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Stupéfaits par ce qu’ils ont vuRéveillez-vous ! 1991 | 22 décembre
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Les policiers ont été particulièrement étonnés. À Zagreb, l’un d’eux a dit: “Il faudrait que les journalistes voient ce qui se passe actuellement dans ce stade: des Serbes, des Croates, des Slovènes, des Monténégrins et d’autres assis paisiblement côte à côte.”
À Budapest, on a demandé à un policier s’il voyait une différence entre les Témoins réunis dans l’immense stade et les foules habituelles d’amateurs de football. Il a souri et a dit: “C’est le jour et la nuit.”
“Que voulez-vous dire?”
“Regardez-les, a-t-il répondu. Personne ne fume, rien ne traîne par terre, et les gens sont polis. Ils font tout ce qu’on leur demande.”
À Kiev, capitale de l’Ukraine, 14 654 personnes se sont réunies au stade du Dynamo. C’est là qu’a été prise la photo de couverture de ce périodique. Un Témoin a demandé à un commissaire de police si ses hommes avaient eu beaucoup de travail au cours de l’assemblée. “Non; et la prochaine fois je n’en enverrai que deux.”
“Pourquoi deux?”
“Si l’un s’endort, a-t-il répondu en plaisantant, l’autre pourra veiller sur lui.”
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Stupéfaits par ce qu’ils ont vuRéveillez-vous ! 1991 | 22 décembre
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Au cours du week-end, un véritable déluge s’est abattu sur Budapest: plus de 50 millimètres d’eau. Mais cela n’a pas arrêté les Témoins. “C’est fantastique! renversant! s’est exclamé un policier. Ils continuent d’arriver (...). Rien ne peut les retenir.”
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Stupéfaits par ce qu’ils ont vuRéveillez-vous ! 1991 | 22 décembre
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À Lvov, où 17 531 personnes se sont assemblées dans le Stade central d’Ukraine, un responsable de la police a dit à un Témoin: “Pour toute autre manifestation rassemblant une telle foule, nous aurions besoin de plusieurs centaines de policiers. Pour vous, nous en avons prévu dix; encore n’étaient-ils pas indispensables.”
Puis il a révélé à quel point l’assemblée lui faisait une forte impression: “Vous savez remarquablement enseigner le bien. Vous parlez de Dieu et vous ne donnez pas dans la violence. Nous nous sommes demandé pourquoi nous vous avons persécutés par le passé, et nous sommes arrivés à la conclusion que c’est parce que nous n’avions pas écouté votre message et que nous ne savions rien de vous.”
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