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La place honorable de la femme chez les fidèles des temps anciensLa Tour de Garde 1995 | 15 juillet
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b Dans les Écritures hébraïques, les hommes et les femmes mariés sont beaucoup plus souvent désignés par les mots “mari” (hébreu ʼish) et “femme” (hébreu ʼishshah). En Éden, par exemple, Jéhovah n’a pas employé les termes “propriétaire” et “possédée”, mais “mari” et “femme”. (Genèse 2:24; 3:16, 17.) La prophétie d’Osée annonçait qu’après son retour d’exil, Israël, repentant, appellerait Jéhovah “Mon époux” et non plus “Mon propriétaire”. Cela laisse peut-être entendre que le terme “époux”, ou “mari”, avait une connotation plus tendre que “propriétaire”. — Osée 2:16.
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La place honorable de la femme chez les fidèles des temps anciensLa Tour de Garde 1995 | 15 juillet
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12. a) Par quels termes désignait-on parfois les hommes et les femmes mariés dans les Écritures, et étaient-ils insultants pour les femmes? b) Qu’y a-t-il de significatif dans les termes que Jéhovah a employés en Éden (voir la note)?
12 Des maris “propriétaires”: Un incident survenu dans la vie d’Abraham et de Sara vers 1918 avant notre ère révèle qu’à l’époque il était, semble-t-il, habituel de considérer l’homme marié comme le “propriétaire” (hébreu baʽal) et la femme mariée comme la “possédée” (hébreu beʽoulah). (Genèse 20:3.)
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