoin, ce n’était qu’une partie du problème. Nous devions également déterminer comment livrer ces marchandises en Ukraine en temps de guerre, de la manière la plus sûre et la plus rapide possible. »

      Le 9 mars 2022, les frères savaient exactement quels articles il était nécessaire d’envoyer. Des colis contenant des denrées de base, comme des conserves de viande et de poisson, des céréales, du riz et des haricots, ainsi que des produits d’hygiène de base comme du savon et du papier toilette, ont été distribués. À ce moment-là, il a été estimé que, pour couvrir les besoins d’une personne pendant quatre semaines, un approvisionnement de ces produits de première nécessité coûterait environ 65 euros. Comme cela concernait des milliers de frères et sœurs, le Comité des coordinateurs a approuvé un budget important pour fournir cette aide. Mais comment livrer ces marchandises sans mettre inutilement en danger la sécurité de nos frères ?

      Le 13 mars, deux frères de Pologne ont fait une « livraison test » depuis la filiale de Pologne vers un entrepôt près de Lviv, en Ukraine. Avant leur départ, ils ont reçu l’aide de béthélites des filiales de Pologne et d’Ukraine pour préparer leur voyage. La filiale a rempli un formulaire afin que les frères puissent franchir la frontière pour fournir une aide humanitaire. Elle s’est assurée qu’il soit marqué clairement sur les véhicules qu’il s’agissait d’une aide humanitaire et elle a communiqué avec les frères en Ukraine pour choisir l’itinéraire le plus rapide depuis la frontière. Grâce à cette bonne préparation et à la bénédiction de Jéhovah, les colis ont été acheminés aux comités de secours dans les 24 heures après leur livraison à Lviv, et nos frères sont rentrés sains et saufs en Pologne.

      La « livraison test » a réussi, mais les frères ont livré moins d’une tonne de colis, et il en fallait encore 200 tonnes. Comment une quantité aussi importante pouvait-elle être transportée et distribuée le plus rapidement possible ?

      « Ton peuple s’offrira volontairement »

      Après avoir lu des articles sur jw.org sur ce que vivaient nos frères et sœurs en Ukraine, des personnes du monde entier ont voulu apporter leur soutien. Comme beaucoup d’entre elles vivent loin, elles ont choisi de faire des dons à l’œuvre mondiale des Témoins de Jéhovah, sachant que cet argent serait utilisé au mieux. D’autres qui vivent dans des pays voisins ont pu donner de leur temps, de leur énergie et de leurs ressources personnelles pour aider. Voici quelques expériences vécues.

      En Pologne, des volontaires ont préparé des dizaines de milliers de colis de secours, et des enfants ont dessiné sur des cartes faites à la main. « J’ai souvent lu Psaume 110:3, où il est dit que le ‘peuple de Jéhovah s’offrira volontairement’, raconte Bartosz Kościelniak, membre du service des achats de la filiale de Pologne. Mais en voyant ces centaines de frères et sœurs volontaires prêts à venir immédiatement apporter leur aide, j’ai constaté combien ces paroles étaient vraies ! »

      Un Témoin de Jéhovah, responsable d’une entreprise internationale de logistique, a mis à disposition ses camions et il a offert le carburant nécessaire à leur utilisation. Il déclare : « C’est pour moi une occasion de montrer mon amour pour mes frères et pour Jéhovah. Je suis tellement content d’avoir pu aider. » On estime que plus de 7 700 litres de carburant ont été offerts. De plus, des frères ont utilisé leur temps et leur énergie pour parcourir près de 48 000 kilomètres pour effectuer ces livraisons.

      Le 28 mars, 15 jours seulement après la « livraison test », 100 tonnes de nourriture, de produits d’hygiène et de matériel médical avaient été livrées en Ukraine ! Tout cela a été possible grâce à l’esprit volontaire et à l’amour de nos frères et sœurs. De plus, comme des Témoins et des fournisseurs ont fait don de nombreux articles, le budget qui était prévu pour les opérations de secours a été considérablement réduit. À ce jour, les Témoins de Jéhovah ont envoyé plus de 190 tonnes d’aide humanitaire à l’Ukraine. Qu’est-ce que cette aide a apporté à nos frères et sœurs ?

      « Ils contiennent aussi votre amour ! »

      Une fois ces colis de secours arrivés à Lviv, les CDS de toute l’Ukraine les ont distribués à ceux qui en avaient besoin. Les colis ont été livrés dans différentes villes, certaines à plus de 1 300 kilomètres de Lviv. Même si nos frères ont été très efficaces, ces opérationsa ont quand même demandé du temps.

      Markus Reinhardt, membre du Comité de la filiale d’Ukraine, explique : « Pendant cette crise, beaucoup de frères et sœurs ont réalisé à quel point Jéhovah les aimait, et qu’il était essentiel d’obéir aux instructions de son organisation avant même qu’une catastrophe ne frappe. Par exemple, nous sommes tous encouragés à avoir chez nous une réserve d’eau et de nourriture pour plusieurs semaines. Et à propos de cette instruction, Anton, un ancien d’une assemblée de Kiev, a dit : “L’organisation de Jéhovah nous prépare à affronter des situations difficiles, et nous lui en sommes reconnaissants. Avoir une réserve d’eau et de nourriture ainsi qu’une radio nous a littéralement sauvé la vie.” Nous remercions les frères et sœurs d’avoir pris à cœur cette instruction parce que cela a donné le temps à la filiale d’organiser les opérations de secours. »

      Qu’ont ressenti nos frères et sœurs quand les colis de secours sont arrivés ? Mykola et Zinaida, qui vivent à Kharkiv, ont exprimé leurs sentiments ainsi : « Nous sommes profondément touchés par votre amour. Merci beaucoup pour la nourriture et les médicaments. Nous voyons vraiment que Jéhovah prend soin de nous. » Valentyna vit dans la même région. Elle a dit : « Dès le début de la guerre, il y avait de longues files d’attente devant les magasins. On ne pouvait pas toujours acheter ce dont on avait besoin. Mais Jéhovah connaissait bien notre situation. Il a fait en sorte que des frères distribuent des colis aux familles, et ces colis contenaient exactement ce dont on avait besoin. Dans des circonstances aussi difficiles, alors que la situation semble désespérée, on sent que Jéhovah et son organisation prennent soin de nous d’une manière toute particulière. C’est tellement bon de recevoir son aide au moment où on en a le plus besoin. »

      Ievhen et Iryna, qui ont fui Marioupol, ont dit : « Nous vous remercions beaucoup d’avoir pris soin de notre famille. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c’est tombé au bon moment ! En fait, au début, nous pensions qu’il n’y avait que des produits de première nécessité dans ces colis, mais quand nous les avons ouverts, nous avons réalisé qu’ils contenaient aussi votre amour ! »

      Il est évident que Jéhovah a utilisé son esprit pour guider son organisation afin que des secours soient apportés en temps de « guerres et de nouvelles de guerres ». Vos offrandes en faveur de l’œuvre mondiale, dont beaucoup ont été faites sur donate.jw.org, ont également joué un rôle important. Merci beaucoup pour votre générosité !

      Apporter du secours rapidement et en toute sécurité

      1. 24 février 2022 : Le Comité des coordinateurs approuve un budget pour aider l’Ukraine, ce qui permet à la filiale de ce pays de commencer à fournir des secours.

      2. 24 février–8 mars 2022 : La filiale d’Ukraine achète des articles localement et les distribue grâce aux CDS. La filiale se prépare aussi à recevoir et à distribuer des colis venant de Pologne.

      3. 9 mars 2022 : Le Comité des coordinateurs approuve l’envoi d’une aide humanitaire en Ukraine.

      4. 10–12 mars 2022 : Organisation d’une « livraison test » de nourriture et de produits de première nécessité depuis la filiale de Pologne vers un entrepôt près de Lviv, en Ukraine.

      5. 13 mars 2022 : La « livraison test » est effectuée entre la Pologne et Lviv, en Ukraine.

      6. 14–16 mars 2022 : Dans une salle d’assemblées près de Poznan, en Pologne, des volontaires locaux du service développement-construction préparent des colis de secours contenant de la nourriture et des produits d’hygiène.

      7. 17 mars 2022 : Quatre jours après la « livraison test », 13 tonnes de colis de secours sont envoyées vers la frontière ukrainienne.

      8. 21–27 mars 2022 : On procède de la même manière pour que le reste des colis de secours soit emballé en Pologne, envoyé en Ukraine et distribué où il y en a besoin en moins de 24 heures.

      9. 28 mars 2022 : Dans les 20 jours qui ont suivi la décision du Comité des coordinateurs, 100 tonnes de nourriture, de produits d’hygiène et de matériel médical de secours ont été livrées en Ukraine.

      À ce jour, les Témoins de Jéhovah ont envoyé plus de 190 tonnes d’aide humanitaire en Ukraine.

      a Pour en savoir plus sur la façon dont l’aide a été apportée, voir l’article « Des frères mènent des opérations de secours et d’évacuation dans les zones de conflit en Ukraine ».

  • Un petit boîtier qui fournit de la nourriture spirituelle
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une Box JW.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Un petit boîtier qui fournit de la nourriture spirituelle

      1er SEPTEMBRE 2020

      Les Témoins de Jéhovah n’ont jamais reçu autant de nourriture spirituelle au format numérique. Mais dans de nombreux endroits du monde, nos frères et sœurs ne peuvent pas se payer un abonnement à Internet. Dans d’autres régions, les coupures d’électricité sont courantes, le débit Internet est lent ou bien il n’y a pas du tout d’accès à Internet.

      Toutefois, beaucoup de nos frères et sœurs peuvent maintenant télécharger des publications au format numérique sans même avoir de connexion à Internet ! Comment est-ce possible ?

      Grâce à la Box JW, un petit boîtier qui est fourni aux assemblées situées dans des endroits où l’accès à Internet est limité. Il comprend un routeur acheté auprès d’une entreprise extérieure, un logiciel développé par notre service informatique et des publications au format numérique ainsi que des vidéos disponibles sur jw.org. Chaque boîtier coûte environ 60 euros.

      À la salle du Royaume, les frères et sœurs peuvent connecter en wifi leur tablette ou leur téléphone à la Box JW, puis télécharger des publications et des vidéos. Même ceux dont les appareils sont vieux ou bas de gamme peuvent se connecter. Mais quand une assemblée n’a pas d’accès à Internet, comment la Box JW fournit-elle les dernières publications ? La filiale envoie régulièrement aux assemblées des clés USB contenant les dernières publications disponibles sur jw.org. Ces contenus peuvent ensuite être chargés dans la Box JW. Chaque clé coûte environ 3,50 euros.

      Comment la Box JW aide-t-elle nos frères et sœurs ? Nathan Adruandra, un père de famille qui vit en République démocratique du Congo, explique : « J’ai souvent essayé de télécharger les films “Ô Jéhovah, en toi j’ai placé ma confiance !” et “Souvenez-vous de la femme de Lot”. Mais je n’ai jamais réussi, et ça me décourageait. Maintenant, je peux télécharger ces vidéos sur mon téléphone et ça m’aide à mieux enseigner mes enfants. »

      Un frère qui aide les assemblées du Nigéria à installer la Box JW a dit : « Pour les frères et sœurs, la Box JW est un véritable cadeau de Jéhovah. Ils sont vraiment contents de pouvoir maintenant télécharger facilement les publications et les vidéos de notre panoplie d’enseignant. »

      Plus de 1 700 boîtiers ont été envoyés à des assemblées d’Afrique, d’Océanie et d’Amérique du Sud, et il est prévu d’en envoyer à beaucoup d’autres encore. Comment tout cela est-il financé ? Grâce aux offrandes faites en faveur de l’œuvre mondiale, souvent effectuées sur donate.jw.org. Merci beaucoup pour votre générosité.

  • Comment le superflu des uns compense le manque des autres
    Comment vos dons sont utilisés
    • Montage : Les activités des Témoins de Jéhovah dans le monde entier. 1. Un jeune frère lit une publication avec deux autres jeunes. 2. Plusieurs publications imprimées. 3. Un couple prêche à un homme. 4. Un frère lit un verset de la Bible à un homme.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Comment le superflu des uns compense le manque des autres

      1er OCTOBRE 2020

      Les Témoins de Jéhovah accomplissent leurs activités religieuses et apportent une aide humanitaire dans plus de 200 pays. Mais seulement 35 de ces pays peuvent couvrir eux-mêmes leurs dépenses grâce aux offrandes locales. Mais alors, comment les autres pays font-ils ?

      Le Collège central des Témoins de Jéhovah analyse les besoins spirituels et les activités des Témoins du monde entier. Les frères du Collège central établissent un budget avec les ressources financières dont ils disposent pour les utiliser de la meilleure façon possible. Si les offrandes qu’une filiale reçoit sont supérieures à ses besoins, ce sont d’autres pays qui profitent de ce superflu. De cette façon, nous suivons l’exemple des premiers chrétiens qui s’aidaient les uns les autres « par une égalisation » (2 Corinthiens 8:14). Ils utilisaient leur superflu pour combler les besoins d’autres chrétiens qui avaient moins.

      Que ressentent nos frères qui bénéficient de ce superflu ? Par exemple, en Tanzanie, plus de la moitié de la population vit avec moins de deux dollars par jour. Cette disposition a donc permis de rénover la salle du Royaume utilisée par l’assemblée de Mafinga. Les frères de cette assemblée ont écrit : « Depuis la rénovation, l’assistance aux réunions a beaucoup augmenté. Nous remercions énormément l’organisation de Jéhovah et notre famille de frères et sœurs pour leur générosité, qui nous permet de profiter d’un beau lieu de culte. »

      À cause de la pandémie de Covid-19, certains de nos frères du Sri Lanka ont manqué de nourriture. C’était le cas d’Imara Fernando et de son jeune fils, Enosh. Mais grâce aux offrandes d’autres pays, ils ont reçu l’aide matérielle nécessaire. Ils ont écrit : « Nous remercions les frères pour l’amour qu’ils nous ont montré durant cette période difficile. Nous sommes très heureux de faire partie de cette famille et nous continuons de prier Jéhovah pour qu’il aide tous nos frères durant ces derniers jours. »

      Imara avec son fils Enosh. Il tient une affiche où il est écrit : « thank you » (c’est-à-dire « merci » en anglais).

      Imara et Enosh Fernando.

      Peu importe où vivent nos frères et sœurs, ils se sentent poussés à partager ce qu’ils ont. Par exemple, Enosh s’est fabriqué une petite boîte à offrandes pour pouvoir aider les familles dans le besoin. Guadalupe Álvarez fait aussi preuve de générosité. Elle vit dans une région du Mexique où peu de personnes reçoivent le salaire minimum et où d’autres n’ont pas de rentrée d’argent régulière. Et pourtant, elle donne ce qu’elle peut. Elle écrit : « Je remercie Jéhovah pour sa bonté et son amour fidèle. Je sais que mes offrandes s’ajouteront à celles des autres et qu’elles seront utiles à mes frères dans le besoin. »

      Les filiales qui partagent leurs ressources sont heureuses de le faire. « Pendant de nombreuses années, nous avions besoin du soutien financier d’autres pays, déclare Anthony Carvalho, membre du comité de la filiale du Brésil. Grâce à cette aide, nous avons connu un accroissement phénoménal. Notre situation financière a changé et nous avons maintenant la joie de pouvoir aider les autres. Nos frères ont une vision mondiale de la prédication et ils se rendent mieux compte de ce qu’ils peuvent faire pour aider leurs frères. »

      Quelle est la meilleure façon de soutenir nos frères et sœurs dans le besoin ? Ce n’est pas en envoyant de l’argent directement aux filiales d’autres pays, mais plutôt en soutenant l’œuvre mondiale. On peut le faire à la salle du Royaume en utilisant la boîte à offrandes « Œuvre mondiale » ou sur Internet, grâce au site donate.jw.org. Nous sommes reconnaissants pour toutes les offrandes qui sont faites.

  • Des constructions achevées avant la pandémie
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des volontaires installent le nouveau panneau de la filiale du Cameroun.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des constructions achevées avant la pandémie

      1er NOVEMBRE 2020

      Des centaines de milliers de personnes se font baptiser chaque année, nous avons donc besoin de plus en plus de bâtiments pour notre culte. C’est pourquoi les services locaux de développement-construction du monde entier avaient prévu de construire ou de rénover plus de 2 700 lieux de culte au cours de l’année de service 2020a.

      Malheureusement, la pandémie de Covid-19 a bouleversé ces projets. Pour protéger nos frères et sœurs et respecter les directives gouvernementales, le Comité d’édition (un comité du Collège central) a interrompu la majorité des projets de construction dans le monde. Toutefois, durant l’année de service 2020, plus de 1 700 lieux de culte ont été construits ou rénovés avant la pandémie. De plus, une centaine de projets en rapport avec les activités des filiales ont été achevés. Voyons comment deux de ces projets ont été utiles à nos frères.

      La filiale du Cameroun. Les anciens bâtiments de la filiale, situés à Douala, étaient trop petits et nécessitaient de gros travaux de rénovation. Le Comité d’édition avait envisagé de rénover ces locaux, mais le coût des travaux aurait été supérieur à la valeur des bâtiments. Ils avaient aussi réfléchi à la possibilité d’acheter un nouveau terrain ou d’acheter et de rénover des bâtiments existants, mais aucune de ces options n’a été retenue.

      Dans le même temps, les frères ont appris qu’au nord de Douala, les autorités locales prévoyaient de construire une route près d’une de nos salles d’assemblées. Cette route permettrait d’accéder sans difficulté à la propriété et faciliterait le raccordement aux différents réseaux. C’était exactement ce dont la filiale avait besoin ! Le Collège central a donc approuvé la construction de nouveaux locaux sur une parcelle du terrain de la salle d’assemblées.

      Montage : 1. Des frères posent pour une photo en installant des parpaings. 2. Trois frères préparent le coulage de la dalle durant le chantier.

      Des frères et sœurs participent à la construction de la nouvelle filiale du Cameroun.

      Des Témoins et des entrepreneurs ont collaboré pour ce projet ; cette méthode a permis d’économiser du temps et de l’argent. En fait, le projet a coûté beaucoup moins cher que prévu : environ 1 700 000 euros ont été économisés. La famille du Béthel a pu s’installer dans les nouveaux bâtiments peu de temps avant le début de la pandémie.

      Une vue aérienne de la nouvelle filiale du Cameroun.

      Le chantier de la filiale du Cameroun a été terminé avant la pandémie de Covid-19.

      Les béthélites du Cameroun profitent maintenant d’une meilleure qualité de vie et de conditions de travail plus agréables ; ils considèrent leur nouvelle filiale comme un cadeau de Jéhovah. Un couple dit : « On a vraiment envie de travailler plus dur pour montrer qu’on apprécie ce cadeau à sa juste valeur. »

      Des frères et sœurs travaillent dans leurs nouveaux bureaux avant la pandémie.

      L’antenne de traduction en tojolabal (Mexique). Depuis de nombreuses années, l’équipe de traduction en tojolabal était située à la filiale d’Amérique centrale, près de Mexico. Toutefois, le tojolabal est principalement parlé à Altamirano et à Las Margaritas, deux villes situées à environ 1 000 kilomètres de la filiale. Les traducteurs avaient donc du mal à suivre l’évolution de cette langue. Et la filiale n’arrivait pas à trouver assez de frères et sœurs qualifiés à proximité pour venir traduire et faire des enregistrements en tojolabal.

      Une équipe de frères et sœurs aménagent les jardins de l’antenne de traduction.

      Des frères et sœurs participent au chantier de l’antenne de traduction.

      C’est pourquoi le Comité de rédaction (un comité du Collège central) a décidé de transférer l’équipe de traduction dans une région où on parle cette langue. Pour cela, la filiale a choisi d’acheter et de rénover un bâtiment, ce qui coûte moins cher que de construire ou de louer des bureaux.

      L’antenne de traduction en tojolabal, au Mexique.

      Un traducteur explique quels bienfaits il en a retirés : « Pendant dix ans où j’étais traducteur à la filiale, je n’ai jamais rencontré dans les environs une seule famille qui parlait ma langue. Aujourd’hui, notre antenne de traduction est située au cœur de la région où on parle le tojolabal. Je rencontre tous les jours des personnes qui parlent le tojolabal. Cela m’a permis d’enrichir mon vocabulaire et d’améliorer la qualité de mon travail. »

      L’antenne de traduction en tojolabal : avant et après les travaux de rénovation.

      Quels sont les projets pour l’année de service 2021 ?

      Pour l’année de service 2021, si la situation le permet, il est prévu de construire ou de rénover 75 antennes de traduction et centres d’écoles bibliques. Nous continuerons d’avancer sur huit projets importants concernant des filiales, comme le nouveau projet du siège mondial à Ramapo (État de New York), ainsi que le transfert des filiales d’Argentine et d’Italie. De plus, plus de 1 000 salles du Royaume sont nécessaires, 6 000 lieux de cultes sont inadaptés et doivent être remplacés, et 4 000 salles du Royaume doivent être rénovées.

      Montage : Les graphiques montrent combien de nouvelles salles du Royaume sont actuellement nécessaires et combien de lieux de réunion seront nécessaires à l’avenir pour faire face à l’accroissement. 1. Nouvelles salles du Royaume nécessaires : 1 179 ; lieux de réunion devant être remplacés : 1 367 ; salles du Royaume devant être remplacées : 4 672 ; total : 7 218. 2. Nombre annuel de projets de construction de salles du Royaume : 699 ; nombre annuel de projets de rénovation de salles du Royaume : 2 028.

      Comment tous ces projets sont-ils financés ? Frère Lázaro González, membre de la filiale d’Amérique centrale, a répondu à cette question alors qu’il parlait du projet d’antenne de traduction en tojolabal. Il a dit : « Dans le territoire de notre filiale, nous avons des ressources limitées. Alors sans l’aide de nos frères et sœurs du monde entier, il serait impossible de construire des antennes de traduction en langues indigènes. Grâce aux offrandes faites par nos frères et sœurs du monde entier, les traducteurs sont maintenant plus proches des communautés où on parle leur langue. Nous remercions sincèrement notre famille internationale pour sa générosité. » En effet, ces projets de construction sont rendus possibles grâce à vos offrandes pour l’œuvre mondiale, qui sont faites principalement sur le site donate.jw.org.

      a Les services locaux de développement-construction planifient et mettent en œuvre la construction de salles du Royaume dans le territoire de leur filiale. Le service mondial de développement-construction, situé au siège mondial, décide quels projets de construction doivent être réalisés en premier et ensuite il les planifie.

  • L’École de Galaad, une source de bienfaits à l’échelle internationale
    Comment vos dons sont utilisés
    • Frère Stephen Lett, membre du Collège central, donne un cours dans une salle de classe de l’École de Galaad.

      Des élèves en train de suivre un cours de l’École de Galaad en 2017.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      L’École de Galaad, une source de bienfaits à l’échelle internationale

      1er DÉCEMBRE 2020

      Chaque année, des serviteurs spéciaux à plein temps originaires des quatre coins du monde sont invités à assister aux cours de l’École biblique de Galaad, donnés au Centre d’enseignement des Témoins de Jéhovah, à Patterson (dans l’État de New York). À Galaad, les élèves apprennent à être plus efficaces dans les différentes attributions que leur confie l’organisation de Jéhovah. Cette formation les aide à fortifier les assemblées et les filiales du monde entier et à contribuer à leur stabilitéa.

      Galaad est vraiment une école à caractère international. Par exemple, sa 147e classe, tenue en 2019, comptait 56 élèves originaires de 29 pays. Les serviteurs spéciaux à plein temps invités à assister à ces cours sont des béthélites, des responsables de circonscription, des missionnaires ou des pionniers spéciaux.

      Les préparatifs pour accueillir une classe commencent longtemps avant le premier cours. Par exemple, le service des voyages du siège mondial achète les billets d’avion pour les élèves invités à cette école. Pour la 147e classe, le coût moyen de l’aller-retour pour chaque élève venu de l’étranger a été de 1 075 dollars américains. Des élèves des îles Salomon ont dû changer trois fois d’avion pour se rendre à Patterson et deux fois pour retourner chez eux. En tout, ils ont parcouru plus de 35 400 kilomètres ! Le coût des billets a été de 2 300 dollars américains par élève. Pour limiter les dépenses, le service des voyages se sert d’un logiciel de réservation de vols qui permet de trouver des billets à des prix raisonnables. Même après avoir réservé un billet, cet outil continue pendant des semaines, voire des mois, à chercher un billet moins cher. Toujours dans un souci d’économie quand il fait l’acquisition de billets, le service des voyages utilise également des bons d’achats et des miles reçus en dons.

      Pour entrer aux États-Unis, beaucoup d’élèves ont besoin d’un visa. C’est pourquoi le service juridique du siège mondial les aide à obtenir un visa étudiant. Les frais de dossier plus le prix du visa s’élèvent en moyenne à 510 dollars américains par élève.

      Quels bienfaits retirons-nous de la formation que ces élèves reçoivent ? Voici ce que dit Hendra Gunawan, ancien dans une assemblée d’Asie du Sud-Est qui a accueilli un couple de galaadites : « Avant leur arrivée, il n’y avait pas de pionniers permanents dans notre assemblée. Mais depuis, leur zèle et leur état d’esprit volontaire très communicatifs ont incité certains à entreprendre ce service. Par la suite également, une sœur de notre assemblée a même fait l’École pour évangélisateurs du Royaume ! »

      Sergio Panjaitan, qui collabore avec plusieurs diplômés de Galaad dans un Béthel d’Asie du Sud-Est, dit : « La formation qu’ils ont reçue n’est pas bénéfique qu’à eux-mêmes. C’est une source de bienfaits pour nous aussi. Ils ont appris tant de choses ! Mais plutôt que de s’en servir pour se mettre en avant, ils nous en font profiter généreusement. Ça crée une véritable réaction en chaîne, dans laquelle chacun encourage l’autre. »

      Comment les frais occasionnés par cette école sont-ils couverts ? Par des offrandes faites en faveur de l’œuvre mondiale. Beaucoup de ces offrandes sont effectuées au moyen de méthodes proposées sur le site donate.jw.org. Merci pour vos dons généreux qui permettent le financement de cette école de portée internationale !

      a Les cours donnés à cette école sont élaborés et mis à jour par le service des écoles théocratiques sous la direction du Comité pour l’enseignement, un des comités du Collège central des Témoins de Jéhovah. Ils sont donnés par des formateurs appartenant au service des écoles théocratiques, ainsi que par des formateurs invités, dont des membres du Collège central.

  • Comment le plus important des livres est-il produit ?
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un couple et leur bébé regardent leurs exemplaires personnels de la Traduction du monde nouveau, qui vient juste de paraître dans leur langue.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Comment le plus important des livres est-il produit ?

      1er JANVIER 2021

      « Ça fait 19 ans que je l’attendais ! » Qu’est-ce que notre frère attendait ? Les Écritures grecques chrétiennes. Traduction du monde nouveau dans sa langue, le bengali. Beaucoup de gens ont la même réaction quand la Traduction du monde nouveau paraît dans leur langue. Mais vous êtes-vous déjà demandé ce qu’impliquent la traduction et la production de ces Bibles ?

      Tout d’abord, une équipe de traduction est formée sous la direction du Comité de rédaction du Collège central. Combien de temps faut-il à une équipe pour traduire la Bible ? Nicholas Ahladis, du service mondial de la traduction à Warwick (New York), explique : « De nombreux facteurs entrent en ligne de compte : le nombre de traducteurs disponibles, la complexité de la langue, la connaissance qu’ont les lecteurs de la Bible, et les différences de vocabulaire d’une région à l’autre. En moyenne, une équipe met un à trois ans pour traduire les Écritures grecques chrétiennes et en général, quatre ans ou plus pour traduire la Bible dans son entier. Et la traduction en langues des signes nécessite encore plus de temps. »

      Il faut plus qu’une équipe de traduction pour traduire la Bible. L’avis de lecteurs extérieurs bénévoles est aussi sollicité. Ces relecteurs ont généralement des profils différents, et ils peuvent être originaires d’autres pays. Leurs remarques permettent aux traducteurs de produire une version de la Bible claire, exacte et naturelle. Un formateur à la traduction de la Bible en Afrique du Sud explique ce que les traducteurs ressentent : « Pour eux, traduire la Bible, c’est une lourde responsabilité vis-à-vis de Jéhovah et de ceux qui lisent sa Parole. »

      Quand la traduction est achevée, les bibles doivent être imprimées et reliées. Pour cela, les imprimeries utilisent au moins dix éléments : du papier, de l’encre, des matériaux de couvrure, de l’adhésif, des charnières, de la feuille d’argent, des rubans, des bandeaux, des renforts de dos et des matériaux de coiffe. En 2019, ces matériaux utilisés pour produire la Bible ont coûté plus de 20 millions de dollars américains (environ 16 400 000 euros). Cette même année, dans les imprimeries, nos volontaires ont consacré plus de 300 000 heures à produire et à expédier des bibles.

      « La Bible est le plus important des livres que nous produisons. »

      Pourquoi investissons-nous autant de temps et d’argent dans ces activités ? « La Bible est la plus importante de nos publications, » déclare Joel Blue, du service international pour l’impression. « C’est pourquoi nous voulons que son aspect glorifie le Dieu que nous servons et le message que nous prêchons. »

      En plus des versions standards de la Traduction du monde nouveau, nous produisons aussi des éditions pour les lecteurs ayant des besoins particuliers. Par exemple, la Traduction du monde nouveau en braille est disponible en dix langues. Pour une bible complète, l’embossage du braille peut prendre huit heures, et les nombreux volumes de cette Bible mis bout à bout font au moins 2,3 mètres de long. Nous produisons également une édition spéciale de la Bible pour les détenus, qui sont dans des prisons où seuls les livres à couverture souple sont autorisés.

      La Traduction du monde nouveau a des effets bénéfiques dans la vie de ses lecteurs. Par exemple, voici ce qui s’est passé dans l’assemblée de langue kiluba à Tombe, en République démocratique du Congo. Tombe est à plus de 1 700 kilomètres de la capitale. Non seulement les frères ne disposaient que d’une seule bible en kiluba, mais en plus, cet exemplaire était traduit dans un langage archaïque. Les frères qui avaient une participation aux réunions devaient donc se passer la bible pour se préparer. Mais, depuis août 2018, tout le monde dans l’assemblée peut avoir une traduction complète et en langage moderne de la Traduction du monde nouveau en kiluba.

      Une sœur, dont la langue maternelle est l’allemand, a dit à propos de l’édition révisée de la Traduction du monde nouveau : « Je ne me dis plus : “Il faut que je lise la Bible.” Au contraire, je me dis : “J’ai hâte de continuer ma lecture.” » Un détenu a écrit : « On m’a donné un exemplaire de la Traduction du monde nouveau, et ça a changé ma vie. Je n’ai jamais aussi bien compris la Parole de Dieu qu’avec cette traduction. Je voudrais en savoir plus sur les Témoins de Jéhovah et j’aimerais aussi savoir comment en devenir un. »

      Tous les lecteurs de La Bible. Traduction du monde nouveau sont reconnaissants pour les dons qui permettent de la produire. Pour soutenir cette œuvre mondiale, vous trouverez différents moyens de faire un don sur donate.jw.org. Nous vous remercions pour votre générosité.

  • L’aide apportée aux personnes touchées par des catastrophes
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des frères et sœurs reçoivent des sacs de nourriture.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      L’aide apportée aux personnes touchées par des catastrophes

      1er FÉVRIER 2021

      L’année 2020 a été marquée par de nombreuses catastrophes naturelles et par la pandémie mondiale du Covid-19. Comment les Témoins de Jéhovah se sont-ils mobilisés pour apporter leur aide ?

      Durant l’année de service 2020a, le Comité des coordinateurs du Collège central a donné son accord pour consacrer 28 millions de dollars américains (environ 23 millions d’euros) aux opérations de secours. Cet argent a permis d’aider des personnes touchées par plus de 200 catastrophes. Il y a eu notamment la pandémie du Covid-19, de multiples cyclones tropicaux, des inondations en Afrique, des pénuries alimentaires au Vénézuéla et la sécheresse au Zimbabwe. Les dons récoltés ont permis de fournir aux sinistrés nourriture, eau, logement, vêtements et soins médicaux, ainsi que du matériel d’entretien, de réparation et de reconstruction. Voici quelques exemples d’opérations de secours qui ont été organisées :

      Le Covid-19. Partout dans le monde, la pandémie a eu sur nos frères et sœurs des répercussions physiques, affectives et financières. Pour les aider, plus de 800 comités de secours ont été formés dans le monde entier. Ces comités ont évalué les besoins de nos frères et ensuite ils ont transmis au plus vite des rapports au Comité des coordinateurs pour qu’il puisse répondre au mieux à ces besoins.

      Tout au long de l’année, les comités de secours ont aidé de nombreuses personnes à obtenir de la nourriture, de l’eau, des produits d’hygiène et des médicaments. Dans certains endroits, ces comités ont aussi collaboré avec les anciens locaux pour aider les frères à recevoir des aides de l’État.

      Nos opérations de secours ne sont pas passées inaperçues auprès des non-Témoins. Par exemple, Field Simwinga, commissaire du district de Nakonde, en Zambie, a dit à nos frères : « Merci pour toute l’aide que vous avez apportée au bon moment aux familles sinistrées. On vous doit beaucoup. »

      Pénuries alimentaires en Angola. À cause de la pandémie du Covid-19, les réserves de nourriture en Angola ont diminué et les prix ont flambé. C’est donc devenu de plus en plus difficile pour beaucoup de nos frères et sœurs d’acheter de la nourriture.

      Une palette avec des produits de première nécessité, prête à être chargée dans un container.

      Des colis alimentaires ont été envoyés du Brésil en Angola.

      On a demandé à la filiale du Brésil d’envoyer des colis de nourriture à nos frères d’Angola. Pour faire le meilleur usage possible des dons, nos frères ont réalisé une étude de tarifs pour acheter et expédier de la nourriture au meilleur prix. Ils ont alors décidé d’acheter la nourriture en gros. Du coup pour seulement 22 dollars, les frères ont pu acheter et envoyer presque 20 kilos de nourriture par colis, notamment du riz, des haricots et de l’huile de cuisson. À ce jour, environ 33 544 colis ont été envoyés, ce qui représente un total de 654 tonnes. Ces denrées ainsi que celles offertes par les frères et sœurs locaux ont permis de nourrir plus de 50 000 personnes !

      Que pensent nos frères et sœurs locaux de ces opérations de secours ? Alexandre, qui vit dans une région isolée d’Angola, a dit : « Pour moi, c’est le signe que Jéhovah m’aime et que je ne suis pas seul. Je vois que l’organisation de Jéhovah prend soin de moi. » Mariza, une mère célibataire, a dit : « Dieu a entendu mes prières. Merci à Jéhovah et merci à son organisation ! »

      Montage photo : 1. Un frère porte sur sa tête un carton rempli de produits de première nécessité. 2. Une sœur, avec son enfant dans le dos, porte sur sa tête un gros sac de nourriture. 3. Une sœur dans un fauteuil roulant, à côté d’un sac rempli de produits de première nécessité.

      Des frères et sœurs en Angola heureux d’avoir leur colis.

      La sécheresse au Zimbabwe. Durant l’année de service 2020, le Zimbabwe a connu une forte sécheresse, et des millions de gens ont souffert d’une famine terrible. Des milliers de Témoins au Zimbabwe n’ont pas mangé à leur faim.

      Cinq comités de secours ont été formés pour fournir de la nourriture à nos frères. Des centaines de proclamateurs ont apporté leur aide pour préparer les sacs de nourriture et les charger. Certains ont aussi prêté leur véhiculeb. Durant l’année de service 2020, 691 561 dollars (environ 570 000 euros) ont été dépensés pour nourrir plus de 22 700 personnes !

      Montage photo : 1. Des frères et sœurs sont heureux d’avoir reçu des dons alimentaires. 2. Des frères et sœurs à l’extérieur d’une salle du Royaume avec des sacs de nourriture devant eux.

      Des frères et sœurs au Zimbabwe avec leurs dons de nourriture.

      Certaines familles avaient épuisé toute leur réserve de nourriture quand les secours sont arrivés. Nos frères ont alors remercié Jéhovah. Et il y en a même qui se sont mis à chanter des cantiques.

      Dans une région, deux sœurs veuves ont participé à une réunion d’information animée par une organisation non gouvernementale qui proposait à la communauté une aide alimentaire. Mais la réunion a pris une tournure politique : pour recevoir l’aide alimentaire, les sœurs devaient se soumettre à certaines conditions qui n’étaient pas acceptables pour des chrétiens. Elles ont donc refusé. Alors qu’elles quittaient la réunion, les gens se sont moqués d’elles et ils leur ont dit : « Ne revenez surtout pas nous réclamer de la nourriture ! » Mais seulement deux semaines plus tard, les frères sont venus apporter à nos sœurs des denrées alimentaires, bien avant que les équipes de l’ONG arrivent !

      Prisca est assise sur des sacs de nourriture à l’extérieur de chez elle et elle sourit.

      Prisca : « Jéhovah n’a jamais abandonné ses serviteurs. »

      Les opérations de secours ont aussi rendu un beau témoignage. Par exemple, voyons ce qu’a vécu Prisca, qui vit dans un petit village. Malgré les difficultés qu’elle a rencontrées à cause de la sécheresse, elle consacrait chaque mercredi et vendredi à la prédication, même pendant la saison des labours. Des gens de son village se moquaient d’elle, ils lui disaient : « Tu ferais mieux de travailler au lieu de prêcher. À cause de toi, ta famille va mourir de faim ! » Prisca leur répondait : « Jéhovah n’a jamais abandonné ses serviteurs. » Peu après, grâce aux opérations de secours, elle a reçu des produits de première nécessité. Certains de ses voisins ont tellement été surpris qu’ils lui ont dit : « Dieu ne t’a jamais abandonnée. Ça nous donne envie d’en savoir plus sur lui. » Sept de ses voisins écoutent maintenant les réunions qui sont diffusées à la radio.

      Plus nous approcherons de la fin, plus nous affronterons des catastrophes naturelles (Matthieu 24:3, 7). Nous vous sommes très reconnaissants pour toutes les offrandes que vous faites avec générosité sur le site donate.jw.org. Vos dons permettent d’organiser des opérations de secours au bon moment.

      a L’année de service 2020 correspond à la période allant de septembre 2019 à août 2020.

      b À cause des restrictions liées à la pandémie du Covid-19, nos frères ont dû obtenir des autorisations pour acheminer les denrées alimentaires. Ils ont aussi pris toutes les précautions nécessaires pour se protéger du virus.

  • Des antennes de traduction utiles à des millions de personnes
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une équipe de traduction traduit une publication.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des antennes de traduction utiles à des millions de personnes

      1er MARS 2021

      Plus de 60 % de nos équipes de traduction à plein temps travaillent, non pas dans des Béthels, mais dans des antennes de traduction (ADT). En quoi cette disposition est-elle utile ? De quel matériel les traducteurs ont-ils besoin pour travailler efficacement dans une ADT ? Comment la localisation d’une équipe de traduction influence-t-elle la qualité de leur traduction ?

      Une ADT permet aux traducteurs de vivre là où beaucoup de gens parlent leur langue. Karin, une sœur qui traduit en bas allemand, explique : « Depuis que l’ADT a déménagé à Cuauhtémoc, dans l’État de Chihuahua, au Mexique, on parle tout le temps bas allemand : avec les autres traducteurs, en prédication, mais aussi quand on fait les courses. On est entourés de personnes qui parlent cette langue. On entend des expressions idiomatiques qu’on n’avait pas entendues depuis longtemps, et ça nous permet de suivre l’évolution de la langue. »

      James, qui travaille dans l’équipe de traduction en frafra, au Ghana, reconnaît que parfois cela lui manque de ne plus passer de temps avec les frères et sœurs du Béthel. Mais il ajoute : « J’aime beaucoup travailler à l’ADT. Ça me touche de prêcher aux gens du territoire et de voir leurs réactions quand ils entendent la bonne nouvelle dans leur langue. »

      Comment les frères décident-ils où sera installée une ADT ? Joseph, membre du service mondial de développement-construction à Warwick (dans l’État de New York, aux États Unis), déclare : « Une des difficultés que nous rencontrons, c’est qu’à certains endroits, les coupures d’électricité et d’eau sont fréquentes, ou alors c’est le débit Internet qui est trop faible pour recevoir les fichiers à traduire. Donc quand on décide de mettre en place une ADT, on réfléchit à plusieurs endroits où est parlée la langue. »

      En général, l’option la plus rapide et la moins chère, c’est d’installer une ADT dans une salle d’assemblée, dans une salle du Royaume ou dans une maison de missionnaires où les traducteurs peuvent venir facilement. Si aucun de ces lieux n’est disponible, les frères peuvent demander à acheter des appartements et des bureaux dans lesquels les traducteurs pourront vivre et travailler. Si les besoins de l’équipe de traduction sont amenés à changer, on peut facilement vendre ces locaux et utiliser l’argent pour combler d’autres besoins.

      Bien équipés pour continuer à traduire

      Au cours de l’année de service 2020, nous avons dépensé près de onze millions d’euros pour faire fonctionner les ADT. Les équipes qui travaillent dans des ADT ont besoin d’ordinateurs, de logiciels spécialisés, de matériel d’enregistrement, d’un accès Internet et d’autres fournitures. Par exemple, un ordinateur prêt à l’emploi coûte environ 600 euros. Les ordinateurs sont équipés de logiciels commerciaux et du Watchtower Translation System, un programme qui aide les traducteurs à organiser leur travail et à avoir facilement accès à des outils de référence.

      Les traducteurs ont aussi reçu un kit d’enregistrement qui leur permet d’enregistrer depuis leur bureau. Ces kits ont été particulièrement utiles quand la pandémie du Covid-19 a commencé. En effet, les traducteurs ont pu ramener ces kits chez eux et ainsi continuer d’assurer l’enregistrement des matières écrites et vidéo.

      Sur place, des volontaires offrent leur aide en relisant les publications traduites et en entretenant les locaux de l’ADT. « De nombreux proclamateurs et pionniers permanents ont l’occasion d’apporter leur aide ici », dit Cirstin qui sert à l’ADT en afrikaans au Cap, en Afrique du Sud.

      Ces volontaires aiment beaucoup venir. Pour une de nos sœurs, aider dans une ADT, c’est « une vraie bouffée d’oxygène ». Certains frères et sœurs locaux prêtent aussi leurs voix pour des enregistrements audio. Juana, traductrice à l’ADT en totonaque, dans l’État de Veracruz, au Mexique, dit : « Maintenant qu’on est plus près de villes où on parle notre langue, c’est plus facile d’utiliser des frères et sœurs pour enregistrer des publications audio et vidéo. »

      Mais les ADT ont-elles permis d’améliorer la qualité de la traduction ? Des millions de nos lecteurs pensent que oui. Cédric sert dans l’équipe de traduction en kongo, une des langues parlées en République démocratique du Congo. Il raconte : « Certains frères et sœurs avaient l’habitude d’appeler notre façon de traduire le kongo, “le kongo des publications”, parce que ça ne correspondait pas à la façon dont les gens parlaient cette langue. Mais maintenant, ils disent que nos publications sont traduites en kongo moderne, le kongo que les gens parlent tous les jours. »

      Andile, qui fait partie de l’équipe de traduction en xhosa, a remarqué la même chose en Afrique du Sud. Il dit : « Beaucoup nous disent qu’ils ont constaté un changement dans la traduction. Même les enfants qui lisaient La Tour de Garde en anglais avant la lisent maintenant en xhosa. Ils aiment particulièrement le naturel de la version révisée de la Traduction du monde nouveau. »

      Toutes les dépenses qui sont liées à l’installation et à la maintenance des ADT, ainsi qu’aux volontaires qui y servent, sont financées par des offrandes volontaires effectuées en faveur de l’œuvre mondiale, notamment celles qui sont faites sur donate.jw.org.

  • Une chaîne par satellite JW atteint des régions où Internet ne passe pas
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des frères à vélo sur une piste transportent du matériel de réception satellite vers leur assemblée.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Une chaîne par satellite JW atteint des régions où Internet ne passe pas

      1er AVRIL 2021

      Chaque mois, nous attendons avec impatience les émissions et les vidéos spirituelles publiées sur JW Télédiffusion. Mais beaucoup de nos frères et sœurs d’Afrique n’ont pas accès à ces émissions par Internet. Pourquoi ?

      Une grande partie de l’Afrique est mal desservie par Internet. Là où l’accès au réseau est possible, il est souvent lent ou très cher. Un jour, par exemple, pour le téléchargement d’une seule émission mensuelle de JW Télédiffusion dans un cybercafé, un responsable de circonscription à Madagascar a payé l’équivalent de 14 euros (16 dollarsa). C’est plus que le salaire d’une semaine pour certaines personnes !

      Malgré ces obstacles, des millions d’Africains bénéficient à présent de JW Télédiffusion sans passer par Internet. Comment font-ils ?

      Depuis 2017, JW Télédiffusion est proposé aux habitants d’Afrique subsaharienne via une chaîne de télévision par satellite. Cette chaîne émet gratuitement, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, en 16 langues.

      Des frères du Mozambique installent un récepteur de chaîne par satellite JW sur leur salle du Royaume (2018).

      Pour arriver à ce résultat, les Témoins de Jéhovah ont un contrat avec un service de télédiffusion qui transmet du contenu par satellite. Le satellite employé dessert 35 pays d’Afrique subsaharienne. Le contrat coûte plus de 12 000 dollars (plus de 10 000 euros) par mois. De temps en temps, les Témoins paient un supplément pour diffuser des émissions en direct sur une autre chaîne. Cela permet à des milliers de personnes de regarder les assemblées régionales ou des programmes organisés à l’occasion de visites de filiale.

      Un groupe de constructeurs (LDC) regarde la chaîne par satellite JW (2018).

      Beaucoup de personnes, dont des non-Témoins, regardent la chaîne par satellite JW sur leur poste de télévision. Cependant, un certain nombre de nos frères et sœurs n’ont pas les moyens d’acheter le matériel de réception nécessaire. On a donc équipé plus de 3 670 salles du Royaume afin que les frères et sœurs puissent y suivre les émissions de JW Télédiffusion. L’équipement, livraison comprise, coûte 70 dollars (60 euros) si la salle a déjà un téléviseur ou un projecteur. Sinon, le prix peut s’élever à 530 dollars (450 euros).

      Nos frères et sœurs sont enchantés de cette chaîne. Un ancien du Cameroun s’exclame : « C’est comme la manne au milieu du désert pour notre famille. » Odebode, un frère du Nigéria, explique : « Nous regardons cette chaîne en famille trois fois par semaine. Mes enfants ont toujours hâte que ces moments arrivent. Ils nous demandent même de passer sur la chaîne JW à d’autres moments. » Rose, également du Nigéria, avoue : « Je suis contente de dire que la chaîne JW a remplacé mon addiction aux chaînes d’actualités. Quand je regardais les actualités, je m’énervais facilement contre ce que je voyais et ça faisait monter ma tension. Mais JW Télédiffusion est tellement constructive et apaisante ! C’est ma chaîne préférée. C’est un énorme cadeau de Jéhovah. »

      Une famille du Malawi regarde une vidéo pour enfants sur notre chaîne par satellite.

      Un responsable de circonscription du Mozambique raconte que dans sa circonscription, les salles du Royaume ont été équipées de matériel de réception de cette chaîne par satellite. Les frères et sœurs de cette circonscription arrivent aux réunions une heure ou plus à l’avance pour regarder JW Télédiffusion via le satellite.

      Des frères et sœurs profitent de la compagnie les uns des autres devant une salle du Royaume.

      Une assemblée locale d’Éthiopie profite de l’émission mensuelle JW Télédiffusion sans passer par Internet (2018).

      Lors de l’assemblée internationale 2019 de Johannesbourg (Afrique du Sud), la chaîne a été utilisée pour transmettre les discours principaux, dont ceux d’un membre du Collège central, vers neuf autres lieux. Sphumelele, du service de la télédiffusion de la filiale sud-africaine, raconte : « Avant, il aurait fallu retransmettre les discours par Internet. Mais cela demande d’avoir une connexion stable et de payer des frais de données. La chaîne par satellite JW était moins chère et plus fiable. »

      Grâce à vos dons généreux en faveur de notre œuvre mondiale, de nombreux frères et sœurs d’Afrique peuvent regarder JW Télédiffusion par satellite. Nous apprécions énormément les offrandes que vous effectuez par différents moyens sur donate.jw.org.

      La chaîne par satellite JW et la box JW

      La chaîne par satellite JW diffuse des vidéos que l’on peut regarder sur une télévision reliée à une parabole. La box JW permet aux frères et sœurs de télécharger des publications et des vidéos sur leurs appareils mobiles.

      Si les frères et sœurs peuvent télécharger des vidéos à l’aide de la box JW, pourquoi faut-il une chaîne par satellite ? Dans de nombreux endroits, étant donné que l’accès à Internet est limité ou cher, il peut être difficile de charger du nouveau contenu dans la box JW. C’est pourquoi les filiales envoient aux salles du Royaume des clés USB contenant les dernières parutions. Mais cela prend du temps. La chaîne par satellite JW permet aux frères de regarder les émissions de JW Télédiffusion le lendemain de leur parution, qu’ils aient un smartphone ou non. Elle leur permet aussi de regarder des évènements théocratiques exceptionnels en direct.

      a Dans cet article, les montants exprimés en dollars le sont en dollars américains.

  • La défense de la liberté religieuse dans les communautés indigènes
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une famille de Témoins indigènes et des frères de la filiale d’Amérique centrale devant le bâtiment de la Cour suprême à Mexico.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      La défense de la liberté religieuse dans les communautés indigènes

      1er MAI 2021

      Parmi les centaines de millions d’habitants d’Amérique latine, il y en a des millions qui ont leur propre langue et leurs propres coutumes indigènes. Beaucoup d’entre eux sont nos frères et sœurs dans la foi, et ils apprécient leur héritage culturel. Pour aider les gens à connaître les vérités bibliques, ils traduisent et distribuent des publications dans plus de 130 langues indigènes parlées en Amérique latinea. Malgré tout, certains de nos frères et sœurs rencontrent de l’opposition, parce qu’ils choisissent de servir Jéhovah et refusent de participer à des coutumes contraires à la Bible, qui sont courantes dans leurs communautés. Comment vos dons ont-ils été utilisés pour les aider ?

      De l’aide pour rentrer chez eux

      Au Mexique, nos frères et sœurs de la communauté huicholb, dans les montagnes du Jalisco, ont respectueusement refusé de participer à des rites religieux qui violaient leur conscience. Mais cela a provoqué la colère de certains dans la communauté. Le 4 décembre 2017, une foule a attaqué un groupe de Témoins et d’autres personnes qui se trouvaient avec eux. Ils ont été expulsés de la communauté, leurs biens et leurs maisons ont été saccagés et ils ont été menacés de mort s’ils revenaient.

      Les Témoins des villes voisines ont pourvu aux besoins les plus urgents de nos frères et sœurs. Mais qu’est-ce qui pouvait être fait pour qu’ils puissent rentrer chez eux ? « Nous n’avions pas les moyens d’engager un avocat, explique un frère nommé Agustín, et nous ne savions pas vers qui nous tourner pour avoir des conseils juridiques. »

      Comme la liberté de culte de nos frères et sœurs était attaquée, la filiale d’Amérique centrale a pris des mesures immédiates. Tout d’abord, ils ont demandé aux autorités locales de mener une enquête. Ensuite, ils ont reçu l’accord du Collège central (Comité des coordinateurs) de collaborer avec le service juridique du siège mondial pour intenter un procès au nom de nos frères et sœurs huichol. L’affaire a finalement été portée devant la Cour suprême de justice de la nation, la plus haute instance mexicaine.

      Une équipe internationale d’avocats a préparé une plaidoirie, dans laquelle ils expliquaient que, tout comme la culture des communautés indigènes doit être respectée, les communautés elles-mêmes doivent respecter et protéger les libertés de chacun de leurs membres. Les droits de l’homme n’ont pas de frontières.

      Le 8 juillet 2020, la Cour suprême de justice a tranché à l’unanimité en faveur des Témoins de Jéhovah. Elle a ordonné que tous ceux qui avaient été expulsés soient autorisés à retourner dans leur communauté. Agustín, cité plus haut, a exprimé la gratitude que lui et d’autres ressentent : « Nous sommes tellement reconnaissants et heureux de ce que les frères ont fait pour nous ! S’ils ne nous avaient pas aidés, nous n’aurions rien pu faire. »

      « Autant pour si peu de personnes »

      Nos frères de San Juan de Ilumán, un village d’Équateur situé dans la vallée d’Otavalo, où vit une importante communauté indigène, ont rencontré le même genre d’opposition. En 2014, après avoir obtenu tous les permis nécessaires, ils ont débuté la construction d’une salle du Royaume. Mais une foule de plus de 100 personnes menée par un prêtre a forcé les Témoins à stopper la construction. La communauté leur a aussi ordonné d’arrêter de se réunir pour le culte.

      Les services juridiques de la filiale d’Équateur et du siège mondial ont collaboré pour défendre nos frères face à cette violation de leur liberté de culte. Nos frères ont porté l’affaire devant les tribunaux. La communauté a alors cessé de s’opposer aux frères et leur a permis de se réunir de nouveau et d’achever la construction de leur salle du Royaume. Mais pour protéger les droits de nos frères dans l’avenir, nos avocats ont demandé aux juridictions supérieures de se prononcer sur une question fondamentale : Les communautés indigènes doivent-elles respecter le droit international relatif aux droits de l’homme ?

      Le 16 juillet 2020, la Cour constitutionnelle d’Équateur, la plus haute juridiction du pays, a été saisie. Des frères qui sont avocats en Équateur ont représenté l’assemblée locale. De plus, quatre frères avocats expérimentés en droit international se sont adressés à la Cour. En raison des restrictions dues à la pandémie de Covid-19, ils se sont exprimés depuis plusieurs pays par visioconférence. C’est la première fois qu’un tribunal autorise une équipe juridique qui représente les Témoins de Jéhovah au niveau mondial à présenter leurs arguments de cette manièrec. L’équipe a cité la jurisprudence internationale pour confirmer qu’une personne qui fait partie d’une communauté indigène n’a pas à renoncer à ses droits individuels.

      Une équipe internationale d’avocats a défendu les droits de nos frères et sœurs par visioconférence.

      Nos frères et sœurs de la vallée d’Otavalo attendent avec impatience la décision de la Cour constitutionnelle. Ils sont vraiment touchés par l’aide qu’ils ont reçue. César, ancien dans l’assemblée quechua d’Ilumán, fait ce commentaire : « Il n’y a que Jéhovah, par son organisation, qui en fait autant pour si peu de personnes. »

      Les avocats qui se sont occupés de l’affaire sont tous Témoins de Jéhovah, et ils sont heureux de faire profiter de leur expertise gratuitement. Toutefois, instruire et préparer ces procès ainsi que plaider devant la Cour a exigé du temps et de l’argent. Pour le procès au Mexique, nos avocats et d’autres frères ont passé plus de 380 heures à se préparer et environ 240 heures à traduire des documents. Près de 40 avocats issus de différents pays ont passé des centaines d’heures à travailler sur le procès en Équateur. Comment ces dépenses liées à la défense de nos frères et sœurs ont-elles été couvertes ? Par les offrandes que vous avez faites en suivant les différentes méthodes proposées sur le site donate.jw.org. Merci pour votre générosité !

      a Les Témoins de Jéhovah traduisent aussi des publications dans de nombreuses langues d’Amérique latine d’influence indo-européenne et dans plusieurs langues des signes propres à cette région.

      b Les Huichol sont également connus sous le nom de Wixáritari. Ils parlent le huichol (ou wixárika).

      c Même si notre organisation mondiale n’était pas une des parties dans l’affaire, les juges ont permis à nos frères de s’adresser à la Cour en tant qu’amicus curiae, « ami de la cour ».

  • Des missionnaires « jusque dans la région la plus lointaine de la terre »
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un couple de missionnaires prêche de maison en maison avec un autre couple.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des missionnaires « jusque dans la région la plus lointaine de la terre »

      1er JUIN 2021

      Jésus a dit à ses disciples : « Vous serez mes témoins [...] jusque dans la région la plus lointaine de la terre » (Actes 1:8). Aujourd’hui, les Témoins de Jéhovah s’acquittent avec zèle de cette mission. Cependant, il y a des régions dans le monde, notamment de vastes zones très peuplées, qui n’ont pas encore été pleinement parcourues. Et certains pays ne comptent que peu de Témoins (Matthieu 9:37, 38). Que faisons-nous pour toucher le plus de personnes possible ?

      Pour obéir au commandement de Jésus, le Collège central des Témoins de Jéhovah (Comité pour le service) nomme des missionnaires pour servir dans des régions du monde qui ont besoin d’être prêchées. Actuellement, il y a en tout 3 090 missionnairesa. La plupart d’entre eux ont été formés à une école biblique, comme l’École pour évangélisateurs du Royaume. Ils sont disposés à partir de chez eux pour s’installer dans un pays étranger. Grâce à leur maturité, à leur formation et à leur expérience, ces missionnaires fidèles contribuent à répandre la bonne nouvelle et laissent un excellent exemple pour les nouveaux disciples.

      Une sœur missionnaire étudie la Bible avec une femme.

      Les missionnaires annoncent la bonne nouvelle dans des régions où on a besoin de renfort.

      Aider les missionnaires à aider les autres

      Dans chaque filiale, le bureau des serviteurs affectés dans le territoire (département pour le service) collabore avec le Comité de la filiale pour répondre aux besoins des missionnaires, comme les frais liés au logement et aux soins médicaux, ainsi qu’une petite allocation pour leurs dépenses de tous les jours. Pendant l’année de service 2020, les Témoins de Jéhovah ont dépensé environ 27 millions de dollars américains (22 millions d’euros) pour prendre soin des missionnaires. Grâce à ces dispositions, les missionnaires peuvent concentrer toute leur attention et leur énergie sur leur ministère et sur l’aide apportée à leur assemblée.

      Un frère missionnaire interroge une sœur lors d’une réunion de l’assemblée.

      Les missionnaires contribuent à fortifier les assemblées.

      Quel effet les missionnaires ont-ils eu sur la prédication ? Frank Madsen, membre du Comité de la filiale du Malawi, dit : « Grâce à leur courage et à leur expérience, les missionnaires aident les assemblées à commencer à parcourir des territoires difficiles, par exemple des résidences sécurisées ou des territoires en langue étrangère. De plus, les efforts qu’ils font pour apprendre la langue et la culture du pays donnent un bon exemple aux autres, et ils ont une influence positive sur le regard que portent les jeunes sur le service à plein temps. Nous remercions Jéhovah pour ces missionnaires. »

      Un membre d’un comité de filiale d’un autre pays dit : « Les missionnaires sont la preuve que le peuple de Jéhovah est uni dans le monde entier. Même les non-Témoins constatent que les cultures ne nous divisent pas, mais que les enseignements de la Bible nous aident à être unis. »

      Comment les missionnaires aident-ils les proclamateurs ? Paulo, du Timor oriental, apprécie beaucoup d’avoir un couple de missionnaires dans son assemblée. Il explique : « Ici, il fait très très chaud. Mais même si les missionnaires viennent d’un pays froid, ils ne laissent pas la météo les empêcher de prêcher. Ils sont toujours présents aux réunions pour la prédication du matin. Je les vois souvent faire des nouvelles visites en milieu de journée, quand il fait très chaud, et aussi le soir. Ils ont aidé de nombreuses personnes à connaître la vérité, et j’en fais partie. Avec zèle et enthousiasme, ils consacrent leur vie à servir Jéhovah, et ça pousse toute l’assemblée à le servir plus pleinement. »

      Ketti, pionnière permanente au Malawi, raconte comment un couple de missionnaires a aidé sa famille : « Quand ils ont été envoyés dans notre assemblée, j’étais la seule Témoin de ma famille. Mais ils m’ont beaucoup aidée, et ils sont devenus proches de notre famille. Leur bel exemple a aidé mes enfants à voir que, quand on sert Jéhovah, on a une vie heureuse et enrichissante. Grâce à leur belle influence, mes trois filles sont aujourd’hui pionnières permanentes et mon mari a commencé à assister aux réunions. »

      Comment les frais liés aux missionnaires sont-ils couverts ? Grâce à des offrandes volontaires effectuées en faveur de l’œuvre mondiale. Nombre d’entre elles se font en ligne sur donate.jw.org. Votre générosité est très appréciée !

      a Ces missionnaires sont envoyés dans des assemblées où il y a besoin de prédicateurs. De plus, 1 001 autres missionnaires sont dans le service itinérant.

  • Opérations de secours mondiales pour faire face à la pandémie
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des frères apportent des provisions de nourriture à une maman et à sa petite fille.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Opérations de secours mondiales pour faire face à la pandémie

      1er JUILLET 2021

      En mars 2020, l’Organisation mondiale de la santé a déclaré que la Covid-19 constituait une pandémie. Beaucoup ne s’étaient pas imaginé que ce virus bouleverserait toujours le monde plus d’un an après. Des millions de gens, y compris des Témoins de Jéhovah, doivent faire face aux conséquences physiques, psychologiques et financières de cette pandémie. Quelles opérations de secours les Témoins de Jéhovah ont-ils mises en place pendant cette crise ?

      Du secours au bon moment

      Sous la direction du Comité des coordinateurs du Collège central des Témoins de Jéhovah, plus de 950 comités de secours (DRC) ont été constitués à travers le monde pour faire face à la Covid-19. Certains de nos frères et sœurs ont pu recevoir l’aide de comités locaux, et d’autres ont bénéficié d’aides gouvernementales. Les DRC ont aussi organisé des opérations de secours de grande envergure.

      Considérons par exemple le cas du Paraguay. Un journal a rapporté qu’en raison de l’impact économique de la pandémie, « un grand nombre de Paraguayens n’ont pas de quoi se nourrir ». Mais les DRC mis en place dans ce pays ont déjà commencé à distribuer des kits de secours contenant assez de provisions (nourriture, produits d’entretien et d’hygiène) pour deux semaines pour une famille de quatre. Chaque kit a une valeur d’environ 25 euros.

      Que font les volontaires aux opérations de secours pour se protéger et protéger les autres du virus de la Covid-19 ? Ils portent des masques et respectent la distanciation physique. Ils vérifient aussi que les entreprises qui les fournissent en nourriture utilisent des locaux propres et prennent des précautions sanitaires strictes. Par exemple, tous ceux qui manipulent les kits doivent porter un équipement de protection individuel, nettoyer et désinfecter leurs véhicules, et désinfecter les surfaces sur lesquelles ils entreposent les kits. Enfin, ceux qui livrent les kits gardent une distanciation physique avec les frères et sœurs chez qui ils vont.

      Des dons utilisés avec sagesse

      Depuis janvier 2021, le Comité des coordinateurs a donné son accord pour consacrer environ 21 millions d’euros aux opérations de secours liées à la Covid-19. Les filiales et les DRC utilisent les dons du mieux possible et se donnent du mal afin d’obtenir les meilleurs prix pour les articles de première nécessité. Au Chili, par exemple, les frères qui organisent les opérations de secours voulaient acheter 750 kilogrammes de lentilles. Mais le prix des lentilles a doublé en à peine un mois ! Malgré cela, ils ont décidé d’acheter les lentilles au prix fort. Deux heures après avoir conclu l’affaire, le fournisseur les a informés qu’un autre acheteur venait juste de retourner sa commande de lentilles. Alors, au lieu de facturer aux frères la commande au prix fort comme convenu, le fournisseur leur a revendu les lentilles de l’autre acheteur au prix du mois précédent.

      Mais quand nos frères sont venus récupérer les lentilles, le fournisseur a essayé d’annuler la vente en les accusant de faire du favoritisme dans la distribution de la nourriture, comme c’est le cas d’autres organisations. Après une courte prière silencieuse, un des frères a expliqué au fournisseur que chaque assemblée avait déjà évalué les besoins réels de ses membres. Les frères ont aussi expliqué qu’en raison des origines culturelles variées des destinataires, chaque kit de secours serait personnalisé et contiendrait les produits que les familles utilisent le plus. Enfin, ils ont informé le fournisseur que c’est volontairement que les Témoins de Jéhovah font des dons d’argent et qu’ils apportent leur aide. Cela l’a impressionné ! Il a accepté de baisser le prix de vente et il a aussi offert 400 kilogrammes de lentilles sur la prochaine commande des frères.

      « Une preuve d’amour authentique »

      Lusu, une sœur veuve âgée du Libéria, vit avec cinq membres de sa famille. Un matin, alors qu’ils prenaient le petit-déjeuner et étudiaient le texte du jour, le petit-fils de Lusu, âgé de sept ans, s’est rendu compte qu’ils avaient mangé toute la nourriture qu’il leur restait. Il a demandé : « Qu’est-ce qu’on va manger ? » Lusu lui a répondu qu’elle avait déjà prié à ce sujet et qu’elle était sûre que Jéhovah leur donnerait ce dont ils avaient besoin. L’après-midi même, les anciens de l’assemblée ont appelé Lusu pour lui dire de venir récupérer des provisions alimentaires. Elle raconte ce que son petit-fils lui a dit : « Maintenant, je sais que Jéhovah entend les prières et y répond puisqu’il a répondu à la tienne. »

      Dessins que des enfants congolais ont faits pour remercier les frères pour les provisions de nourriture.

      En République démocratique du Congo, une femme qui habite à côté d’une famille de Témoins a remarqué que leurs coreligionnaires leur apportaient de la nourriture. Elle a dit à son mari : « Après la pandémie, on deviendra Témoins de Jéhovah, parce qu’ils ont pris soin de leurs frères et sœurs pendant cette période difficile. » Il lui a demandé : « Tu vas vraiment devenir Témoin de Jéhovah pour un sac de riz ? » Elle a répondu : « Bien sûr que non, mais ce sac de riz est une preuve d’amour authentique. »

      Si les Témoins de Jéhovah peuvent répondre rapidement aux besoins de leurs frères et sœurs pendant cette pandémie, c’est grâce aux dons que vous faites généreusement. Nous vous remercions d’avoir suivi les différentes méthodes proposées sur le site donate.jw.org pour faire vos dons.

  • L’assemblée régionale diffusée sur les ondes
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des frères et sœurs suivent l’assemblée régionale à la radio.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      L’assemblée régionale diffusée sur les ondes

      1er AOÛT 2021

      L’assemblée régionale 2020 a été historique : C’était la première fois que le programme de l’assemblée était préenregistré et disponible sur Internet pour les frères et sœurs du monde entier ! Mais au Malawi et au Mozambique, la plupart de nos frères et sœurs ont assisté à l’assemblée sans passer par Internet. Comment ont-ils fait ?

      Deux comités du Collège central (le Comité des coordinateurs et le Comité pour l’enseignement) ont donné leur accord pour qu’au Malawi et au Mozambique, le programme de l’assemblée soit exceptionnellement diffusé à la télévision et à la radio. Pourquoi faire une telle exception ? Au Malawi, l’accès à Internet est l’un des plus chers du monde, ce qui fait que très peu de Témoins peuvent avoir accès à Internet. C’est ce qu’explique William Chumbi, membre du Comité de la filiale du Malawi : « Les seuls moyens de donner cette nourriture spirituelle aux frères et sœurs étaient la radio et la télévision. » Luka Sibeko, lui aussi membre du Comité de la filiale du Malawi, ajoute : « La majorité des frères du territoire supervisé par notre filiale n’auraient pas pu suivre l’assemblée si elle n’avait pas été retransmise à la télévision ou à la radio. » Et au Mozambique, peu de frères auraient eu les moyens d’acheter les appareils électroniques nécessaires, sans même parler du prix de l’accès à Internet.

      Les préparatifs

      En raison de la pandémie de Covid-19, des chaînes de télévision et des stations de radio diffusaient déjà nos réunions hebdomadairesa. Nos frères ont donc demandé à ces stations un temps d’antenne supplémentaire pour diffuser l’assemblée régionale.

      Au Malawi, nos frères ont rencontré une difficulté. En général, les chaînes de télévision et les stations de radio limitent le temps d’antenne à une heure, parce qu’elles ont peur que les gens se lassent si le programme est trop long. Mais nos frères ont expliqué que notre œuvre constitue un service public. Même pendant le confinement, nous donnons aux gens de bonnes nouvelles réconfortantes tirées de la Bible, et cela les aide à être de bons citoyens et à avoir une vie de famille heureuse. Cela les a rassurées, et nous avons donc pu obtenir du temps d’antenne supplémentaire.

      Au Malawi, l’assemblée régionale a été diffusée par une chaîne de télévision et par une station de radio, toutes deux accessibles à des millions de personnes dans l’ensemble du pays. Au Mozambique, l’assemblée régionale a été diffusée par une chaîne de télévision et par 85 stations de radio.

      Dans ces deux pays, on a dépensé un total de 28 227 dollarsb (presque 24 000 euros) pour diffuser l’assemblée régionale à la télévision et environ 20 000 dollars (presque 17 000 euros) pour la diffuser à la radio. Les coûts de diffusion à la radio allaient de 15 dollars (12 euros) pour une station de radio locale à 2 777 dollars (2 355 euros) pour une station nationale.

      Nos frères se sont efforcés de bien utiliser les offrandes. Au Malawi, par exemple, ils ont pu négocier des tarifs plus intéressants, entre autres une réduction de 30 %, ce qui a permis d’économiser en tout 1 711 dollars (1 451 euros). Au Mozambique, certaines stations de radio ont accepté de baisser leurs tarifs parce que les Témoins de Jéhovah ont la réputation d’être des personnes honnêtes et de payer en temps et en heure.

      Témoignages de reconnaissance

      Nos frères ont été très heureux d’assister à l’assemblée grâce à la radio ou à la télévision. Patrick, ancien au Malawi, dit : « Nous remercions le Collège central pour tout ce qu’il a fait pour nous durant la pandémie. » Isaac, lui aussi du Malawi, déclare : « Nous n’avons que la radio, alors nous sommes très reconnaissants à l’organisation de Jéhovah de nous avoir permis de suivre le programme de l’assemblée par ce moyen. Grâce à cette disposition, toute ma famille a pu profiter pleinement de l’assemblée régionale. Pour nous, c’était vraiment une belle preuve de l’amour de Jéhovah pour son peuple. »

      L’assemblée régionale 2020 a été la première assemblée à laquelle un proclamateur du Mozambique a assisté. Il raconte : « Tout ce qui a été fait pour qu’on puisse regarder l’assemblée à la télévision m’a rappelé que Jéhovah est vraiment le Dieu tout-puissant. La pandémie ne l’a pas empêché de nous donner la nourriture spirituelle, et il me l’a même servie dans mon salon. Pour moi, c’est la preuve que les serviteurs de Jéhovah s’aiment vraiment les uns les autres. Je suis convaincu que c’est la vraie religion. »

      Un ancien qui s’appelle Wyson dit : « Je tiens à remercier l’esclave fidèle, qui prend soin de nous avec amour durant la pandémie. Nous vivons dans une des régions les plus pauvres du monde, et les dispositions prises pour suivre l’assemblée régionale à la radio et à la télévision ont permis à ceux d’entre nous qui ont des difficultés financières de profiter pleinement du programme. »

      Pour l’assemblée régionale 2021, le Comité des coordinateurs et le Comité pour l’enseignement ont reconduit cette disposition : l’assemblée régionale sera diffusée à la télévision et à la radio dans certains endroits. Comment cela sera-t-il financé ? Grâce aux offrandes faites en faveur de l’œuvre mondiale, souvent effectuées sur donate.jw.org. Merci beaucoup pour votre générosité !

      a Plus tôt en 2020, le Comité des coordinateurs avait donné son accord pour diffuser les réunions hebdomadaires à la télévision et à la radio dans certaines régions pendant la pandémie de Covid-19. Cette disposition est utile pour ceux qui ne peuvent pas suivre les réunions de leur assemblée ni utiliser JW Streaming parce qu’ils vivent à des endroits où la connexion Internet et le réseau mobile sont soit instables, soit trop chers. Cependant, il n’est pas prévu de faire la même chose là où il est possible de se connecter avec son assemblée locale.

  • Une bibliothèque qui tient dans la main
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un couple assiste à une réunion de l’assemblée par visioconférence et se sert de l’application « JW Library » sur leurs appareils électroniques.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Une bibliothèque qui tient dans la main

      1er SEPTEMBRE 2021

      « Encore récemment, on aurait eu du mal à imaginer recevoir notre nourriture spirituelle au format numérique. » Êtes-vous d’accord avec ces paroles ? C’est frère Geoffrey Jackson qui les a prononcées dans le Point actualité no 6 du Collège central (2020). Il a ajouté : « Mais aujourd’hui, on se demande probablement comment on ferait pendant cette pandémie sans des outils comme JW Library. En fait, c’est Jéhovah qui nous prépare depuis des années pour des situations comme celle-là. »

      Comment Jéhovah nous a-t-il préparés ? Quel travail a été nécessaire pour créer l’application JW Library ? Et comment cette application est-elle maintenue et constamment améliorée ?

      La première en son genre

      En mai 2013, le Collège central a demandé au service de la Programmation MEPS, situé au siège mondial, de développer une application contenant la Traduction du monde nouveau révisée. Paul Willies, qui a participé à ce projet, raconte : « Jusque-là, nous n’avions pas publié d’application mobile dans une boutique d’applications. Mais nous avons réuni une équipe, mis de côté certains projets, et travaillé avec d’autres services pour concevoir et développer l’application et son contenu. Nous avons souvent prié, et avec l’aide de Jéhovah, l’application a été publiée à l’assemblée générale annuelle cinq mois plus tard ! »

      Le défi suivant a été de transformer l’application en une véritable bibliothèque contenant plus de publications en plus de langues. En janvier 2015, la plupart de nos nouvelles publications en anglais étaient disponibles sur l’application, et seulement six mois plus tard, on pouvait les télécharger dans des centaines d’autres langues.

      Depuis, nos frères ont amélioré l’application de plusieurs façons, en ajoutant des vidéos, en rassemblant sous un seul onglet toutes les publications et les documents multimédias pour les réunions, et en permettant aux utilisateurs d’accéder aux références du Guide de recherche directement depuis un verset biblique.

      La maintenance de la bibliothèque

      On compte que l’application JW Library s’ouvre tous les jours sur 8 millions d’appareils électroniques et sur plus de 15 millions chaque mois. Quel travail est nécessaire pour que l’application continue de fonctionner correctement sur ces appareils ? Frère Willies explique : « On n’a jamais vraiment terminé de travailler sur une application mobile. Il faut sans arrêt ajouter de nouveaux contenus et en faciliter l’utilisation. Comme les systèmes d’exploitation commerciaux pour appareils numériques sont souvent mis à jour, nous devons constamment adapter l’application pour qu’elle reste compatible avec ces systèmes. Nous devons également maintenir et actualiser notre logiciel interne au fur et à mesure que nous rendons accessibles des publications et des enregistrements sur JW Library. » Actuellement, toutes langues confondues, JW Library contient environ 200 000 publications et plus de 600 000 enregistrements audio et vidéo.

      Pour assurer la maintenance de l’application, il faut plus que du matériel informatique. Il faut acheter plusieurs licences de logiciels. Une seule licence coûte près de 1 300 euros par an. De plus, pour vérifier que l’application pourra fonctionner correctement sur les nouveaux ordinateurs, tablettes et téléphones, le service de la Programmation MEPS dépense environ 8 500 euros par an dans l’achat d’appareils électroniques de différents fabricants.

      Des économies sur vos dons sont réalisées grâce aux téléchargements

      Grâce à JW Library, les dépenses en impression, en reliure et en expédition ont considérablement réduit. Prenons l’exemple de la brochure Examinons les Écritures chaque jour. Nous avons imprimé presque 12 millions d’exemplaires en 2013. Mais en 2020, nous n’en avons imprimé que 5 millions environ, alors même que nous comptions 700 000 proclamateurs de plus dans le monde. Comment expliquer ces chiffres ? Beaucoup de nos frères et sœurs lisent maintenant le texte du jour sur JW Librarya.

      « Elle n’a vraiment pas de prix »

      JW Library aide ses utilisateurs de plusieurs manières. Geneviève, qui habite au Canada, dit que, grâce à l’application, elle étudie plus régulièrement. Elle admet : « Franchement, si je devais réunir tous les livres dont j’ai besoin pour étudier, je ne pense pas que j’étudierais tous les matins. Mais avec l’application, je prends seulement ma tablette et j’y trouve tout ce qu’il me faut. En étudiant régulièrement, j’ai renforcé ma foi et je me suis rapprochée davantage de Jéhovah. »

      Geneviève utilise « JW Library » sur son appareil électronique pour étudier la Bible.

      Geneviève

      L’application s’est révélée particulièrement utile pendant la pandémie de Covid-19. Charlyn, aux États-Unis, explique : « Avec la Covid-19 qui s’est répandue dans le monde entier, ça fait plus d’un an que je n’ai pas vu de nouvelles publications imprimées. Mais grâce à JW Library, nous avons été bien nourris spirituellement, et je remercie Jéhovah pour cette disposition pleine d’amour. »

      Faye, qui vit aux Philippines, résume ainsi les sentiments de beaucoup : « C’est incroyable, avec une seule application, je peux rester proche de Jéhovah. C’est ce que j’ouvre en premier le matin. C’est ce que j’écoute quand je fais mes tâches ménagères. C’est ce que j’utilise pour préparer mes réunions et mes cours bibliques. Je regarde ses vidéos dès que j’ai du temps libre. J’y lis des articles ou la Bible quand je suis dans une file d’attente. Elle n’a vraiment pas de prix. »

      L’application est aussi très utile en prédication. Par exemple, alors qu’elle prêchait, une sœur au Cameroun voulait lire un verset qu’une autre sœur avait lu quelques semaines plus tôt. Mais elle n’arrivait pas à le retrouver. Elle explique : « Heureusement, je me souvenais d’une expression du verset. J’ai ouvert l’application, je suis allée sur la Bible, et j’ai cherché l’expression. J’ai tout de suite trouvé le verset. Avec cette application, je peux retrouver beaucoup de versets qu’il m’arrive d’oublier. »

      Vos dons faits en suivant les différentes méthodes proposées sur le site donate.jw.org nous permettent de développer, de maintenir et d’améliorer l’application JW Library pour nos frères et sœurs du monde entier. Nous vous remercions pour votre état d’esprit généreux.

      Évènements marquants de JW Library (pour l’anglais)

      1. Octobre 2013 : parution de l’application contenant la Traduction du monde nouveau révisée

      2. Janvier 2015 : ajout d’autres publications en anglais, puis dans des centaines d’autres langues

      3. Novembre 2015 : ajout de la fonction surlignage de texte

      4. Mai 2016 : ajout de l’onglet Réunions

      5. Mai 2017 : ajout de la fonction commentaire

      6. Décembre 2017 : ajout de la Bible d’étude

      7. Mars 2019 : possibilité de télécharger des enregistrements audio, de regarder des vidéos en streaming et d’accéder aux références du Guide de recherche

      8. Janvier 2021 : ajout de nouvelles fonctionnalités au livre Vivez pour toujours !

      a Chaque téléchargement depuis JW Library entraîne quelques frais. L’année dernière, par exemple, nous avons dépensé presque 1,3 million d’euros pour mettre à disposition des programmes en streaming et téléchargeables sur jw.org et sur l’application JW Library. Cela dit, le téléchargement des publications et des enregistrements numériques reste beaucoup moins cher que la production et l’expédition des publications, des CD et des DVD.

  • Des points qui changent des vies
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une femme aveugle lit une publication en braille avec ses doigts.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des points qui changent des vies

      1er OCTOBRE 2021

      La Tour de Garde du 1er juin 1912 déclarait : « Beaucoup de nos lecteurs ont des personnes aveugles dans leur entourage […]. Ces personnes peuvent obtenir des publications gratuites […]. Les publications à l’intention des aveugles sont imprimées avec des caractères en relief qu’ils peuvent lire. » La Tour de Garde ajoutait : « La plupart des aveugles apprécient beaucoup d’apprendre que de merveilleuses bénédictions se déverseront bientôt sur les humains. »

      À l’époque où ces mots ont été écrits, il n’y avait pas encore de code braille anglais uniformisé. Mais les Témoins de Jéhovah publiaient déjà les vérités bibliques en utilisant des caractères en relief, autrement dit en braille. Et c’est ce qu’on continue de faire ! Aujourd’hui, des publications en braille existent dans plus de 50 langues. Comment sont-elles produites ?

      Un caractère est représenté par un groupe de un à six points qui sont embossés dans une cellule, ou matrice.

      Transcription et embossage

      La première étape pour produire des publications en braille est de transcrire le texte en caractères braille. « Avant, on utilisait un logiciel commercial de transcription en braille, mais il n’était pas compatible avec toutes les langues, explique Michael Millen, du service du traitement de texte, à Patterson. Maintenant, on utilise Watchtower Translation System, notre logiciel d’aide à la traduction, qui est compatible avec la transcription en braille de la plupart des langues. Je pense qu’il n’existe aucun autre logiciel comme celui-ci. »

      Les publications en braille ne contiennent pas seulement le texte des publications, mais aussi la description des illustrations. Par exemple, voici la description de l’illustration de couverture de l’édition braille du livre Vivez pour toujours ! : « Un homme s’engage sur un chemin sinueux bordé de fleurs sauvages, d’arbres, de collines et de montagnes. » Jamshed, un aveugle qui est assistant et pionnier, dit : « J’aime vraiment beaucoup la description des illustrations. »

      Après avoir été transcrits, les fichiers sont envoyés aux filiales qui vont embosser les publications en braille. Elles sont embossées sur un papier très résistant qui ne se perforera pas pendant l’embossage et qui ne perdra pas son relief, même après un usage répété. Ensuite, les pages sont assemblées et reliées à l’aide d’une spirale. Enfin, les publications en braille sont expédiées aux assemblées avec les autres publications, ou envoyées gratuitement par les services postaux si cette disposition existe dans le pays. Si cela est nécessaire, les filiales les envoient même en express pour que les frères et sœurs aveugles ou malvoyants les reçoivent à temps pour les réunions.

      Tout cela demande beaucoup de temps et d’argent. En fait, il faut autant de temps à notre imprimerie de Walkill pour embosser 2 bibles en braille que pour produire 50 000 bibles standard. Chaque bible en braille abrégéa anglais se compose de 25 volumes. La production de ces volumes coûte 123 fois plus cher que celle d’une bible standard. Rien que les couvertures des 25 volumes coûtent environ 150 dollars (125 €) !

      Montage : 1. La “Traduction du monde nouveau” standard comparée aux 25 volumes de celle en braille. 2. Un homme debout à côté d’une pile de l’édition complète de la Bible en braille. La pile est plus grande que lui.

      La Traduction du monde nouveau en braille anglais abrégé se compose de 25 volumes !

      Que ressentent ceux qui participent à la production des publications en braille ? Nadia, de la filiale d’Afrique du Sud, déclare : « Nos frères et sœurs qui sont aveugles ou malvoyants n’ont pas une vie facile. Alors pour moi, c’est une grande joie de pouvoir les aider. C’est sûr que Jéhovah les aime énormément. »

      Méthode d’apprentissage du braille

      Et si une personne aveugle ne lit pas le braille ? Il y a quelques années, nous avons publié une méthode d’apprentissage du braille (disponible en anglais), qui contient à la fois du braille et du texte imprimé. Elle est conçue pour qu’une personne voyante puisse aider une personne aveugle à apprendre à lire. Elle fait partie d’un kit qui contient aussi une tablette spéciale et un poinçon. L’apprenant utilise ces outils pour embosser lui-même chaque caractère braille. Ces exercices d’embossage lui permettent de mémoriser plus facilement chaque caractère et ensuite de l’identifier au toucher.

      Montage : 1. La méthode d’apprentissage du braille. 2. Une personne utilise une tablette et un poinçon pour embosser des caractères braille.

      « Je suis complètement “accro” »

      Comment les frères et sœurs aveugles ou malvoyants tirent-ils profit de ces publications ? Ernst, qui vit en Haïti, avait l’habitude d’assister aux réunions de son assemblée, mais il n’avait aucune publication en braille. Du coup, il devait beaucoup compter sur sa mémoire pour présenter ses exposés d’élève et pour donner des commentaires. Il dit : « Maintenant, je peux lever la main et donner un commentaire dès que j’en ai envie. Je me sens vraiment uni à mes frères et sœurs. On reçoit tous la même nourriture spirituelle ! »

      « Nos publications sont beaucoup plus compréhensibles que tout ce que j’ai déjà pu lire en braille, déclare Jan, un ancien d’Autriche qui est malvoyant et qui dirige l’étude de La Tour de Garde et l’étude biblique de l’assemblée. Par exemple, il y a des numéros de page, des notes faciles à trouver et des descriptions d’illustrations très précises. »

      Seon-ok, pionnière en Corée du Sud, est aveugle et sourde. Avant, elle suivait les réunions en langue des signes tactile, mais maintenant elle est capable de lire toute seule les manuels d’étude de la Bible en braille. Elle dit : « En général, les livres en braille sont difficiles à lire, parce que certains points manquent, les lignes sont de travers ou le papier est trop fin. Mais les Témoins de Jéhovah utilisent un papier de meilleure qualité et les points sont davantage en relief. C’est donc plus facile pour moi de lire nos publications. » Elle ajoute : « Avant, j’avais besoin d’aide pour étudier. Mais maintenant, je peux le faire toute seule. Je suis heureuse de pouvoir préparer nos réunions hebdomadaires et y participer. Je lis toutes nos publications en braille. On peut dire que je suis complètement “accro”. »

      Comme nos publications imprimées, nos publications en braille contiennent la déclaration suivante : « Ce document ne peut être vendu. Sa diffusion s’inscrit dans le cadre d’une œuvre mondiale d’enseignement biblique rendue possible par des offrandes volontaires. » Nous vous remercions d’utiliser les différentes méthodes proposées sur le site donate.jw.org pour faire vos dons. Votre générosité permet de produire de la nourriture spirituelle pour tous, y compris les aveugles et les malvoyants.

      a Dans certains codes braille, les mots sont contractés pour gagner de la place. En braille abrégé par exemple, des noms communs et des groupements de lettres sont représentés par un ou plusieurs signes. Un livre en braille abrégé est donc plus compact que le même livre en braille intégral.

  • Des chansons qui nous rapprochent de Dieu
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une sœur met ses écouteurs pour écouter une chanson sur son téléphone.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des chansons qui nous rapprochent de Dieu

      1er NOVEMBRE 2021

      La musique est un magnifique cadeau de Jéhovah. Elle a un effet sur nos pensées et notre humeur, et elle peut nous pousser à l’action. C’est assurément ce que font nos chansons. D’ailleurs, elles font bien plus que cela : elles nous aident à nous rapprocher de Jéhovah.

      Depuis 2014, nous avons produit plus de 70 chansons et, à présent, au moins une de ces chansons est disponible en plus de 500 langues ! Mais vous vous demandez peut-être : « Qui compose ces chansons, et comment sont-elles produites ? »

      Dans les coulisses

      Les chansons sont produites par l’équipe musique du service audio-vidéo, qui travaille sous la direction du Collège central (Comité pour l’enseignement). L’équipe musique est constituée de 13 frères et sœurs qui participent à la composition, à l’ingénierie du son, à la gestion du planning et à toutes les autres tâches liées à la production. De plus, le Comité pour l’enseignement a permis que des télévolontaires du monde entier apportent leur aide. Parmi eux, il y a des compositeurs, des musiciens et des chanteurs. Ces frères et sœurs utilisent humblement leurs talents sans chercher à se mettre en avant.

      Dans un studio, des frères travaillent sur un enregistrement musical ; ils utilisent des ordinateurs et d’autres appareils.

      Comment produit-on une chanson ? D’abord, le Comité pour l’enseignement définit les versets qui serviront de base à la chanson et les émotions qu’elle doit transmettre. L’équipe musique décide alors à qui elle confie la composition de la musique et l’écriture des paroles. Une maquette est préparée. Le Comité pour l’enseignement écoute la maquette et donne son avis. Ensuite, l’équipe musique fait les changements nécessaires et enregistre la version finale. Les chansons sont enregistrées dans différents endroits, par exemple dans un Béthel ou chez des frères et sœurs qui sont équipés pour enregistrer.

      Un frère joue de la batterie pendant un enregistrement.

      Pour composer et enregistrer les chansons, nos frères utilisent entre autres des stations de travail audio numériques, des logiciels d’édition de partitions et des bibliothèques audio. Pour cette activité, ils utilisent aussi des instruments de musique, des tables de mixage, des amplificateurs, des enceintes et des micros. Un micro peut coûter de 100 dollars (environ 86 €) à plus de 1 000 dollars (environ 860 €). En 2020, nous avons dépensé 116 000 dollars (presque 100 000 €) pour l’achat de matériel d’enregistrement.

      Des micros et d’autres équipements d’enregistrement dans un studio.

      Que faisons-nous pour utiliser au mieux les offrandes ? Plutôt que d’avoir une grande équipe musique au Béthel, on fait appel à de nombreux télévolontaires. Par ailleurs, au lieu de rassembler un orchestre et de l’enregistrer, nos frères composent et produisent souvent la musique sur ordinateur.

      « Ma bouée de sauvetage »

      Les frères et sœurs aiment écouter nos chansons. Tara, qui vit en Allemagne, déclare : « Les chansons m’aident à me détendre quand je suis stressée. Quand je les écoute dans ma langue maternelle, c’est comme si Jéhovah me faisait un câlin. » Un frère du Kazakhstan qui s’appelle Dmitri dit : « J’aime pouvoir écouter des chansons sans avoir à me demander si elles sont en accord avec les principes de la Bible. En plus, ces chansons m’aident à rester concentré sur mon amitié avec Jéhovah. »

      Delia, qui vit en Afrique du Sud, décrit ce qu’elle ressent à propos des chansons : « Elles sont devenues ma bouée de sauvetage. Quand je n’ai pas le moral ou quand je rencontre une difficulté, il y a toujours une chanson qui correspond parfaitement à ma situation. Souvent, rien que l’air des chansons suffit à me remonter le moral ! »

      Beaucoup ont une ou plusieurs chansons préférées. Lerato, qui vit elle aussi en Afrique du Sud, déclare : « Les chansons “Juste à notre porte” et “Le monde nouveau” me font imaginer le moment où je pourrai accueillir ma chère maman dans le paradis. Chaque fois que j’écoute ces chansons, je la vois courir vers moi les bras grands ouverts. »

      Une chanson a particulièrement aidé une adolescente du Sri Lanka. Elle explique : « Ma professeure de sciences m’a critiquée devant toute la classe parce que je suis Témoin de Jéhovah. J’ai eu peur et je n’ai pas su quoi répondre. Quand je suis rentrée à la maison, ma mère m’a encouragée à écouter la chanson “Étudier rend fort”. Cette chanson m’a aidée à comprendre que je devais faire des recherches et préparer une réponse. Le lendemain, je suis allée parler à ma professeure. Elle m’a écoutée et elle a dit que maintenant, elle comprenait mieux les croyances des Témoins de Jéhovah. Je suis très reconnaissante à l’organisation de Jéhovah de nous donner des chansons si encourageantes. »

      Comment les frais liés à la production de ces chansons sont-ils couverts ? Par des offrandes volontaires effectuées en faveur de l’œuvre mondiale. Nombre d’entre elles se font en ligne sur donate.jw.org. Merci pour vos dons généreux.

  • Des actualités fiables et fortifiantes pour la foi
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un frère utilise sa tablette.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des actualités fiables et fortifiantes pour la foi

      1er DÉCEMBRE 2021

      Les Témoins de Jéhovah se soucient beaucoup de leurs coreligionnaires (1 Pierre 2:17). Nous sommes nombreux à partager les sentiments de Tannis, une sœur du Kenya. Elle déclare : « J’aime vraiment savoir ce qui arrive à mes frères et sœurs dans le monde entier. » Comment Tannis et des millions d’autres Témoins parviennent-ils à se tenir informés ? Grâce à la section « Salle de presse » de notre site jw.org, qui existe depuis 2013.

      La Salle de presse présente des rapports fiables concernant les Témoins de Jéhovah sur des sujets tels que des parutions de Bibles, des opérations de secours, des projets de construction et d’autres évènements importants. Elle nous informe à propos de nos frères et sœurs emprisonnés pour leur foi. Elle relate également des faits encourageants sur des campagnes de prédication et la célébration du Mémorial. Qui fait les recherches pour ces articles, et comment sont-ils préparés ?

      De la sélection d’un sujet à la publication de l’article

      La Salle de presse est gérée par le service des relations publiques (SRP). Situé au siège mondial, ce service travaille sous la direction du Comité des coordinateurs, un comité du Collège central. Le SRP compte plus de 100 frères et sœurs (dont beaucoup de télévolontaires) qui sont rédacteurs, documentalistes, infographistes ou traducteurs. D’autres servent de contacts auprès de représentants du gouvernement, d’universitaires ou de journalistes. Le SRP reçoit l’aide de plus de 80 bureaux des relations publiques (BRP) répartis dans les filiales à travers le monde.

      Pour préparer un article, le SRP collabore étroitement avec les BRP. Après avoir repéré un sujet digne d’intérêt, les frères font des recherches et rassemblent des informations fiables. Cette étape peut comporter des interviews et des discussions avec des spécialistes. Une fois les éléments collectés, l’article est rédigé, corrigé, relu, illustré avec des photos et envoyé au Comité des coordinateurs pour approbation.

      Témoignages de reconnaissance

      Que pensent nos frères et sœurs de la Salle de presse ? « J’aime énormément commencer ma journée en lisant des nouvelles de l’organisation de Jéhovah et de ses Témoins », dit Cheryl, une sœur des Philippines.

      Beaucoup de lecteurs voient une différence entre la Salle de presse de jw.org et d’autres sources d’informations. Tatiana, du Kazakhstan, confie : « J’apprécie de pouvoir faire confiance aux informations de jw.org. Elles sont fiables et objectives. » Alma, une sœur du Mexique, fait ce constat : « Comparées aux informations perturbantes des médias classiques, celles de la Salle de presse sont très encourageantes. »

      La Salle de presse est non seulement fiable, mais aussi fortifiante pour la foi. Bernard, du Kenya, explique : « La Salle de presse me permet de considérer les frères et sœurs du monde entier comme ma famille, peu importe où ils vivent. Dans mes prières, je peux mentionner leurs noms et leurs situations précises. » Une sœur prénommée Bybron, également du Kenya, s’exclame : « Je suis toujours ravie quand je vois un article sur la parution d’une Bible dans une nouvelle langue ! Ces articles me rappellent que Jéhovah n’est pas partial. »

      Le frère prie. Des photos en médaillon montrent une sœur qui reçoit des denrées de première nécessité, une maison ravagée par une catastrophe naturelle, un frère en prison et un feu de forêt.

      La Salle de presse nous permet de prier précisément au sujet des difficultés que rencontrent nos frères et sœurs du monde entier.

      Même les actualités concernant nos frères persécutés peuvent avoir un effet bénéfique. « Ça renforce ma foi de réfléchir à leur courage, déclare Jackline, du Kenya. J’essaie toujours de repérer ce qui les aide à endurer. J’ai appris que des choses “simples” comme la prière, la lecture de la Bible et même le chant sont vitales pour qu’ils restent forts. »

      Beatriz, une sœur du Costa Rica, apprécie les articles traitant des catastrophes naturelles : « La Salle de presse me permet de me rendre compte que notre organisation subvient aux besoins de nos frères avec rapidité, efficacité et amour. Ça me convainc que c’est bien l’organisation de Jéhovah. »

      Quel bonheur de recevoir des informations à jour sur notre famille internationale de frères et sœurs ! Cela serait impossible sans vos offrandes en faveur de l’œuvre mondiale, dont beaucoup sont faites sur donate.jw.org. Nous vous remercions pour votre générosité.

  • Les opérations de secours en 2021 : Nos frères et sœurs ne sont pas abandonnés
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des frères et sœurs déchargent des sacs de nourriture qui sont sur des camions.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Les opérations de secours en 2021 : Nos frères et sœurs ne sont pas abandonnés

      1er JANVIER 2022

      Durant l’année de service 2021a, l’épidémie de Covid-19 a continué de paralyser le monde. Comme l’a expliqué l’article « Opérations de secours mondiales pour faire face à la pandémie », nous avons dépensé des millions d’euros pour venir en aide aux frères et sœurs, et nous avons constitué plus de 950 comités de secours.

      Cependant, alors que l’épidémie sévissait, d’autres catastrophes d’origine naturelle ou provoquées par l’homme ont touché nos frères et sœurs dans le monde. En réponse à plus de 200 catastrophes, le Comité des coordinateurs du Collège central a donné son accord pour consacrer plus de 7 millions d’euros pour les secours, en plus de ce qui était validé pour l’épidémie de Covid-19. Découvrez comment vos dons ont été utilisés pour aider les victimes de deux catastrophes récentes.

      Éruption du mont Nyiragongo

      Le 22 mai 2021, le mont Nyiragongo, un volcan situé en République démocratique du Congo, est entré en éruption. Les coulées de lave ont détruit des maisons, des écoles et un réservoir d’eau. Mais la lave n’a pas été le seul danger. Pendant plusieurs jours après l’éruption, des dizaines de répliques ont été enregistrées, et des cendres toxiques se sont répandues sur la ville de Goma. Plus de la moitié de la ville a été évacuée. Des centaines de milliers de personnes ont fui, certaines en traversant la frontière avec le Rwanda.

      Dans une salle du Royaume, un comité de secours distribue du porridge (une bouillie d’avoine).

      Parmi toutes ces personnes se trouvaient plus de 5 000 Témoins de Jéhovah. Certains ont perdu leur maison à cause de l’éruption ; d’autres ont eu leur maison pillée après leur fuite. Au Rwanda et en République démocratique du Congo, les comités de secours coordonnent leurs efforts. À propos d’un des comités de secours, la filiale du Congo (Kinshasa) raconte : « Malgré la situation chaotique en ville et avant même que l’évacuation soit ordonnée, le comité a commencé à distribuer de la nourriture, de l’eau, des couchages et des vêtements. » Dans une ville où plus de 2 000 frères et sœurs se sont réfugiés, un comité de secours a installé des tentes, distribué des masques et expliqué comment réduire le risque de contracter la Covid-19 et le choléra.

      Des sacs de nourriture sont pesés avant d’être distribués aux Témoins déplacés.

      En trois mois, nos frères ont distribué plus de six tonnes de riz, six tonnes de farine de maïs, trois tonnes d’huile et 3 000 litres d’eau. Pour faire des économies, la filiale a acheté de la nourriture locale en grande quantité plutôt que de payer plus cher en la faisant venir de l’étranger.

      « On était très découragés et tristes », raconte une sœur qui a vu sa nouvelle maison détruite par l’éruption. Elle et sa famille ont reçu une aide spirituelle et matérielle. Elle ajoute : « Grâce à l’aide de Jéhovah, on a toujours ce qu’il nous faut. On a ressenti que Jéhovah portait notre charge et la rendait plus facile à porter. »

      Crise économique au Vénézuéla

      Depuis des années, le Vénézuéla est plongé dans une profonde crise économique. Pour nos frères et sœurs de ce pays, la situation est difficile, et ils subissent des pénuries de nourriture et la criminalité grandissante. Mais l’organisation de Jéhovah ne les abandonne pas.

      Des sacs de riz sont chargés pour être envoyés dans différentes régions du Vénézuéla.

      Pendant l’année de service 2021, plus de 1,3 millions d’euros ont été dépensés pour l’achat et le transport de nourriture et de savon afin d’aider les familles dans le besoin. La filiale du Vénézuéla explique : « Ce n’est vraiment pas simple de transporter chaque mois 130 tonnes de nourriture aux quatre coins du pays et de s’assurer qu’elles soient bien remises entre les mains des frères et sœurs qui en ont besoin. » Pour éviter que la nourriture ne s’abîme, les frères privilégient les aliments qui se conservent longtemps. La filiale ajoute : « Nous achetons le plus possible d’aliments en gros et de saison, parce que c’est moins cher. Puis nous les acheminons de la façon la plus économique. »

      À cause des pénuries de carburant et du faible nombre de voitures, de jeunes frères font un circuit de 18 kilomètres à vélo pour distribuer de la nourriture aux frères et sœurs de leur assemblée.

      Leonel, qui est membre d’un comité de secours, aime beaucoup ce qu’il fait. « Les opérations de secours, c’est unique, dit-il. Cette responsabilité m’a fait beaucoup de bien après le décès de mon épouse à cause de la Covid-19. Je reste occupé et je me sens utile aux frères et sœurs dans le besoin. J’ai vu de mes yeux comment Jéhovah tient sa promesse qu’il n’abandonnera pas ses serviteurs. »

      Un frère qui a reçu de l’aide avait lui-même servi dans un comité de secours dans le passé. Il dit : « Maintenant, c’est à mon tour d’être aidé. Nous n’avons pas seulement reçu un soutien matériel. Les frères nous ont aussi aidés, ma femme et moi, à rester calmes. Ils se sont occupés de nous, ils nous ont consolés et encouragés. »

      Certaines catastrophes frappent sans vraiment prévenir. Mais l’organisation de Jéhovah est généralement capable d’obtenir et de distribuer rapidement des produits de première nécessité grâce à vos dons pour l’œuvre mondiale. Pour savoir comment faire un don, rendez-vous sur donate.jw.org. Nous sommes reconnaissants pour votre générosité.

      a L’année de service 2021 a commencé le 1er septembre 2020 et s’est terminée le 31 août 2021.

  • Un manuel d’étude biblique très différent des autres
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un tapis convoyeur acheminant des piles de livres « Vivez pour toujours ! ».

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Un manuel d’étude biblique très différent des autres

      1er AVRIL 2022

      En janvier 2021, le Collège central a annoncé la parution d’un nouveau manuel d’étude de la Bible, Vivez pour toujours !a. Qu’avez-vous ressenti à cette annonce ? Matthieu, un Canadien, témoigne : « J’étais emballé ! Et mon enthousiasme a grandi au fil des discours et des vidéos qui ont expliqué pourquoi cette publication a été conçue et comment elle a été testée. J’étais impatient de la voir et de m’en servir. »

      Vivez pour toujours ! a inauguré une nouvelle méthode d’enseignement de la Bible. Mais ce n’est pas là la seule différence d’avec les précédents manuels d’étude. Si vous utilisez une version papier de Vivez pour toujours !, vous avez peut-être remarqué qu’il est différent aussi au toucher. Pour comprendre pourquoi, intéressons-nous à son mode de fabrication.

      Nouveau livre, nouveau toucher

      Un papier plus épais. Pourquoi était-ce nécessaire ? Vivez pour toujours ! contient plus de 600 illustrations en couleurs, soit près de dix fois plus que le livre Enseigne ! Ses pages possèdent aussi des espaces blancs (des zones sans texte ni illustrations) plus grands. Ces deux caractéristiques posent un problème : sur du papier fin, une image se verrait par transparence, même légèrement, de l’autre côté de la page. Pour éviter cela, les frères du service international de l’impression (IPD), situé à Wallkill (État de New York), ont testé quatre qualités de papier actuellement employées dans nos imprimeries. Le Comité de rédaction, un des comités du Collège central, a examiné chaque échantillon, puis a choisi le papier le moins transparent. Même si ce papier coûte 16 % plus cher que celui que nous utilisons habituellement pour nos publications, il permet aux étudiants de la Bible de lire chaque page de Vivez pour toujours ! sans être distraits par les images figurant de l’autre côté.

      Comparaison côte à côte de deux versions d’une page imprimée du livre. 1. À gauche, les images et le texte du verso de la page en papier fin se voient par transparence. 2. À droite, les images et le texte du verso de la page en papier plus épais ne se voient pas par transparence.

      La page de droite montre le papier utilisé pour Vivez pour toujours !

      Un nouveau pelliculage de la couverture. La couverture du nouveau livre n’a pas le même toucher que celle des autres, car son pelliculage (ou laminage), c’est-à-dire son film protecteur, est différent. Au lieu de la finition brillante habituelle, le nouveau livre possède une finition mate, qui fait ressortir l’illustration de couverture. Le laminage protège le livre des marques d’usure résultant d’un usage fréquent. Toutefois, le laminage mat peut coûter jusqu’à cinq fois plus cher que le brillant. C’est pourquoi plusieurs filiales ont collaboré pour trouver ce matériau à moindre coût.

      Une machine appliquant un film protecteur de laminage mat sur les couvertures des livres.

      Laminage des couvertures.

      Pourquoi avoir choisi des matériaux plus chers ? Un frère du service international de l’impression explique : « Nous pensons que ce livre sera beaucoup utilisé, alors nous voulons qu’il garde un aspect digne malgré un usage répété. » Eduardo, membre du service d’impression de la filiale du Brésil, témoigne : « Nous sommes très contents de voir que l’organisation de Jéhovah a utilisé des matériaux de qualité pour produire un livre beau, durable et agréable à manier, tout en faisant un bon usage des offrandes reçues. »

      Le travail d’impression pendant la pandémie de Covid-19

      L’impression de Vivez pour toujours ! a débuté en mars 2021, en pleine pandémie. Cela posait des difficultés : les Béthels étant confinés, nos imprimeries ne pouvaient pas compter sur l’aide de volontaires non résidents, ni ne pouvaient inviter de nouveaux frères à servir en tant que béthélites. En conséquence, certaines imprimeries manquaient de main d’œuvre et d’autres étaient temporairement fermées en raison de restrictions officielles.

      À la sortie d’une ligne d’assemblage, un frère vérifie la qualité des livres imprimés.

      Comment a-t-on surmonté ces difficultés ? Quand les imprimeries ont pu fonctionner, les frères et sœurs d’autres services du Béthel ont été invités à y apporter leur aide. « Leur dévouement et leur disposition à apprendre de nouvelles tâches ont été très précieux pour la réalisation de ce travail », fait remarquer Joel, du service international de l’impression.

      Malgré ces obstacles, nous avons déjà imprimé des millions d’exemplaires de Vivez pour toujours ! Leur production requiert toute une gamme de matériaux, comme les plaques d’impression, le film de pelliculage, le papier, l’encre et la colle. Sur les cinq premiers mois seulement, le coût des matériaux s’est élevé à 2,3 millions de dollars (2 100 000 €). Par souci d’économie, nous avons veillé à n’imprimer que le nombre de livres dont les assemblées locales ont réellement besoin.

      Deux frères chargent des livres dans des cartons d’expédition.

      « C’est un chef-d’œuvre »

      Que pensent les enseignants de la Bible et leurs étudiants de ce nouveau manuel d’étude ? Paul, un frère australien, raconte : « Vivez pour toujours ! est si agréable à utiliser que je suis toujours impatient de conduire un cours biblique. Il a une présentation très attrayante et il est vraiment interactif. C’est un excellent assemblage d’informations claires, de questions motivantes, de vidéos, d’images, de tableaux et d’objectifs pour l’étudiant. C’est un chef-d’œuvre qui me donne envie d’améliorer ma façon d’enseigner. »

      Une sœur se sert du livre pour donner un cours biblique par visioconférence.

      Un étudiant de la Bible qui vit aux États-Unis confie : « J’aime beaucoup ce nouveau livre. Les images m’aident à comprendre les points principaux. Les vidéos me touchent et m’incitent à l’action. » Cette personne étudie deux fois par semaine et assiste régulièrement aux réunions de l’assemblée locale.

      Il reste encore à imprimer des millions d’exemplaires du livre Vivez pour toujours !, en de nombreuses langues. En fait, à ce jour, le Collège central a approuvé sa parution en 710 langues, soit 340 de plus que pour le livre Enseigne !

      Comment l’impression de ce livre est-elle financée ? Au moyen des offrandes en faveur de l’œuvre mondiale, dont beaucoup sont faites via donate.jw.org. Nous apprécions votre générosité, grâce à laquelle nous produisons des ouvrages d’étude biblique pour les personnes qui veulent apprendre à connaître Jéhovah et « vivre pour toujours » (Psaume 22:26).

      a Cette parution a été annoncée sur JW Télédiffusion au cours du programme spirituel présenté à l’occasion de l’assemblée générale.

  • Les sourds n’ont pas été oubliés
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une Témoin de Jéhovah regarde un verset biblique en langue des signes sur une tablette.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Les sourds n’ont pas été oubliés

      1er JUILLET 2022

      Jéhovah veut que des gens de toutes sortes, quelle que soit leur situation, entendent parler de lui et de son royaume céleste (1 Timothée 2:3, 4). C’est pour cela que les Témoins de Jéhovah produisent des bibles et des outils d’étude de la Bible pour le plus grand public possible, y compris le public sourd. D’ailleurs, notre organisation a déjà produit des milliers de publications sous forme de vidéos en plus de 100 langues des signesa. Comment produisons-nous et diffusons-nous ces publications ? Quelles améliorations y avons-nous apportées au fil du temps ?

      Comment les vidéos en langues des signes sont-elles produites ?

      Une équipe de traduction en langue des signes en plein travail.

      Ce sont des équipes de traduction un peu partout dans le monde qui produisent les publications en langues des signes. Chaque équipe analyse soigneusement la publication à traduire, ensuite elle décide de la meilleure façon d’en rendre le contenu en langue des signes, et enfin, l’équipe enregistre la publication en vidéo. À ce jour, 60 équipes traduisent des outils d’étude de la Bible en langues des signes de façon régulière, et 40 autres, de façon occasionnelle.

      Autrefois, la production de vidéos en langues des signes coûtait cher. Le matériel nécessaire, dont les caméras, était plus onéreux qu’aujourd’hui. Il fallait aussi enregistrer les vidéos dans un studio, que nous devions construire nous-mêmes, parfois en rénovant un bâtiment déjà existant. Fournir des installations adaptées à une équipe de traduction en langue des signes coûtait en tout plus de 30 000 dollars américains [plus de 28 000 €].

      Afin de faire le meilleur usage possible des offrandes, notre organisation a cherché des moyens d’améliorer et de simplifier la méthode de traduction. En conséquence, nous avons fait le choix d’un équipement moderne à la fois fonctionnel et moins cher. Au lieu d’un studio, les équipes de traduction peuvent installer un arrière-plan vert, appelé « fond vert », et enregistrer des vidéos dans leur bureau. Quand une vidéo fait intervenir plusieurs signeurs, ils peuvent enregistrer leur partie de la publication depuis leur bureau ou leur domicile ; ils n’ont donc plus besoin de se rendre dans un studio.

      Une équipe de traduction enregistre une publication en langue des signes. Le signeur se tient devant un écran vert.

      Nous avons aussi mis au point du matériel logiciel d’assistance aux signeurs. Ces améliorations ont réduit de moitié le temps que les équipes mettaient à produire une publication en langue des signes, pour la plus grande joie de nos frères et sœurs. Un frère du nom d’Alexander commente : « Nous recevons de plus en plus de vidéos en langues des signes. Ça me fait vraiment plaisir. J’en regarde tous les jours. »

      Aujourd’hui, il faut moins de 5 000 dollars (4 700 €) pour équiper une unité de traduction. Ainsi, nous pouvons produire des vidéos en beaucoup plus de langues des signes.

      Comment les vidéos en langues des signes sont-elles diffusées ?

      Une fois terminé l’enregistrement d’une publication en langue des signes, les vidéos doivent parvenir aux personnes qui en ont besoin. Autrefois, nous produisions des cassettes vidéo et des DVD, mais cela demandait beaucoup de temps, d’efforts et d’argent. On envoyait les enregistrements à un prestataire pour duplication. Après quoi, les cassettes vidéo et les DVD étaient expédiés aux assemblées locales. Rien qu’en 2013, nous avons dépensé plus de 2 millions de dollars (plus de 1 900 000 €) pour produire des DVD en langues des signes.

      Un lecteur de DVD portatif et plusieurs publications en langue des signes sur DVD.

      Les sourds appréciaient énormément ces produits. Mais les vidéos n’étaient pas toujours faciles à utiliser, surtout quand les cassettes ou les DVD ont commencé à devenir nombreux. Dans certains cas, il fallait plusieurs DVD pour un seul livre de la Bible. Gilnei, un frère brésilien, se rappelle : « Quand on voulait lire un verset, on devait trouver la bonne vidéo, puis y chercher le verset. C’était compliqué. » Une sœur nommée Rafayane, qui se servait des DVD, explique : « Pour l’étude individuelle, c’était fastidieux. On passait un temps fou rien qu’à chercher les versets ou les références. » De plus, pour aller prêcher, nos frères et sœurs emportaient des DVD ou des cassettes vidéo qu’ils visionnaient sur le téléviseur de la personne. Certains emportaient même leur propre lecteur de DVD ! Mais très vite, les lecteurs de DVD portatifs à écran sont arrivés sur le marché, et les proclamateurs en ont profité. Bobby, des États-Unis, raconte : « Si après avoir montré un verset, on voulait en montrer un autre, souvent il fallait changer de DVD. Ça prenait du temps et ça limitait nos possibilités de nous servir de la Bible dans nos conversations. »

      En 2013, l’organisation de Jéhovah a produit l’application JW Library Sign Language [Bibliothèque JW en langue des signes], qui permet aux utilisateurs de télécharger et de visionner des vidéos en langues des signes sur leur téléphone ou leur tablette. Cette application fonctionnait au départ pour la langue des signes américaine. Puis, en 2017, elle a été mise à jour pour accueillir toutes les langues des signes. Ç’a été une immense joie pour les frères et sœurs du monde entier. Juscelino, un frère brésilien, explique : « Je n’en revenais pas ! Je n’arrêtais pas de me dire que le Collège central nous aime, nous les sourds, et qu’il veut qu’on progresse dans la vérité exactement comme ceux qui emploient une langue orale. J’étais tellement content ! Cette application m’a donné envie d’étudier encore plus la Bible. »

      Une sœur regarde le film Daniel : Une vie marquée par la foi (partie 1) sur l’application JW Library Sign Language.

      Utilisation de l’application JW Library Sign Language.

      Aujourd’hui, nous produisons toutes nos vidéos en langues des signes sous format numérique, et nous les diffusons sur notre site web et sur l’application JW Library Sign Language. Grâce à cela, il ne faut plus que quelques jours, au lieu de plusieurs mois ou années, pour traduire, enregistrer et diffuser nos publications en langues des signes. D’ailleurs, dans beaucoup de langues des signes, nos publications paraissent simultanément avec les publications en langues orales.

      Voyez ce qu’en disent certains de nos frères et sœurs sourds. Une sœur appelée Klízia s’exclame : « Quelle organisation se soucie autant des sourds en faisant l’effort de leur rendre la nourriture spirituelle si facile à se procurer ? Rien au monde n’est comparable à ce que l’organisation de Jéhovah fait pour nous ! » Vladimir ajoute : « Ces vidéos sont pour moi la preuve que Jéhovah se soucie autant des sourds que des entendants. »

      Nos vidéos en langues des signes contiennent souvent ce message : « Cette publication est diffusée dans le cadre d’une œuvre mondiale d’enseignement biblique rendue possible par des offrandes volontaires. » Nous vous sommes reconnaissants pour vos offrandes, la plupart faites via le site donate.jw.org. Grâce à cet argent, nous produisons des bibles et des outils d’étude de la Bible pour toutes sortes de gens, y compris les personnes qui emploient une langue des signes.

      a Étant donné que les langues des signes communiquent les idées visuellement, à l’aide des mains et des expressions du visage, les publications en langues des signes ne sont pas produites sur page imprimée, mais sur support vidéo.

      La traduction en langues des signes : quelques dates

      1992 : Parution de notre première cassette vidéo en langue des signes.

      2002 : Parution de notre premier DVD en langue des signes.

      2013 : Parution de l’application JW Library Sign Language.

      2017 : Mise à jour de l’application JW Library Sign Language configurée pour toutes les langues.

      2020 : Parution de la première Bible au monde complète en langue des signes : la Traduction du monde nouveau en ASL (langue des signes américaine).

  • Protéger la santé de tous dans les salles du Royaume pendant la pandémie de Covid-19
    Comment vos dons sont utilisés
    • Une sœur fait un commentaire pendant la réunion. Un frère lui tend la perche pour qu’elle puisse répondre. Tous les assistants portent un masque.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Protéger la santé de tous dans les salles du Royaume pendant la pandémie de Covid-19

      1er OCTOBRE 2022

      « Le Collège central a décidé que toutes les assemblées locales sont encouragées à reprendre les réunions en présentiel la semaine du 1er avril, sauf en cas de restrictions gouvernementales. » Cette communication, publiée sur le site jw.org au début du mois de mars 2022, a enthousiasmé les Témoins de Jéhovah du monde entier. Mais la pandémie de Covid-19 n’était pas terminéea. Quelles modifications, fournitures et installations allaient être nécessaires pour protéger les assistants du virus ? Après deux ans sans réunions en présentiel, nos salles du Royaume seraient-elles prêtes à temps pour rouvrir leurs portes ?

      En fait, nos frères se préparaient depuis de nombreux mois à reprendre les réunions dans les salles du Royaume.

      À besoins différents, solutions différentes

      Un mois seulement après la suspension des réunions en présentiel en 2020, le service mondial de développement-construction (WDC), à Warwick (État de New York), a commencé à réfléchir aux répercussions de la crise sanitaire sur l’utilisation de nos salles du Royaume et aux mesures à prendre pour protéger la santé de tous.

      Les besoins variaient d’un endroit à l’autre dans le monde. Matthew De Sanctis, du WDC, explique : « Dans certains pays, il n’y a pas d’installations pour se laver les mains. Quand les salles du Royaume n’ont pas l’eau courante, il faut acheter de l’eau ou aller la chercher à la rivière ou au puits. Dans d’autres pays, les gouvernements ont imposé de nouvelles exigences en matière de climatisation, d’aération des bâtiments et de signalétique concernant la santé et l’hygiène. »

      Comment nos frères ont-ils surmonté ces difficultés ? Ils ont constaté que, pour de nombreuses salles du Royaume, « des solutions simples et peu coûteuses se sont avérées très efficaces », fait observer Matthew. En Papouasie-Nouvelle-Guinée, par exemple, on a utilisé des jerricanes en plastique de 20 litres munis d’un robinet en guise de postes de lavage des mains. En zone rurale, nos frères ont ainsi pu équiper chaque salle du Royaume pour seulement 40 euros. En Afrique, plus de 6 000 postes de lavage des mains de très bonne qualité ont été achetés auprès d’un fournisseur en Asie.

      Collage : 1. À l’extérieur, un poste de lavage des mains consistant en un jerricane d’eau muni d’un robinet. 2. Un petit garçon et un frère se lavent les mains au même endroit.

      Les parents donnent le bon exemple à leurs enfants en matière d’hygiène.

      Il a également fallu installer des ventilateurs et des échangeurs d’air, ou modifier les unités existantes, pour améliorer la ventilation des salles du Royaume. De nombreuses assemblées ont acheté des perches pour les micros afin de ne pas avoir à se les passer de main en main. On a soigneusement veillé à réduire les zones de contact susceptibles de transmettre des virus, telles que les poignées de porte et les robinets, et à les désinfecter régulièrement. Certaines assemblées ont installé dans leurs toilettes des robinets à capteur qui se déclenchent automatiquement. Au Chili, les changements qu’il a fallu apporter ont coûté en moyenne 1 400 euros par salle du Royaume.

      Un petit garçon fait un commentaire pendant la réunion tandis qu’une perche est tendue devant lui. Lui et les autres assistants portent des masques.

      Les micros ne passaient pas de main en main.

      Même si la priorité était de protéger la santé de tous dans les salles du Royaume, nos frères se sont également efforcés d’économiser les offrandes reçues. Dans certains pays, par exemple, ils ont profité d’exonérations fiscales pour acheter des postes de lavage des mains et des perches. Certaines filiales ont acheté ensemble des fournitures en grande quantité, ce qui leur a fait économiser de l’argent. Les filiales et le service mondial des achats se sont souvent organisés pour acheter des articles directement auprès des fabricants, ce qui leur a permis de faire baisser les prix et de réduire les délais de livraison.

      Dans une salle du Royaume, une sœur se désinfecte les mains grâce au distributeur de gel hydroalcoolique.

      Un distributeur de gel hydroalcoolique.

      « Le sentiment de sécurité dont j’avais besoin »

      Les dispositions prises pour rendre les salles du Royaume plus sûres ont protégé et rassuré ceux qui ont commencé à assister aux réunions en présentiel. Dulcine, une sœur du Pérou, admet qu’elle a eu « un peu peur » lorsqu’elle a appris que les réunions se tiendraient de nouveau en présentiel. « J’ai eu la Covid-19 au tout début de la pandémie, dit-elle. Je n’étais donc pas très rassurée à l’idée de retourner à la salle du Royaume, sachant que je pouvais être à nouveau exposée au virus. Mais quand je m’y suis rendue pour la première fois, j’ai vu que les anciens avaient pris de nombreuses dispositions pour nous protéger : des distributeurs de gel hydroalcoolique, des perches, ainsi qu’un programme de désinfection de la salle avant et après chaque réunion. Tout cela m’a donné le sentiment de sécurité dont j’avais besoinb. »

      Dans une salle du Royaume, deux frères portant un masque désinfectent les surfaces fréquemment touchées.

      Désinfection d’une salle du Royaume.

      Sara, une sœur de Zambie, a dû surmonter une autre difficulté. Elle explique : « Il y a plusieurs mois, mon mari est décédé de la Covid-19. Je m’inquiétais de ce que j’allais ressentir en assistant à ma première réunion en présentiel sans lui. » Comment les choses se sont-elles passées ? Elle raconte : « Les réunions en présentiel sont la preuve que Jéhovah est avec nous en ces derniers jours. Je ne me suis jamais sentie autant encouragée, soutenue et aimée par les anciens et les frères et sœurs. »

      Dans une salle du Royaume, deux sœurs portant un masque se prennent dans les bras. À l’arrière-plan, des frères et sœurs portant des masques se saluent chaleureusement.

      Heureux de se retrouver en présentiel.

      Nos frères et sœurs du monde entier sont très heureux de pouvoir retourner dans leurs salles du Royaume. Nous vous remercions pour vos offrandes, dont beaucoup ont été effectuées sur le site donate.jw.org. Grâce à ces offrandes, les salles du Royaume, ou centres du culte pur, sont à la fois confortables et sûres.

      a Là où c’était possible, les personnes qui souhaitaient continuer à assister aux réunions par visioconférence ou par téléphone ont pu le faire.

      b Tous étaient également fortement encouragés à porter un masque lors des réunions à la salle du Royaume.

  • Les opérations de secours en 2022 : l’amour fraternel en action
    Comment vos dons sont utilisés
    • Des produits de première nécessité sont en train d’être déchargés de deux avions.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Les opérations de secours en 2022 : l’amour fraternel en action

      1er JANVIER 2023

      La Bible avait prédit que notre époque serait caractérisée par des guerres, des tremblements de terre, des épidémies et d’autres « choses effrayantes » (Luc 21:10, 11). Ces paroles prophétiques ont continué de s’accomplir au cours de l’année de service 2022a. Par exemple : La guerre en Ukraine a éclaté et a nui à des millions de personnes. La plupart des pays du monde luttaient encore contre la pandémie de Covid-19. De plus, de très nombreuses personnes ont été touchées par des catastrophes naturelles, comme les tremblements de terre en Haïti et les tempêtes dévastatrices en Amérique centrale, aux Philippines et dans le Sud-Est de l’Afrique. Comment les Témoins de Jéhovah ont-ils soutenu les frères et sœurs concernés par ces catastrophes ?

      Durant l’année de service 2022, notre organisation a apporté son aide aux personnes touchées par environ 200 catastrophes ! Au total, nous avons dépensé 12 millions de dollarsb pour les opérations de secours. Voyons comment une partie des dons a été utilisée pour aider ceux qui ont subi deux catastrophes naturelles.

      Tremblements de terre en Haïti

      Le 14 août 2021, un tremblement de terre de magnitude 7,2 a frappé le Sud d’Haïti. Malheureusement, trois Témoins sont morts : deux sœurs et un frère. Les survivants ont dû faire face aux souffrances physiques et affectives provoquées par ce tremblement de terre. Stephane, un frère, s’exprime ainsi : « Il y a eu tellement de morts dans la ville que toutes les semaines, il y avait énormément d’enterrements, et ça a duré pendant plus de deux mois. » Éliézer, un autre frère, explique : « De nombreux Témoins n’avaient plus de toit sur la tête, plus de vêtements, plus de chaussures ni d’autres choses nécessaires. Beaucoup ont vécu dans la peur à cause des répliques incessantes. »

      Notre organisation a rapidement apporté son aide. La filiale d’Haïti a fourni plus de 53 tonnes de nourriture, ainsi que des tentes, des bâches, des matelas et des chargeurs solaires pour téléphones portables. De plus, pendant l’année de service 2022, une centaine d’habitations ont été reconstruites ou réparées. Nous avons dépensé plus d’un million de dollars pour cette opération de secours.

      Des frères et sœurs en Haïti chargent des sacs de nourriture dans un véhicule.

      Distribution de nourriture (Haïti).

      Nos frères et sœurs sont extrêmement reconnaissants. Lorette raconte : « Le tremblement de terre a complètement détruit notre maison et notre commerce. On n’avait plus rien à manger. Mais l’organisation de Jéhovah ne nous a pas abandonnés. Elle nous a donné tout ce dont on avait besoin. » Micheline se souvient : « Le tremblement de terre a endommagé l’abri dans lequel mes deux fils et moi vivions. Je ne savais pas quoi faire à part prier pour avoir de l’aide, et Jéhovah m’a répondu au moyen de son organisation. Maintenant, nous avons une maison solide. Je suis résolue à faire tout ce que je peux pour montrer ma gratitude à Jéhovah. »

      Les opérations de secours ne sont pas passées inaperçues aux yeux des autorités locales. Le directeur de la mairie de L’Asile a dit : « Je vous félicite pour la rapidité avec laquelle vous êtes intervenus. Bravo d’avoir montré autant de respect pour les autorités. Je suis heureux de constater que ce n’est pas l’argent qui vous intéresse. Au contraire, vous voulez aider les gens. C’est l’amour qui vous motive. »

      La tempête tropicale Ana frappe le Malawi et le Mozambique

      Le 24 janvier 2022, la tempête tropicale Ana a touché terre au Mozambique et s’est ensuite dirigée vers le Malawi. Elle a provoqué des pluies diluviennes et des vents violents, jusqu’à 100 kilomètres à l’heure. Elle a détruit des lignes électriques, emporté des ponts et causé de terribles inondations.

      La tempête a touché plus de 30 000 Témoins au Malawi et au Mozambique. Charles, un frère qui a participé aux opérations de secours, déclare : « Quand j’ai vu la souffrance des frères et sœurs et tout ce qu’ils avaient perdu, ça m’a brisé le cœur, et je me suis senti impuissant. » Pour ne rien arranger, leur maigre stock de nourriture et leur petite récolte ont été emportés par le vent. Beaucoup ont perdu leur habitation. Malheureusement, un frère a perdu sa femme et deux filles, qui se sont noyées lorsque leur bateau de secours s’est retourné.

      Maison endommagée appartenant à un couple de Témoins (Mozambique).

      Leur maison reconstruite.

      La tempête était effrayante. À 1 heure du matin, à Nchalo, au Malawi, la famille Sengeredo a entendu le bruit assourdissant de l’eau qui jaillissait : c’étaient deux rivières en crue. Frère Sengeredo a décidé que lui et sa famille devaient quitter la maison. C’était une sage décision, parce que l’inondation a rapidement provoqué l’effondrement de la maison. Leurs affaires ont été soit endommagées soit emportées. La famille s’est rendue à la salle du Royaume, qui se trouve normalement à 30 minutes à pied de chez eux. Cette fois-ci, cependant, le trajet leur a pris deux heures. Ils sont arrivés trempés et fatigués, mais sains et saufs.

      Les filiales du Malawi et du Mozambique ont rapidement commencé à organiser les opérations de secours. Elles ont demandé à des responsables de circonscription et à des anciens d’évaluer les besoins des frères et sœurs sinistrés et de leur apporter une aide spirituelle et affective. Plusieurs comités de secours (CDS) ont été créés pour superviser les opérations de secours, et ils ont rapidement aidé les frères et sœurs à obtenir de la nourriture et d’autres choses nécessaires. Plus de 33 000 dollars ont été consacrés à l’aide humanitaire, et plus de 300 000 dollars à la réparation et à la reconstruction d’habitations.

      Les CDS ont utilisé les dons avec sagesse, et c’était très important vu la forte inflation. Par exemple, au cours des sept premiers mois des opérations de secours, le prix de la farine de maïs, qui est une denrée de base au Malawi, a augmenté de 70 %. Le prix du carburant est également monté en flèche. Pour faire des économies, les frères ont acheté de la nourriture et des matériaux en gros et à des fournisseurs locaux. Ils ont ainsi pu bénéficier de réductions et n’ont pas eu à payer de frais de transport.

      Ces opérations de secours ont touché le cœur des frères et sœurs. Felisberto, un frère du Mozambique, dit : « Je n’ai jamais vu une organisation qui donne avec autant de générosité : des matériaux de construction, le transport, les volontaires à la construction, de la nourriture et des conseils plein d’amour. Nous avons vu l’amour fraternel en action tel que Jésus le décrit en Jean 13:34, 35. » Ester, une sœur veuve du Malawi dont la maison a été détruite, confie : « J’étais désespérée parce que je n’avais pas assez d’argent pour construire une autre maison. Donc quand les frères sont venus pour m’en construire une nouvelle, j’avais l’impression d’être déjà dans le paradis. »

      À l’approche du monde nouveau, nous nous attendons à vivre toujours plus de catastrophes (Matthieu 24:7, 8). Toutefois, nous sommes convaincus que, grâce à votre générosité, les serviteurs de Jéhovah recevront toujours le secours dont ils ont besoin. Vous trouverez des renseignements sur les différentes façons de faire des dons sur donate.jw.org. Merci pour votre générosité.

      a L’année de service 2022 a commencé le 1er septembre 2021 et s’est terminée le 31 août 2022.

      b Dans cet article, les montants exprimés en dollars le sont en dollars américains.

  • Des présentoirs mobiles « en témoignage pour toutes les nations »
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un couple souriant se tient à côté d’un présentoir mobile qui expose nos publications et attire l’attention sur nos cours bibliques gratuits.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des présentoirs mobiles « en témoignage pour toutes les nations »

      1er AVRIL 2023

      Depuis plus de dix ans, nos présentoirs mobiles attirent l’œil des gens. Dans le monde entier, les présentoirs sont facilement reconnaissables. Leur forme est caractéristique mais aussi pratique. Vous serez sans nul doute d’accord avec Asenata, une sœur de Pologne, qui dit : « Les présentoirs sont simples, mais beaux. Ils sont faciles à installer et à déplacer. »

      Vous êtes-vous déjà demandé comment les présentoirs ont été conçus et fabriqués ?

      Un modèle adapté

      En 2001, le Collège central a donné son accord pour que les frères et sœurs de France essaient différentes formes de témoignage dans les lieux publics, dont le témoignage à l’aide de présentoirs mobiles. Ils ont testé plusieurs modèles. Par exemple, ils ont transformé des valises et des caddies de courses pour exposer nos publications et en avoir quelques-unes en réserve. Finalement, la filiale de France a choisi un modèle unique qui a été utilisé pendant plusieurs années.

      À Paris, aux pieds de la Tour Eiffel, une sœur se tient à côté d’un présentoir mobile et parle avec une femme.

      Un des premiers présentoirs mobiles, France (2005).

      Les frères de France ont constaté avec joie que leur initiative produisait de bons résultats. Alors en 2011, le Collège central a approuvé qu’à New York (États-Unis), soit lancé un projet pilote de témoignage dans les lieux publics à l’aide de présentoirs mobiles et de tables d’exposition. Les pionniers qui ont participé au projet se sont rapidement rendus compte que les présentoirs avaient de nombreux avantages, notamment leur mobilité. Ils ont donné des suggestions pour améliorer la forme des présentoirs. Les premiers présentoirs en bois fabriqués à la main étaient assez lourds : il était difficile de les faire descendre et monter des marches. Un nouveau modèle a donc été pensé : Il était plus léger, mais pas non plus au point d’être emporté par un coup de vent. Il avait des roues plus grosses et qui amortissaient les chocs, ce qui était très pratique sur des sols irréguliers. Et il possédait un petit compartiment supplémentaire pour stocker quelques publications.

      Le projet pilote a été une véritable réussite ! C’est pourquoi, en 2012, le Collège central a approuvé l’utilisation des présentoirs mobiles dans le monde entier. Un contrat a été passé avec un fabricant pour qu’il produise une grande quantité de présentoirs dans des matériaux légers et durables.

      Au fil du temps, des changements mineurs ont été apportés au modèle. Par exemple, en 2015, une housse imperméable à la face avant en plastique transparent a été ajoutée. Dina, qui vit en Géorgie, apprécie cet accessoire. Elle dit que de cette façon, « le présentoir a son “imperméable” pour protéger les publications ». En 2017, des affiches aimantées ont été disponibles dans certaines langues. Tomasz, un frère de Pologne, se souvient : « Avant, c’était difficile de changer les affiches adhésives. Les affiches aimantées, c’est vraiment une idée géniale. » En 2019, il y a eu d’autres changements au niveau des matériaux et de la fabrication des présentoirs pour qu’ils soient encore plus résistants.

      La fabrication des présentoirs mobiles

      Les présentoirs mobiles sont produits par un seul fabricant et distribués aux quatre coins du monde. Actuellement, un présentoir coûte 43 dollars américains (environ 40 euros), hors frais d’expédition et autres coûts. Jusqu’à présent, plus de 16 millions de dollars américains (environ 15 millions d’euros) ont été dépensés pour l’achat de présentoirs, et plus de 420 000 présentoirs ont été expédiés aux assemblées du monde entier.

      Pour utiliser au mieux les offrandes, les présentoirs mobiles sont commandés en gros. De plus, au lieu de remplacer les présentoirs abîmés, les assemblées peuvent commander des pièces de rechange et effectuer les réparations elles-mêmes.

      Une notice, des outils et des pièces détachées d’un présentoir mobile, notamment des roues, une barre, des écrous et des vis.

      Prêcher à l’aide de présentoirs mobiles

      Partout dans le monde, les proclamateurs aiment utiliser les présentoirs mobiles. Martina, qui vit au Ghana, fait ce commentaire : « Quand nous prêchons, en général, c’est nous qui abordons les gens. Ce que j’aime avec le présentoir, c’est que ce sont les gens qui viennent vers nous. On peut même donner un témoignage aux passants. »

      Dans un autre pays d’Afrique, un homme s’est approché d’un présentoir où il a reçu des publications dans sa langue. Il est revenu une semaine plus tard et a dit : « J’ai lu toutes les publications. Ce qu’elles contiennent est très important. Je vais aller dans mon village pour en parler à ma famille. » Sa famille habitait à plus de 500 kilomètres de là. Deux mois plus tard, il est revenu et a raconté : « Les gens de mon village ont lu toutes les publications, et ce qu’ils ont appris leur a beaucoup plu. Ils veulent devenir Témoins de Jéhovah. Mais ils ont des questions. Par exemple, ils comprennent que pour se faire baptiser, ils doivent être immergés dans l’eau. Mais il n’y a pas de rivière à proximité de notre village. Devons-nous venir ici pour nous faire baptiser ? » Les proclamateurs ont mis cet homme en relation avec un pionnier qui parle sa langue. Et depuis, ils ont des discussions régulières.

      Qu’il est encourageant de voir que les présentoirs mobiles sont utilisés pour prêcher « sur toute la terre, en témoignage pour toutes les nations » ! (Matthieu 24:14). Comment les frais de fabrication sont-ils couverts ? Grâce aux offrandes en faveur de l’œuvre mondiale, souvent effectuées sur donate.jw.org. Merci pour votre générosité.

      Un couple se tient à côté d’un présentoir mobile. La sœur discute avec une dame sur la base de la brochure « Vivez pour toujours ! » tandis que le frère discute avec un monsieur et lui montre quelque chose sur sa tablette électronique.
  • Des bâtiments qui honorent notre Grand Instructeur
    Comment vos dons sont utilisés
    • Un frère accueille chaleureusement un couple devant un centre d’écoles bibliques au Brésil.

      COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

      Des bâtiments qui honorent notre Grand Instructeur

      1er JUILLET 2023

      Jéhovah aime enseigner son peuple. C’est pourquoi son organisation a créé plusieurs écoles qui forment des élèves à s’acquitter de la mission qui leur est confiée. L’une de ces écoles est l’École pour évangélisateurs du Royaume (EER). Ces dernières années, l’organisation de Dieu a accordé une attention particulière non seulement au contenu des cours, mais aussi aux installations qui accueillent les écoles théocratiques. L’un des principaux objectifs est d’améliorer les conditions dans lesquelles les élèves apprennent et les formateurs enseignent. Comment vos dons nous aident-ils à atteindre cet objectif ?

      Davantage d’élèves dans un environnement plus agréable

      Depuis de nombreuses années, les écoles théocratiques se tiennent dans des salles du Royaume et des salles d’assemblées. Alors pourquoi avons-nous récemment construit ou rénové d’autres installations qui sont maintenant utilisées exclusivement pour ces écoles ? Il y a trois raisons à cela.

      Des besoins plus importants. « Les filiales ont signalé qu’il y avait besoin de renfort dans le territoire, explique Christopher Mavor, un assistant du Comité pour le service (Collège central). En 2019, par exemple, la filiale du Brésil a estimé qu’il lui fallait environ 7 600 diplômés de l’EER en plus pour répondre aux besoins de son territoire. » La filiale des États-Unis a indiqué avoir besoin d’un grand nombre de pionniers qualifiés qui peuvent former d’autres proclamateurs au témoignage public spécifique aux grandes villes, au témoignage dans les ports et au témoignage dans les prisons. Il y a également besoin de frères pour prêter main forte au service local de développement-construction et aux comités de liaison hospitalier. L’EER peut fournir les forces vives pour répondre à ces besoins.

      Augmentation des demandes. Dans de nombreuses filiales, le nombre de demandes pour l’EER dépasse largement les capacités d’accueil des installations. Au Brésil, par exemple, la filiale a reçu environ 2 500 demandes en une seule année, mais elle n’a pu accueillir que 950 élèves.

      Des logements adaptés. Quand une école a lieu dans une salle du Royaume ou une salle d’assemblées, les élèves sont généralement logés chez des frères et sœurs de la région. Cette disposition ne pose pas de problème si une ou deux classes sont organisées chaque année. Mais quand un plus grand nombre de classes se tiennent au cours de l’année, il n’est pas toujours possible pour les proclamateurs locaux de loger les élèves. C’est pourquoi des installations spécialement conçues pour les élèves sont construites à proximité de la salle de classe.

      La construction d’installations qui comprennent des logements pour les formateurs et une trentaine d’élèves, mais aussi une salle de classe et des locaux annexes, peut coûter plusieurs millions d’euros, en fonction de l’emplacement et d’autres facteurs.

      Caractéristiques d’un centre d’écoles bibliques

      Les écoles se trouvent généralement dans des endroits calmes, en dehors d’une grande ville, mais à proximité de moyens de transport. On choisit des régions où il y a un grand nombre de proclamateurs qui peuvent aider au fonctionnement de l’école et à l’entretien des bâtiments et des équipements.

      Dans les locaux, les élèves disposent notamment de bibliothèques, de salles d’étude, d’ordinateurs et d’imprimantes. Il y a souvent une salle à manger où les élèves et les formateurs peuvent prendre leurs repas ensemble. De plus, des espaces sont aménagés pour l’exercice physique et les loisirs.

      La salle de classe fait l’objet d’une attention particulière. « Nous avons consulté le service des écoles théocratiques pour nous aider à concevoir des salles de classe qui favorisent l’apprentissage des élèves, explique Troy, du service mondial de développement-construction, à Warwick (État de New York). Les frères nous ont donné des directives concernant leur taille et leur agencement, l’éclairage et les équipements audio-vidéo. » À propos de l’équipement audio, Zoltán, un formateur de l’EER en Hongrie, explique : « Au début, nous n’avions pas de micros, donc nous devions souvent rappeler aux élèves de parler plus fort. Mais maintenant qu’il y a un micro sur chaque bureau, le problème est résolu ! »

      Un formateur dispense un cours. Derrière lui se trouve un écran montrant une illustration de Jésus en train de remettre le Royaume à Jéhovah Dieu. Les élèves se servent du micro sur leur bureau pour donner des commentaires.

      « Des invités de Jéhovah »

      Quel effet ces améliorations ont-elles eu sur les formateurs et les élèves ? « C’est un environnement très paisible, fait observer Angela, qui a suivi les cours de l’EER à Palm Coast, en Floride (États-Unis). Tout a été pensé, y compris les salles de classe et nos chambres, pour que nous puissions nous concentrer sur l’étude. » Csaba, formateur en Hongrie, aime beaucoup prendre ses repas avec les élèves. Il explique : « Les élèves s’ouvrent davantage et nous parlent de leur vie. Nous apprenons ainsi à mieux les connaître. Du coup, nous pouvons mieux adapter le cours à leurs besoins. »

      Les élèves et les formateurs considèrent ces améliorations comme une bénédiction de notre « Grand Instructeur », Jéhovah (Isaïe 30:20, 21). Une sœur des Philippines, qui a suivi les cours de l’EER dans un bâtiment transformé en école, s’est exprimée ainsi : « Ces nouveaux locaux nous ont rappelé que nous ne sommes pas de simples élèves, mais des invités de Jéhovah. Il veut que nous étudiions sa Parole en profondeur dans les meilleures conditions possibles. »

      Des frères et sœurs assistent à un cours dans la bonne humeur aux Philippines.

      Les centres d’écoles bibliques sont construits, rénovés et entretenus grâce à vos offrandes, que vous êtes nombreux à faire sur le site donate.jw.org. Merci beaucoup pour votre générosité.

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