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    Annuaire 2003 des Témoins de Jéhovah
    • ÉTATS-UNIS : Le 17 juin 2002, la Cour suprême des États-Unis a rendu une décision historique dans Watchtower Bible and Tract Society of New York, Inc. contre Commune de Stratton. À l’origine de cette affaire, l’insistance des habitants pour que les Témoins de Jéhovah obtiennent du maire une autorisation écrite avant de pouvoir prêcher de porte en porte. La cour a déclaré : “ [Les Témoins de Jéhovah] ont expliqué devant la justice que, s’ils n’ont pas demandé d’autorisation, c’est parce qu’elle leur est conférée par l’Écriture. ‘ Nous avons le sentiment que demander une autorisation écrite à une municipalité pour prêcher serait un affront à Dieu ’, [ont-​ils affirmé]. ” En annulant l’arrêté municipal, la cour estime que le fait “ qu’un citoyen, dans le cadre de ses conversations quotidiennes, soit tenu d’informer de son désir de parler à ses voisins pour obtenir l’autorisation écrite de le faire est une offense, non seulement aux valeurs protégées par le premier amendement, mais aussi à la notion même de société libre ”. La cour a ajouté : “ Même si la délivrance des autorisations par la mairie est une formalité administrative rapide et sans frais pour le demandeur, une loi qui impose une autorisation écrite pour de telles discussions constitue une entorse flagrante à notre héritage national et à notre tradition constitutionnelle. ” 

      La cour a également loué les Témoins de Jéhovah pour l’influence remarquable qu’ils ont exercée sur l’établissement du droit constitutionnel américain. Elle a déclaré : “ Depuis plus de 50 ans, la cour annule des restrictions sur le démarchage ou la distribution d’écrits de porte en porte. Ce n’est pas un simple hasard de l’Histoire si la plupart de ces affaires ont été soumises par les Témoins de Jéhovah et relevaient du premier amendement. En effet, le porte-à-porte est pour eux une exigence religieuse. ” Comme la cour l’a souligné, ces “ jugements démontrent que les efforts déployés par les Témoins de Jéhovah contre la censure n’ont pas servi uniquement à défendre leurs droits ”.

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    • Par ailleurs, le 1er juillet 2002, la Cour suprême de Caroline du Sud a confirmé le droit d’un Témoin de Jéhovah à refuser une transfusion de sang (Actes 15:28, 29). Charles Harvey, dont le médecin a passé outre à son refus de recevoir du sang, a intenté un procès contre lui pour obtenir des dommages et intérêts. Avant d’être opéré, frère Harvey avait clairement informé son médecin de sa position fondée sur la Bible. Cependant, lorsque des complications postopératoires sont survenues, et alors que frère Harvey était inconscient, le médecin l’a transfusé avec le consentement de la mère, non-Témoin, de son patient. La Cour suprême de Caroline du Sud, qui a rejeté la validité du consentement maternel, a déclaré qu’“ un médecin à qui un patient a exprimé, avant une opération, son refus d’un traitement médical ou d’une intervention chirurgicale, doit respecter ce refus ”. Ainsi, la cour a décidé que frère Harvey avait le droit de recourir à la justice pour que celle-ci décide si le médecin avait violé le consentement qu’il avait donné de traiter frère Harvey sans utiliser de sang et s’il avait commis une faute professionnelle en le transfusant contre son gré.

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