Récemment le New York Times disait à ce sujet: “Chaque printemps et chaque automne, des millions de cigognes, de pélicans, de busards, d’aigles et d’autres grands oiseaux survolent Israël. Ils suivent la route la plus courte pour contourner la Méditerranée au cours de leur migration qui les amène à quitter l’Europe pour se rendre en Asie occidentale et en Afrique.” Pourquoi ne traversent-​ils pas tout simplement la mer? L’article se poursuivait ainsi: “Contrairement aux petits oiseaux qui, en une seule journée, peuvent traverser l’étendue d’eau en battant des ailes, les grands oiseaux, plus lourds, doivent s’élever et planer au-dessus des colonnes d’air chaud qui montent du sol. (...) Arrivés au sommet d’un courant ascendant, ces oiseaux redescendent en planant vers la base de la colonne suivante. Ils recommencent cette opération tout le long de leur voyage, pour aller en Afrique comme pour en revenir.” Et cela sans carte ni boussole, et bien souvent pour la première fois!

Le choix du moment de la migration est remarquable, lui aussi. À ce sujet, on pouvait lire dans le même journal: “Tous les ans, chaque espèce arrivait à peu près en même temps et par le même couloir aérien. Par exemple, en 1984 et en 1985 c’est le 4 septembre que les busards cendrés ont commencé à survoler Israël. On estime qu’il en est passé 220 000 en deux jours.”

[Illustration, page 7]

L’instinct migratoire est une autre preuve de l’existence de l’intelligence supérieure qui est présente derrière la création.

La cigogne blanche d’Europe.